Kookie T’Bucket’Sunset Strip Part’Two
Indissociable du mythe Bardot, des villas de rêve face à la Méditerranée, des vignes à perte de vue, des yachts au luxe rutilant bardés de tant de marbre que c’est presque un miracle qu’ils puissent encore flotter, d’une faune d’icônes du cinéma, de rock-stars, d’écrivains, d’artistes dont la fantaisie créative allait de pair avec une vie à l’opulence assumée (cela a bien changé), Saint-Tropez a marqué l’âge d’or de la French Riviera. Quoique moins clinquant que Monaco, moins baroque que Cannes, Saint-Tropez reste toutefois un mix Franchouillard entre Malibu/Californie et Palm Beach/Floride.
Étendard du fantasme sudiste pendant des décennies, cette vision si puissamment ancrée dans la mémoire collective a pu faire croire à ses acteurs qu’ils étaient insubmersibles. Trop désiré, trop fréquenté, le village varois a peu à peu cessé de se réinventer, cédant souvent au clinquant, à la cuisine et aux rythmes sans âme, les vacanciers s’y rendant alors dans une forme de nostalgie songeuse. Jusqu’à l’été 2019 où la loi littoral a rebattu les cartes. Toute construction en dur étant proscrite sur les plages, certaines escrocs ont dû fermer.
Une catastrophe pour les uns, un heureux renouveau pour les autres enrôlés dans une compétition entraînant dans son sillage une vague de nouvelles adresses… Waouwwwww ! J’y suis… Je témoigne… Je ne crois en rien, mais j’aime laisser supposer que je crois à la fécondité intellectuelle d’une argumentation contrefactuelle assumée au sein d’une démonstration factuelle générale… Pfffffffffff ! C’est une conséquence des rapports que l’injustice de la justice, particulièrement judiciairement corrompue par nécessité, à façonné en moi avec l’affaire LéaFrancis…
Mais, pour le reste, j’y discerne le plaisir d’un jeu avec le feu de l’humour qui continue de brûler ce qui l’entoure sans que quiconque puisse l’éteindre… L’art de tapoter des conneries géniales est alors la justification des non-sens et affabulations, le plus simple médiocre scribouillard de feuilles où tapoteur de textes sur clavier, paraissant alors savant. C’est ainsi que par vécu de ces complexités, j’ai dérivé à croire aussi, depuis les origines mêmes de mon désir de devenir créateur d’écrits vains, que je daterais au bas mot de mes soixante seize ans depuis mai 2025…
Et cela, au plaisir de l’estrangement cher à Montaigne, donc à Carlo Ginzburg, l’uchronie la plus vertigineuse servant de toile de vérités toutes aussi fausses que les réalités supposées, devant se situer sans douter dans les histoires, toutes simples, rendues complexifiées par le besoin de concevoir une logique dans l’inattendu et les aléas… Que c’est “Boôôôôôô !”… Il s’ensuit que discours et réquisitoires sont réalisés pour être assénés de mêmes façons sournoises, tandis que les plaidoiries et explicatifs se voulant modes-d’emplois ne sont que des messages enfermés dans des bouteilles jetées à la mer(de).
S’en est tellement partout que cela se déroule dans l’indifférence génératrice de crimes et de révolutions et l’importance de préférer tuer dans l’ordre les bébés, les génitrices et géniteurs que les vieux gériatriques, pour au moins gagner le temps d’une pleine génération. Je contemple à quel point la tâche est désespérée. Pourquoi s’embêter plutôt que s’emmerder ? Ou l’inverse ? Je devrais abandonner maintenant et éviter d’autres éraflures et égratignures de l’âme. Mais je ne baisse pas les bras. Je continue jusqu’à ce que la tâche soit terminée. Pourquoi ?
