Quelqu’un en photos…
– Quelqu’un…, est-ce un pseudonyme de circonstance aggravante…?
– Je me situe comme un des derniers rêveurs vivant librement, écrivain surréaliste de quelques romans… : Quelqu’un, le roman du web…, Je ne me souviens plus du titre…, Liens d’amours…, Par qui ce scandale…, Dictatucratie…, Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens… et de Quelqu’un contre le reste du monde…, il m’est aussi arrivé, dans une autre vie d’être également l’éditeur de magazines automobiles, dont le célébrissime Chromes & Flammes…
La vie m’a fait devenir, en suite de ce capharnaüm d’histoires…, une sorte de collectioneur de voitures déjantées (sans double sens, quoique…) et éditeur du plus fantastique site-web planétaire : www.GatsbyOnline.com , m’y dévoilant personnellement et prouvant de ce fait que, nanti ou pauvre, connu ou inconnu, chaque être n’en est pas moins homme avec ce que cela implique de vulnérabilité et d’enthousiasme.
– A travers l’écriture, tenteriez-vous d’accentuer le trait de cette évidence et aborder les aspects interdits les plus secrets de votre existence… ?
– Je suis devenu mon propre autoportrait, poignant, comme l’aurait imaginé un peintre cubiste, en désarticulant ma vie pour mieux la reconstruire à travers le prisme des bonheurs et des malheurs qui l’ont jalonnée.
Dès les premiers mots de mon livre : Tuez-les tous, dieu reconnaîtra les siens, mots qui se réfèrent au massacre de Béziers dirigé contre la religion Cathare en 1209, tout cœur de lecteur (et lectrice) se met à battre au même rythme que le mien lorsque je l’ai écrit… avec un verbe vif, cru, précis, nourri d’autodérision.
Mes phrases courtisent l’intimité d’un tête-à-tête avec moi-même, avec Quelqu’un d’autre et un autre moi-même, pourtant le même, ceux qui sont partis, ceux qui sont toujours là.
Je me regarde frontalement, sans baisser les yeux, le ton adopté est celui de la confidence désabusée d’amertume caustique.
– Mais le chuchotement qui sied à ce genre d’attitude n’a pas cours ici, sur le web, généralement !
– J’ai décidé de ne rien cacher… et je le prouve, balançant autant sur moi-même que sur ceux que je croise…, avec humour…
– Mais, avec votre dernier livre Quelqu’un contre le reste du monde, l’exercice se veut-il thérapeutique ?
– J’ai voulu plonger immédiatement chaque lecteur et lectrice dans l’expression charnelle d’une existence hors du commun que la patine de la vie a laissé tour à tour joyeuse, brutale, effilochée, blessée… parce qu’au paraître, un vécu est venu se mêler.
– Une porte ouverte à l’identification ?
– Les impressions priment la chronologie, mais le lecteur ne perdra jamais le fil.
Car si j’ai pris la plume pour la reposer aussitôt, la reprendre, l’oublier, la reprendre encore dans une urgence afin d’aboutir à cet ouvrage du troisième millénaire (que j’ai en réalité tapoté sur mon clavier d’ordinateur), j’ai voulu tisser une cohérence narrative autour de mon autre moi-même, mes rencontres, l’art dans toutes ses formes, en ce compris l’art de se moquer du monde et l’art de faire de l’argent….
De mes désirs sexuels jusqu’à ma dernière aventure d’affaire, en passant par mes doutes, mes acouphènes du matin et quelques migraines…, j’ai tenté de me raconter en blanc et noir avec un fil rouge.
– Sans nul doute une question de survie…
– Sans fausse pudeur et avec une pointe d’humour salvatrice, j’y ai tout expliqué, parce que c’est ce tout qui m’a construit et déconstruit.
Les fils rouges du passé et du présent s’enchevêtrent pour conduire vers un futur…, cela n’empêche pas les aveux, les ratages et des regrets !
– Avec une lucidité… implacable…
– Sur cela s’impriment étroitement, intimement mes temps d’enfance, des aventures, des anecdotes aussi.
– On y trouve aussi des rêves…
– Dans les espaces de lumière comme dans les zones d’ombre, on croise des personnalités fortes, rarement anodines.
