Hot Outlaw Rodder Chevy’38 Coupe 454ci
Les Cow Boy’s des années 2000, les Outlaw’s des grands espaces, en réalité, aimaient “glander” en sillonnant les avenues des grandes villes pour se baffrer d’Hamburgers, puis digérer en faisant péter leurs échappements crachant des flammes pour embobiner de jeunes fausses innocentes en mini-jupes plissées, chaussettes jusqu’à mi-cuisses dénudées appétissantes comme des jambons, seins libres pointant sous un chemisier noué au nombril pour n’en rien cacher… Elles étaient en quêtes de dragues aux papotages salaces visant une masturbation réciproque, démontrant la supériorité des Coupés sur les Roadsters.
Le film “American Graffiti” était guimauve et fleurs bleues en comparaison pour ne pas être classé X et ainsi relégué dans les cinoches décrépis… puis actuellement avec les films X en chaines payantes. C’est l’image d’Hollywood faite de fantasmes et rêves cauchemardés. La réalité est pire, mais le besoin d’images et d’histoires à fantasmes alimente aux USA, un système qui est aussi pire que tous les autres ! La dépravation est comme institutionalisée, récupérée en business, comme la conquête de l’Ouest, l’esclavage et la domesticité patriotique, les croyances basiques en Dieu et la peur du vide…
Il est abyssal, tout comme la mort inéluctable, un tout au shaker et au mixer qui crée une illusion généralisée qui génère des montagnes de dollars. Du moins aux chanceux et chanceuses… Cet apocalypse développé en tant que “Kulture de la liberté Américaine”, affectionant entre’autres les Boy’s récupérés par l’armée, qui vise à atteindre profondément les couches et sous-couches sociétales extra-américaines, tout en créant des racines dans les pays vaincus tel le japon atomisé… Mais aussi dans d’autres nations ensevelies sous le Rock’n’Roll et les illusions… Tout le monde y passe et trépasse dans les machinations.
L’Australie s’est convertie avec les nations du Pacifique et l’Europe a aussi été mise à sac et à mal par une fausse révolution estudiantine au premier chef envers des “d’jeunes” cherchant désespérément un ensemble pouvant servir d’exemple à leur désabusement et leur désœuvrement sociétal de l’après Charles de Gaule, qui s’est de plus en plus explosé dans les mythes de banlieues, ne faisant qu’accentuer un clivage entre natifs/natives et “importé(e)s”. Des “ceusses” qui en termes crus et vulgaires : “Nanana rien à foutre des Hot Rods machins de branleurs friqués aux fausses gueules de banlieusards immigrés”…
Tout fou’l’camp… Ils préfèrent les SuperCars, les HyperCars et les putes influenceuses. Les “concentres-bon enfants” du siècle passé n’intéressent selon eux (qui font la “converse” en espérant qu’on leur achète des substances) que “des vieux branlants gagatisant des âneries à-la-papa qui roulaient dans des Van’s !”… Ils étaient de faits, façon carnaval, peinturlurés de paillettes… Notez que l’alternative était de frôler la mort au volant de vieilles franchouilleries grotesques de pédés Nitrocéphales pour frimer… Ils et elles étaient conscients d’une vie qu’on leur avait volée par mensonges et gnangnanteries à coup de gags…
Ouiiiiiiiii ! Telle la fumeuse “Omlet à Fufu”, mais des suicidaires qui voulant s’exploser en faisant tout sauter. En Europe cela a créé l’apocalypse des banlieues n’offrant que désespoir… Aux USA c’est le vivier ou œuvrent les recruteurs de chair à canon. Ils osent être clean, beau rasé de près (même les femmes) et paradent aux sorties des Super-Market’s en grands et beaux uniformes immaculés, proposant une chance de mieux mourir… A force de convertir les déchets humains il faut les utiliser, et les “Vatenguerre” qui dirigent le monde obtiennent ainsi de quoi alimenter leurs besoins gargantuesques pour tout régenter.
C’est en prévision du grand concert atomique ! Les institutions financières intègrent donc rapidement les systèmes d’identification biométrique et numérique obligatoires dans les protocoles de paiement et d’accès. Ce changement, commercialisé pour la sécurité et la commodité, consolide les données personnelles et permet un suivi constant des transactions et des populations. La mise en œuvre s’étend au départ du financement à forte valeur ajoutée… Et ce jusqu’à l’accès aux bâtiments pour les employés et aux services gouvernementaux, réduisant ainsi l’anonymat.
Cela crée un cadre mondial où chaque action peut être liée de manière permanente à une identité vérifiée, ce qui constitue une menace pour la liberté, mais c’est le but pour dominer le monde. Dans une marche silencieuse mais implacable, la nature fondamentale de l’identité personnelle et de la confidentialité financière est en train d’être réécrite. Ce qui était autrefois une commodité facultative est en train de devenir rapidement une porte d’entrée obligatoire vers la participation à la société moderne. Le récent partenariat entre Visa et la plateforme d’identité numérique Proof.
