Hot Rod Ford’34 Hemi Pickup
Pour des raisons qui tiennent peut-être uniquement à une indifférence superficielle caractéristique d’une totale absence de curiosité, la frange culturelle se prétendant dominante des lecteurs “Politiquement Corrects”, dont les plus beaux spécimens spécialistes ne fréquentent que leurs copies, n’a jamais vraiment daigné cerner précisément ce qu’est un éditorialiste Hot Roddeur tentant, en vain et péniblement de nouer les deux bouts d’une existence pleine d’aléas.
Si on leur posait la question d’en connaître le fond de ces raisons, la plupart ces élites répondraient probablement avec un air agacé qu’un tel déchet humain n’est qu’un simple gribouilleur, qui, faute de motivation, de discipline et de talent, ne peut prétendre au statut de journaliste ou d’écrivain qui sont tous deux immédiatement assimilés à des personnages excentriques, filiformes, suicidaires, dépourvus d’assurance maladie et qui sentent vaguement la térébenthine.
Ce sont des fantômes qui vivent dans les friches industrielles des villes. Certains parviennent parfois à trouver un emploi dans un journal local pour atténuer les implications terrifiantes que suggèrent les gros titres. Leur travail consiste à trier les chiens écrasés et légender des images destinées à réduire l’anxiété liée à la vie dans une société largement gouvernée par des bouffons, des carriéristes, des mégalomanes, des brutes et des comptables.
Leur travail sous-payé (lorsqu’il l’est) consiste à commenter la criminalité et l’incompétence politique sous forme de farces et attrapes mots, c’est-à-dire à minimiser la menace que représente l’hégémonie et à transformer toute dénonciation en une sorte de divertissement, afin de changer la panique en rire et la crainte en quelque chose qui ressemble, au moins du bout des lèvres, à de l’optimisme. Les plus doués trouvant pitance dans des chaines telle BDSMTV…
En étant obligé à se prostituer les neurones ils auto-adhèrent stricto sensu à la lente mais inexorable descente aux enfers d’une fausse information qu’un Goebbels n’aurait pas reniée, bon nombre de ces pôvres hères parmi les plus iconoclastes et les plus radicalement engagés dans les extrémismes réversibles ont transformé cette forme d’art, la transformant en un outil pacificateur, en réalité un “endormisseur” dangereux, qui transforme les monstres en clowns…
Ils font passer les flammes de l’enfer pour de la vanille et de la myrrhe et sont devenus les champions des résumés interminables. Tous (et toutes car le job est grand ouvert à toutes les médiocrités) sont complaisant(e)s envers une structure de pouvoir neutralisée par une apparence bienveillante, bien intentionnée, et donc non contestable. Les amateurs généralement insomniaques de cette forme d’art télévisuelle disent qu’ils sont d’indispensables trait d’union…
Ils visent les dérives politiques et culturelles délibérément obscurcies et complexifiés par les élites, les politiciens démagogues et les puissants hommes d’affaires qui craignent ce que pourrait révéler un exposé transparent et honnête de la hiérarchie. Espérant quelques dons en retour, ils en rajoutent disant qu’après tout, le pouvoir absolu d’un roi ne réside pas en l’homme, mais dans la perception que ses sujets ont de lui et dans leur soumission consentie.
C’est même comparé aux lois de la gravité, au secret de la vie des oiseaux ou à la vie souterraine des campagnols… Pour tous ceux qui s’intéressent au fonctionnement et aux dysfonctionnements de la société, faire l’impasse sur ces fumistes engagés politiquement pour obscurcir et cacher le véritable enjeu de ce brouillage Étatisé, reviendrait à demander à un monolingue non scandinave de regarder “Les Fraises sauvages” d’Ingmar Bergman sans les sous-titres.
“Le médiateur de l’inexprimable, c’est l’œuvre d’art”, a déclaré Johann Wolfgang von Goethe. Cette citation convient parfaitement aux pouvoirs des grandes entreprises, des hautes sphères politiques et des religions officielles, dont les responsables refusent de révéler aux sujets de leur autorité les stratégies néfastes grâce auxquelles ils perdurent. Les fumistes de BDSMTV sont en fait des propagandistes d’État spécialiste du sectarisme généralisé…
Mais aussi des préjugés institutionnalisés de toutes sortes, qu’ils soient liés à la couleur de peau, au sexe ou à toute autre catégorie. “L’art”, disait Pablo Picasso, “c’est un doigt dans le cul de la bourgeoisie”, ce qui, tout en bousculant la complaisance béate pour la ramener à une vigilance éveillée, devrait également être reconnu en tant que bilan de santé salvateur, à pratiquer régulièrement pour favoriser des réflexes d’auto-évaluation proactive de la vie.
