Hot Rod Ford Roadster ’32 suralimenté/100.000$
Hola, les vieux ! Oui, les vieux Schnocks comme moi qui en suis à 76 ans… 77 ans le 16 mai 2026, c’est le temps des vœux et je me souhaite le meilleur sans attendre… C’est ma dernière année pour lire Tintin et Milou… 57 ans d’éditions diverses dont 50 de Chromes&Flammes… Waouwwww ! Y a-t-il une voiture que vous auriez trop honte de conduire en vous souvenant de vos 20 ans ? Comme la Daf Dafodill de la copine de votre maman ? Rose qu’elle s’appelait, la Daf (rarissime chose en France que cette auto Hollandaise), elle avait été surnommée à l’identique et était de même couleur. Notez que la bienséance aurait préféré que ce se fusse déroulé dans une Dauphine ce qui aurait ravivé durant les jeux de mains le souvenir par l’appellation des Maîtres et Maîtresses Royales, la Dauphine du Roi des branleurs… Waouwwww !… Mais c’est resté enfoui dans vos secrets interdits, d’autant que c’est au dedans que vous avez été sexuellement masturbé par la Madame ! Vous n’êtes pas le seul, notre Président a lui aussi été violé, mais c’était par sa Maîtresse d’école qui, dit-on sur les réseaux asociaux, était transgenre et n’a pas abusé du petit dans une Daf Dafodill mais en cours très particuliers réciproques.
Les fantaisies créatives vont souvent de pair avec une vie à l’opulence assumée, cette manière d’apprendre a été puissamment ancrée dans la mémoire collective insubmersible de la Franchouille profonde en cause des mœurs en relâche des d’jeunes. Trop désirée, trop fréquentée, la Franchouille avait cessé de se réinventer, cédant souvent au terne (car voyant tout en noir), à la cuisine et aux rythmes sans âme dans une forme de nostalgie songeuse ânonnée par des chanteurs homosexuels dont un chantant les mérites de la Nationale 7… Jusqu’à ce que les lois rebattent les cartes… Jusqu’à ce que ce bordel devienne quasi légal… Toute masturbation “en dur” restant proscrite sur les voies publiques… Une catastrophe pour les d’jeunes, un heureux renouveau pour les péripatéticiennes et les hôteliers enrôlés dans une compétition entraînant dans son sillage une vague d’affamés de sexe et de fécondité intellectuelle imbriquée dans une argumentation contrefactuelle assumée au sein d’une démonstration factuelle générale… Pfffffffffff ! C’est une conséquence des rapports judiciairement corruptifs par nécessité et le plaisir de jouer avec le feu pour meubler le vide intellectuel…
Tout cela alors que les feux de l’amour continuaient de brûler sans que quiconque puisse les éteindre… L’art du parlé-chantonné est alors devenu la justification des non-sens et affabulations, les plus simples médiocres scribouillards de feuilles où tapoteurs de texticules paraissant alors savants… C’est ainsi que par vécu de ces complexités, toute une génération a ainsi dérivé au plaisir de “l’estrangement” cher à Montaigne, puis à Carlo Ginzburg… Le mot “estrangement” n’existe pas dans le Français contemporain. Carlo Ginzburg utilise en Italien le mot “straniamento”, qui est en réalité un calque du Russe “ostranienie” . Cependant, le mot “estrangement” n’est pas un simple calque de l’Italien puisqu’il existe en Moyen Français. “Le Trésor de la langue françoise” de Jean Nicot, (1606) enregistre en effet le verbe “estranger”, à savoir “séparer et mettre hors de soy quelque chose, et la réduire en respect et condition de chose étrange”... Ce mot est également attesté en tant que substantif pour signifier ce qui résulte d’une action d’aliénation de soi-même… L’uchronie la plus vertigineuse servant de toile de vérités toutes aussi fausses que les réalités supposées…
Mais, devant se situer sans douter dans les histoires, toutes simplistes et, rendues “complexifiées” par le besoin de concevoir une logique dans l’inattendu et les aléas… Que c’est “Boôôôôôô !”… Il s’ensuivit de tout ce mic-mac que discours et réquisitoires furent réalisés pour être assénés de mêmes façons sournoises, tandis que les plaidoiries et explicatifs se voulaient modes-d’emplois, quoique n’étant que des messages enfermés dans des bouteilles jetées à la mer(de). S’en fut tellement partouze que cela se déroulait dans l’indifférence génératrice de crimes et de révolutions et l’importance de préférer tuer dans l’ordre les bébés, les génitrices et géniteurs que les vieux gériatriques, pour au moins gagner le temps d’une pleine génération. J’ai plusieurs reprises contemplé à quel point la tâche était plus désespérante que désespérée. Pourquoi s’embêter plutôt que s’emmerder ? Ou l’inverse ? Je devrais abandonner maintenant et éviter d’autres éraflures et égratignures des âmes perdues. Mais tel un “masturbateur” des mots en phrases, je ne baisse pas les bras, je continue jusqu’à ce que la tâche soit terminée. Rââââââââââ ! Pourquoi ?
