Hypercar GP1 V12 800cv Garagisti&Co…
A 2,5% de temps passé dans notre nouveau millénaire qui a débuté avec l’écroulement des deux tours du Word Trade Center de NewYork… suivie par la tentative d’extinction du trop plein de l’humanité avec le ravage planétaire des faux vaccins Covid… suivie par l’interférence Euro-américaine d’un coup d’Etat en Ukraine… suivie de la guerre Russo-Ukrainienne en limite de devenir Européenne… en parallèle du Génocide des Palestiniens de Gaza pour qu’Israël s’empare sans partage de leur gigantesque champ gazier et pétrolier situé dans leurs eaux territoriales…
Cela va s’en doute être suivi d’une guerre Taïwan/USA/Chine et diverses crises multiplicatrices incluant les folles directives de la Communauté Européenne imposant le tout électrique automobile et l’obligation d’acheter le gaz Américain trois fois plus cher que le gaz Russe (une auto-sanction en multiples sens)… alors que nous sommes hébétés en plein nouveau siècle dominé par les systèmes hybrides, les algorithmes, les robots IA et l’automatisation à outrance, Garagisti & Co fait le choix de se démarquer de la production des micro petites séries d’hypercars en créant la GP1…
Cette “chose” reprend le look raté d’une Lamborghini obsolète d’une architecture simpliste et surannée équipée d’un V12 extrapolé des antédiluviennes Jaguar’s XJ12 désuètes qui ne se vendent plus même au compte-goutte depuis trente ans… Et de crier Hourrah Hourrah Hourrah “à-la-Russe” pour célébrer ces non-évènements qui ne résoudront strictement rien des causes d’un monde plombé d’une fatigue existentielle qui de plus se rend compte qu’aucun humain n’a été sur la lune… La réalité est même pire… L’affaire devrait donc, s’arrêter ici… Ce serait dommage de me priver d’en papoter. Donc je continue…
La GP1 construite autour d’un châssis monocoque en fibre de carbone conçu en collaboration avec DEXET Technologies, est motorisée d’un V12 6.6 litres atmosphérique développant 800cv à 9.000 trs/min et disposant de plus de 700 Nm de couple, auquel est associée une boîte manuelle Xtrac à 6 rapports montée longitudinalement. Ce bloc n’est pas un Jaguar V12 mais un développement de Italtecnica Srl, spécialiste italien du sport automobile. Il figure pour cette aventure d’être parmi les partenaires techniques de Garagisti & Co. aux côtés de Brembo (freinage) et Öhlins (trains roulants/suspensions).
Comme on devait s’y attendre, Garagisti & Co. ne donne aucune donnée chiffrée quant aux performances de la GP1, mais le constructeur britannique assure (sur l’honneur perdu d’avance) que son hypercar qui devrait être aussi à l’aise sur routes, sur pistes que sur circuits, et plus… est brutalement rapide grâce à un design inspiré des icônes des années ’80, ’90 et 2000, particulièrement des Lancia Stratos Zero, mais aussi de la Lamborghini Countach ainsi que d’autres réalisations de Marcello Gandini, à qui l’on doit la Lamborghini Miura ou encore l’Alfa Romeo Montreal.
Mais le miracle est que Marcello Gandini n’a strictement rien fait, la GP1 a été dessinée par Angel Guerra, un designer inconnu dont le parcours nébuleux fait état de brefs passages chez Bugatti et Rimac. Les lignes épurées de la GP1 imaginées par Angel Guerra et son équipe, calquée sur une des plus laides Lamborghini, s’accompagnent de solutions techniques secrètes améliorant l’aérodynamisme (sic !). C’est à l’image de son imposant diffuseur arrière (l’un des plus gigantesque installés à ce jour sur une voiture de route).
L’habitacle de la GP1 enfin, adopte une architecture en double cockpit et se démarque notamment par son look simplistement épuré, dépourvu d’écrans superflus comme le stipulait le cahier des charges imposé par Angel Guerra : “Pas d’écrans, pas de gadgets inutiles”… Garagisti & Co. a prévu d’assembler 25 exemplaires de la GP1, commercialisées au prix de 2,450.000 millions de livres Sterling l’unité, hors taxes et suppléments, gadgets, taxes et frais. Chaque exemplaire sera largement personnalisable selon les souhaits de son éventuel propriétaire…


























