Enterpain…
Bienvenue dans le Sud-France-Tropézien et Monégasque ou se découvrent des villas-châteaux Kitchs et Baroques peuplées de suaves beautés vénéneuses vivant presque nues et s’offrant à qui à les moyens financiers… J’inaugure un nouveau style qui sera épisodique au gré de mes humeurs, l’Enterpain… C’est typiquement ricain des zones franches impayables au vulgum-pécus…
L’état mental du monde devient un de mes centres d’intérêt au fur et à mesure que tout périclite… Quoique… En fait… De fait même, je me dois avant tout à moi-même pour préserver mon psychisme et me perpétuer l’envie de tuer le temps à défaut des gens, ce qui m’aide à me reconnaître ne fusse qu’utile à moi-même, si pas d’utilité publique… Ouaissss ! S’il faut un “pourquoi” en tout, l’explication est que c’est une manière de régénérer mes texticules hebdomadaires alimentant ce web-site de mes monologues faussement “discussifs” en miroir d’écran qui, en moins d’une minute, font apparaitre un panneau incitant les non-abonné(e)s à y participer à part entière…
Ce serait plus simple et gratuit façon réseaux asociaux en fausses discussions/monologues de moins d’une minute dont l’intérêt primal dépasse de très loin l’entendement. J’ai vécu contre mon plein-gré, un exemple édifiant entre Bieber et le comédien Druski, à propos d’un album et de la façon dont Bieber s’est énervé devant les Paparazzi il y a quelques semaines, en voulant parler de tout : de son mariage, de sa paternité et de ses propres batailles internes. L’un des morceaux s’appelle “Therapy Session” et dans celui-ci, Druski joue le rôle d’un Freud poussant le cigare devant Bieber qui se branle en disant : “Cela a été une chose difficile pour moi récemment”…
Je reconnais sans qu’il soit nécessaire de me torturer pour me faire avouer plus immonde encore, que j’aime donner l’impression que j’ai dû traverser l’enfer. Plus cool qu’en réalités, sont beaucoup de mes luttes en tant qu’être humain. Nous le faisons tous, mais pas comme moi, vraiment publiquement… Cela commence à m’épuiser grââââve de donner l’impression que c’est un mode de vie facile dans un monde de tordu(e)s… C’est ce que racontait Bieber avec Druski bien avant moi, quoique j’en tiens compte… Je vais donc avouer que dès que j’ai commencé à fumer mes texticules et tordre les réalités, que je me suis senti beaucoup mieux. C’est presqu’au son de l’hymne national de l’Amérique Trumpienne où tout le monde suit une thérapie, !
Que ce soit à voix haute en radio et TV ou en ligne, pour l’amusement des autres, c’est obligé… On appelle cela “Faire de l’Enterpain” et sachez que c’est depuis l’origine d’une idée générant des millions de dollars venant du cerveau malade d’une prétendue psychologue clinicienne répondant au faux nom de Orna Guralnik. C’est une “dissectrice” qui présente en direct TV ses loufoqueries au monde, ce qui amène les masses de lobotomisé(e)s à des questionnements intellectuels du style : “Qu’est-ce que les Rich-Dorks et Donald Trump achètent ?”… Paris Hilton est ainsi venue lui parler de sa gestion du TDAH avec le célèbre influenceur Jake Shane qui s’est vanté de baiser Bella Freud (l’arrière-petite-fille de Freud) uniquement dans l’anus…
Cette pratique typiquement BDSM lui a permis de “spermater” en direct afin d’améliorer sa dépression causée par la consommation de masse… L’amusement cul-cul est un genre qui promeut de l’authenticité dans l’obsession à pathologiser tout comportement déviant avec honnêteté… Nous arrivons toutes et tous à exiger n’importe quoi de tout le monde autour de nous, y compris les célébrités, qui sont plus que disposées à surenchérir avec une masse de détails macabres et “vomissifs” tant que cela garde les yeux sur leur monde en perdition pour entretenir le mythe que l’argent coule à flots ininterrompus dans leurs poches. C’est d’ailleurs amusant d’entendre et voir les gens connus sonder leurs profondeurs intimes respectives…
