Le Rolls-Royce Cullinan d’Odell Beckham JR, nouvel abonné US !
A chaque fois que je passe une p’tit quinzaine en Floride pour me détendre des vicissitudes Franchouillardes, le plus loin possible du Président Macropoléon qu’on dit Cocaïné comme Zeelinski et autres zouaves, j’y vois beaucoup de SUV Rolls-Royce Cullinan personnalisés, surtout ces derniers temps avec Donald Trump Président qui ose tout, et, symptôme que les dollars continuent de couler à flots contins au pays d’Uncle-Donald, les Gros SUV dont les Cadillac’s et Rolls Royce Cullinan, sont quasi tous personnalisés avec des peintures psychédéliques, jantes de 26po et mascottes ornementales de calandres et/ou capot.
Si les gens politiquement-correct “à l’Anglaise” n’osent pas s’amuser avec des teintes Flashy et ont une sainte dévotion envers la sacro-sainte sculpture emblématique Spirit of Ecstasy ornant la calandre de leur Rolls Royce Cullinan, les milliardaires extravertis, déjantés, totalement politiquement incorrects tel mon voisin d’Amérique Odell Beckham Junior, athlète professionnel, richissime, connu surtout aux USA pour réaliser des prises de jeux spectaculaires de football américain chaque dimanche, alors que tous les paris sont ouverts, il est d’évidence que ses voitures et son comportement s’affichent de même.
Si vous en êtes aussi, pensez que lorsqu’il s’agit de savoir jusqu’où aller lors de la personnalisation de votre Rolls Royce Cullinan orange ou pailletée, vos fan’s fonceront direct s’abonner en versant un DON supplémentaire d’au moins 200 dollars à GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits pour en mieux connaître… Dans cette course au consumérisme, les plus riches aux USA ne vivent pas de même que les ouvriers européens qui perdent leur emploi suite aux élucubrations Maropoléoniènes ne visant qu’à empocher les commissions des retours sur dons de charité offerts à l’Ukraine provenant de nos impôts.
Ce fut le cas aussi pire avec les centaines de milliards de faux vaccins gérés par la Hyène cheffe de l’Europe… Sur ces points, l’Europe est corrompue à des niveaux que nous envient les trafiquants de drogues et d’armes… Bref, pour rester dans le sujet de l’instant qu’est le SUV Rolls Royce Cullinan, je termine d’abord l’info distillée concernant Odell Beckham Junior, qui, après avoir été échangé des Giants de New York aux Browns de Cleveland, le surnommé “OBJ” ainsi doublement payé, a obtenu les moyens de s’engager envers l’équipe (sic !), à tel point qu’il a fait habiller d’usine son Cullinan en orange “flippant”...
Ouiiiiiiii ! Son nouveau SUV de luxe a été commandé sur mesure en orange chez Rolls Royce, pour mieux représenter les couleurs de sa nouvelle équipe…. C’est-y-pas généreux ? La Cullinan a ensuite été confiée à “Dreamworks Motorsports”, la même société qui avait précédemment modifié sa Lamborghini Urus en même teinte orange avec une transformation “tout terrain”…Et comme vous pouvez le voir sur les photos de ce reportage, la Rolls Royce Cullinan avec 100.000 $/€ de plus payés cash, est considérablement plus vibrante et plus FUN qu’avec quelconque des couleurs aristocratiques politiquement correctes.
Par exemple le sempiternel Vert-Anglais qu’un Gentleman Britannique doit avoir… Passons en revue quelques-unes des modifications, en commençant par les jantes Forgiato de 26 pouces repeintes sur mesure avec des enjoliveurs centraux flottants Rolls-Royce. L’esthétique crée un contraste puissant grâce à ces enjoliveurs centraux orange sans oublier les étriers de frein orange. Ensuite, il y a l’habillage personnalisé “Dawg Pound Orange”, assorti aux casques des Brown’s (son équipe de Foot Américain) et à divers accents de l’uniforme du club d’OBJ… L’habillage fonctionne d’ailleurs plutôt bien d’un point de vue visuel.
C’est aidé principalement par le contraste avec toutes les surfaces sombres visibles, telles que les vitres teintées et les feux arrière noircis. Il y a aussi beaucoup d’orange à l’intérieur, ainsi qu’une garniture unique de plafond de toit, personnalisée, composée d’artefacts d’étoiles clignotantes et d’un système audio personnalisé, dont les subwoofers sont logés dans une fausse calandre Rolls-Royce décorative située dans le coffre… Nous arrivons maintenant à la pièce de résistance : une figurine d’OBJ exécutant “The Catch”, remplaçant la sempiternelle sculpture “Spirit of Ecstasy” de toutes les Rolls Royce.