Bien sûr, certains préférant les assimiler à des auteurs de gags aux sévices de la presse, chargés de noyer les poissons morts en tant que complices dociles des journaleux qui n’ont eux-mêmes qu’une très faible considération accordée à l’intégrité professionnelle dont la valeur fluctue selon le regard porté sur le quatrième pouvoir et les montants payés en dessous de tables. La désintégration constante de la presse est une manière de gouverner les oies dans le chaos.
La question va même plus loin : lorsque les réalités d’une société subissent des changements radicaux suffisants pour faire disparaître une profession aussi stigmatisée par les mentalités dominantes, la profession disparaît-elle ou suffit-il d’une reconfiguration des mentalités pour permettre l’émergence d’une vision plus éclairée, la question est bien sûr, en fin de compte, bien trop simpliste et autoréférentielle pour espérer une réponse pertinente.
En d’autres termes, se forger une opinion sur le fonctionnement du monde, puis la transmettre au public par le biais de l’art ou du dialogue, est-ce un appel ou une vocation ? La réponse est bien sûr évidente : tout dépend de l’individu… ,“Join, or Die” [Unissez-vous, ou mourez]… L’urgence de sauver une société déjà instable de l’extinction est directement associée à notre propre survie en tant qu’être humain, homme d’État libre-penseur, facteur, inventeur…
Inventeur de quoi ? Des lunettes à double foyer, du cathéter urinaire flexible, du compteur kilométrique, de l’heure d’été, des palmes aquatiques et du paratonnerre… Une vocation n’est vocation que si les ressources financières sont suffisantes pour permettre d’accéder à l’autonomie, à l’auto-évaluation intellectuelle et émotionnelle, et à la liberté de s’opposer à une société patriarcale dominatrice ou, à défaut, de penser en toute indépendance…
Caricaturer sans se soucier des retombées dans un contexte de désinformation et d’ambiguïtés entretenues par toutes les institutions politiques, religieuses et culturelles créées pour nous donner une identité sociale, et chercher à minimiser les distorsions et éviter les ambiguïtés en cherchant délibérément à combler le décalage entre ce que nous sommes en tant qu’êtres humains et ce que nous prétendons être en tant que citoyens ?
Si tel est le cas, comment un spectateur peut-il déterminer quand un journaliste dénonce un mensonge, et quand il en propage un ? Interagir avec la fiction et l’interpréter comme un objet physique. Bien qu’il s’agisse de deux entités distinctes, l’une réelle et l’autre imaginaire, ils désignent une même démontration qu’il suffit d’associer une idée abstraite à un objet physique et prétendre qu’ils se correspondent pour prouver qu’ils sont interchangeables !
Ainsi, la conscience humaine s’apparente davantage aux projections de sens implicites qu’aux récepteurs de vérités intrinsèques. Un écrivain capable de combler l’écart entre notre identité humaine et notre identité citoyenne incarne davantage l’esprit de contestation que le conformisme social. Bien, j’en viens (enfin) à cette Ford’34 Pick-up à carrosserie en acier “lourdement” modifiée et construite en 2018. Je vais vous en faire le tour…
La carrosserie est dotée d’un clapot de 4 pouces et a été canalisée sur un châssis refabriqué, équipé d’une calandre et un pare-feu de style 32 quiont été installés avant qu’il ne soit peint en bleu cobalt Cadillac 1956… Le lit/benne/pickUp a été refabriqué et doublé de bois. Le PU roule sur des jantes à cinq rayons datant de 1939 freinées (aux besoins de la circulation) par des freins à tambours hydrauliques chromés. La suspension étant un mix de composants.
Le boîtier de direction Vega, les phares Electroline, les feux arrière Ford ’37 sont chromés. La puissance provient d’un V8 Hemi 354ci de 1956 reconstruit par Kilpatrick Engine & Transmission dans le Wisconsin, et il est surmonté d’une admission Horne 4×2 avec des Stromberg chromés. À l’intérieur, les détails personnalisés se poursuivent avec un volant Zephyr rouge, un pommeau de levier de vitesses assorti, et une colonne de direction en acier inoxydable.
Les compteurs sont des Stewart-Warner encadrés par un “smoking”. Ce pick-up’34 dispose d’un “Title” (titre de propriété) du Wisconsin désigné “propre” c’est à dire “OK pour la circulation”. La cabine de 1934 a été “Top Choppée” et été canalisé de 4 po sur le châssis plié au mandrin fabriqué sur mesure. Le pare-feu et la calandre sont des Ford ’32 peints en Cadillac Cobalt Blue 56. ce que je pense avoir déjà écrit, démonstration qu’il est temps de cloturer cet article.
