Les sept guerres mondiales…

Nous vivons l’ultime étape d’un plan vieux de plus de dix générations, en vue de transformer le monde en un gigantesque camp de concentration, où l’univers du film “Soylent Green” fera figure de paradis. Nous assistons actuellement au dernier épisode de la lutte séculaire entre la mondialisation et la multipolarité. Les tentatives d’une petite élite hostile d’imposer sa volonté au monde et de réduire tous les peuples, à l’exception des siens, à l’état d’esclaves soumis s’appellent “la mondialisation”. La multipolarité, en revanche, incarne la nature même du monde : un univers varié et pluriel, à l’image des slogans perfides avec lesquels l’élite hostile tente d’imposer au monde la folie Wokiste et le Gendérisme, afin d’accélérer la descente de l’humanité vers l’esclavage.
Selon différents points de vue, la guerre entre l’élite hostile et le reste de la population mondiale est également une lutte entre le bien et le mal, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, l’ambition de quelques-uns et les droits du plus grand nombre. C’est aussi et surtout une lutte entre la bêtise et l’intelligence, entre l’aveuglement et la sagesse, entre l’éphémère et l’éternel.
Depuis plusieurs siècles, une petite élite soudée – par des liens du sang, des intérêts financiers et le chantage (dont l’affaire Epstein est la dernière manifestation) – tente de réorganiser le monde selon ses intérêts. Cette élite a été accusée tour à tour d’être maçonnique, jésuite, juive, composée d’illuminati, de rosicruciens, de chevaliers de Malte et d’autres groupes de ce type, comme Skull and Bones. S’il est impossible de trouver des preuves documentaires tangibles à l’appui de telles affirmations, de nombreux indices indiquent toutefois que cette élite a son siège à Londres et compte de nombreux membres se revendiquant juifs ou, plus précisément, sionistes. Elle semble également être étroitement liée à de puissants cercles bancaires.
Dans une récente interview, l’économiste Richard Werner a souligné que la première banque centrale au monde, la Banque d’Angleterre (fondée en 1694), a été créée comme une arme à utiliser en temps de guerre. On ne s’étonnera donc pas du déclenchement de la Première Guerre mondiale.
Comme toutes les guerres, les grandes guerres, qualifiées de “mondiales”, ont pour but ostensible de résoudre un conflit par les armes. Elles peuvent donc être considérées comme l’extension de la diplomatie par d’autres biais. Les guerres mondiales ont également pour but d’éliminer une partie de la population. Un nombre considérable de paysans et d’ouvriers sont ainsi laissés pour morts sur les champs de bataille et dans les profondeurs marines. Bien que ces chiffres soient approximatifs, ils sont néanmoins sujet à caution, les statistiques historiques étant incertaines.
Le massacre de tous ces jeunes hommes et femmes dans la fleur de l’âge instille la peur parmi les survivant(e)s, qui en deviennent généralement soumis(es) et apathiques face aux politiques gouvernementales. Les guerres sont donc un outil puissant entre les mains des élites pour soumettre les populations préalablement abêties par une presse manipulatrice de plus en plus aux mains de milliardaires inféodés.
Les doutes bien fondés sur la chronologie établie, interdisent d’établir une liste définitive des guerres mondiales. Le mot clé étant “mondiale”, il ne peut y avoir eu de véritables guerres mondiales avant que l’Ancien Monde ne soit relié au Nouveau Monde, et avant que les explorateurs européens ne découvrent la route maritime vers l’Orient. Une telle guerre n’aurait donc pas pu avoir lieu avant le XVIè siècle. Même si, au début de la mondialisation initiée par les voyages de Christophe Colomb, Vasco de Gama et Cabral, des conflits ont opposé les explorateurs aux populations indigènes, l’ampleur des combats et le nombre de victimes ne sont pas clairement établis. Et il est donc probablement incorrect de parler de guerres mondiales avant que ces affrontements armés n’impliquent une masse significative de soldats, de marins, de navires, d’armes à feu et d’énergie cinétique. Et dresser une liste fiable de toutes les parties et territoires ayant pris part aux guerres des XVIè et XVIIè siècles, ni déterminer la nature réelle des alliances, n’est pas vraiment envisageable. Il est donc logique de considérer la guerre de Succession d’Espagne comme la première véritable guerre mondiale.
