Se branler de HotRod’s spermet d’éjaculer du bonheur !
Je déteste les mondanités en dehors des miennes, quoique, et encore… et je me suis piégé moi-même avec une invitation en grandes pompes sexuelles d’une extraordinaire créature m’annonçant m’offrir une montre Lange & Söhne pour sévices rendus (envoyés en pleine tronche) à la cause, durant une cérémonie du genre “chiqué pour affreusement riches”... C’était en fait “LE” Concours d’Élégance annuel organisé dans le parc historique du palais de Hampton Court, dans le Surrey, un lieu enchanteur situé sur les rives de la Tamise… Organisé sur trois jours et présenté par l’horloger de luxe A. Lange & Söhne, plus de 15.000 visiteurs allaient m’acclamer pour mes articles tout en admirant une large sélection de voitures dites “de collection” retraçant un siècle d’histoire automobile. Je déteste les mondanités sirupeuses ou tout le monde est guindé et déguisé en épouvantails… De surcroit, ce n’est pas là que seraient exposés des Hot Rod’s et Muscle-car’s… Que nenni, mais des Rolls-Royce’s des Hispano-Suiza’s, des Mercedes’ssss et Cadillac’s en passant par des automobiles luxueuses et chiantes ainsi que des abominations de compétition, sans oublier plusieurs voitures de Grands-Prix orientées Ferrailleries annoncées comme pour rire au delà de 10 millions de Livres Sterling chacune… Il me fallait donc oser m’y rendre en Hot Rod jaune à compresseur, accompagné de quelques suaves beautés chevauchant des Harley Davidson…
Imaginez l’équipage, un Hot Rod déjanté, jaune de surcroit, escorté d’Harley pilotées par des anges sauvages et sexy’s, paradant dans cette partouze chicos, classieuse et pédante, les invité(e)s de ce 14e Concours d’Élégance venant s’y montrer en automobiles classieuses pour flâner le long des allées d’ifs centenaires autrefois observés par Henri VIII et soudain s’extasiant la bouche en cul de poule en découvrant ce Hot Rod et des bombes sexuelles en cuir… Shocking au milieu du parterre des prétendues plus belles automobiles du monde entier. La réalité de cet attrape-nigauds sacrifie au but consumériste d’amener un max de gens bourrés et d’alcool et de flouze, l’un aidant à l’évaporation de l’autre… pour y dépenser sans compter en ce compris de payer pour participer pour peut-être remporter un prix.. Les choix des motifs des prix décernés vole au même niveau que pour les concentrations concentrationnaires d’épaves customizées dans des décharges en Franchouille et les coupes sont de même, totalement hideuses, affichant une excellence de poubelles de luxe… Le pire s’avérant être le prix de la voiture ayant parcouru le plus long trajet pour l’événement, qui a été décerné à une Ferrari 212 Inter Coupé dessinée par Pininfarina en 1961, acheminée en container depuis la Nouvelle-Zélande par son propriétaire, Bruce Miles, la Ferraillerie immaculée ne devant réellement parcourir que les 100 mètres entre le parking des transporteurs et le podium.
Tout le monde a applaudi la performance et on a même loué la dangereuse épopée de milliers de kilomètres dans un charabia laissant croire que l’épouse était sans cesse à son bord. En suite, une occasion rare issue de multiples premières mains a été amenée pour être admirée et reconnue comme le Graal automobile, ce n’était que l’un des 24 prototypes de la Mercedes-Benz C111-II, construite à la fin des années 1960 pour tester le moteur Wankel. La seule première authentique est conservée et gardée comme une relique sainte, mais celle qui a été amenée dans cette basse-cours de volailles huppées n’a pas été expédiée du temple/musée Mercedes-Benz, ni n’a jamais été produite en série. C’est une réplique plastique équipée d’un 4cyl diésel qui, lorsque son propriétaire s’est arrêté dans une station-service, a suscité un vif intérêt, nombreux étant ceux qui voulaient savoir quand elle serait construite, preuve de son allure intemporelle… Comme pour tout concours, le prix le plus convoité est celui de “Best in Show” (Meilleure voiture de l’exposition). Cette année, il a été décerné à une vieille Rolls-Royce Phantom 1 de 1926, baptisée “The Phantom of Love”, commandée par un gentleman qui voulait témoigner de son amour éternel pour son épouse, qui est quand même partie s’encanailler ailleurs… Son intérieur, orné de tapisseries, de dorures et de vases en porcelaine, semblait entièrement inspiré de la chaise à porteurs de Marie-Antoinette…