L’Audimat monte en érection et éjacule en millions de dollars ! Depuis que les merdias asociaux ont fait en sorte que nous sachions ce que tout le monde fait, porte, mange, baise, encule, vole, arnaque et pense en réel tout le temps, le seul tiroir qui reste à fouiller est le subconscient, qui est pire. Bientôt, on va s’amuser à tout dévoiler, tout, absolument tout, taux de glycémie, rythme cardiaque au repos et en actions sexuelles, volume de la prostate et contenu des éjaculats… Attendez-vous à passer en revue les analyses de sang en direct et à voir des messages de la coloscopie de Brigitte Macron et la taille de son clitoris pénien… Cela aidera plus qu’il n’en faut à entretenir l’intérêt du glauque “partouze”…
Comme j’étais aux USA en détente précaire, telle que vous avez lu, la maison de vente aux enchères Christie’s m’a invité à venir dépenser quelques millions dans une Auction “Art+Tech” au Radio City Music Hall, et j’ai décidé de m’y arrêter. J’étais en effet curieux de savoir comment l’afflux des dollars de divers idiots, souvent “Crypto-millionnaires”, affectera le marché de l’art, puisque les deux semblent aller ensemble vers des jouissances gigantesques. Pourtant, les gens du monde de la technologie se targuent d’être rationnels, abstraits, largement anti-establishment et esthétiquement pratiques, voire totalement minimalistes. Là aussi, on se trompe sur les réalités.
Le monde de l’art a été défini sérieux, cloîtré, démodé, très matériel, et composé d’un assemblage souvent arrogant de conseillers, de maisons de vente aux enchères, de marchands, de galeries et de riches crapules devenus collectionneurs ayant “Pignon sur rue”… Oh que oui, et cela fait bander et jouir tout en attirant les artistes et techniciens informatiques qui ont toujours de gros os à gratter, car ils créent des programmes d’intelligence artificielle pour stopper d’être des artistes sans moyens de subsistance. Maintenant ils sont méga-milliardaires… J’ai d’ailleurs croisé un “Artiste Hot Rodder Cinétique Numérique” un “AHRCN” devenu milliardaire, qui m’a montré des photos de ses créations pour bien me montrer qu’il roulait sur l’or…
“Tout est physique, émouvant et interactif”, m’a-t-il dit. J’avais des doutes sur le fait que tout cela puisse signifier quelque chose qui valait la peine d’être regardé, mais ce fut fascinant de le découvrir alors qu’il me disait : “L’expérience que les gens ont avec tout ce Barnum, je la remplace par une expérience numérique. C’est ce que vous avez réalisé vous même en faisant de vos magazines papiers, des magazines numériques sous forme de sites-Web’s”... Un conseiller artistique m’a dit pareil… Il travaille à influencer les magnats plus riches que Midas, tels que Steven Cohen, Roman Abramovich et David Ganek, pour reconstituer leurs collections saisies par l’Union Européenne, et les amener à un niveau muséal.
Lorsqu’il dit à un de ses clients d’acheter ou de vendre un Degas pour 100 millions de dollars, il l’écoute… “Moi de même, j’évalue l’art d’une manière unique entre précédent et émotion”, m’a-t-il déclaré, ajoutant en riant : “C’est là que se trouve mon instinct”... Mais malgré toutes les discussions sur l’art numérique adapté au Hot Rodding, voyant que j’étais plus que soupçonneux des arnaques surtout utilisées aux enchères en ligne, IL m’a développé d’autres arguments frappants : “L’expérience que les gens ont avec le Hot Rodding et avec l’art je la remplace par une expérience numérique, et donc je vends très cher de l’inexistant”... Ce ne fut donc pour moi qu’une soirée instructive et amusante avec des escrocs de haut vol.
N’y pensez pas trop… Il n’y a rien de tel qu’une bagarre dans le monde de l’art, car une paire de procès en duel met en lumière un procès particulièrement méchant. Barbara Guggenheim et Abigail Asher ont été partenaires (sexuels aussi) dans une société de conseils de premier ordre pendant 37 ans, générant des commissions géantes sur les ventes de chefs-d’œuvre : Pollocks, Condos, Hoppers… Sauf que maintenant, que le Hot Rodding numérique s’incruste dans l’art, ils s’accusent mutuellement de se mentir et de se voler !… Et Asher a accusé Guggenheim de l’avoir encouragée à utiliser le sexe pour obtenir des clients et des affaires… On n’est pas loin de l’affaire pour laquelle Donald Trumpy réclame 10 milliards de $ à Rippert Murdoch du Wall Street Journal….