Première Guerre mondiale

Ce duel de longue haleine a débuté au début du XVIIIè siècle. C’est en 1700 que la première d’une série de guerres éclate, impliquant les plus grandes puissances mondiales avec des combats aux quatre coins du monde. Dans l’historiographie classique, ce premier épisode se compose de deux guerres distinctes : la Grande Guerre du Nord, qui opposa la Russie à la Suède (1700-1721), et la guerre de Succession d’Espagne (1701-1714). Dans leur “DTV-Atlas zur Weltgeschichte” (1964-1966, également publié en anglais sous le titre “The Penguin Atlas of World History”), les historiens allemands Herman Kinder et Werner Kindermann ont qualifié cette dernière de “première guerre mondiale de l’ère moderne”. Elle s’est déroulée en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et en mer. La plupart des grandes puissances y ont pris part : l’Angleterre, les Pays-Bas, l’Autriche et le Saint-Empire romain, alliés à quelques puissances plus modestes, contre la France. Les alliés étaient déterminés à empêcher la France de former une alliance dynastique avec l’Espagne.
“Spamer’s Illustrierte Weltgeschichte” (1914, volume 7, p. 126) explique que ; “La guerre de Succession d’Espagne a créé un nouvel ordre dans le système étatique européen. La monarchie espagnole, puissance dominante le siècle et demi précédent, fut dissoute, évitant ainsi une alliance avec la France et l’hégémonie des peuples latins en Europe et en Amérique. La victoire revint à l’Angleterre. Elle était parvenue à poser les bases de l’État unitaire de Grande-Bretagne et à marquer le début de son hégémonie en Méditerranée. Grâce à son économie et à sa culture déjà très développées, l’Angleterre était devenue la première puissance européenne”.
L’allié anglais, la Savoie-Piémont, réussit à poser les bases de sa domination dans le nord de l’Italie. La France, quant à elle, connaissait une grave crise économique, avec une population frappée par des famines répétées. À l’est, dans la Baltique, la Russie s’était imposée grâce à sa victoire écrasante sur la Suède. Au terme de plus de deux décennies de combats, plus de deux millions de personnes, pour la plupart des soldats et des marins, avaient perdu la vie. La victoire anglaise signifiait également une victoire pour la Banque d’Angleterre, qui comptait dès le début de nombreux actionnaires de confession juive, dont beaucoup vivaient à Amsterdam.
Seconde Guerre mondiale

Quelques décennies plus tard éclata la Seconde Guerre mondiale. Généralement connue sous le nom de “Guerre de Sept Ans”, de 1756 à 1763, elle opposa la plupart des grandes puissances mondiales : l’Angleterre, la Prusse, le Portugal et la Russie d’une part, et la France, le Saint-Empire romain germanique, l’Autriche, l’Espagne et la Suède (rejointe plus tard par la Russie) d’autre part. En Amérique du Nord, on parle de “Guerre franco-indienne'”. La guerre prit fin après la signature de deux traités distincts, l’un entre l’Autriche et la Prusse, l’autre entre l’Angleterre et la France, tous deux signés à Paris. Cette guerre a également fait environ un million de morts (essentiellement des militaires) et a accru la puissance anglaise. Comme l’écrit l’historien français Jacques Godechot dans “le Volume 3 de l’Histoire universelle de la Pléiade” (1958) : “Le traité de Paris porta la puissance anglaise dans l’Atlantique à son apogée, lui assurant le contrôle effectif de toute la côte américaine de l’Atlantique Nord. On dit à juste titre que l’Empire britannique date de ce traité, car l’Angleterre est alors passée de la colonisation marchande à la colonisation de peuplement”.