Parfois, les choses se passent bien, mais la plupart du temps, c’est le chaos et tout le monde met la main à la pâte dans les slips et culottes. Les êtres vivants peuvent être aussi imprévisibles que les pouvoirs en place qui nous contrôlent et nous punissent chaque fois que nous nous écartons de leurs plans. Mais nous ne pouvons pas abandonner la lutte contre, peu importe à quel point les choses deviennent difficiles. Il y a eu beaucoup de discussions entre psychologues et thérapeutes sur l’impuissance apprise, c’est quand nous croyons que nous ne pouvons pas changer les circonstances douloureuses…
Alors nous arrêtons d’essayer et endurons simplement ce qui se passe. Ce comportement “juste durable” décrit les actions de la majorité de l’humanité en l’an 2025, à mon avis. Nous endurons. Nous avons jeté l’éponge et à cause de ce choix d’abandonner, notre situation ne changera pas pour le mieux. Certains psychologues pensent que c’est en fait le désespoir appris ou une dépression désespérée qui nous empêche de lutter contre des circonstances douloureuses. Il est facile de comprendre pourquoi et comment la dépression s’installe.
Avez-vous déjà fait défiler votre flux de médias sociaux pour consulter les gros titres ou regarder les mèmes ? Bien que les chances que nous réussissions à atteindre nos objectifs de rendre le monde meilleur pour tous puissent être astronomiques, nous pouvons au moins essayer de combattre le système corrompu et d’améliorer certaines choses, n’est-ce pas ? Le problème, c’est que nous avons entendu trop d’histoires d’horreur et appris des autres à quel point la lutte est devenue désespérée pour eux. Nous commençons à croire qu’il est vain d’essayer de changer les choses.
Nous avons appris à agir sans défense et sans espoir. Nous laissons les circonstances nous envahir ! J’ai fait tout ce qui précède et plus encore, et notre société est toujours nulle… Alors je sors pour me changer les idées… Ouaihhhhh ! Saint-Tropez Night, quel bordel… Ca check les potes à l’entrée du club, ça rigole fort, tout le monde est déjà bourré. On baisse la tête pour passer devant le videur sans encombre, l’endroit pue déjà la pisse et la cigarette. Verres descendus en rafale, culs posés sur tabourets moites de la bière renversée, ça glousse, ça ironise sur la gueule de chacun, ça se teste.
Certains et certaines n’ont pas une thune et vont constamment aux chiottes pour remplir d’eau la même bouteille, pour échapper aux staffs forçant à recommander. D’autres sont déboité(e)s et en sont à leur troisième parachute. Le son est fou, joyeux et légèrement mélancolique, parfois tubesque, avec deux trois saillies hip-hop. Lumières dans les yeux, flashs épileptiques, rétines grillées. Alors on danse, on boit, on pousse. Une nanana est à moitié endormie et s’est pissée dessus, l’urine descendant le long de sa jambe droite, gouttes ambrées perlant de ses talons, créant une petite flaque sur le sol…
Tout tourne, c’est horrible, j’ai envie de me casser. Des mecs crient, se hurlent dessus, mon cœur s’emballe… Sale soirée… L’image de la France est toujours limitée au vin rouge, au camembert, à l’adultère aux grèves et congés payés. Que de clichés. Il faut changer tout ça. Prendre des mesures drastiques. Redorer notre image ! Que les gens du monde ne nous prennent plus comme de simples figurants, mais nous voient comme des cinglés qui écoutent de la musique ultra violente tout en chantant façon Piaf, mais à moitié nus, se masturbant dans des tenues fluos Trans-genres Elyséennes.
Ces Trans-drogué(e)s se tapent sur la gueule tout en pleurant comme des madeleines, des tessons de bouteilles en mains. Parce qu’en France, on aime l’épique de mauvais goût, le clacos surgelé et le sel de Guérande… Il n’a a de surcroit presque pas de Hot Rods en Franchouille… Pfffffffff ! Le réveil sonne exactement à 7:34am. L’application Home a calculé, en fonction de mes respirations et cycles du sommeil, que ce moment était le plus optimal pour un début de journée plein d’énergie. Je suis pourtant explosé, la sensation de ne pas avoir dormi, bouche sèche, yeux torves.