Si vous vous demandez ce qu’est “The Catch”, spermettez-moi de vous éjaculer d’explications suite à une masturbation mesurée de “motsparlatozoîdes”, car c’est beaucoup plus important qu’une simple statuette industrielle éculée démoulée par un re-jaculateur précoce qui entretient ainsi son vice… Lors d’un match de football du dimanche soir contre les Cowboys de Dallas, OBJ a attrapé le ballon d’une main, complètement étiré, en utilisant moins de surface du bout des doigts qu’il n’en faudrait pour déverrouiller un smartphone. C’est l’un des plus grandioses “attrapés” de l’histoire de la NFL.
Bien sûr, Odell Beckham Junior portait l’uniforme des Giants de New York à l’époque, et cette sculpture a des accents orange tandis que la police d’écriture des caractères des numéros des Giants est blanche pour les uniformes à domicile et rouge pour les maillots de route. Donc, d’une certaine manière, la sculpture personnalisée donne l’impression qu’il a recopié/immortalisé son “attrapé” dans un uniforme des Browns… Mais maintenant je ne fais que pinailler de choses stupides… Je me dois de revenir à des faits sérieux concernant ce Cullinan qui affiche des lignes élégantes et se gargarise d’un confort inégalé.
Ce SUV cache un redoutable V12 biturbo de 6,75 litres développant 600 chevaux et 900 Nm de couple, associé à une transmission intégrale et une boîte automatique à huit rapports. Il a de quoi faire trembler ses rivaux, même avec un poids de 2.660 kilos. Avec ses 3.106 carats, le Cullinan est, à ce jour, le plus gros diamant découvert par l’homme. Découvert en Afrique du Sud (Commonwealth), le Roi Edward VII se l’est approprié. Taillés en 105 pièces de diverses tailles, deux diamants sont plus célèbres : le Cullinan I (530,4 carats) sur le spectre royal et le Cullinan II (317,4 carats) sur la couronne impériale d’apparat.
Ces deux objets ont récemment été ressortis des boules à mites pour le couronnement de Charles III. C’est précisément en l’honneur de ces pierres que Rolls-Royce a décidé de nommer Cullinan son VUS qui est ostentatoire à dessein, mais il n’est pas aussi gros qu’on pourrait le croire. Avec 5.341 millimètres de longueur et 2.753 kilos, c’est respectivement 42 millimètres et 67 kilos de moins qu’une Cadillac SUV Escalade (ce qui gonflera Donald Trump de joie)… Considérant la clientèle puriste de Rolls-Royce, il ne fut pas facile de créer un lien/ le passage de la berline/coupé/cabriolet à l’univers des SUV’s.
L’équipe de design de Rolls-Royce, grâce aux gigantesques proportions des éléments de style propres à la marque et les fonds financiers du Groupe VW propriétaire qui a été créé par Adolf Hitler pour son ami Ferdinand Porsche, a toutefois réussi le passage. Tout part de la grille de calandre en Panthéon intégrée dans la carrosserie comme la Ghost et non pas la Phantom VIII. C’est plus discret, plus dynamique et, surtout, un peu moins ostentatoire, mais non moins fait en acier inoxydable poli à la main. Au sommet, on retrouve la reine des ornements de capot, la “Flying Lady” ou “Spirit of Ecstasy” si caractéristique.
Les blocs optiques sont bien intégrés, mais manquent de personnalité malgré un éclairage à DEL singulier. Le profil m’a forcé une réflexion, concernant les étranges proportions. Ce qui explique le trompe-l’œil, c’est la position de la portière arrière. Avec une ouverture de type suicide, donc inversée, la porte est presque entièrement devant la roue. Ajoutez à cela la position assise à l’intérieur presque dans le coffre. Il y a aussi les jantes de 26 pouces déjà annoncées. À l’arrière, c’est conservateur, mais maintient le style, notamment avec la forme et la taille compacte des feux de même qu’un renflement au centre.
Celui-ci imite grossièrement les malles des voitures des années 1920-1930. Même si l’on est chez Rolls-Royce, la quantité de chrome demeure contrôlée, mais si l’on désire s’en passer complètement, il est possible d’opter pour une version Black Badge qui le retire partout, même la dame porte alors une robe noire… Fort heureusement que la suspension s’abaisse à l’entrée et la sortie des occupant(e)s, car le Cullinan est haut sur pattes. Une fois à l’intérieur, la première chose qui frappe est l’odeur des cuirs, unique à Rolls-Royce. La seconde est la structure symétrique de la planche de bord depuis des décennies.
Pour l’instrumentation, on refuse d’assumer un écran complet. Tout est numérique, mais distribué dans trois cercles, dont celui qui montre le pourcentage de la puissance utilisée. C’est un clin d’œil conservateur propre à la marque. Au centre, se découvre un écran tactile de 12,3 pouces contrôlé par une molette. Le système multimédia est dérivé du BMW iDrive utilisé aussi dans les Bentley’s appartenant à BMW, qui fonctionne bien et se montre surtout plus simple à manipuler. Plus bas, on retrouve les commandes pour la climatisation. Difficile de faire plus traditionnel les roulettes horizontales étant en bleu et en rouge.