Cette guerre fut l’une des plus “propres” et “civilisées” de l’histoire, car elle n’a pas touché la population civile dans les mêmes proportions que la plupart des autres conflits. Elle a marqué l’apogée de la guerre organisée, les armées adverses (composées de soldats aguerris) opérant selon des codes disciplinaires stricts. Les armées s’organisaient de manière à pourvoir à leurs propres besoins, grâce à des dépôts et des réserves préorganisés, plutôt que de vivre aux crochets des populations locales.
Troisième Guerre mondiale
La guerre mondiale suivante opposa également l’Angleterre à la France, mais cette fois-ci, des idéologies vinrent compliquer le conflit. Elle débuta en 1775 avec la guerre d’indépendance américaine, durant laquelle treize colonies anglaises, soutenues militairement par la France et financièrement par les Pays-Bas, luttèrent pour établir une organisation politique indépendante et fédérale “multipolaire”.
Après une brève pause, cette lutte acharnée entre l’Angleterre et la France reprit sous la forme des guerres de la Révolution française (1792-1802) et des guerres Napoléoniennes (1803-1815). Elle se poursuivit en Amérique avec les guerres d’indépendance, qui ne prirent fin qu’en 1826, avec la défaite des armées coloniales espagnoles lors de la bataille d’Ayacucho, au Pérou. Cette fois-ci, toutes les grandes puissances ont participé au conflit : l’Angleterre, la France, l’Espagne, l’Autriche, la Prusse, la Russie, la Suède, les Pays-Bas et l’Empire ottoman. Le nombre total de morts pourrait atteindre sept millions, soit un peu moins d’un pour cent de la population mondiale de l’époque.
Quatrième guerre mondiale

La guerre mondiale suivante éclata au milieu du XIX^e siècle. La révolution de 1848, qui a particulièrement touché la France, l’Allemagne et l’Autriche (sans affecter l’Angleterre, la Russie, les Pays-Bas, la Belgique, l’Espagne ni le Portugal) peut être considérée comme un prélude à la quatrième guerre mondiale. À l’origine, on observe une tentative de l’Angleterre (et des factions qui dirigeaient ce pays) de déstabiliser l’Allemagne et la France.
Le véritable déclencheur de la lutte pour l’indépendance italienne sera la première guerre d’indépendance de 1849, qui opposa la Savoie-Piémont (aujourd’hui le royaume de Sardaigne) à l’Autriche et au Vatican, qui contrôlaient alors l’essentiel du paysage politique de la péninsule italienne. La Sardaigne a essuyé une défaite et a été invitée à rejoindre l’Angleterre et la France en 1853, lorsque ces deux pays, alliés à l’Empire ottoman, ont envahi la péninsule de Crimée et ont déclenché une guerre contre la Russie pour l’empêcher de contrôler la mer Noire. Cette guerre prit fin en 1856 et fut le prélude à la deuxième guerre d’indépendance italienne, qui débuta en 1859 et vit le gouvernement et les intérêts financiers de Londres œuvrer secrètement en faveur de la cause italienne. Des plans avaient été élaborés pour creuser un canal reliant la mer Méditerranée à la mer Rouge, et les travaux ont commencé en 1859, sans aucune participation anglaise. Ferdinand de Lesseps, un Français, supervisait les travaux, tandis que Pasquale Revoltella, un homme d’affaires italien de Trieste, contribuait grandement au financement du projet. À cette époque, le royaume des Deux-Siciles possédait la marine la plus puissante de la Méditerranée, suscitant l’inquiétude à Londres. Le royaume des Deux-Siciles, qui couvrait essentiellement le sud de l’Italie, y compris la Sicile, avec une superficie d’environ 100.000 kilomètres carrés et environ 40 % de la population italienne, vivait alors un essor économique remarquable. Il connaissait une industrialisation impressionnante et un secteur agricole dynamique et diversifié. De plus, la dynastie locale jouissait d’une grande popularité, faisant du royaume un rival redoutable.
