Impala Restomod’64 & Buick Grand National Widebody’87
“Quel est votre point de vue lorsqu’il s’agit de réparer des américaines classiques ?”... Mon médecin préféré qui est un commentateur assidu et déjanté de mes articles est friand de mes multiples sens en non-sens et, en ce cas dépassant de loin l’aspect universitaire de la déconne au plus profond des voies seigneuriales impénétrables, me répondrait une sagacité médico-sexuelle en limite de mettre en péril sa position de professeur médicinal philosophe… Elle est déjà en prise dans des subterfuges et chausse-trappes chirurgicales telles des frappes militaires, débordant sur le coté financier des interventions… Doit-on laissé les corps des délits textuels tels qu’ils sont créés ou doit-on approuver de modifier des américaines au plus profond pour en jouir de manière quasi Lacaniste, tels des masturbateurs déviants, refusant de laisser tels quels les corps des délits comme lorsque sortis de l’espace corrélationnel… Peut-on modifier à l’extrême ? La réponse est “ça dépend des circonstances”… Oui… En ces cas extrêmes qui pénètrent au plus profond de manière sado-maso cela dépend de ce que le propriétaire veut, de ses objectifs et, surtout, de la voiture dont il est question, car si vous imaginiez jouir en me lisant jouer avec les organes et orgasmes, il vous faut foncer dans la section des “SecretsInterdits”... En effet, les charcuteries chirurgicales de cet article y concernent…
Ouiiiiiii, en ce cas il s’agit d’une Chevy Impala’64 et une Buick Grand National’87. La Chevrolet Impala est l’un des noms les plus reconnaissables dans le monde de l’automobile américaine. Avec trois séries de production s’étendant sur une période de 60 ans, il a traversé certaines des époques les plus emblématiques de l’histoire américaine. Pourtant, il a toujours conservé sa stature caractéristique d’une machine raffinée mais puissante. Dans ses états les plus connus, elle pourrait même être considérée comme une sorte de muscle car de luxe. En tant que telle l’Impala a été utilisée pour toutes sortes de constructions, des Street Machines aux Lowriders. Pourtant, une Impala Restomod ’64 à carrosserie full modifiée est un tabou, et en tant qu’éditeur iconoclaste, je suisse là pour “foutre le bordel” jusque dans les bastringues. Chromes&Flammes est là pour ça depuis la fin des Seventies.. Yeahhh ! La Chevrolet Impala de 1964 est sans doute la voiture la plus connue des sixties. Nous connaissons toutes et tous les muscle-cars de la seconde moitié de la décennie, mais peu d’entre elles ont un héritage qui s’étend sur un dixième de siècle, comme l’Impala. Même si les modèles de la fin des années soixante sont plus élégants et plus puissants, il est indéniable que les Impala antérieures sont plus populaires, du moins en ce qui concerne la musique…
Lorsque vous pensez à une Impala’64 construite sur mesure, vous pensez probablement à une Lowrider-Mexicanos qui sont extrêmement recherchées dans ce segment transgenriste… Si ce n’est pas le cas, vous pourriez penser à un pyjama de luxe truqué qui conserve les lignes d’origine incroyablement cool. Mais qu’en est-il d’un Restomod Trans-Bodybuildé ? Ce n’est probablement pas la première chose que vous envisageriez, car c’est comme si vous preniez goût pour les Shemales-Transexuelles bandatoires “à donf” qui n’ont nananana rien à foutre de faire un procès en millions de dollars comme un mec deviendou enseignante qui rend dingue un de ses élèves 30 ans plus jeune et cherche à démontrer que son pénis à disparu au plus profond… Il ne sort que si on s’en sert quitte à s’en masturber les méninges… Les jeux de “touche-pipi” avec “micron-pénis” et “maxi-clitoriche” à haut_niveau sont visqueux… La position de l’introduction personnalisée est ce qui le rend l’affaire vraiment géniale. Tout le monde veut voir et palper… En ce cas l’Impala est écrasée au sol avec un empattement élargi. Des effets personnalisés et de l’évasement cérébral lient le tout. La peinture bleu foncé tout comme la peinturluration corporelle nommée “maquillage” accentue très bien le style déviant, avec des éléments modernes comme des phares à LED disséminés partouze, euhhhh : partout…
Comme il s’agit d’une Chevrolet, ce n’est pas si difficile de comprendre que c’est un Chevy LT7 ZR1 V8 une LS qui alimente les besoins, avec des turbos qui sortent en érection à travers le capot, la solution idéale. Quoi qu’il en soit, je ne vais pas vous mentir, je suis ne suis pas transgenre à éviter les belles carrosseries aux lignes radicalement sexuellement modifiées. Je préfère généralement un engin qui a l’air proche du stock d’origine, même s’il est énormément travaillé… Même la position de la punaise sur les Street-Machines suffit parfois à me faire fuir. Pour une raison quelconque, celle-ci fonctionne pour moi. Qu’en pensez-vous ? Laissez un commentaire et faites-moi savoir si vous aimeriez ou préféreriez une enculade typiquement franchouille. Et s’agissant de la Buick Grand National ? Aussi rares et étonnantes que soient ces voitures d’usine, beaucoup de “Street-Rodeurs” non-transgéristes, conviennent que les limites de la putasserie devraient être laissées telles quelles. Buick tout comme “Dame-Nature” ayant mis au point un ensemble vraiment impressionnant qui a toujours l’air incroyable à manipuler et qui fonctionne bien dans la circulation moderne des flux’s er reflux’s… Alors, pourquoi changer ? Eh bien, parce que c’est ce que certaines personnes creusent voulant aller au plus profond de manière absolument radicale.