Parfois, les choses se passent bien, mais la plupart du temps, c’est chaotique et tout le monde met la main à la pâte. Les êtres vivants peuvent être aussi imprévisibles que les pouvoirs en place qui nous contrôlent et nous punissent chaque fois que nous nous écartons de leurs plans. Mais nous ne pouvons pas abandonner la lutte contre les pulsions, peu importe à quel point les choses deviennent difficiles. Il y a eu beaucoup de discussions entre psychologues et thérapeutes sur l’impuissance apprise, c’est quand nous croyons que nous ne pouvons pas changer les circonstances, alors nous arrêtons d’essayer et endurons simplement ce qui se passe. Ce comportement “juste durable” décrit les actions de l’humanité. A mon avis, nous endurons. Certain(e) jettent les kleenex d’autres gardent leurs souvenirs… Et ce choix n’aidera pas pour le mieux. Certains psychologues pensent que c’est en fait le désespoir appris ou une dépression désespérée qui aide à lutter contre des circonstances douloureuses. Il est facile de comprendre pourquoi et comment la dépression s’installe. Avez-vous déjà fait défiler votre flux de médias sociaux pour consulter les titres ?
Bien que les chances de réussir à atteindre les objectifs de jouissances assistées réciproques, sont aléatoires, sauf de s’engager dans des assistances de péripatéticiens ou péripatéticiennes aux coûts astronomiques, certain(e)s tentent de combattre leurs envies et/ou besoins alors que le système est totalement corrompu. Le problème, c’est que les merdias diffusent trop d’histoires d’horreurs démontrant à quel point l’assouvissement des pulsions basiques devient une désespérance au fur et à mesure du vieillissement (inéluctable) poussant à croire qu’il est vain d’essayer de changer les choses. Nous avons appris à agir sans défense et sans espoir. Nous laissons les circonstances nous envahir et constatons que notre société est toujours aussi nullissime… Alors on sort pour se changer les idées… Ouaihhhhh, sortir, quel bordel… Ca check, ça rigole fort, tout le monde est bourré… Verres descendus en rafale, culs posé sur tabourets moites de bières renversées, ça glousse, ça ironise sur la gueule de chacun, ça se teste. Certains et certaines n’ont pas une thune, et vont constamment aux chiottes pour remplir d’eau la même bouteille, pour échapper aux staffs forçant à recommander.