Le somnifère n’a pas été complètement éliminé par l’organisme, encore lové dans mon cerveau, tel un parasite. Je passe dans ma salle de bain, un bouton poussé du doigt et le bain se remplit automatiquement. L’algorithme fixe la température à 36, pour graduellement augmenter jusqu’à 41 degrés, moyenne calculée sur mes bains des 6 derniers mois. La musique commence en même temps que la toilette, l’algo décide de mettre une compile, décidant de lui même qu’avec mes écoutes répétées de ce mois ci, cette sélection siéra au mieux à mon mood pré-boulot.
Affalé dans la baignoire, je regarde mollement mon fil Instagram : un mélange de photos d’astronomie et de nananas tatouées semi-dénudées. L’algorithme décide pour le moment d’éviter les news de mes amis/familles, ceci basé sur mon engagement quasi inexistant le matin avec mon cercle proche. Ces updates seront savamment distillées plus tard dans la journée, quand je serai plus amène à répondre à leur conneries. Une nouvelle alarme sonne à 8:28, l’application Subway décidant que maintenant est l’heure optimale pour une balade de Blacky… Ouaihhhh… Faire le tour de la propriété, entre Bernard et Brigitte…
Vu les changements politiques à venir et tenant compte des rumeurs de guerre atomique, j’enfile ma combinaison antiradiations et fais de même pour Blacky. Au vu de la température du matin (23 degrés), du ciel sans nuage, et de mes statistiques d’écoutes de ces 3 dernières semaines, l’algorithme musical décide de me passer le dernier discours de Trumpy. Je tente de changer pour du plus calme, mais l’algorithme me propose plutôt d’écouter Zeelinsky, alors je coupe. C’est pas mal le silence. Ça va, sans plus. Ouaisssss !
L’algorithme me propose de tourner à gauche, puis à droite, calculant une alternative optimale vu que mon trajet est aujourd’hui impacté par les travaux de mes jardiniers et de mes mécaniciens qui tentent de remettre en route ma vieille Bentley Turbo’R, une attente plus longue du caca de Blacky m’éloigne des pensées mécaniques… L’algorithme me tire soudainement de mes rêveries via une notification me félicitant pour avoir fait 2500 pas. L’algorithme a décidé d’un emploi du temps assez chargé aujourd’hui et me conseille fortement de me désorganiser au vu des légers écarts caloriques de ces derniers jours.
L’app’Healthy de l’algorithme me propose trois choix de restaurants et j’opte pour une commande en ligne. Pas de surprise, tout est déjà décidé sur les ingrédients et la sauce, basée sur mes préférences alimentaires de ces 6 derniers mois et, pour le coup, de ce côté là, ils ne se trompent jamais. Ding ding, nouvelle sonnerie, super, 5.000 pas déjà atteints aujourd’hui et je n’ai pas terminé le tour de ma propriété ! Je reçois un émoji-happy, car l’objectif de marche quotidienne pour réduire de 50% les risques de crise cardiaque dans les 5 ans est déjà complété. Oufffffff !
La vidéo est coupée avant la fin, par une nouvelle notification de l’algorithme MySchedule, me sommant qu’avec le nombre d’emails restant dans ma boite email, je dois déléguer au robot IA pour m’aider à me concentrer. C’est pas génial, mais bon, ça va, ça passe. Ma tête tourne, mes pensées s’embrouillent, je continue de marcher au radar, et l’IA m’informe que mon plan cul du jour a foiré parce que la belle ne pourra pas être là à temps. Je râle je voulais une Chinoise… Je continue de marcher au radar, avec mon iPhone qui continue de vibrer sous les notifs, à me filer des avertissements en pagaille.
Il commence même à recalculer n’importe comment mon planning de demain, vu que ma nuit sera définitivement plus courte que prévu. De rage, je décide de prendre une mesure drastique : passer mon Phone en mode avion. Déconnecté… Après avoir validé 3 fois “are you sure ??”, c’est le vide absolu. Pas de vibration, pas de notif, pas de push. Le silence… Du coup je m’assied face à la mer et décide de passer ma journée à tapoter un article sur un Hot Rod d’anthologie… En 1959, alors que j’avais 10 ans, la chanson à succès aux USA “Kookie, Kookie, Lend Me Your Comb” d’Edd Kookie Byrnes faisait fureur.