– Cet ouvrage confirme votre double vie : l’une envahie par les affaires, l’autre totalement accro à l’art !
– Oui…, mais l’art de la photographie mélé à l’art de l’écriture…, car : il faut apprendre à distribuer les cartes, m’avait appris mon père.
J’ai eu des hauts, des bas, mais je continue à distribuer les cartes pour : Devenir ce que nous sommes, disait Nietzsche…
– Reste votre pensée motrice…
– Je me voyais en Gatsby le Magnifique, déboulant en Mercédes SSKL.
L’autre soir, sur le web, une femme m’a abordé pour me demander comment il fallait faire pour que je puisse lui faire rencontrer Quelqu’un…, cela m’a rappellé une phrase d’une pièce de Jean Genet, Le balcon.
Dans un bordel, on entend off des coups de feu au loin…, un personnage dit : Encore des gens qui rêvent !
– Vous êtes Quelqu’un de spécial !
– Me croyez-vous photographe de mode agité, flambeur, qui roule en Porsche, drague, vit dans le futur, déclenche comme un dingue en tournant autour d’une fille, lui passe sur le corps en disant : “c’est bien, continue ! ” ?.
– On voit ça dans certains films.
– Et puis on me découvre…
Pas d’ambiguïté, je suis né dans l’art et la mécanique…
Mon grand-père paternel était antiquaire, De Bruyne était fort connu au Sablon à Bruxelles, mais avant guerre, il “chinait ” les églises en grand équipage, une Hispano-Suiza avec un chauffeur noir en gants blancs…
Mon grand-père maternel était un artiste de la mécanique, surtout des motos qu’il vendait et réparait, la grande époque des avant-guerre, FN, Gnome&Rhone, Saroléa, Velocette…, sans pour autant dédaigner les automobiles, surtout les Amilcar, quelques Citroën, Delage, Delahaye et même Bugatti.
– Mazette !
– Pour ma part, après St-Luc en architecture, je me suis lançé dans l’édition de magazines de décoration et d’architecture en sus de la construction de maisons avant-gardistes.
De fil en aiguille (mon père était Maître-Tailleur sur mesure) je me suis retrouvé éditeur et publiciste, y développant entre-autres passions, celle de la photographie…, ma fille Alexandra, maintenant 20 ans, aussi !
– Vous avez une certaine notoriété, en dactylographiant votre identité sur Google, on lit que vous avez fait beaucoup de choses…
– Sans faire partie du fameux carré respecté des photographes de mode les plus célèbres au monde, ni sans avoir révolutionné le noir&blanc et la couleur, je suis passé à la postérité avec un de mes magazines : Chromes&Flammes qui a durablement marqué les années quatre-vingt (500.000 exemplaires mensuels en 5 langues et diffusion planétaire).
Mais maintenant, je suis ailleurs…, avec un site-web totalement déjanté… et, depuis depuis fin août 2008, une galerie d’art située à Zeebrugge…, sans oublier la publication de quelques livres très underground…
– Vous devez être mondain, alors ?
– Je fuis les mondanités, je ne travaille pas comme un forcené, ni ne m’emballe pour des pécadilles, mais je sais passer des heures voire des jours à créer des textes et réaliser des photos.
– De quelle façon ?
– Je suis un partisan de la simplification qui n’aime pas les complications inutiles… et privilégie, en photo, la rapidité et la facilité d’utilisation à des appareils dont le maniement complexe empèche toute vraie spontanéité…
Ma vie est de ce fait : hors du temps, donc dure, car en fait, pour chacun, le temps n’existe pas vraiment.
Lisez mes textes et regardez mes photos pour comprendre, peut-être y verrez-vous mes mélanges…
– C’est un mélange de raffinement, de modernité et de nostalgie flottant dans un univers hypnotique.
– Textes et photos sont souvent des autobiographiques qui contiennent mille souvenirs, mille rêves.
– Qui êtes-vous ?
– Né en 1949 à Tournai, Belgique d’un père Français, j’ai obtenu (avec bonheur) la nationalité “Hexagonale “…
La grisaille et la monotonie du “plat pays ” que chante Jacques Brel, qui l’envahissent l’hiver, ont usé mes yeux verts qui analysent tout sans cesse, mais sans le mystère, on se perd.