Deux menaces pesaient donc sur les intérêts de l’Angleterre, dont la plus importante colonie se trouvait en Inde. Dans un premier temps, le gouvernement londonien décida de s’impliquer dans la lutte pour l’unification italienne en subventionnant Giuseppe Garibaldi et le royaume de Sardaigne. Ils décidèrent de mener une offensive contre le royaume des Deux-Siciles. C’est Garibaldi qui, en 1859, débarqua à la tête de ses “mille chemises rouges” près de Palerme, déclenchant ainsi une rébellion armée dans le royaume qui allait finalement se solder par sa dissolution forcée en 1860.
D’autres guerres européennes peuvent également être considérées comme faisant partie du terrible bras de fer qui a culminé avec la guerre de Crimée. On peut notamment citer “la guerre Prusso-Danoise de 1864″, la “guerre des Sept Semaines entre la Prusse et l’Autriche en 1866”, ainsi que “la guerre franco-prussienne de 1870”. Lors de ces guerres, la Prusse, sans rencontrer d’opposition de la part de l’Angleterre (qui soutenait discrètement les Prussiens) s’est imposée comme la première puissance du continent européen, reléguant la France au second plan.
Outre l’Europe, “la révolte des cipayes” (1857-1858) en Inde, “la deuxième guerre de l’opium” (1856-1860), “la guerre de Sécession” (1861-1865) et “la guerre du Paraguay” (1865-1870) s’inscrivent toutes dans le cadre d’un ensemble de conflits majeurs, que l’on peut qualifier de stratégie globale de l’Angleterre pour redessiner la carte et consolider sa puissance en éliminant ses rivaux et obstacles potentiels. La quatrième guerre mondiale, qui a fait entre trois et quatre millions de morts, s’est conclue en 1871 par la défaite de la France, humiliée et contrainte de compter sur la protection anglaise pour survivre en tant que nation. Ce qui suffit pout haïr le Président Macron d’avoir reçu avec un faste démesuré le Roi d’Angleterre en 2024 en s’affichant, de plus, Wokiste et Trangenriste ainsi que Gérontophile avec sa “moitié” 24 ans plus âgé(e) dont le sexe reste indéterminé…
Cinquième guerre mondiale

Si le Royaume-Uni a d’abord semblé tirer profit de cette situation, et de celle des années 1800, l’unification allemande sous la direction de la Prusse s’est rapidement muée en une menace pour son hégémonie. Néanmoins, plus de trois décennies de croissance économique et de paix sont venues couronner le succès de la domination mondiale anglaise. La situation semblait si satisfaisante aux yeux des élites anglaises qu’elles n’aspiraient qu’à voir le temps s’arrêter. Comme l’a écrit l’historien allemand Giselher Wirsing dans son ouvrage monumental “Der masslose Kontinent, p. 15. Roosevelts Kampf um die Weltmacht” (1942) : “La politique et la vision du monde britanniques convergeaient désormais vers un seul objectif : l’histoire mondiale serait en quelque sorte suspendue. Telle a été la pensée sous-jacente lors des festivités de 1897, comme plus tard lors du jubilé d’argent du roi George V. Le XIXè siècle fut l’âge d’or des Anglais. Pourquoi les XXIè et XXIè siècles ne le seraient-ils pas non plus ?”
Mais le temps n’allait pas se plier aux souhaits anglais, et Londres allait devoir conclure de nouvelles alliances pour maintenir son influence. Les États-Unis paraissaient être un choix logique, et en 1913, les signes avant-coureurs d’une grande vague de violence internationale commençaient à se manifester. Cette année-là, tout comme la Banque d’Angleterre en 1694, la Fed a été fondée, pour reprendre la formule de Richard Werner.