Bien, il faut vous détendre, aucune Buick et aucune Impala n’a été blessée pour cet exercice textuel de première main.. La Buick Grand National est l’une des Muscle cars les plus coolesques de l’histoire, à plus d’un titre, elle a redéfini ce que l’Amérique pensait des Muscle cars à l’époque où elles sont entrées en full produc. Alors que la performance a été reléguée au second plan par rapport aux émissions cancérigènes, cette Buick a défié les probabilités et a ramené la charge à ce que les Américains aiment le plus. Et elle n’avait même pas de gros moteur. Cette incroyable construction Road Runner m’a donné envie de la déchirer bien profond… Cet hommage bandatoire à donf a été tellement bien fait qu’il nous fait penser que nous sommes de retour en ’69. C’est parfait à presque tous les égards. Les années 1980 ont été une période un peu délicate pour les voitures de performance. Après la crise pétrolière des années ’70 et avec des réglementations de plus en plus strictes sur les émissions, nous avons dû réapprendre tout ce que nous pensions savoir sur la construction de voitures rapides. À l’époque, les muscle cars étaient loin de ce qui définissait le segment dans les années ’60. Fini les gros V8 ultra-puissants, et à leur place se trouvaient de petits blocs qui produisaient la moitié de la puissance des anciennes voitures.
Les systèmes de freinage, les transmissions et les suspensions étaient toutefois tous bien meilleurs, mais le manque de grande puissance laissait beaucoup à désirer. Chevrolet, Oldsmobile et Pontiac ont tous essayé de faire fonctionner les V8 de 305ci et 307ci pour leurs modèles de performance construits sur la plate-forme GM G-body… Buick a pris une autre direction en décidant de travailler sur le V6 de 3,8 litres et de l’équiper d’un turbocompresseur. Bien que cela ait pu en faire l’outsider sur les premières impressions, la peinture entièrement noire a dit au monde qu’elle était sérieuse. C’est ainsi qu’est née la Buick Grand National. La muscle car la plus révolutionnaire des États-Unis est toutefois arrivée dans la pire décennie, lorsque les muscle cars V8 étaient au plus bas. Mais un constructeur automobile a eu une nouvelle idée. La Buick Grand National est devenue la reine du G-body, changeant la vision de tout le monde sur les muscle cars et les moteurs V6. Pendant des années, la bête a dominé les rues, mais ce n’était pas suffisant. En 1987, Buick a tout mis en œuvre en envoyant 500 de ces voitures à McLaren ASC pour faire monter les enchères. Le résultat a été la Grand National GNX encore plus puissante, portant le combat au niveau mondial. Les systèmes de freinage, les transmissions et les suspensions étaient toutefois tous bien meilleurs… Quoique, c’est relatif…
En fait, c’était le manque de grande puissance laissait beaucoup à désirer. Chevrolet, Oldsmobile et Pontiac ont tous essayé de faire fonctionner les V8 de 305ci et 307ci pour leurs modèles de performance construits sur la plate-forme GM G-body… Buick a pris une autre direction en décidant de travailler sur le V6 de 3,8 litres et de l’équiper d’un turbocompresseur. Bien que cela ait pu en faire l’outsider sur les premières impressions, la peinture entièrement noire a dit au monde qu’elle était sérieuse. C’est ainsi qu’est née la Buick Grand National. La muscle car la plus révolutionnaire des États-Unis est toutefois arrivée dans la pire décennie, lorsque les muscle cars V8 étaient au plus bas. Mais un constructeur automobile a eu une nouvelle idée. La Buick Grand National est devenue la reine du G-body, changeant la vision de tout le monde sur les muscle cars et les moteurs V6. Pendant des années, la bête a dominé les rues, mais ce n’était pas suffisant. En 1987, Buick a tout mis en œuvre en envoyant 500 de ces voitures à McLaren ASC pour faire monter les enchères. Le résultat a été la Grand National GNX encore plus puissante, portant le combat au niveau mondial. La bête a même surpassé la Corvette aux États-Unis dans les années 1980 car à peu près parfaite, équipée de freins à disque à l’avant, d’une transmission overdrive, d’une tonne de puissance et d’une volonté de tuer…
Elle n’avait alors vraiment besoin de rien pour devenir la prunelle des yeux des américains. C’est-à-dire, à moins que des olibrius à l’imagination exagérée, se mettent à construire une Super Street-Machine avec un super V8, ce qui est ici le cas… Cette Chevelle DIY vient de battre les pros à leur propre jeu, bien que cette chose ressemble à quelque chose qu’un magasin haut de gamme construirait, elle a été réalisée par un amateur. Nous parions qu’il bat tous les records. Fini les jantes d’usine, vive les unités massives d’inspiration rétro. La profondeur des roues arrière est l’indice qu’il y a encore du caoutchouc sérieux en 2025 pour s’assurer que cette chose s’accroche. L’admission d’air au-dessus de la ligne de capot et l’énorme turbo qui regarde à travers la calandre indiquent que cette chose est prête à produire une puissance sérieuse, tandis que la postcombustion à l’arrière porte les choses à un tout autre niveau. C’est une machine bien plus puissante que même la GNX la plus méchante de l’époque. Que pensez-vous ? Si vous n’êtes pas forcément un puriste, il ne faut pas privilégier une voiture qui a l’air proche du stock. C’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de cette Grand National qui aurait du être créée en haut de gamme sportive de l’époque, telle que sortant d’usine, même si je construisais un hommage semblable au départ de ma Smart qui serait alors une Super Brabus Revival ! Voilà, c’est la fin (de cet article)… Je veux cependant votre avis. Laissez un commentaire ci dessous… Bye…


