Il vise à intégrer des pièces d’identité biométriques dans les transactions, n’est que la dernière manœuvre d’une campagne plus vaste incluant les scanners oculaires obligatoires de JPMorgan Chase pour l’entrée des employés. Mais cela, tout comme le mandat de l’IRS pour la vérification numérique, signalent un changement crucial. Le “pourquoi” est un refrain familier : une sécurité renforcée et une réduction de la fraude. Le “qui” implique les plus grandes institutions financières et entreprises technologiques du monde. Le “quand” est maintenant, avec ces systèmes déployés tout au long de l’année 2025.
Le “où” est partout, des paiements en ligne à chaque lieu de travail… Et cela en passant par les services gouvernementaux. Et le “quoi” est la construction systématique d’un cadre mondial où l’anonymat est éteint, et où chaque balayage, clic et pas, sont liés en permanence à une identité vérifiée et souvent biométrique. La stratégie de cette transition est bien établie. Une nouvelle technologie est introduite en tant qu’alternative volontaire et plus sûre. Le paiement de factures en ligne était autrefois une option… C’est terminé… Aujourd’hui, c’est souvent le seul moyen d’éviter les frais…
Les dossiers médicaux sont passés au numérique pour plus d’efficacité. Ces données sont aujourd’hui une cible fréquente pour les pirates informatiques et une marchandise pour les courtiers. Le même schéma se déroule avec la biométrie. JPMorgan Chase a, par exemple, d’abord présenté l’accès biométrique au bâtiment comme facultatif pour son nouveau siège social de 3 milliards de dollars. Mais c’était avant d’informer plus tard la grande majorité de ses 10.000 employés que le balayage de leurs yeux et de leurs empreintes digitales était “requis”. Cet appât révèle la fin du jeu…
Ce qui est présenté comme un choix aujourd’hui est destiné à être un mandat demain. L’infrastructure est construite non pas pour ceux qui choisissent d’y participer, mais pour ceux qui n’auront pas d’option de retrait. C’est le prétexte de la sécurité et de la réalité du contrôle. La justification de cette consolidation des données est toujours la sécurité. La nouvelle clé d’accès de paiement de Visa, qui remplace les mots de passe à usage unique par des données biométriques, est promue pour ses taux de fraude inférieurs de 50 %. Le produit “Certify-Proof” étant une “puce EMV pour l’identité numérique”.
Une “chose” conçue pour arrêter les “deepfakes” et les prises de contrôle de comptes. Bien que ces avantages soient réels, c’est un leurre… ils ne représentent qu’un côté de la médaille, l’autre côté est la création d’un système de contrôle sans précédent. Alors que les institutions financières, les entreprises technologiques et les gouvernements s’alignent, ils présentent explicitement l’anonymat comme un obstacle. L’objectif étant défini totalement mensongèrement comme étant un système “respectueux de la vie privée” uniquement dans le sens où il connaît votre identité à tout moment…
La liberté d’agir, de parler ou d’effectuer des transactions sans créer un enregistrement permanent et connectable est systématiquement éliminée sous la bannière de la sécurité. Pour ceux qui doutent de la possibilité d’une réaction du public, la brève histoire de l’IRS et de la ID aux USA doit servir de leçon essentielle. Fin 2021, l’agence a annoncé qu’elle exigerait des scans faciaux en direct pour que les citoyens puissent accéder à leurs dossiers fiscaux. La réaction du public a été rapide et sévère, ce qui a conduit l’IRS à abandonner le plan en février 2022. Cet incident a prouvé ce qu’est une vérité…
A savoir que lorsqu’un mandat gouvernemental est trop manifeste, les citoyens résistent… La stratégie actuelle apparaît plus insidieuse et décentralisée. Au lieu d’un seul décret fédéral, l’écosystème est construit au coup par coup par des partenariats d’entreprises et des politiques du secteur privé, ce qui rend plus difficile de s’y opposer… Mais c’est plus facile à normaliser… L’IRS, ayant tiré les leçons de son erreur, se concentre maintenant sur une poussée plus douce mais aussi déterminée, en supprimant progressivement les chèques papier et en faisant de la vérification de l’identité numérique.
Et cela par le biais de services numériques qui sont la seule voie d’accès aux remboursements et aux services. Le cadre convergent de l’identité numérique : Il ne s’agit pas seulement de paiements ou d’accès… Il s’agit de fils tissés en un seul tissu puissant tel le partenariat de Visa avec TECH5 pour les programmes d’infrastructures publiques numériques, incluant un lien entre l’identité numérique et les soins de santé, les voyages aériens et les médias sociaux dans diverses régions. Ensemble, ces initiatives créent un cadre mondial où CHAQUE identité vérifiée est la clé qui ouvre toutes les portes.