La Russie étant perçue comme la plus grande menace pour les intérêts anglais, toujours centrés sur les voies maritimes cruciales reliant les îles Britanniques à l’Inde, l’alliance avec le Japon s’est également imposé comme une évidence. Armé jusqu’aux dents par Londres, notamment sa marine, le Japon a déclaré la guerre à la Russie en 1904. On peut y voir les prémices de la cinquième guerre mondiale. Comme souvent, cette guerre mondiale a également éclaté quelque part en périphérie, loin du théâtre principal des opérations. Les étapes suivantes se sont également déroulées à la périphérie. En 1911, l’Italie est entrée en guerre contre l’Empire ottoman pour le contrôle de la Cyrénaïque, l’actuelle Libye. Bien que membre officiel de la Triple Alliance avec l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie, l’Italie a toujours entretenu des liens étroits avec l’Angleterre. Cette relation privilégiée lui a valu sa première colonie en 1890. Cette année-là, la présence commerciale italienne sur la côte de la mer Rouge, le long de la route maritime reliant l’Angleterre à l’Inde, s’est transformée en un territoire colonial. Cela n’aurait jamais été possible sans l’aval et le soutien de l’Angleterre.
Même affaibli par sa défaite contre l’Italie, l’Empire ottoman est resté la puissance dominante dans les Balkans, avec une superficie de 170.000 kilomètres carrés et une population de plus de six millions d’habitants. Cependant, en 1912, il fut attaqué par une alliance formée par la Serbie, la Bulgarie, le Monténégro et la Grèce, avec le soutien de la Russie (première guerre balkanique). Ce groupe parvint à priver la Turquie de la quasi-totalité de ses possessions européennes. L’année suivante, lors du partage du butin, la Bulgarie s’en prit à la Serbie, mais fut vaincue lors de la deuxième guerre des Balkans. Puis, à l’été 1914, après une longue et minutieuse manœuvre de l’Angleterre, la guerre généralisée en Europe a éclaté. Lorsque l’Italie est entrée dans le conflit en 1915, les six grandes puissances européennes (l’Angleterre, la France, la Russie, l’Italie, l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie) étaient déjà impliquées. Avec la participation du Japon et des États-Unis, ce conflit devint le plus étendu de l’histoire. La guerre ne cessa pas en 1918, elle prit finalement fin en 1922, à l’issue de la guerre gréco-turque. Entre-temps, une guerre russo-polonaise opposa également le nouveau régime soviétique en Russie à la Pologne, qui espérait ainsi déclencher une révolution en Europe occidentale.
Sixième guerre mondiale

La sixième guerre mondiale a été nommée “Première Guerre mondiale” alors qu’en faits c’est la sixième guerre mondiale en aboutissement de la cinquième guerre mondiale, qui a fait environ 20 millions de victimes, principalement des militaires. Si l’on ajoute à ce chiffre les décès causés par la “pandémie” mondiale de grippe espagnole (environ 100 millions de morts), le total pourrait atteindrait 120 millions.
Les instigateurs de cette guerre et responsables de ces 120 millions de morts étaient basés à Londres, ils pouvaient être satisfaits et comblés. Les principaux concurrents de l’Angleterre avaient ainsi été efficacement éliminés et neutralisés, peut-être pas pour toujours, mais au moins pour un avenir prévisible. Trois grands empires étaient tombés, parmi lesquels l’Autriche-Hongrie et l’Empire ottoman, les deux s’étant également effondrés dans le processus. L’Empire britannique en est ressorti consolidé et renforcé. La puissance des États-Unis, pilier du monde anglophone, était en pleine expansion… et la Société des Nations fut créée, premier pas vers le concept de gouvernement mondial.
Il restait encore beaucoup à faire avant que le monde entier ne parle anglais et que l’on puisse franchir le pas vers un gouvernement mondial central unifié. Il va sans dire que cette étape impliquerait une autre guerre mondiale.
D’aucuns ont dit que la Seconde Guerre mondiale, telle qu’elle est présentée dans l’historiographie standard, est si étroitement liée à la Grande Guerre, ou “Fausse Première Guerre mondiale”, que les deux pourraient être considérées comme des épisodes d’une seule et même guerre couvrant presque toute la première moitié du XXè siècle.