Figurant parmi les Rolls-Royce les plus “tartes” construites au monde, elle est restée telle qu’elle était à sa création il y a près d’un siècle et méritait donc amplement le trophée décerné, tout aussi hideux. La multitude de voitures du même style peut être une véritable surcharge sensorielle à supporter, mais les invités pouvaient se détendre en savourant une coupe de champagne Charles Heidsiek (à 100£ la coupe) ou en achetant un panier pique-nique de chez Fortnum & Mason (400£ chaque). À la fin d’une longue journée, les invités ont vécu l’expérience auditive ultime de pouvoir entendre le vacarme de la Ferrari 639 de Formule 1 de 1988 qui a miraculeusement tourné fou pendant plusieurs minutes avant de commencer a cracher une fumée bleue aussi dense que des fumigènes anti-émeutes. Bien qu’immobile, son mécanicien a offert aux spectateurs plusieurs coups d’accélérateur tandis que le moteur dépassait la ligne rouge. Les applaudissements nourris qui ont suivi l’explosion du moteur ont illustré l’accueil chaleureux réservé à cette démonstration. En raison de leur popularité, de nombreux événements de voitures classiques et de concours sont organisés dans le monde entier, mais peu d’entre eux, voire aucun, n’offrent l’atmosphère délirante et spéciale qui ne peut être créée que dans l’enceinte du palais de Hampton Court… On pourrait faire mille simulations de la terre qu’il serait difficile de trouver un pays aussi immonde que le Royaume-Uni d’Angleterre qui est le “mal fondamental”…
Le Royaume Uni d’Angleterre fut un lmonstre colonisateur qui a dominé et asservi la planète, et qui, dans ses dernières années, a reproché à ses anciennes colonies d’être responsables de son déclin… Une majorité de Blancs britanniques vénèrent les jours de gloire de l’Empire britannique tout en persécutant les personnes de couleur dont l’ère impériale a fait leur héritage. Autrement dit, une grande partie des Britanniques sont racistes. Ils aiment voir le Royaume-Uni exercer son pouvoir et sa domination sur les personnes de couleur à leur profit, et détestent l’idée que les descendants de ces derniers aient le moindre droit sur le pays qui les a exploités. Aujourd’hui, la Grande-Bretagne se déchire inévitablement sur la question de l’immigration. La semaine dernière, 150.000 personnes ont participé à une manifestation d’extrême droite à Londres pour exiger de la Grande-Bretagne une politique plus raciste en sorte que plus personne ne puisse entrer au Royaume-Uni sans visa de travail ou d’un certificat de fortune, mais cela n’a pas suffi. Cela ne suffira jamais. Tous les immigrants du Royaume-Uni pourraient se tatouer la croix de Saint-Georges sur le visage, ramper jusqu’au palais de Buckingham en professant leur loyauté éternelle à Dieu et à la Couronne que cela ne suffirait pas. Car on ne peut tempérer la suprématie blanche Britannique. On ne peut endiguer le fascisme. Ils veulent des boucs émissaires. Et si vous n’êtes pas l’un des leurs, vous êtes LE bouc émissaire.
Peu importe ce que vous faites, ce à quoi vous croyez ou même votre lieu de naissance. La seule chose qui compte, c’est que vous n’appartenez pas à leur clan. Mais ce n’est pas nouveau. Les sociétés nationalistes blanches, comme la Grande-Bretagne ou les États-Unis, sont coutumières des expulsions massives. Le Royaume-Uni se distingue par une longue histoire d’expulsion des non-Blancs, qui, une fois avoir servi leur but, étaient traités comme des moins que rien et jetés comme de vulgaires débris. Le cas le plus médiatisé de ces dernières années est celui de la “génération Windrush”, des ressortissants des Caraïbes arrivés par bateau entre 1948 et 1971 dans le cadre d’un programme gouvernemental visant à pallier la pénurie de main-d’œuvre. Beaucoup de ces travailleurs, dont les papiers n’étaient pas en règle à leur arrivée (alors qu’ils avaient été sollicités par le gouvernement britannique), ont ensuite été visés par des mesures d’expulsion. Des centaines de femmes et d’hommes, ayant vécu toute leur vie au Royaume-Uni, dont certains y sont même nés, ont été expulsés vers des pays caribéen où ils n’avaient jamais vécu et avec lesquels ils n’avaient aucun lien. Cette situation s’est poursuivie jusqu’aux années 2010. C’était situé à un très haut niveau d’inhumanité hors normes. Pour les administrateurs britanniques, il s’agissait simplement “d’une routine” sous le signe de la suprématie blanche.
