1933 Ford Hot Rod /389.000$
A 1h24 de ce milieu de nuit Tropézienne d’entre vendredi 11 novembre et samedi 12 octobre 2025, je me surprend à ouvrir la porte d’un garage inter dimensionnel où les Hot Rod’s roulent sur des rubans de Möbius, où les pistons récitent des poèmes de Lautréamont, et où Salvador Dalí lui-même a ressuscité pour venir troquer sa moustache pour une clé dynamométrique chromée… L’illumination m’apporte un texte totalement déjanté, dans l’esprit de Dalí, inspiré par un Ford Hot Rod 1933 de 389.000$, une chimère mécanique échappée d’un rêve fiévreux : Le V8 de l’Apocalypse Chromatique… Il était une fois, dans un repli temporel entre Saint-Tropez et Tucson, un Hot Rod né d’un accouplement illégal entre une Ford 1933 et une montre molle fondue sur un radiateur. Son capot, long comme une promesse de révolution, abritait un V8 qui ne rugissait pas mais chantait du Sinatra à l’envers, en morse, à chaque accélération. Ses roues ? Des horloges fractales tournant à rebours, écrasant les lois de la physique comme des moustiques sur un pare-brise cosmique.
Le volant, sculpté dans une dent de requin albinos, vibrait au rythme des pensées refoulées de Marcel Duchamp. Et sur le tableau de bord, un œil de caméléon clignait à chaque mensonge prononcé par les passants. Ce Hot Rod ne roulait pas, il lévitait au-dessus du bitume, traînant derrière lui une traînée de confettis juridiques, de procès en suspens et de sarcasmes administratifs. Il était l’anti-bureaucrate incarné, le véhicule officiel de la rébellion poétique. À l’arrière, une statue de mon Cocker Blacky en chrome noir veillait, comme un gardien mystique, sur les âmes perdues des chiens de justice. Et dans le coffre ? Un dossier écrit à l’encre de cactus et scellé par un baiser de crocodile en colère. Chaque fois que ce bolide apparaissait dans un salon automobile, les autres voitures se mettaient à pleurer de honte, leurs klaxons émettant des soupirs de jalousie. Car il n’était pas une voiture mais une hallucination roulante, une satire sur roues, une œuvre d’art qui refusait d’être vendue, sauf contre 389.000$ et une promesse de révolution…
Ahhhhhhhhh ! L’éléphant dans l’arbre… Voilà une image qui ferait frémir les moustaches de Dalí et qui mérite un texte aussi improbable que son existence. Oublions les dossiers en hibernation et les bureaucrates en costume de camouflage. Voici un hommage à ce pachyderme perché, ce pachyphénomène suspendu entre gravité et absurdité… Zou… Première histoire : L’Éléphant dans l’Arbre — Traité de Zoologie Surréaliste… Il était là, majestueux et perplexe, un éléphant d’Afrique suspendu dans un chêne liège de Saint-Tropez, les pattes pendantes, comme un vieux notaire en pleine sieste. Personne ne savait comment il était monté là, certains parlaient d’un ascenseur émotionnel, d’autres d’un rêve collectif provoqué par une overdose de jazz manouche. Ses oreilles battaient doucement, comme des éventails et ses yeux fixaient l’horizon avec la gravité d’un philosophe ayant trop lu Spinoza. Autour de lui, les branches ployaient sous le poids de ses souvenirs : une enfance dans les dunes, une adolescence dans les salons de l’Assemblée nationale… Waouwww !