Cependant, comme l’un des principaux protagonistes de ce conflit épique était bien consciente de l’enjeu et fondait ses décisions sur cette conviction, cette guerre doit être distinguée de la précédente. L’historien Giselher Wirsing nous en dit plus à ce sujet : “Nous touchons ici au cœur de la crise mondiale de notre époque. Puisque l’adversaire de l’Allemagne est une puissance mondiale, cette lutte, qui englobe tous les mouvements insurrectionnels du continent eurasien, est également mondiale. Néanmoins, l’Allemagne n’aspirait pas à une domination mondiale. Dès le début, l’Allemagne d’Adolf Hitler a défini comme objectif la limitation du pouvoir, en opposition à la revendication d’une domination mondiale universelle. Cependant, l’Angleterre a refusé une telle limitation des pouvoirs. Ce refus n’a été possible que grâce au soutien des États-Unis”...
La sixième guerre mondiale Bis a recommencé (et n’a pas débuté) au milieu des années 1930. En 1935, l’Italie a déclenché une guerre contre l’Éthiopie, alors connue sous le nom d’Abyssinie, avec le soutien secret de l’Angleterre. En 1936, la guerre civile espagnole a éclaté, avec le général Francisco Franco à la tête de la rébellion contre un gouvernement de gauche qui avait laissé commettre toutes sortes de crimes contre les conservateurs et les catholiques. En 1937, le Japon, allié de longue date de l’Angleterre, a envahi la Chine. Le 1er septembre 1939, l’Allemagne et l’Union soviétique ont envahi et occupé la Pologne, et cette intervention armée devint alors officiellement la Seconde Guerre mondiale lorsque l’Angleterre et la France ont déclaré la guerre à l’Allemagne (le 3 septembre). Après l’entrée en guerre de l’URSS et des États-Unis (respectivement en été et en hiver), les hostilités prirent une ampleur mondiale. Après la défaite de l’Allemagne et du Japon au printemps et à la fin de l’été 1945, les combats se sont poursuivis sous forme de guerre civile ou de guerre anticoloniale. Entre 1946 et 1949, une guerre civile a opposé les rebelles communistes aux forces gouvernementales en Grèce, faisant entre 80.000 et 160.000 morts. Parmi les guerres anticoloniales majeures, on compte la guerre d’Indonésie contre les Néerlandais (1945-1949), qui a fait au moins 120.000 morts, la première guerre d’Indochine (1946-1954) qui a opposé les Vietnamiens à leurs suzerains français (entre 500.000 et 1,2 million de morts), ainsi que la guerre d’Algérie (1954-1962) contre les Français (1,5 million de morts, selon les chiffres officiels des autorités algériennes). En raison de la politique menée par le Premier ministre britannique Churchill pendant la guerre, quelque trois millions de personnes sont mortes de faim au Bengale en 1943. Avec leurs alliés soviétiques, les Britanniques ont également été responsables d’une famine qui a causé la mort de trois à quatre millions d’Iraniens entre 1942 et 1943. Au total, on estime que la Seconde qui était en réalité la Sixième Guerre mondiale, a fait au moins 80 millions de morts, pour la plupart des civils, ce qui en fait l’un des conflits les plus sanglants, tant en termes absolus qu’en termes proportionnels. Ce chiffre représenterait environ 3 % de la population mondiale. Il est permis de douter sérieusement du succès des objectifs que les instigateurs anglais s’étaient fixés cette fois-ci. Le plus grand bénéficiaire de la victoire de la “démocratie sur les forces du mal”, selon la propagande alliée, est incontestablement Washington. Néanmoins, d’aucuns suggèrent que les élites et les groupes basés à Londres n’ont jamais renoncé à leur contrôle effectif sur les événements politiques mondiaux. La Société des Nations a été dissoute et remplacée par une nouvelle instance de gouvernance mondiale : les Nations unies, dont le siège s’est naturellement établi à New York.
Septième guerre mondiale

Au regard de la guerre en Ukraine et de l’holocauste israélien diffusé en direct à la télévision à Gaza et dans d’autres régions voisines, de nombreux “experts”, commentateurs et autres analystes affirment que cette “dernière guerre mondiale” est imminente. L’obstination des médias traditionnels et des dirigeants politiques de l’Occident collectif à nier l’holocauste à Gaza pourrait en soi être le signe que quelque chose d’important est en train de se produire.