Adolescent, la littérature et la poésie m’ont nourrit : Pétrarque et Leopardi, Eugenio Montale, Kerouac et Ginsberg.
En 1968, j’ai tenté d’étendre la révolution dans mon école, mais ce fut un échec…
Pour me dépasser en sus de mes études, j’ai ouvert une agence de publicité, transformée, sitôt mes études terminées, en maison d’édition destinée à publier des idées nouvelles en décoration et architecture…
J’étais prêt pour le grand saut.
– Pas simple comme parcours !
– La culture est un style qui fuit la faute de goût et permet de se transcender…, ce fut le cas me concernant jusqu’à la création des magazines Chromes&Flammes, en passant par divers travaux pour British American Tobacoo, Cristal d’Arques, Pirelli…
– Une évolution ?
– Une évolution entre deux mondes, donc nulle part, entre le passé et le présent.
Un pied en Belgique, l’autre en France…, puis un maeström de voyages, principalement aux Etats-Unis, en Floride, à Hallandale au nord de Miami Beach ou j’ai crèé divers magazines…
Après plusieurs années, j’ai revendu le tout et pris une année sabatique…, en sortant pour recréer d’autres magazines (Auto-Folies, Autorama), revendus également après un an…, puis, l’opportunité s’est présentée d’importer en Europe la marque Excalibur, ce qui m’a fait entrer dans le monde des automobiles hors normes, puis de collection…
De là, viendra la création d’un site-web totalement déjanté, www.GatsbyOnline.com… et deux ans plus tard, cette folie créative va donner naissance à une galerie d’art, ouverte avec mon meilleur ami, Guy Evens.
En juillet, août et septembre 2009, une soixantaine de mes photos mélées à celles de ma fille Alexandra y sont exposées…, l’exposition s’appelle “Quelqu’un “.
– C’est très original, là…, vraiment inatendu !
– J’aime les critiques et plus encore les polémiques, étant débiteur du goût des autres…
Avoir eu des hauts et des bas, laisse surpris d’être encore là…, mais sans peur, n’attendant plus que le téléphone sonne, ayant trouvé dans la photographie un moyen formidable de jouer à cache cache avec la vie.
– En regardant vos photos on peut dire que votre champ d’action artistique va du Glamour au Porno chic en passant par un soupçon de Trash…
– Oui, ça sonne bien, cette définition est à garder, pour l’instant du moins, car il est très dur de décider d’un champ d’action artistique, mais une chose est sûre : toutes les formes d’expressions sexuelles et artistiques m’intéressent.
– Un photographe, c’est d’abord un grand voyeur ?
– Un photographe n’est pas un voyeur, c’est un exhibitionniste…, surtout les paparazzis…, par contre, je suis devenu voyeur a cause de la photo, ne pouvant pas m’empêcher de regarder.
– Vos photographies ne nous disent pas explicitement quel regard vous avez, vous aimez cultiver l’ambiguité du regard posé…
– Il est vrai que la plupart des photographes se spécialisent très vite dans un style bien défini, on devrait les appeller des binaires…, mais ça ne m’intéresse pas, car leurs oeuvres sont le produit de nombreuses années de recherche sur le même sujet…, la photographie devrait rester un moyen d’agrémenter la vie en saisissant l’instant magique et intemporel.
Les photographes qui préparent une photo en choisissant le modèle, le décor, l’éclairage…, ne sont pas des photographes, se sont des peintres frustrés… et c’est la même chose avec la sexualité.
Mes photos sont la résultante de ce que mes yeux voient lorsque je me déplace, “voir ” et “sentir “…
– Il y a un côté terriblement déjanté dans votre travail, dans le bon sens du terme évidemment.., êtes-vous d’accord avec cela ?
– Dans tous les sens du terme en fait.
Mais oui, j’adore prendre des photos…, une photo est toujours un moment privilégié et secret qui laisse des traces à tout jamais.
– Vous êtes très sensible aux formes et aux mouvements qui vont vers la fusion dirait-on ?
– Heureusement, sinon je changerais de hobby.
– Est-ce que la photographie calme ou alimente vos fantasmes ?
– Je réponds la même chose que Hugh Heffner : Ca dépend de la photo…
Je fantasme énormement, étant très rêveur et utopiste.