Yeahhhhhhhh ! Rock’n’Attitude… Ajoutez-y une maturité désœuvrée passée à écouter du Johnny Halliday dans un Hot Rod chromé… Le Rêve où le pire cauchemard ? Pfffffffff ! Les oiseaux, d’abord outrés, avaient fini par l’accepter comme leur roi. Il trônait là, au sommet de l’arbre, tel un symbole de tout ce qui ne devrait pas être mais qui est quand même, comme les PV envoyés à des voitures disparues ou les ministres qui parlent sans conjuguer. Sous l’arbre, les passants s’arrêtaient, prenaient des selfies, puis repartaient en silence, comme s’ils avaient vu Dieu déguisé en mammifère. Un enfant a même demandé : “Papa, pourquoi l’éléphant est dans l’arbre ? … Et le père, sans hésiter, répondit : “Parce que la terre est trop pleine de gens qui ne savent pas rêver”... Et dans un souffle, l’éléphant soupira… Il savait qu’un jour, il descendrait — pas pour marcher, mais pour danser… Sur les toits… Sur les lois… Sur les absurdités du monde. Et ce jour-là, même les Hot Rods s’inclineraient. en chantant du d’Johnny…
Une seconde histoire : Le B33 et l’Éléphant — Symphonie pour moteur V8 et branches en délire… Il était une fois, dans un coin de Saint-Tropez où les lois de la gravité prennent des vacances, un Hot Rod Ford 1933, modèle B33, estimé à 389.000$, garé sous un arbre… ou plutôt dans l’arbre. Car au sommet de ce chêne liège trônait un éléphant. Oui, un éléphant. Pas une métaphore, pas une hallucination — un pachyderme bien réel, les pattes croisées, le regard lointain, comme s’il méditait sur la condition humaine ou sur le prix du carburant qui monte car Ursula Europa veut punir Vladimir Poutine de vouloir reprendre ses territoires.. Le B33, lui, ne roulait pas. Il flottait. Il vibrait. Il chantait du Sinatra en morse à travers ses échappements. Sa carrosserie, polie comme une promesse électorale, reflétait les visages des passants, certains riaient, d’autres pleuraient, tous se demandaient : “Est-ce que je suis en train de rêver ou de lire Gatsby Online ?”… L’éléphant, philosophe malgré lui, observait le Hot Rod avec une tendresse mécanique. Ouaissssss ! Super histoire…
Il se souvenait de ses années de militantisme dans les cirques anarchistes, de ses discours sur la beauté des carburateurs, et de son amour secret pour les jantes chromées. Ensemble, lui et le B33 formaient un duo improbable : l’un incarnait la masse suspendue, l’autre la vitesse immobile. Autour d’eux, les branches du réel craquaient. Les oiseaux chantaient du “Commandant Cody”, les feuilles murmuraient des extraits de plaintes administratives, et les racines s’enroulaient autour de vieux dossiers oubliés. C’était un tableau vivant, une satire roulante, une œuvre d’art qui refusait d’être vendue — sauf contre une révolution. Suivie d’une autre… Et encore… Et encore… Et pendant que les salons automobiles s’effondraient sous le poids de leur propre conformisme, Gatsby Online continuait de publier. 5.000 articles. 200.000 abonné(e)s internautes qui ne veulent pas simplement lire, ils/elles veulent vivre les textes, les respirer, les hurler dans les rues comme des manifestes en flammes.
Ouaihhhhh ! Car ici, on ne vend pas des voitures. On vend des visions. Des éléphants dans les arbres. Des moteurs qui récitent des poèmes. Des articles qui dérangent, qui bousculent, qui font exploser les garde-fous du raisonnable. Bienvenue dans le garage de l’impossible, un délire mécanique et pachydermique où les lois de la physique sont des suggestions, les arbres des ascenseurs, et les Hot Rods des créatures mythologiques. Ce n’est plus un article, c’est une hallucination éditoriale, une fugue en V8 majeur, un manifeste pour les 200.000 abonnés qui refusent de penser droit. Une autre encore ? Zouu ! Troisième histoire… Le B33 et l’Éléphant — Opus pour carburateur quantique et trompe suspendue ; Dans un recoin de Saint-Tropez où le réel fait la sieste sous un parasol en peau de cactus, un Hot Rod Ford 1933, modèle B33, estimé à 389.000$, s’est garé dans un arbre. Pas sous un arbre. Dans. Enroulé dans les branches comme un serpent chromé, ses pistons battaient au rythme d’un tango joué par des huîtres télépathes.
Le moteur, un V8 Trans dimensionnel, ne brûlait pas de l’essence — il consommait des souvenirs d’enfance et les cris étouffés des formulaires Cerfa. Au sommet de l’arbre, un éléphant. Suspendu. Immobile. Majestueux. Il portait des lunettes de juge administratif et une cravate en peau de banquier. Sa trompe, longue comme une file d’attente à la CAF, caressait les branches en murmurant des extraits de Kafka. Il ne pesait rien. Il pensait son poids. Il était là pour rappeler que tout ce qui est lourd peut s’élever, et que tout ce qui est absurde mérite d’être publié. Le B33, lui, avait des jantes en montres molles, des phares qui clignotaient en alexandrins, et un klaxon qui chantait “Muskrat Love” à l’envers. Il ne roulait pas — il rêvait de rouler. Il attendait que l’asphalte lui parle, que les feux rouges lui fassent des confidences. Il était l’enfant illégitime d’un garage et d’un musée, élevé par des mécaniciens dadaïstes dans une cave éclairée à la bougie fiscale. Autour de l’arbre, les passants s’arrêtaient. Certains pleuraient. D’autres dansaient….