Cette nouvelle guerre mondiale semble non seulement imminente, mais déjà en cours. Après plus de trois quarts de siècle d’hégémonie mondiale des États-Unis, nous sommes en effet entrés dans les premières phases d’une potentielle nouvelle guerre mondiale. Les véritables objectifs et stratégies des élites responsables de tous les bains de sang du passé sont aujourd’hui plus limpides que jamais. L’élimination de la population semblant être une priorité, les tentatives en ce sens sont variées et multiples. On peut citer des attaques directes contre la cohésion familiale, comme l’imposition d’une folie sexiste, l’empoisonnement et l’extermination de la population par une alimentation malsaine (sucre, nanoplastiques, produits chimiques agricoles, viande manipulée par ARNm), des maladies créées en laboratoire, des vaccinations obligatoires, ainsi que mille autres formes d’intimidation et de manipulation.
On peut dire que la guerre a commencé en 2014 avec la “révolution orange” organisée par les États-Unis en Ukraine. Une guerre armée a immédiatement été déclenchée contre la population russophone de l’est de l’Ukraine, entraînant le massacre d’au moins 14.000 civils russophiles, avant l’intervention du gouvernement russe venant pour tenter de stopper ce génocide. En février 2022, la Russie a donc lancé son “opération militaire spéciale”, en cours depuis lors, et qui a coûté la vie à quelques 2 millions de soldats ukrainiens, sans véritable perspective de cessation des hostilités.
La deuxième phase de cette Nième guerre mondiale a officiellement débuté en 2019 avec la “pandémie” du covid-19, fabriquée de toutes pièces. On estime qu’au moins 20 millions de personnes sont mortes des suites de cet empoisonnement général dû à la vaccination, devenu un traitement obligatoire selon un protocole strict dans les hôpitaux et les maisons de retraite dont à bénéficié financièrement en retours/commissions, l’ancienne ministre de l’armée allemande qui a organisé un système nébuleux avec les fabricants de ce poison. À l’heure actuelle, le nombre de décès dus aux vaccins anti-Covid et aux rappels est tenu secret, mais se décompte en millions. Même les statistiques officielles, malgré les tentatives de manipulation des chiffres, indiquent des taux de mortalité excessifs depuis le début de la crise sanitaire. Sur la base de toutes les preuves désormais disponibles, on peut affirmer sans prendre de risque que l’opération “Covid” a eu pour but de tuer et de continuer à tuer à petit feu au fil des ans, afin de réduire le nombre de “bouches inutiles”. Des recherches sont toutefois en cours pour mettre en place d’autres campagnes d’extermination coordonnées à l’échelle mondiale.
En toile de fond, les dirigeants et les représentants d’organisations mondialistes telles que le Forum économique mondial parlent depuis un certain temps d’une “grande réinitialisation” supposée profiter à tous. Selon le FEM, nous ne posséderons plus rien et serons heureux !!! L’Organisation mondiale de la santé a également contribué à la mise en place d’un gouvernement mondial en exigeant que tous se soumettent aux politiques, diagnostics et traitements qu’elle souhaite imposer. On retrouve la Dame devenue Cheffe de guerre de l’Union Européenne qui a développé son système Covid en l’adaptant aux dons de charité à l’Ukraine qui permet à la fois de percevoir jusqu’à 50% des “dons” a partager avec le “donneur” via des comptes off-shores indétectables d’autant que les chefs de Gouvernement empêchent toutes enquêtes…

À la lumière de ce que les gouvernements et les banques nous ont fait subir jusqu’à présent, il apparait que nous soyons désormais confrontés à la dernière étape d’une opération initiée il y a plus de dix générations, visant à transformer le monde en un gigantesque camp de concentration, à côté duquel l’univers dépeint dans le film “Soylent Green” fera figure de paradis… Mais ne perdons pas espoir, cet ultime rempart face à l’adversité, car en faits et réalité nous ne passons quasi pas le cap de 100 années de vie… Et cela s’applique aux assassins…

















