Ford’32 Bugatti Style Coupe Street Rod
Après plus de 10 ans, mon Hot Rod Bugatti Style Roadster a enfin son jumeau aux USA, un Hot Rod “Bugatti Style Coupé”… Relisez les articles de cette époque, mes concurrent en magazines “papier” d’alors, avaient boudé mon pt’tit Hot Rod basé sur une carrosserie DeLaChapelle Bugatti’55 avec un super assortiment d’injures à relire ICI… Moi, gentil, je disais “Bonjour”, le même “Bonjour” que dans le contexte de la page que vous consultez, car ce site ne se limite pas à une simple salutation, il agit comme une porte d’entrée dans un univers éditorial singulier, mon mien, créateur de ce site qui se présente comme un magazine numérique quotidien mondial, destiné à un public bien particulier : des hommes “autres” épicuriens, intelligents, déjantés, caustiques, désabusés, humoristes, cinéphiles, baroudeurs, satyres et satiriques… Waouhhhhhhhh !
Bref, des lecteurs qui aiment la vie, les femmes, les voitures, les motos, les bateaux, les avions et les machines extraordinaires. Dans ce cadre, le “Bonjour” est une salutation personnalisée, ce qui suggère une interface ou un espace connecté, peut-être réservé à l’auteur ou à un membre… C’est un clin d’œil éditorial. Ce mot simple introduit un monde exubérant, provocateur et satirique. Il contraste volontairement avec le ton TR7S sulfureux et extravagant du reste du site… Un point de départ narratif : Comme dans un roman ou un journal intime, ce “Bonjour” pourrait être le début d’un article, d’une chronique ou d’un billet d’humeur… En résumé, sur ce WebSite, dire “Bonjour” n’est pas banal. C’est une invitation à plonger dans un univers éditorial décalé, où humour, provocation et passion mécanique se mêlent à une plume libre et assumée. Waouhhhhh ! J’ai ici eu envie de republier une conversation avec le rédacteur en Chef d’un magazine concurrent “Kustom’Mag” à la tête duquel il était despote et injurieux, lisez donc ce qu’il à répondu lorsque je lui ai proposé un reportage…

“Proposez donc votre minable bricole, qui est du n’importe quoi à chier, une merde, à Powerglide ou à Rod & Kustom, juste pour voir ! Comment pouvoir imaginer de publier la saga de “Chromes & Flammes” dans nos pages ? J’étais abonné à Nitro quasiment dès les débuts de cette publication, mais déjà à l’époque je ne lisais pas Chromes & Flammes ! Je fais partie d’un groupe qui vous chie à la gueule, il y a surtout de fortes chances que vous ne voyez votre Hot-Rod nulle part ailleurs que dans votre garage et que vous creviez tout seul dans votre coin, votre lourd passé de critiqueur déjanté finissant même par effacer des mémoires le fait que vous avez en effet lancé la presse “typée kustom” en France. On s’est tous donné le mot entre magazines de Hot-Rods et Custom pour vous envoyer chier en enfer ! On se souviendra peut-être plus facilement de votre trop grande liberté, tellement poussée dans les vérités que la vraie presse aura fini par vous tourner le dos et vous bannir parce que vous osez dire toutes les vérités. Allez vous faire foutre ! Signé : Charlie de Kustom’Mag”…
Ils ont tous fait faillite (le Groupe Hommel pour plusieurs millions), certains ont été en taule pour trafics divers dont Jacky-Touch pour pédophilie en Thaïlande, d’autres ont fini voiturier de bordels, vendeur de colifichets en marchés du dimanche ou joueur de Tuba… La guerre des mag’s-Kustom a perduré un temps dans les réseaux asociaux à cause des vieux lecteurs irascibles “nitromaniaques”…
Eux et d’autresn ont été banni à vie de www.GatsbyOnline.com et www.GatsbyOnline.com ainsi que de mes pages “Faces de boucs”… Ne reste actuellement que ChromesFlammes numérique en triplé avec GatsyOnline et SecretsInterdits qui sont lus par 200.000 abonnés mensuels…Il y a également la version Russe en attente à cause des “évènements” et la version USA TopWheels… C’est bien assez pour mes 77 ans atteints (peut-être) en mai 2026…
Iron Hill Hot Rods mélange l’ADN franco-italien dans un coupé Ford de 1932 avec un moteur suralimenté unique… Sacré bleu ! Qu’avons-nous ici ? Une bouffée d’air frais, c’est tout. Découvrez ce coupé Ford à trois fenêtres de 1932 imprégné d’un ADN franco-italien de haut niveau. Minutieusement construit par Iron Hill Hot Rods dans le Delaware, ce coupé est une version unique d’une ancienne formule avec une surprise sous le capot.