D’autres sont déboité(e)s et en sont à leur troisième parachute. Le son est fou, joyeux et légèrement mélancolique, parfois tubesque, avec deux trois saillies hip-hop. Lumières dans les yeux, flashs épileptiques, rétines grillées. Alors on danse, on boit. L’image de la France est toujours limitée au vin rouge, au camembert, à l’adultère aux grèves et congés payés. Que de clichés. Il faut changer tout ça. Prendre des mesures drastiques. Redorer notre image ! Que les gens du monde ne nous prennent plus comme de simples figurants, mais nous voient comme des cinglés qui écoutent de la musique ultra violente tout en chantant façon Piaf, à moitié nu(e)s, se masturbant dans des tenues fluos Trans-genres Elyséennes, des Trans-drogué(e)s qui se tapent sur la gueule tout en pleurant comme des madeleines, des tessons de bouteilles en mains. Parce qu’en France, on aime l’épique de mauvais goût, le clacos surgelé et le sel de Guérande… Tout s’y confond, les mélodies se répèpétent constamment, on perd ses repères, le temps se dilate, mais surtout, surtout, surtout rien ne se passe… Quoique… Il paraît que Saturne et Jupiter vont se chevaucher le temps d’une nuit, pour un événement extraordinaire…
Oui… De plus, potentiellement unique dans une vie. Alors je suis perché sur mon toit/terrasse entre chez Brigitte (presque mourante) et Bernard (presque bourru), télescope à la main, pour tenter d’avoir un aperçu du phénomène. Mais tout est bien trop pollué pour offrir ne serait-ce qu’un teaser du spectacle, et je cherche en vain, sautant de points lumineux en points lumineux, naviguant entre les nuages, qui semblent absolument vouloir gâcher la fête. Point de planète dans mes rétines, alors je divague. Il fait doux sur mon toit/terrasse, pour un mois de décembre. Je vous raconte, tant que je vis encore ? OK ! Fin du siècle passé, j’ai viré numérique en créant un web-site 3 titres en 1, déjanté, caustique, décalé, publiant ce que personne n’imaginait possible : www.SecretsInterdits.com + www.GatsbyOnline.com + www.ChromesFlammes.com mettant en marche un processus infernal, une multi-saga extraordinaire publiée en exclusivité mondiale, “é-branlant” l’ensemble du web… Ce qui m’a stupéfait dans cette aventure, fut de constater que les gens ordinaires peuvent devenir des monstres humains sur le web…
La grande Saga de mon “Webzine” est devenue un mythe international, prenant toutefois les gens en otages émotionnels… Ce web-site n’est donc pas un ensemble d’histoires pour ceux et celles aimant le confort des chemins bien balisés, bien tracés. Les internautes se retrouvent en présence d’un spectacle “Wébien” avant tout, lié parfois à quelques propos philosophiques, accepter par exemple l’idée que tout n’est que provisoire, de simples étapes sur un chemin vers quelque chose de plus grand, bien que moins tangible. J’ai pour ma part, tenté d’illustrer cette évolution par des écrits de plus en plus éthérés, aériens et, surtout pensés et agis, ou la philosophie rejoignait ma mentalité débridée, j’ai toutefois immédiatement été stupéfait par celles et ceux qui s’évertuaient à placarder des messages hallucinés louvoyant entre les préraphaélites de première caresse avec la volonté de ne distinguer ni le bon grain de beauté ni l’ivraie masturbatoire… Les harpies du web réinventent een effet la censure de tout ce qui n’est pas extrapolé de leurs idées rétrogrades, et, avec leurs incessants partis-pris, elles y écument de fantasmes inassouvis !
Avec leurs imageries faussement naïves, dans leur pays des fausses merveilles à la lewis Carrol, elles baignent dans la hantise de la pauvreté avec une béate admiration des choses divines, ressuscitant quelques fuites devant la réalité. Débarquées de leur grand Walhalla, dans leurs bas-fonds sordides, elles évoluent dans un monde d’Elfes et de Sylphides à ranimer Peter Pan… Entre leur Kitch et leur fausse honorabilité, leurs aveux de consommation de drogues et d’alcoolisme solitaire, elles se révèlent perverses…. Certaines, au paroxysme de leurs folies, deviennent sadiques et s’affichent Maîtresse BDSM officiant avec un crucifix sur leurs poitrines… Ce ne sont pourtant que de vieilles amazones chevauchant des percherons décatis, croyant être intéressantes en publiant leurs turpitudes aigries de masturbatrices sur le retour… Quel est le pourquoi et le comment de cet univers du Web ? Je crois que tout relève de l’évidence, mais qu’à force d’avoir le nez dessus on ne le voit pas. J’aime donc arrivant à 3 ans de 80 ans, prendre de la distance vis-à-vis des choses de la vie, voir comment fonctionnent des gens normaux par rapport à des réalités qui les dépassent.
Il faut regarder comment les valeurs générales, dont on peut penser qu’elles relèvent plus ou moins du bien (l’amour du prochain, la fraternité….), peuvent, du jour au lendemain, laisser la place à des comportements qui sont tout aussi humains mais s’avèrent terrifiants. Les développements de cette saga sur le Web, démontrent en effet que tout y est fou. Il n’y a plus de repères, il n’y a aucune limite Je suis, virtuellement, pour certains et certaines, une sorte d’étoile, dont la lumière atteint encore un grand nombre d’adorateurs fanatiques. Certains et certaines m’écrivent que mes écrits ferraillent avec le néant car j’évoque souvent l’invisible de l’oubli derrière la survie des hasards…. Tant d’alacrité fait chez moi bon ménage avec tant de modernité, s’en est une entreprise autobiographique tranquillement hallucinée alternant avec la métaphysique quantique… Plus je cède à la rigueur, plus ma fantaisie s’exalte, déstabilisant mes écrits. Quel jouissif paradoxe ! Tout ça m’a entrainé bien loin de la description du Hot Rod Rouge Big Bloc V8 à compresseur de suralimentation spermettant jouir de consommer 100 litres aux 100kms.