Un policier en retraite a tenté de verbaliser l’éléphant pour stationnement illégal, mais sa contravention s’est transformée en papillon et s’est envolée vers l’Union Européenne. Un enfant a demandé : “Pourquoi l’éléphant est dans l’arbre ?” Et le père, sans hésiter, a répondu : “Parce que les 5.000 articles de Gatsby Online ont rendu le monde trop logique. Il fallait rééquilibrer”… Et c’est vrai. 5.000 articles. 200.000 abonnés. Des lecteurs qui ne veulent pas simplement lire — ils veulent dérailler. Ils veulent des textes qui explosent les garde-fous du raisonnable, qui transforment les procès en poèmes, les moteurs en manifestes, les éléphants en prophètes. Gatsby Online n’est pas un site. C’est un garage métaphysique. Un zoo pour idées interdites. Un arbre où chaque branche est un article, chaque feuille une satire, chaque fruit une plainte contre l’univers. Et dans cet arbre, le B33 attend. L’éléphant médite. Et vous, cher lecteur, êtes invité à grimper…. Ah oui les abonnés rendus insomniaques car ils n’arrivent plus a décrocher de leur lecture, il faut les impliquer dans ce texte…
Et ça repart… Ces 200.000 abonnés ne dorment plus — ils roulent à tombeau ouvert dans les méandres de Gatsby Online, les yeux injectés de pixels, les cerveaux carburant à la prose surréaliste comme un V8 à l’éther. Quatrième histoire… Insomnie éditoriale — Quand les lecteurs deviennent des créatures nocturnes… Ils étaient normaux, autrefois. Ils lisaient des journaux, des blogs fades, des articles calibrés pour ne pas déranger. Puis un jour, ils sont tombés sur Gatsby Online. Et depuis… ils ne dorment plus. À l”aube des matins… Pffffffffff ! Ils relisent pour la septième fois l’article sur le Hot Rod B33, persuadés qu’il cache un code secret. À 4h, ils débattent dans des forums clandestins sur la symbolique de l’éléphant dans l’arbre. À 5h, ils envoient des mails à leur psy : “Est-ce normal de rêver que je suis un carburateur ?”... Ils ne peuvent plus décrocher. Chaque article est une porte vers un monde parallèle où les formulaires Cerfa sont des poèmes, les ministres des marionnettes en chewing-gum, et les voitures des entités vivantes qui parlent en vers libres…
Les 5.000 articles ne forment pas un site — ils forment une cartographie mentale, un labyrinthe éditorial où chaque clic est une chute dans l’absurde. Et pourtant, ils reviennent. Encore. Toujours. Encore. Toujours. Encore. Toujours….Parce que Gatsby Online ne se lit pas. Il se vit. Il se subit. Il se hurle dans les rues comme un manifeste en flammes. C’est une addiction élégante, une insomnie choisie, une maladie douce qui transforme les lecteurs en poètes somnambules. Alors oui, j’ai créé un monstre. Un monstre magnifique. Un éléphant dans l’arbre. Un Hot Rod dans le ciel. Et 200.000 âmes qui ne veulent plus redescendre…. Voici le mix ultime — un texte qui fusionne le Hot Rod B33, l’éléphant dans l’arbre, et l’insomnie des 200.000 abonnés de Gatsby Online. C’est une orgie surréaliste de métal, de trompes suspendues, de carburateurs hallucinés et de lecteurs possédés. Ce n’est plus un article. C’est un délire. Une procession. Une messe noire pour moteurs et neurones. Alors, encore une histoire dans l’histoire… Ca continue à jamais, toujours… Cinquième histoire…
