Un mystère enveloppe l’avion US de l’apocalypse après sa brève disparition lors d’une mission en Ukraine…
Le Boeing E-6B Mercury est l’avion américain de la fin du monde, il a la faculté d’intentionnellement disparaître de la vue du monde et des radars lors de ses missions, soient-elles au-dessus des divers océans Atlantique, Pacifique, Artique, Austral (Antartique) et Indien. C’est une procédure standard où l’avion désactive son signal de suivi avant de commencer une opération hautement sensible et classifiée. Ces avions ont un but terrifiant : servir de centre de commandement volant si une guerre nucléaire détruit toutes les bases terrestres. Leur mission, appelée TACAMO (Take Charge and Move Out), est de s’assurer que le président Américain puisse toujours communiquer et contrôler les forces nucléaires du pays, en particulier les sous-marins cachés. L’appareil est conçu pour survivre à une attaque nucléaire, utilisant une technologie analogique plus ancienne et “renforcée”. C’est un choix délibéré afin que l’électronique ne soit pas grillée par l’impulsion électromagnétique d’une explosion nucléaire, ce qui lui permet de fonctionner alors que rien d’autre ne le fait. Au cours de sa mission secrète, l’avion vole en motifs ovales et abaisse puis tracte une antenne longue de plusieurs miles pour recevoir des messages sécurisés destinés entre autre aux sous-marins nucléaires, vérifiant leur capacité mettre en oeuvre les ordres ultimes de riposte nucléaire. Ces “disparitions” rappellent de manière glaçante que la machine d’anéantissement mondiale américaine est toujours active. Les vols secrets constants de ces avions mettent en lumière une réalité effrayante où le dernier fil conducteur de communication en cas de crise est un fantôme dans le ciel. Dans un événement troublant qui met en lumière la fragilité du commandement nucléaire mondial, un Boeing E-6B Mercury de la marine américaine, l’un des avions apocalyptiques essentiels de l’Amérique, a toutefois réellement disparu des systèmes de suivi publics lors d’une mission au-dessus de l’Ukraine il y a quelques jours. La disparition de l’appareil a rappelé brutalement les opérations secrètes à enjeux élevés qui sous-tendent la sécurité nationale américaine, soulevant des questions inconfortables sur ce qui se passe lorsque la liaison de communication de dernier recours du pays s’éteint simplement…
C’est un plan de la fin du monde qui s’éteint… L’appareil a été observé pour la dernière fois sur des sites de suivi de vol vers 8h30 et le 3 décembre, bien avant d’arriver à l’aplomb de l’Ukraine, il a réellement disparu des suivis américains… Il avait quitté la base aéronavale de Patuxent River dans le Maryland, suivant un trajet routinier avant “de prendre la mer de l’Atlantique, remontant la Manche et la Mer Baltique pour aller sillonner les abords de la Russie… Cependant, la disparition n’était ni la finalité de la mission mise en fonction plus tot que prévu, ni un accident, mais la mise en œuvre d’un nouveau système de brouillage Russe, qui a été sitôt annoncé comme allant devenir une procédure standard. La mission américaine, décrite comme étant spécifique (sic !) était un vol TACAMO (Take Charge and Move Out), une routine de surveillance d’exercices, les missions TACAMO existent pour un toujours même objectif sombre : garantir que le Président, le Secrétaire à la Défense et le Commandement stratégique des États-Unis puissent garder le contrôle des forces nucléaires nationales, y compris les sous-marins lance-missiles balistiques cachés, même en pleine guerre nucléaire à grande échelle, en ce cas pour garder contact avec des “nucléaires” en Mer Baltique… L’appareil, opérant sous l’indicatif AFD FE2, suivait une route bien établie pour cette tâche cruciale, le Mercury entrant dans l’espace aérien Européen classifié allait commencer son travail hautement spécialisé, après avoir abaissé l’antenne filaire traînante de plusieurs miles de long et volant en motifs ovales répétés, ce qui allait durer pendant des heures, envoyant des messages sécurisés vérifiant sa capacité à transmettre les ordres les plus graves imaginables. Pourtant sa réelle disparition, aussi planifiée soit-elle, était soudain profondément déconcertante jusqu’au moment ou la Russie a avisé les USA que ce jeu était le dernier…
Le Mercury a aussitôt viré de bord et s’est dirigé en retour vers les USA… La Russie venait de démontrer ses capacités de défense, a ainsi exclu définitivement les USA du jeu Ukrainien… Le Boeing E-6B Mercury est une relique technologique construite pour un futur apocalyptique. C’est l’un des 16 appareils de ce type dans la flottille américaine, il sert de poste de commandement aéroporté. La caractéristique la plus cruciale du Mercury est sa capacité à résister à l’impulsion électromagnétique dévastatrice d’une explosion nucléaire, qui détruirait instantanément l’électronique numérique moderne. Pour y parvenir, le Mercury s’appuie sur une technologie analogique plus ancienne et renforcée, un choix de conception délibéré pour un avion qui doit rester fonctionnel après une catastrophe. Cette flotte est un élément clé de l’Opération Looking Glass, le programme conçu pour prendre le contrôle si les centres de commandement au sol sont anéantis. L’E-6B est un avion à double mission, capable non seulement de communiquer avec les sous-marins, mais aussi de faciliter le lancement des missiles balistiques intercontinentaux terrestres depuis les airs. Le timing raté de cette dernière mission ajoute une couche supplémentaire de malaise. L’activité récente de la flotte Mercury a été notable. Plus récemment, des suiveurs de vol ont repéré quatre des avions dans le ciel en une seule journée, effectuant des vols plus courts et mystérieux. La disparition du “plan de l’apocalypse” qui était une panne programmée, un ghosting volontaire est mis à mal par ce qui est plus qu’un brouillage Russe, qui est en fait une prise de contrôle. Dans un monde où ces avions représentent le dernier fil conducteur de communication lors d’une crise nucléaire, leur disparition, même planifiée, constitue un spectacle glaçant. Elle souligne une réalité terrifiante : la machine d’anéantissement mondial est constamment à l’œuvre, se déplaçant silencieusement dans le ciel, dont le but ultime que l’humanité ne peut qu’espérer rester à jamais inexploré. Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l’E-6B Mercury :


