Je vais me fendre de quelques lignes explicatives sachant que vous n’en avez strictement rien à foutre car vous n’en achèterez jamais si vous vivez en Europe. Sauf miracle de Noël. Si c’est le cas invitez moi à la fête… Ce Hot Rod est un archi-typique du style, construit en 1993 contre plus de 100.000 US$ pour ne parcourir que 4.000kms. Carrosserie Roadster “Wescott’s Auto Restyling” en fibre de verre reposant sur un châssis raccourci de chez “Just-A-Hobby Deuce”. Moteur V8 Chevy de 388ci (6L4). Bloc en aluminium “Donovan”, système de lubrification à carter sec “Stef’s Fabrication Specialties” , deux carburateurs quadruple corps “Holley” et compresseur “Mooneyham”. Des collecteurs d’échappement “zoomie” avec clapets électriques sont reliés à un double échappement sur mesure, sortant à l’arrière. La puissance maximale est de 711cv pour un couple de 786 Nm (580 lb-pi). C’est un Roadster avec capote et Hard Top. Le pare-brise est un “Duval”, la boîte de vitesses manuelle est une “Muncie” à quatre rapports, le pont/différentiel est un Halibrand à “changement rapide”, les freins sont à disques aux quatre roues et la direction est à crémaillère.
L’intérieur est garni de cuir beige et comprend un arceau de sécurité à six points, une colonne de direction en aluminium usiné, un extincteur et le tableau de bord de type Auburn qui se réjouit d’avoir des instruments Stewart-Warner… Cette voiture a fait l’objet d’un article dans le numéro de décembre 1996 du magazine “Street Rodder” de feu mon ami Tom Mc Mullen décédé dans un accident avec son épouse Deana, le Beechcraft bimoteur a “défailli”... Le Hot Rod a également et a figuré en couverture du magazine Rod & Custom en janvier 2002 pour célébrer sa participation et son premier prix au concours “Readers’ Rods Shootout” avec mention spéciale concernant le choix des feux arrière en forme de larme avec des lentilles “diable aux yeux bleus”. Les jantes “ET Fueler” de 14 et 17 po sont fixées par des écrous papillon à fixation sécurisée et chaussées de pneus “Hankook Kinergy ST” 185/60 AV et “Hankook Ventus ST” 275/60 AR. Le freinage est assuré par des freins à disque aux quatre roues, avec des disques pleins perforés et des étriers avant “Wilwood Dynalite”…
L’intérieur est garni de cuir beige et comprend un arceau de sécurité à six points, un levier de vitesses “Hurst”, des pédales perforées, une colonne de direction en aluminium usiné et un volant trois branches. Au centre du tableau de bord, un panneau d’instruments de type Auburn abrite des instruments “Stewart-Warner”, dont un compteur de vitesse gradué jusqu’à 260 km/h (160 mph) et des indicateurs de pression d’huile, de température du liquide de refroidissement, de tension et de niveau de carburant. Le compteur kilométrique mécanique à cinq chiffres affiche 58.000 km (certifiés réels). Les étiquettes apposées sur le châssis et le montant de la porte indiquent un numéro de série “2684623252”, qui correspond au numéro VIN figurant sur le titre californien décrivant la voiture comme une Ford de 1932… Tout est légal, prêt à l’achat : 100.000 $… Voilà, le compte est bon concernant le conte de Noël… L’affaire est dans le sac (en fait la hotte du pépère) qui contre 100.000 dollars vous livrera la bête devant chez vous (comptez les frais de transport, les taxes et quelques broutilles liées aux documents de 1932 qui risquent de poser problèmes en regard des Lois Européennes… Faites comme moi, 1/3 aux USA et 2/3 à St-Trop’…