Le Hot Rod Ford T-bucket’22 qui l’accompagnait s’est ainsi retrouvé sous les feux de la rampe lorsqu’il a joué avec Byrnes (qui, à partir du deuxième épisode, interprétait Gerald Lloyd “Kookie” Kookson III) dans l’émission de télévision “ABC 77 Sunset Strip”. Les Hot Rod’s avaient trouvé leur place sous les feux de la rampe et moi qui n’avait que 10 ans, je n’en savais fichtre rien… Il y a peu de Hot Rod’s ou d’individus qui ont attiré l’attention et généré l’enthousiasme que Norm Grabowski et sa Ford Model T’22 ont vécu à cette époque.
Et bien qu’on puisse considérer la zizique de Byrnes comme une merveille à un seul hit, ce ne sera pas le cas pour Grabowski, car il a ensuite construit plusieurs Hot Rod’s bien connus aux USA et y a accumulé de nombreuses autres réalisations… Il a pris sa retraite d’acteur dans les années 1980 après “The Cannonball Run” aux mêmes moments ou débutaient les “Années Chromes” en Franchouille puis en Europe, dont l’Ukraine était Russe et faisait pas chier l’univers… Ce Hot Rod est apparu dans 35 films et une poignée d’émissions TV. Peaufinez votre anglais-américanisé et traduisez le paragraphe suivant…
“Grabowski was known almost as much for his myriad of nicknames as for his car: Woo-Woo, Normie Poo, El Polaco, Father of the T-Bucket, the Rod God, and it went on from here. I called him Normie Poo when I was introduced to him by “Tex” Smith, the godfather of rodding journalists, and that’s what Smith called him. Grabowski died in October of 2012 at the age of 79, but his hot rods, wood carvings (most famous for his skull shift knobs), and acting career are storied. Because of the magazine exposure, Grabowski was approached about renting his car out to appear in movies and television shows. The contacts he made in this way led to his acting career”.
Il convient de noter que si ce T-bucket a acquis une notoriété nationaliste Yankee en apparaissant sur le feuilleton TV “77 Sunset Strip”, le Hot Roadster est apparu dans de nombreux films de série B généralement centrés sur l’adolescent sauvage et ses exploits fous-fous-fous avec son Hot rod, en ce compris diverses scènes de “touche-pipi” symbolisant les “BLVD-Strip”. Il y a une histoire, urbaine ou non, qui dit que la raison pour laquelle Grabowski a peint les flammes sur le roadster était de couvrir les éclats de peinture qui se sont produits sur le plateau de tournage.
A ses débuts, ce Hot Rod se nommait “Lightnin’Bug”, c’était une Ford Model T 1922 à cabine de tourisme réduite avec une caisse de pick-up modèle A raccourcie qui, avec un longeron raccourci de 20 pouces à l’arrière, recouvrait le châssis original d’un modèle A. Il comportait une peinture mono-noire avec un intérieur rouge et ne comportait pas le système d’échappement distinctif avec les tuyaux qui longent et descendent le long de la cabine. Il était équipé d’un moteur Caddilac V8 de 1952 avec un compresseur GMC 3-71 au-dessus d’une admission Bandimere avec un carburateur Cad Rochester 4 corps.
Grabowski était un visiteur fréquent de Valley Custom à Burbank, où, sous les yeux et les mains vigilants de Neil Emory et Clayton Jansen, la voiture a été réglée mécaniquement. C’était en octobre 1955, et le “Lightnin’Bug” est apparu sur la couverture et les pages 14-15 du magazine HOT ROD avec un article et des photos de Bob D’Olivio. La prochaine étape va transformer tout cela en “Kookie’T” dont la plupart d’entre nous pas encore morts quoique dans le dernier quart de vie restante, se souviennent et qui pourrait très bien être le premier contact avec ce Hot Rod emblématique.
Il est également apparu sur la couverture et les pages 12 à 15 du numéro d’avril 1957 du magazine Car Craft. Une fois de plus, c’est D’Olivio qui a pris les photos et écrit le texte. À ce moment le Hot Rod était époustouflant et a arrêté les Hot Rodders dans leurs élans. Il arborait la peinture bleu électrique “Dodge Royal Blue” de 1956 avec les flammes de Dean Jeffries, et le V8 Cadillac arborait désormais quatre carburateurs Stromberg au sommet d’un collecteur Horne. Le râteau de la voiture était plus prononcé et le pare-brise avait pris de la hauteur.
