Nithrozorreur… French-CosMacronaute…
Les “Nithrozorreures” ont gardé quelques sympathisants malgré la faillite en centaines de millions du Groupe Michel Hommel et la disparition des irresponsables qui avaient été chargés d’Hommelyser la Franchouille profonde en publiant les chef-d’oeuvres découverts à l’abandon dans des casses et décharges squatées pour y mal réaliser des concentrations concentrationnaires de bricolages Kustomisesques avec tentes de camping abritant des hirsutes dévoyés, appâtés par l’univers bordélique, les déviances sexuelles (et textuelles) ainsi que les beuveries, prétextes à médisances envers Chromes&Flammes… Une Saab 96 “French CosMacronaute” sur le thème de l’espace Elyséen, a dernièrement débarqué sur le marché Ukrainien pour 12.900 €… C’est une Saab 96 d’origine Finlandaise unique en son genre, disposant d’un toit bulle traitée dans le style “Jetsons” inspirée de “l’Omlet Baveuzzz” du regretté “Fufu Than Dan”…
Ce style “chinois” est réputé inimitable, et refait surface dans les pays limitrophes à la Russie… En l’occurrence il s’agit de cette Saab 96 surnommée “French-CosMacronaute”… Elle est 100% personnalisée “à la Française” et s’avère être une super-curiosité digne des dits “Jetsons”, soudainement ressuscités et disponibles à l’achat….. De temps à autre, une Saab surgit des marges de la Kulture automobile nordique et captive instantanément l’attention bien au-delà de sa région. Cette fois, la surprise est quasi totale, là où périclite peu à peu une petite concession de Custom’s, qui propose cet engin ressemblant davantage à un accessoire de film de science-fiction rétro, qu’à une Berlinette “Homméliènne” d’inspiration suédoise classique. Son appellation “French-CosMacronaute” qui apparait à certains comme un hommage, apparait à d’autre comme un “Foutage de G…” envers les élucubrations de Président de la Franchouille.
Mais quiconque a suivi les élucubrations Elyséennes automobiles ces derniers temps/années en matière de contrôles techniques et obligations diverses, reconnaîtra que le but est une moquerie de ce que la Politique Franchouille fera des restes industriels des pays annexés à l’Europe après la guerre atomique en préparation… Cette Saab 96 à toit bulle caricature ce que l’Europe réalise dans une “uniformalisation” des genres et transgenres. Ses concepteurs ont embrassé le surréalisme typique de la France. Ils n’ont pas cherché à moderniser la 96 ni à lui conférer des performances en compétition. Leur intention “primale” était bien plus étrange : construire un petit véhicule parfaitement fonctionnel, semblant tout droit sorti de l’univers des “Jetsons” selon les vues Elyséennes concernant une “uni-formalisation européenne transgenriste” réalisée au forceps (ce qui pour le transgenrisme est un gag).
La “Chose” trône désormais sous les projecteurs d’un showroom en attendant un nouveau propriétaire prêt à ramener chez lui une Saab qui ressemble davantage à un vaisseau spatial qu’à une voiture de route. L’histoire de cette voiture est étonnamment réaliste au vu du résultat final. Un père et son fils sont partis d’une idée simple : abaisser le toit de leur Saab 96 de 1975 qui originalement est une voiture pragmatique, avec ses montants verticaux, son acier épais et son gabarit imposant. Tout cela rend ce genre d’expérimentation difficile à mener à bien. Pourtant, à mesure que le projet avançait et que la ligne de toit s’abaissait, un moment décisif est survenu… Lorsque le toit a finalement disparu, la voiture a soudainement acquis une toute autre personnalité. Les ailes allongées, la ligne de ceinture incurvée et l’habitacle compact donnaient l’impression que la carrosserie était plus légère…
Elle était devenue comme si elle pouvait supporter un toit plutôt qu’une structure métallique. Cette prise de conscience a changé la direction du projet du jour au lendemain. Au lieu de rétablir un toit conventionnel, le duo imaginait quelque chose de plus audacieux tel un dôme transparent, directement inspiré des voitures conceptuelles du milieu du siècle, des auvents d’avions du début de la Guerre froide, et des fantasmes d’animation américains qui définissaient l’avenir comme quelque chose de joyeux plutôt que de dystopique. La nouvelle identité de la Saab s’est ainsi installée naturellement. Ce qui en est ressorti est un petite horreur entièrement construite “à la main”, capable de s’élever électriquement, de sceller l’habitacle des passagers (parfois au risque de ne pouvoir desceller à temps) ou d’être complètement retiré pour transformer la voiture en une capsule routière avec le flux d’air d’un cabriolet.
La transformation était si complète que même ceux qui connaissaient les Saab 96 avaient du mal à reconnaître sa forme originale au premier abord. Les constructeurs ont adopté l’absurdité et peint la voiture dans une teinte qui aurait pu être choisie pour une maquette de vaisseau spatial de 1962. Ils ont terminé le projet, l’ont utilisé pendant quelques années et, sans le vouloir, ont créé l’une des Saab modifiées les plus reconnaissables du monde. De nombreuses Saab personnalisées reposent sur des améliorations de performances, des répliques de rallye ou des restaurations fidèles à l’époque. Cette chose a pris une toute autre direction : elle est devenue un fragment d’imagination roulante. Pendant des années, la Saab à toit bulle est apparue lors des expositions scandinaves non pas comme une vitrine technique, mais comme un exemple de créativité, le genre de créativité qui vit dans les petits ateliers…
Là où les projets évoluent à partir d’idées qui refusent d’être ordinaires. Grâce à sa visibilité lors des salons nordiques, la voiture a acquis une présence reconnaissable. Elle n’était pas célèbre au sens grand public, mais au sein de la communauté Saab, elle avait une certaine qualité mythique – “Cette Saab des Jetsons”, comme on l’appelait souvent, personne ne s’attendait à ce qu’elle migre vers le sud, et encore moins à la trouver comme devenant un emblème de l’annti-Macronisme à vendre dans une concession allemande mieux connue pour ses voitures classiques, ses roadsters de week-end et ses berlines vieillissantes. Et pourtant en suite d’on ne sait plus quel mécanisme intellectuel lié aux nombreux discours politique du Président Français et de Volodymir Zeelinsky a amené à exposer ce que deviendrait l’industrie automobile des pays du Nord de l’Europe sous les directives de la Franchouille…