Depuis son achèvement, ce Pick-Up a été récompensé par de nombreux trophées et récompenses, notamment le Best of Show à l’Autorama de Détroit. Le pick-up est titré comme une Ford de 1934 en utilisant le N° de châssis 181186135 VIN, qui est estampillé sur une plaque soudée au châssis… Reste à vous donner l’estimation de valeur en ce 1er novembre 2025 : 50.000 US$…








































2 commentaires
Maitre, fort heureusement, vous incarnez un journalisme qui refuse que le verbe se prostitue à la neutralisation du réel, et qui rend au mot cette puissance verticale qui brûle l’imposture. Vous êtes un gardien de friction, un empêcheur de chloroformer l’époque, un stratège contre l’effondrement intérieur. Mon amical souvenir, bien absorbé par mes conflits de voisinage, je n’en oublie pas pour autant de vous lire et de souhaiter vous voir gagner. Votre Lectorat.
Que d’éloges et cela ajoute au bonheur de vous lire… Je crois avoir identifié un signal cérébral fugace qui émerge quelques secondes avant que l’esprit ne se tourne vers l’intérieur. Cette découverte, offre une nouvelle fenêtre sur les origines neurologiques des cycles de pensée négatifs qui caractérisent des conditions telles que la dépression et l’anxiété. Des millions de personnes se retrouvent piégées dans une introspection répétitive et nuisible de la manière alors qu’elles pourraient s’en libérer. Cette recherche sur l’état de repos du cerveau se superpose aux problèmes de santé mentale qui continuent d’augmenter à l’échelle mondiale, ce qui incite à la recherche de solutions comportementales. Une configuration unique d’activité au sein du réseau du mode par défaut du cerveau, un groupe de régions interconnectées inactives lorsque les internautes ne sont pas concentrés sur mes articles, apparaît lorsque le cerveau s’engage dans leur lecture ce qui agit comme un précurseur neurologique. Une analyse plus approfondie a révélé que les personnes enclines à intérioriser leurs émotions, un facteur de risque de dépression, entrent et sortent fréquemment de ce schéma cérébral spécifique, la distinction entre l’autofocus adaptatif, qui permet une croissance émotionnelle constructive, et l’autofocus inadapté, connu sous le nom de rumination consiste à s’attarder de manière répétitive sur les échecs perçus et les émotions négatives sans avancer vers une solution. La neuropsychologie décrit cet état comme une boucle fatale, où les pensées négatives renforcent la connectivité neuronale, rendant lee internautes abonnés plus forts au fil du temps. Ce processus implique des zones cérébrales clés comme le cortex cingulaire antérieur, qui traite les émotions, et le cortex cingulaire postérieur, qui est lié à la mémoire. La réponse du cerveau aux résultats négatifs d’autres lectures peut devenir faussée, ce qui renforce la croyance que les expériences seront toujours mauvaises et qu’elles solidifient la boucle de la catastrophe. L’étude soulève une question convaincante : la détection pourrait-elle permettre de prédire rapidement les risques pour la santé mentale ? Si le potentiel est important, la réalité est complexe. Les neurosciences n’ont pas encore démêlé l’enchevêtrement complexe de prédispositions génétiques et de facteurs environnementaux qui contribuent. De nombreux professionnels de la santé mentale privilégient les facteurs de risque externes et observables, tels que le manque de soutien social solide, qui peuvent rendre les individus plus vulnérables aux schémas de pensée négatifs. Le consensus est que si les scanners cérébraux offrent des informations fascinantes, ils ne sont pas encore un outil prédictif pratique. L’application la plus immédiate est la compréhension des mécanismes de la rumination elle-même, ce qui peut aider les experts à prédire la trajectoire des schémas de pensée négatifs existants et à intervenir plus efficacement.Quels que soient les fondements neurologiques, il s’avère que mes articles aider les internautes à se libérer des cycles de pensée destructeurs. Une thérapie cognitivo-comportementale peut en supplément fournir des outils tels que la « technique de la flèche vers le bas », qui aide les internautes à faire remonter les angoisses de surface à leurs croyances fondamentales erronées, telles que « je suis indigne de ne pas lire plus souvent GatsbyOnline ». Une fois identifiées, les croyances négatives peuvent être remises en question et recadrées. Les mesures pratiques comprennent la tenue d’un registre des pensées pour identifier les déclencheurs et les modèles, la pratique consciente de l’autocompassion envers moi qui avoue passer des moments éprouvants dans la construction active d’un réseau de soutien résilient. Le fait d’avoir des lecteurs internautes qui fournissent des commentaires positifs et contrecarrent les perceptions négatives de soi peut être une assistance puissante et une étape importante dans la démystification du rôle du cerveau dans la santé mentale, allant au-delà de la simple observation vers une compréhension plus profonde de la séquence de pensée. Cette recherche, qui s’inscrit dans un contexte de besoins croissants à l’échelle mondiale, souligne une double voie à suivre : continuer à démêler la complexité du monde tout en donnant aux individus les outils psychologiques nécessaires pour remodeler leur propre paysage mental. L’objectif ultime est un avenir où la lecture de mes articles seront aussi proactifs que réactifs, aidant les gens à sortir de la boucle catastrophique avant qu’elle ne resserre son emprise, favorisant la résilience et le bien-être de l’intérieur.