Le pommeau de levier de vitesses (désormais célèbre) avait pris sa place légitime en remplaçant les dés surdimensionnés. Ajoutez à ces changements le pare-feu rouge, et il est ainsi resté gravé dans notre mémoire collective de Hot Rodder’s, les flammes provenant du pare-feu et courant le long de la carrosserie. Il avait également l’échappement distinctif qui balayait derrière la cabine et le long de la caisse. De plus, en 1957, Grabowski et son T-bucket sont apparus sur la couverture du numéro du 29 avril garé sous les lumières du restaurant “Bob’s Big Boy” (Beaucoup d’entre nous ont un poster de cette célèbre couverture).
Dans cette itération, le “Kookie’T” est devenu le célèbre T-bucket flammé emblématique que nous apprécions. Il y a une autre couverture de magazine ou ce Hot Rod est apparu avec Edd Kookie Byrnes sur la couverture, c’était le “Rod Builder” de septembre 1959. Il est intéressant de noter que si le T-bucket était ce à quoi les Hot Rodder’s s’attendaient à cette époque et à ce moment-là, il y avait une différence frappante, les tuyaux d’échappement s’élevaient et sortaient directement derrière le conducteur au lieu de longer le rail supérieur de la caisse comme ils l’avaient fait au cours des dernières années.
Cela donnait lieu à des sons assourdissants et à des tympans “fatigués”... Une fois que Grabowski et Byrnes, en en eu marre de courir dans les rues d’Hollywood et de Burbank comme tant d’autres voitures célèbres avaient les moyens de le faire, cette voiture s’est effacée du public et de la conscience. Grabowski est passé à d’autres projets, notamment un modèle T 1925 avec ailes complètes. Jim “Street” Skonzakes de Dayton, dans l’Ohio, un amateur de salons de l’automobile a acheté le Hot Rod Kookie’T en 1959 pour 3.000 $. Il a immédiatement été confié à Larry Watson pour une refonte cosmétique.
Il a été repeint dans un Rose Pearl avec des flammes Candy Red terminées en noir avec des rayures blanches. La sellerie intérieure a également été refaite, arborant une surpiqûre capitonnée de boutons perlés blancs. (Hé, c’était moche, mais c’est ce qui se passait à l’époque !). Skonzakes a montré la voiture pendant un moment, puis l’a mise à jour une fois de plus avec deux phares, deux compresseurs, deux slicks arrière et des en-têtes zoomie. La hauteur des linteaux correspondait à celle du haut du pare-brise, et des sièges baquets à dossier haut ont également été installés.
Une fois de plus, il a fait son chemin sur le circuit des spectacles, et lorsque les balles ont cessé de pleuvoir tout autour, il a été entreposé. Finalement, miracle, le Kookie T dans lequel Norm Grabowski avait investi toute sa quantité étonnante d’imagination, d’efforts et de talent a de nouveau refait surface, après 50 ans. Il a été vendu à la vente aux enchères Mecum Indy (lot S114) en mai 2018 pour la somme étonnante de 484.000 $. Le nouveau propriétaire, Ross Myers (Boyertown, Pennsylvanie), est un Hot Rodder qui a l’œil pour la collection et l’importance historique de la voiture.
Heureusement pour tous les Hot Rodders, il a acheté la voiture et a développé une relation durable avec les nombreux talents hébergés dans l’atelier Roy Brizio Street Rods (South San Francisco, CA). L’atelier Brizio n’est pas étranger à la construction étonnante de Rot Rods. Ils m’ont dit qu’il s’agit de leur première restauration de voiture de film, mais il n’en reste pas moins qu’ils ont restauré des Hot Rod’s très, très célèbres, dont le Ford Highboy Roadster’32 emblématique de feu mon ami Tom McMullen.

























