Mais la vérité est qu’en Grande-Bretagne, si vous n’êtes pas originaire du pays, vous n’êtes pas en sécurité. La génération Windrush prouve que si vous êtes né et avez grandi en Grande-Bretagne, mais que vous n’êtes pas blanc, vous n’êtes pas en sécurité non plus. La Grande-Bretagne est l’incarnation même de la suprématie blanche. Cela a été copié aux États-Unis, la suprématie blanche de Trump tente simplement de surpasser celle d’Obama. En effet, Obama était noir, mais c’était un nationaliste blanc sous le noir de peau qui a expulsé plus de gens que Trump. Il était ce que Malcolm X appelait le “nègre de maison” qui est l’homme noir qui excuse, adopte et finit par imiter les manières et la politique du maître… L’étranger qui s’efforce tant de prouver sa valeur à la société qui l’a adopté qu’il en vient à imiter et à perpétuer son fonctionnement. Au Royaume-Uni, des personnes comme Shabana Mahmood sont l’équivalent des “nègres de maison” américains. Ce sont des non-Blancs qui, en quête désespérée d’intégration et dépourvus de véritable estime de soi, en viennent à embrasser et à incarner la politique nationaliste blanche de leurs maîtres. Finalement, la différence entre les centristes ou les libéraux et l’extrême droite, est minime. Au moins, on se bat sur un terrain clair avec l’extrême droite. Les libéraux blancs, bruns ou noirs qui prétendent lutter contre le racisme tout en affichant des positions racistes tromperont toujours les honnêtes gens et rapprocheront peu à peu le pays du fascisme sous couvert de progressisme.
Starmer a créé, tout comme Obama l’a fait avec Trump, une machine à expulser parfaitement rodée. Cette semaine, le gouvernement travailliste britannique a fait grand cas de la signature d’un contrat de plusieurs milliards avec Palantir, le géant de l’exploration de données. Dirigée par le sioniste juif américain Alex Karp, cette entreprise fournit la technologie d’intelligence artificielle qui contribue au génocide israélien de Gaza et joue un rôle clé dans la montée du nationalisme blanc en Grande-Bretagne. La semaine dernière, juste avant la signature du contrat, Starmer a annoncé son intention de délivrer à chaque citoyen britannique une carte d’identité numérique obligatoire, en invoquant tout naturellement l’argument du contrôle de l’immigration. Palantir, comme il l’a fait aux États-Unis, va aider le Royaume-Uni à mettre en place les systèmes de données qui alimenteront la nouvelle carte d’identité numérique. Aux États-Unis, Palantir fournit à l’ICE le logiciel qui permet aux agents d’identifier, de localiser et, finalement, d’expulser les immigrants. Il fera de même au Royaume-Uni. Ainsi, les centristes et les “nègres de maison” ont préparé les outils nécessaires à une expulsion massive sans heurts. Et n’oubliez pas que ces systèmes ne seront pas limités aux immigrants. Comme aux États-Unis, le nationalisme blanc vise désormais bien d’autres catégories de population, si vous ne correspondez pas à l’idéal ultra-restrictif judéo-chrétien blanc, ils entendent vous faire disparaître.
C’est en principe à ce stade que je vous transmets un peu d’espoir, avec la section “SecretsInterdits” alors que vous sombrez dans un avenir des plus sombres. Une bonne branlette spermet d’oublier la Macronie, les relents putrides de Sarkozisme et l’évaporation de milliards d’euros vers l’Ukraine de Zelinsky qui ristourne 50% des dons au donneur sous déduction de la commission à “l’artisante cheffe de l’Europe”... Ursula… Un formidable foutoir… Contribuons-nous à créer les outils de notre propre destruction ? Si cela ressemble à une question que seul un dépressif ou un fumeur de joints se poserait, laissez-moi vous assurer que je ne suis ni l’un ni l’autre. Nous sommes au seuil de ce qui est peut-être la crise d’identité la plus profonde à laquelle l’humanité ait jamais été confrontée, nous assistons au crépuscule de la suprématie intellectuelle humaine, une position que nous avons maintenue incontestée tout au long de notre existence. Cette transformation n’arrivera pas dans un avenir lointain, il se déroule maintenant, remodelant non seulement notre économie, mais aussi notre compréhension même de ce que signifie être des êtres humains : comment vivre une vie pleine de sens dans un monde où ce ne sont plus les entités les plus intelligentes et les plus capables qui y figurent, ce ne sont pas seulement nos descendants qui seront confrontés au problème mais la création de pays de génies dans des centres de données… Que signifie être humain à l’ère des machines superintelligentes ?




