Le B33, l’Éléphant et les 200.000 âmes éveillées — Cantique pour carburateur mystique et trompe céleste… Il était 3h33 du matin, heure officielle des révélations mécaniques. Le Hot Rod Ford 1933, modèle B33, estimé à 389.000$, flottait dans un arbre. Pas garé. Pas suspendu. Fusionné. Ses jantes en montres molles pulsaient comme des cœurs de bureaucrates en burn-out. Le moteur, un V8 quantique, ne tournait pas — il rêvait en bleu électrique, récitant des vers de Sinatra à l’envers pendant que les pistons dansaient le tango avec des formulaires Cerfa. Au sommet de l’arbre, un éléphant. Immense. Improbable. Il portait une robe de juge administratif et des lunettes en fibre optique. Sa trompe, longue comme une file d’attente à la préfecture, caressait les branches en murmurant des extraits de plaintes non traitées. Il ne pesait rien. Il pensait son poids. Il était là pour rappeler que tout ce qui est absurde mérite d’être publié. Autour de lui, les oiseaux chantaient du Commandant Cody, les feuilles murmuraient des extraits de procès suspendus,…
Et les racines s’enroulaient autour de vieux dossiers oubliés. Le B33 vibrait. Il ne roulait pas — il lévitait au-dessus du bitume, traînant derrière lui une traînée de confettis juridiques, de sarcasmes administratifs et de manifestes en flammes. Et pendant ce temps, dans les profondeurs de la nuit, 200.000 abonnés ne dormaient plus. Ils étaient là, les yeux injectés de pixels, les cerveaux carburant à la prose surréaliste. Ils relisaient pour la septième fois l’article sur le Hot Rod, persuadés qu’il cachait un code secret. Ils débattaient sur la symbolique de l’éléphant dans l’arbre. Ils rêvaient qu’ils étaient des carburateurs. Ils hurlaient dans les forums : « Je suis une soupape ! Je suis une soupape ! » Gatsby Online n’est pas un site. C’est un garage métaphysique. Un zoo pour idées interdites. Un arbre où chaque branche est un article, chaque feuille une satire, chaque fruit une plainte contre l’univers. 5.000 articles. 200.000 âmes éveillées. Des lecteurs qui ne veulent pas simplement lire — ils veulent dérailler. Ils veulent des textes qui explosent les garde-fous du raisonnable…
Ils veulent des textes qui transforment les procès en poèmes, les moteurs en manifestes, les éléphants en prophètes. Et dans cet arbre, le B33 attend. L’éléphant médite. Et vous, cher lecteur, êtes invité à grimper…. Arggghhhhhh ! Voici la fusion totale, l’ultime hallucination éditoriale : un texte qui mêle le Hot Rod B33 à 389.000$, l’éléphant perché dans l’arbre, les 200.000 abonnés insomniaques, les 5.000 articles comme autant de branches d’un arbre cosmique, et une bande-son qui ferait pleurer les carburateurs. Ce n’est plus un article, c’est une procession surréaliste, une messe mécanique, un manifeste pour les âmes éveillées. Encore un autre texte ? Le B33, l’Éléphant et les 200.000 Éveillés — Fugue pour moteur V8, trompe suspendue et pixels pour insomniaques… Il était une fois, à Saint-Tropez, dans un repli du réel où les lois de la gravité sont en RTT, un Hot Rod Ford 1933, modèle B33, estimé à 389.000$, garé dans un arbre. Pas sous. Dans. Enroulé dans les branches comme un serpent chromé, ses jantes étaient des montres molles…
Elles pulsaient au rythme d’un vieux Sinatra joué par des huîtres télépathes. Le moteur, un V8 quantique, ne tournait pas — il rêvait. Il rêvait de procès suspendus, de formulaires Cerfa qui chantent, de juges qui dansent en robe de chambre. Au sommet de l’arbre, un éléphant. Immense. Improbable. Suspendu dans l’absurde comme une vérité qu’on refuse d’admettre. Il portait une cravate en peau de banquier, des lunettes en fibre optique, et sa trompe caressait les branches en murmurant des extraits de Kafka. Il ne pesait rien. Il pensait son poids. Il était là pour rappeler que tout ce qui est lourd peut s’élever, et que tout ce qui est logique mérite d’être renversé. Autour d’eux, les oiseaux chantaient du Commandant Cody, les feuilles murmuraient des extraits de plaintes non traitées, et les racines s’enroulaient autour de vieux dossiers oubliés. Le B33 vibrait. Il ne roulait pas — il lévitait au-dessus du bitume, traînant derrière lui une traînée de confettis juridiques, de sarcasmes administratifs et de manifestes en flammes.