Après six ans de travail, il intègre des éléments de style Bugatti d’avant-guerre dans une carrosserie Brookville entièrement en acier, ce qui donne une conduite élégante pour la propriétaire Beth Meyers, qui se trouve être l’épouse de Ross, dont le roadster Ford 36 est devenu le Classic Instruments Street Rod de l’année 2025 à Columbus OHIO…
Ellis Simmons et son équipe d’Iron Hill ont commencé avec un cadre personnalisé sectionné de 1 pouce et ont ajouté un essieu avant abaissé de 4 pouces et une configuration de ressort à lames arrière parallèle Posies. Une boîte de direction latérale Borgeson et Boling Bros. Des freins Lincoln complètent le châssis. Les hautes roues Evod de 18 pouces à la Bugatti ajoutent juste ce qu’il faut de saveur.
Beth Myers 1932 Ford Coupe Street Rod. La carrosserie de la Ford de 1932 a été habilement coupée et repliée, ce qui a commencé par couper les 5 pouces supérieurs à l’avant et les 4 pouces à l’arrière, puis le pare-brise à 8 degrés. Les révélations de la roue arrière ont été légèrement arrondies de 2 pouces pour faire écho aux grandes roues arrière.
Simmons a ramassé les phares (d’origine inconnue) lors d’une rencontre d’échange et a incorporé des feux arrière Ford 37 à l’arrière. Lorsque le coupé était droit et vrai, il a été pulvérisé par nul autre que Darryl Hollenbeck de Vintage Color Studio. La peinture noire PPG avec des criques vert olive sur les côtés est un berceau direct de la célèbre palette de couleurs de la gigantesque Bugatti Royale construite de 1927 à 1933.
Beth Myers 1932 Ford Coupe Street Rod Si tout cela vous semble être un cas unique, attendez de voir ce qu’il y a sous le capot. Au lieu d’un V8 Chevy ho-hum, ce coupé a 220c.i. Moteur quatre cylindres Mercruiser Marine 470 avec une transmission manuelle Mcleod Muscle Car 5. Encore plus d’astuce est un compresseur ScoT monté à l’extérieur (à la Bentley), entraîné par une manivelle.
Équipé d’une culasse Ford 460 de Jon Kaase, d’un allumage par magnéto Elipse et d’un échappement droit, le moteur est recouvert de matériaux brillants de nombreux composés métallurgiques. Le savoir-faire et l’exécution sont semblables à des bijoux. À l’intérieur, un cockpit “Steampunk” doublé de cuir. La transmission et le levier de vitesses s’associent à un tableau de bord Ford 33 et des compteurs Classic Instruments.
Les sièges flottants et le plancher planent au-dessus d’un sabot ventral à persiennes, et Sid Chavers a cousu l’habitacle dans un cuir vert olive. On dit qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil en ce qui concerne la vénérable Ford de 1932 et que tout cela a déjà été fait auparavant. Ce coupé élégant prouve qu’avec un peu de créativité, une attention incroyable aux détails et un travail acharné, un vieux chien peut apprendre de nouveaux tours…
