Les partisans y voient une économie numérique plus sûre et plus efficace. Les critiques, eux, y voient l’architecture d’un panoptique de surveillance, où la liberté financière dépend de la remise de données biologiques, des données qui, une fois piratées, ne peuvent être mises à jour ou remplacées. Le courant technologique et social s’écoule dans une seule direction : vers un monde où l’identité est la monnaie de la sécurité et, par extension, du contrôle ! La commodité est séduisante, les arguments de sécurité convaincants, mais, l’histoire est toujours riche d’enseignements divers.
Elle enseigne que les systèmes construits sur la collecte massive de données sensibles deviennent des cibles d’abus, de piratage et de dérive de mission. La liberté d’effectuer des transactions et de se déplacer sans autorisation ni suivi est un élément fondamental d’une société libre. La bataille sur la biométrie n’est pas un débat sur la technologie, c’est une lutte vitale et très préoccupante pour l’avenir de l’autonomie personnelle. Au fur et à mesure que ces systèmes s’enracinent, la capacité d’agir sans observation (une liberté centrale d’Internet et de la vie moderne) risque de devenir une relique du passé…
Voilà qui vous change des textes creux !!!! Je crois être seul à oser (vous) écrire brutalement des réalités, me reste à vous causer de même façon concernant ce Street Rod Chevy’38 Coupe 5 fenêtres de 1938 dans une continuité relative… Le lien est que son propriétaire était le roi du style “American Graffiti” décrit en tête de cet article… et a été envouté par les as du recrutement de l’armée américaine… Il a craqué et s’est engagé, suivant un entrainement lui donnant l’allure d’un héros de guerre capable de défendre Donald Trump dans tous ses combats…
Son Street Rod Chevy aussi lourdement modifié durant des temps de loisirs militaires que lui est physiquement devenu pareil qu’un Superman… L’engin n’a pas plus besoin d’ailes que Superman? donc les ailes AV ont été supprimées pour atteindre l’esprit Hot Rod avec l’installation d’un super puissant V8 454ci. C’est l’aspect récréatif après l’information qui débute ici… Le Big Bloc est soutenu par une transmission manuelle Tremec à cinq rapports sur un sur-cadre-châssis renforcé. Les détails supplémentaires incluent un essieu avant abaissé, des tambours avant à ailettes de refroidissement de style Buick.
Un pont/différentiel Ford 9 po et des combinés filetés arrière réglables. L’intérieur de la merveille est recouvert de vinyle noir cousu façon diamant et intègre des sièges baquets, un arceau de sécurité, un levier de vitesses Hurst et l’instrumentation Stewart-Warner. Acquis en novembre 2023, ce Hot Rod Chevrolet est désormais Californien. La carrosserie de ce Coupé à cinq fenêtres sans ailes est dotée d’un capot divisé et d’une finition orange. Les détails extérieurs comprennent des feux arrière Stimsonite, une nerf-bar de dragster, des marchepieds latéraux, des vitres teintées et un ornement de capot Speedline Bird.
Les jantes E/T Mag 15po sont montées avec des pneus Hoosier Pro Street 26×7.50AV et 31×16.50AR L’essieu avant abaissé a été percé et dispose d’un ressort à lames transversal, tandis que la suspension arrière a été équipée de combinés réglables. La batterie est montée derrière le siège passager et les détails intérieurs supplémentaires comprennent un levier de vitesses Hurst, des harnais de RJS Racing Equipment, une prise de charge de 12 volts et un arceau de sécurité chromé. Un tachymètre SUN est monté sur le tableau de bord abritant des Stewart-Warner, compteur de vitesse de 160 mph…
Ne pas oublier les lectures de tension, de pression d’huile, de température et de niveau de carburant. Le compteur kilométrique mécanique à six chiffres indique 2.800 miles. Le capot à charnières latérales s’ouvre pour révéler un V8 de 454ci alimenté par un carburateur Holley monté sur un collecteur d’admission Edelbrock et doté de composants d’allumage MSD, de collecteurs d’échappement tubulaires polis et d’un filtre à air à ailettes et de couvercles de soupapes. Le refroidissement est assuré par un radiateur personnalisé avec des ventilateurs électriques.
La puissance est envoyée aux roues arrière par l’intermédiaire d’une transmission manuelle Tremec à cinq vitesses et d’un essieu arrière Ford de 9 po. Un double système d’échappement a été installé. Voilà… Je suis tout comme vous au bout du bout de cette histoire qui se termine malheureusement plus banalement que commencée dans une humeur apocalyptique de circonstance… Je pense en avoir ici terminé et le contraste philousophique du départ est en super contraste avec la fin descriptive de ce Hot Rod orange d’allure imposante… @pluche….










