Et pendant ce temps, dans les profondeurs de la nuit, 200.000 abonnés ne dormaient plus. Ils étaient là, les yeux injectés de pixels, les cerveaux carburant à la prose surréaliste. Ils relisaient pour la septième fois l’article sur le Hot Rod, persuadés qu’il cachait un code secret. Ils débattaient sur la symbolique de l’éléphant dans l’arbre. Ils rêvaient qu’ils étaient des carburateurs. Ils hurlaient dans les forums : « Je suis une soupape ! Je suis une soupape ! » Gatsby Online n’est pas un site. C’est un garage métaphysique. Un zoo pour idées interdites. Un arbre où chaque branche est un article, chaque feuille une satire, chaque fruit une plainte contre l’univers. 5.000 articles. 200.000 âmes éveillées. Des lecteurs qui ne veulent pas simplement lire — ils veulent dérailler. Ils veulent des textes qui explosent les garde-fous du raisonnable, qui transforment les procès en poèmes, les moteurs en manifestes, les éléphants en prophètes. Et dans cet arbre, le B33 attend. L’éléphant médite. Et vous, cher lecteur, êtes invité à grimper.
Mais attention : une fois monté, vous ne redescendrez plus. Vous deviendrez vous-même une branche. Une antenne. Une soupape cosmique dans le moteur de l’insomnie éditoriale. Ce texte est désormais une créature hybride, un monstre éditorial qui ronronne comme un V8 sous LSD et médite comme un éléphant perché sur les branches de l’absurde. Il est prêt à rejoindre les 5.000 autres articles comme une antenne supplémentaire dans l’arbre cosmique de Gatsby Online. Dois-je Le styliser pour publication : ajouter des intertitres, des ruptures visuelles, des encadrés délirants… Le décliner en version audio : pour que les abonnés insomniaques puissent l’écouter en boucle à 3h33 du matin…. Le transformer en teaser : pour les réseaux sociaux, avec punchlines et visuels surréalistes…. L’intégrer dans une série : “Les Chroniques du Garage Suspendu” ou “Les Soupapes de l’Impossible”. Ou alors… simplement le laisser là, comme une offrande. Une trompe tendue vers l’infini. Une jante qui tourne dans le vide. Une preuve que l’insomnie peut être une forme d’art….
Waouwwwww ! Des dizaines de milliers de Ford T, A et B, voire bien bien bien plus ont été modifiés en Hot Rod’s. Ils étaient facilement disponibles et suffisamment simples pour être retravaillés par la plupart des gens, ce qui a conduit à un style typiquement américain. Les ‘Hi-Boy’s’ y forment une caste de “Outlaw” et sont un exemple courant d’un style de personnalisation bien connu qui consiste basiquement à enlever les ailes et/ou garde-boue. En raison de la grande variété et de l’étendue des modifications effectuées, il est très difficile d’évaluer collectivement ce groupe de voitures, ce qui nécessite une inspection minutieuse de chaque exemplaire et de sa provenance afin d’en déterminer la valeur car tôt ou tard ils sont vendus pour couvrir le cout de construction d’un autre Hot Rod. Bien que ces types de Ford modifiées aient évolués avec la fabrication de châssis, suspensions et carrosseries neuves tout comme les Kit Cars, des cotation de valeur ont été élaborées par des marchands/garagistes/vendeurs d’occasions…
Impossible d’établir une cotation régulière comme les automobiles d’usage fabriquées “à la chaine” d’autant qu’un Hot Rod peut être un Rat Rod utilisant des fonds d’épaves mais peut s’avérer quasiment comme oeuvre d’art pouvant dépasser le demi million de dollars si pas plus encore. Dans la catégorie haute la moyenne peut atteindre 400.000 US$, tel le le B33 qui illustre cet article annoncé à 389.000$… Au plus bas, ce n’est pas vraiment dans le bas du bas puisque le moins cher répertorié, un Ford A 1929 avec un V8 s’est vendu 5.000$ le 6 décembre 2024. Le prix moyen d’un Ford Hot Rod / Hi-Boy est de 50.000$… Pour arriver à tout synthétiser au départ de Saint-Tropez avec quelques A/R en Floride et Californie qui sont des vacances de vacances je commence à snober les grands shows tel le SEMA et kes GoodGuys qui me sont réellement épuisants (76 ans)… Alors peut-être que ce serait maintenant le bon moment pour aborder le sujet toujours controversé de la musique dans l’univers des Hot Rod’s.