Entre les passagers, une collection de boutons s’ajoute, mais il ne faut que quelques minutes pour s’y retrouver. Les sièges offrent évidemment un confort royal. On ne compte plus les réglages et les températures. Ils sont tellement gros qu’on dirait réellement des “La-Z-boys”. Dans une Rolls-Royce, il n’y a que des matériaux véritables, ce qui brille, c’est du chrome ; le bois est du vrai. Ce qui est en plastique est lustré et de qualité. La finition, comme attendu, est exceptionnelle. À l’arrière, sortez le chéquier. Les fauteuils, appelés “Sanctuaires”, sont une option à 34.000 $/€.
Dans ce forfait, vous obtenez plus de commandes aux sièges, mais surtout un réfrigérateur et un espace pour les flûtes à champagne. Le système d’infodivertissement arrière est à 11.854 $/€, les tablettes motorisées sont à plus de 7.500 $€. Le tout se fait sous un ciel étoilé à DEL qui prend plus de 3 semaines à être assemblé pour la modique somme de 11.000 $/€. Il est impossible de trouver un endroit plus confortable pour le transport exécutif. On se retrouve dans un état de béatitude, mais étonnamment, les dégagements sont plus limités que ce à quoi je m’attendais.
Malgré sa taille et son poids, le Cullinan a un coffre (Dikki) plutôt petit avec un volume de 560 litres. Notez que le dossier ne se rabat pas en raison de la présence d’un réfrigérateur et de haut-parleurs (enceintes)… Jusqu’à récemment, Rolls-Royce ne dévoilait pas la puissance de ses motorisations sous prétexte qu’elle était toujours suffisante. Aujourd’hui, les ingénieurs affirment sans gêne que le V12 BMW de 6,75 litres pousse pas moins de 563cv et produit un couple de 627po. L’accélération se fait de manière voluptueuse sans aucune violence si ne n’est que l’arrière s’affaisse.
La boîte de vitesses à 8 rapports enchaîne les passages des vitesses sans à-coups. Avec un V12 BMW sous le capot, la consommation de carburant, entre 16 et 20 litres/100 kilomètres, fait mal aux écologistes tout comme les émissions polluantes à 389 grammes de CO2/kilomètres font mal à l’environnement. Le Cullinan est capable de remorquer jusqu’à 3.300 kilos (7.275 livres)… Rolls-Royce ne s’est jamais distingué pour l’agrément de conduite, et ce RR Cullinan n’y fait pas exception. La direction aux 4 roues est précise, mais se garde bien de transmettre des sensations, quoique les “Magic Carpet” sont impressionnantes.
Elles sont pneumatiques, adaptatives et autonivelantes. On ne sent rien sous les roues. J’ai même fait le test du “dos d’âne” à une vitesse que plusieurs véhicules auraient laissé un essieu sous le choc, le Cullinan l’a avalé sans même que je m’en rende compte. Elles réussissent même à contenir la masse en virage de manière inattendue. Je n’aurais JAMAIS pensé faire du dérapage contrôlé (drift) en Rolls-Royce, mais j’en ai fait! Et puis pourquoi pas? Ç’a été l’occasion, un peu extrême, je l’admets, de mettre à l’essai la performance du roulage intégral. On se met sur le mode hors route et les suspensions s’élèvent…
Je sais très bien que personne ne fera du hors route avec ce véhicule, mais il est intéressant de savoir qu’il a des capacités qui excèdent toutes les normes de l’industrie. Autre chose d’inattendu, la piètre qualité de la calibration du freinage. Le pédalier est tellement spongieux que j’ai presque embouti la voiture devant moi à un feu rouge. Oui, j’ai eu chaud et Odell Beckham Junior aussi. Le Cullinan impressionne et il est fait pour impressionner. Ajoutez qu’il est configurable à la carte selon les moindres caprices de l’acheteur ; et si ça n’existe pas, Rolls-Royce va le créer.
Le modèle à l’essai avec toutes ses options et les différents frais, dont 70.797,60 $/€ de taxe fédérale de luxe, se détaille à 700.000 $/€. C’est un montant indécent, mais si personne n’était capable de le payer, Rolls-Royce ne le ferait pas. En matière de recommandation, l’échantillonnage est trop limité pour être en mesure de me prononcer sereinement. Froidement, je vous suggère de faire comme moi, à Saint-Tropez, roulez en Smart Brabus… Evitez les emmerdes, les signes extérieurs de richesse qui attirent les vénéneuses et carnivores, en raison des risques évidents de fiabilité, er des coûts de possession.









