Du coup je me mets à penser que je pourrais de mon coté réclamer le même montant à AXA pour le vol de ma LéaFrancis et les diverses escroqueries aux jugements en bande criminelle organisée par le Boss d’AXA Thomas Buberl qui me font vivre l’enfer depuis 15 ans…Arghhhhhhhhh !!! Que d’incessantes crapuleries… Bien chers Tous et Toutes, si vous avez participé à ce genre d’amusements financiers et avez besoin de décharger à nouveau un chef-d’œuvre à bas prix (car volé) pour payer les factures juridiques, appelez-moi ! Récompense à l’avenant des milliards récupérés… C’est suffisant pour rendre n’importe qui fou. Ou assez pour vous faire payer une sorcière en ligne pour jeter un sort en votre faveur, ce qui est une nouvelle tendance chez la génération Z.
Imaginez mes Dames, que vous vous rendiez à une présentation façon “Salon d’autos improbables mais hors de prix” dans une mini-robe perlée de créateur avec des talons à bride arrière vintage, pour compléter l’ensemble qui concerne à me voler une LéaFrancis : optez-vous pour un sac à main Lady Dior éblouissant, ou un sac à main Chanel matelassé métallisé en forme d’étoile ? Ce sont les grandes questions qui pourtant animent les internautes TikTokkeurs Webbiens incroyablement populaires de Becca Bloom, 25 ans, de son vrai nom Rebecca Ma. La diplômée de l’Université de Californie du Sud, qui a grandi dans la région de la baie de San Francisco, a posté sa première vidéo il y a quatre mois, en janvier, et elle compte maintenant 2,7 millions d’abonnés…
Certes, ce sont des abonnés de réseaux asociaux gratuits tel TikTok, mais elle obtient régulièrement plus de cinq millions de vues sur des vidéos avec des titres tels que “Ce que je portais l’été dernier à Cannes, alors que dessous j’étais toute nue”, apparemment sans ironie, ajoutant : “Oscar, mon chat, a reçu un sashimi de saumon de qualité sushi, un mélange de bouillon d’os de thon préparé par un chef Franco-Chinois, des œufs de caille à la coque, de la morue lyophilisée et du caviar d’œufs de saumon, pour l’assaisonnement et plus tard j’ai baisé toute la nuit avec un éditeur Français habitant Saint-Tropez qui a un super site de Hot Rod’s nommé ChromesFlammes, un autre sur les bagnoles de luxe nommé “GatsbyOnline” et un troisième 100% porno-hard nommé SecretsInterdits”.
Becca qui fut très “bandatoire” et “massante-pénétrative” jusqu’au lendemain midi, n’était toutefois pas particulièrement charismatique, audacieuse ou drôle en affaires à faire et défaire… Elle fut toutefois arnaqueuse et voleuse d’un peu d’argenterie… Son argent ne provient pas de son père qui avait prétendument créé une grande entreprise technologique en Chine tout en étant réellement conducteur de bus scolaire, mais elle incarne le type de créatrice de contenu qui obsède les Américains ordinaires depuis peu : des jeunes femmes prétendument méga-riches qui publient des vidéos intimes montrant une “IA” vivant numériquement un style de vie ultra-haut de gamme que Becca revendique… Pfffffffffff !


































2 commentaires
Maître,
En vous lisant, j’ai eu cette impression étrange de lire le témoignage d’un rescapé : un homme lucide, debout au milieu d’un monde qui s’effondre autour de lui, comme un survivant de l’Atlantide ou un sage des cités mayas perdues, portant la mémoire et la vérité qu’on refuse d’entendre.
Votre style, révèle bien plus que de simples anecdotes : il expose un système devenu illisible, où l’escroquerie au jugement se confond avec le théâtre. Mais vous refusez que la justice devienne une légende oubliée : vous en portez le combat et le témoignage.
Avec tout mon respect, et mes encouragements sincères à continuer ce combat essentiel. Votre Lectorat.
Vous n’avez pas que l’impression, c’est ma réalité qui se déroule inexorablement…