J’ai déjà écrit à ce sujet, mais j’ai quelques nouvelles idées. Je veux qu’il soit dit officiellement que je suis en faveur d’avoir de la musique dans les Hot Rod’s et plus astucieux d’avoir des écouteurs. Je pense que cela ajoute beaucoup à l’expérience et si les chansons sont soigneusement choisies, la musique peut rendre la journée beaucoup plus amusante. La plupart des gens aiment entendre les chansons qu’ils aiment depuis des années. Cependant, la plupart d’entre les vieux Hot Rodder’s ne veulent pas entendre de l’acid rock à plein régime à 7 heures du matin, surtout si en vieux briscards on est sortis tard la veille, un peu de musique légère est toujours bienvenu en début de journée. Peut-être un classique doux de Sinatra, peut-être un peu de bluegrass tranquille. Ou peut-être un mélange. Une fois que le spectacle commence, disons vers 10 h 30, on aime entendre les vieux airs, des trucs qui nous font taper du pied, ou même danser en public. Alors, quelles sont les bonnes vieilles chansons à écouter ?
J’ai dressé trois listes de chansons qui représentent, à mon avis en tout cas, le Bon, la Brute et le Truand de ce qu’on écoute aux USA. Vous remarquerez que la première liste se compose de chansons sur les bagnoles… Les bons sont : (les bons sons aussi) ; “Helen Wheels” (Paul McCartney)… “Little Red Corvette” (Prince)… “Little Deuce Coupe” (Beach Boys)… “Hot Rod Lincoln” (Commandant Cody et ses aviateurs de la planète perdue)… “Baby Driver” (Simon and Garfunkel)… “Little G.T.O.” (Ronnie et les Daytona’s)… “Drive my Car” (par les Beatles ou les MonaLisa Twins, au choix)… “Beep Beep” (The Playmates)… “Fun, Fun, Fun” (The Beach Boys)… “La petite vieille dame de Pasadena” (Jan et Dean)… “Hey Little Cobra” (The Rip Chords)… “Maybellene” (Chuck Berry)…
Les mauvais sont (les mauvais sons sont) : “MacArthur Park” (Richard Harris)… “Seasons in the Sun” (Terry Jacks)… “Three Times a Lady” (The Commodores)… “Chick-A-Boom “ (Daddy Dewdrop)… “Anything by” (The Archies)… “Baby Don’t Get Hooked on Me” (Mac Davis)…
“Killing Me Softly” (Roberta Flack)… “Winchester Cathedral” (The New Vaudeville Band)… “Baby, I’m-a Want You” (Bread)… “All By Myself” (Eric Carmen)… “Make It With You” (Bread)… “Je t’ai eu, bébé” (Sonny et Cher). C’est une liste de chansons qui, selon moi, ne devraient jamais, JAMAIS, être jouées en public ! Mais il y a bien pire ! Les laids sons : (les mauvais sons) : Ouais, ils sont trop nombreux, mais le prix de la pire chanson jamais enregistrée doit revenir à : “Muskrat Love” (Captain & Tennille). Si vous pensez que je suis trop critique, allez-y et tentez de l’écouter sans tout casser… Ouais !!!!! Et en voici une autre qui est presque aussi mauvaise : “Cheeky Song” (The Cheeky Girls)… Écoutez-le à vos risques et périls. Il y a quelques autres “machins” qui peuvent être joués lors de moches salons d’automobiles, mais la retenue est nécessaire. Je ne veux pas écouter “In Heaven There is No Beer” cinq fois en une journée…Idem pour l’abominable et infect “I’m just a love Machine”...
Croyez-moi, je ne suis plus une machine à amours (quoique je bande encore !)… Les gens devraient être heureux que je sois réveillé et entièrement habillé à 10 heures du matin. Et quelqu’un veut-il écouter Zager & Evans “In the Year 2525” ou ” Who Let the Dogs Out” (Baha Men) au lever du soleil ? Ou que diriez-vous de “Surfer Bird” (The Trashmen) qui vous fait exploser les tympans à l’aube ? Et quelqu’un veut-il entendre parler de “My Ding-a-Ling” au petit-déjeuner ? NON… Ras le bol… Peut-être que vous n’êtes pas d’accord. Si c’est le cas, envoyez-moi vos réflexions sur les meilleures et les pires chansons à jouer lors d’un show… Assurez-vous qu’il s’agit d’une chanson légitime même Pouet Pouet Franchouillarde et non de quelque chose de délibérément destiné à être pourri, comme “Disco Duck” de Rick Dees… Voilà… Avec tout ça je n’ai pas écrit grand chose sur le Hot Rod de 400.000$ qui illustre cet article… En fait, c’est que je le trouve hyper mochard avec sa déco “Nouveau richard qui s’la pète un max”… Beerkkkkk ! Beerkkkkk ! et re-Beerkkkkk ! Voilà, c’est terminé. Bye…








