Mais en fait… et là je vais vous dévoiler un secret d’intérêt mondial : le fantasme est simplement une prémonition de ce que l’on peut réaliser si on s’en donne les moyens.
– Vous avez le sens de la démesure !
– Mon style est multiculturel, j’ai vécu en France, en Belgique et 5 ans aux Etats-Unis…, mes influences pourront peut être révéler mon style.
– Par quoi avez-vous envie de terminer cet entretien ?
– Par dire un grand merci à Bill Gates et à tous les génies qui on inventé l’internet…, il n’y a maintenant plus aucune possibilité de censure de la part de n’importe quel gouvernement.
Je crois que l’Internet sera la création la plus importante de toute l’histoire de l’Humanité, il faut toutefois faire attention aux Américains qui détiennent le pouvoir, car ils n’ont aucune envie d’être utile, juste d’être futile… et domestiquer le monde pour le réduire à un marché aux esclaves.
– Vous sacriferiez-vous chaque jour via vos texticules et photos pour la reconquête de la liberté ?
– Hier, sur une terrasse de Zeebrugge, pas loin de la www.Zgallery.be , buvant chacun une boisson gazeuse glacée…, Guy Evens et moi, devisions très précisément de la grande déglingue de l’économie occidentale et de son bonheur d’avoir vendu ses shows d’automobiles anciennes il y a quelques semaines, tout comme, il y a une dizaine d’année, j’avais été de même humeur joyeuse quelques instants après avoir reçu le montant de la vente de mes magazines…
– Un bon moment, donc ?
– Hilares, donc…, souriant aussi entre deux quintes de fous rires…, outre qu’il m’a dit se rendre mardi en Bulgarie pour constater la saine évolution de www.CollectionCar.com , (ils font, là-bas un site complet, opérationnel, pour moins de 2.000 euros, soit 10 fois moins qu’ici)…, nous en sommes venus à parler de la Chine, en rapport avec une photo d’un vélo-lectrique et de son prix de moins de 180 euros… qu’un ami avait déposé sur le forum de www.GatsbyOnline.com !
Il m’a dit qu’il y a environ 3 ans, il s’était laissé marier avec une jeune et jolie de 20 ans sa cadette, qui… pour cette cérémonie d’autant plus inoubliable qu’il a demandé (et obtenu) le divorce un an plus tard…, voulait une robe de mariée exceptionnelle…
Elle a cherché partout et a fini par découvrir LA robe obligée…, catalogue photo à l’appui… : 5.000 euros !!!
Déjà refroidit quant au mariage en cette cause de robe…, malin, il a dactylographié le nom de la robe sur Google et est arrivé sur l’usine “vestimentaire ” qui fabriquait cette “oeuvre d’art “…
En a peine 2 émails, il lui fut écrit que la société, basée en Chine, pouvait, sans souci, lui expédier la robe selon les mesures qu’il enverait (selon une sorte de plan téléchargeable)…
– Le prix ?
– 50 euros… plus frais d’envoi !
100 fois moins que le prix boutique à Knocke-le-mazout…
Nous en sommes, Guy et moi, arrivés à la conclusion qu’en Europe… : c’était foutu…!
Je lui ai dit, qu’à mon sens, tout cela était la faute des congés-payés qui dépensaient 15% + extras de leurs revenus à l’étranger sans contre-partie depuis les années trente… et qui, en sus, achetaient à crédit donc avec de l’argent qu’ils n’avaient pas, mais remboursés chaque mois avec une autre tranche de 20% de leurs revenus…, une moche voiture insipide fabriquée dans un pays “émergent “…( à ne pas confondre avec les pays “détergents ” comme Monaco), contribuant ainsi à l’appauvrissement national occidental…
– Et ?
– Nous avons décidé de vendre toutes mes photos à 99 euros !
– C’est un prix incroyable…
– Oui, incroyablement incroyable…
– Et ?
– Rien d’autre…, nous avons donc craché sur les socialistes en général… qui sont responsables de cette déglingue… et, en particulier, sur l’avocate Stalinienne : Laurette Onkelinckx (belge)… et la diplomée de l’ENA qui paye l’impôt sur les grosses fortunes : Ségolène Royal (française)…
Nous avons ensuite dérapé sur la question Juive et les Protocoles des Sages de Sion…, malgré les regards noirs d’un barbu avec nattes… et aurions continué jusqu’à une heure avancée de la nuit si la raison ne m’avait poussé à rentrer pour arriver à temps au barbecue auquel j’étais invité à Bruxelles…
Comme quoi, le monde est petit… et c’est un double sens !
Expo (détails)…
Pat_Marine_01 Le navire fantôme (Playa de Garcey, Fuerteventura – Juillet 2004)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_02 Le crépuscule d’un dieu des mers (Playa de Garcey, Fuerteventura – Juillet 2004)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_03 La vague et le chalutier (Weststaketsel Oostende – Juillet 2007)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_04 Entrée d’un chalutier au port (Weststaketsel Oostende – Juillet 2007)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_05 Trafic de mer (Weststaketsel Oostende – Juillet 2007)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_06 Un homme, un enfant et la mer (Weststaketsel Oostende – Juillet 2007)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_07 Embrouillamini (Port de plaisance de Saint-Tropez – Mai 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_08 L’éternel retour (Entrée du port de plaisance de Saint-Tropez – Mai 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_09 Reflets Tropéziens (Baie de Saint-Tropez – Mai 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_10 Destructuration (Brighton – Juillet 2008)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_11 Amour impossible (Brighton – Juillet 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_12 Couleurs d’été anglais (Brighton – Juillet 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_13 Bons baisers de Brighton (Brighton – Juillet 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_14 Sunrise cycles (Brighton – Juillet 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_15 Zeebrugge d’affaires (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_16 Flamboyance (Zeebrugge – Août 2008)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Marine_17 Nordzee (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_18 Vlamse Kust (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_19 Abandon (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_20 Estran de fin d’après-midi (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_21 Jeux d’innocence (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_22 Stéréotype marin (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_23 Sublimation marine (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_24 La roulotte de mer (Zeebrugge – Août 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_25 Vue d’un milliardaire (Cannes – Juin 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Marine_26 Rêveries d’amour à Venise (Venise – Novembre 2004)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_America_01 11/9 (Septembre 2001)
Photo 70×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_America_02 American Dream (Septembre 2001)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Dream_05 11/9 (Frasnes-lez-Buissenal – Fevrier 2007)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Car_01 Red’66 Sting Ray (Stekene – Février 2008)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Car_02 Riviera Cruiser (Monaco – Juin 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_03+04+05 Racing Dreamer (Nürburgring – Août 2008)
Tryptique-Photo, chaque photo = 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_06 Crazy Duplication (Ronse – Mai 2007)
Photo sujet 14×100 + bords noirs dimension finale 34×120 – Forex 5mm
Pat_Car_07 Bla-bla-car (Ronse – Mai 2007)
Photo sujet 45×100 + bords noirs dimension finale 65×120 – Forex 5mm
Pat_Car_08 L’Alfa à jac’ (Waregem – Mai 2007)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_09 Excalibur Graffiti (Ronse – Juillet 2007)
Photo 70×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_10 Yellow Submachine (Overijse – Octobre 2007)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_11+13+12 Prowler (Blenheim – Juillet 2007)
Tryptique-Photo, chaque photo = 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_14 Concours-Condition (Monaco – Mai 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_15 Mosaïqu’autos (Juillet 2007)
Photo 100×120 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_16 Qvale GTR (Cannes – Juin 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_17 Real Car Dream (Anvaing – Juillet 2007)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_18 Garage Scene (Tournai – Avril 2006)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Car_19 Bubble Car-Gum (Bruxelles – Juillet 2008)
Photo 60×80 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Flight_01 Biplan (USA – Juillet 2000)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Flight_02 Voltigeur (USA – Juillet 2000)
Photo sujet 40×60 + bords noirs dimension finale 60×80 – Forex 5mm
Pat_Crazy_01 Smoke Men and his Dog (USA – Juillet 2000)
Photo 100×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Crazy_02 Burning Battle (USA – Juillet 2000)
Photo 100×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Crazy_03 Go to Hell (USA – Juillet 2000)
Photo 70×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Pat_Crazy_04 One Way Ticket for Eternity (USA – Juillet 2000)
Photo 100×100 – Toile style peinture montée sur cadre en bois 28mm
Expo (général)…