1951 Studebaker Woodie Fastback “Never Slow Down”
Dennis Varni, inconnu en Europe, est mieux connu aux USA comme étant “Le passionné de Hot Rods par excellence”... Depuis son achat adolescent, fin des années ’50, d’une Ford A’31, Dennis Varni n’a jamais ralenti la cadence. Il s’est constitué une collection phénoménale de voitures, camions, voitures de course anciennes et motos de tous types, dont le célèbre Hot Rod Roadster Ford A’29 construit par Boyd Coddington, élu “Plus beau roadster d’Amérique” en 1992. Il a compris qu’il en coutait beaucoup moins cher de racheter des Hot Rod’s après que leurs divers propriétaires passionnés y aient engloutis des fortunes de plus de 100.000 dollars et participé à des shows de vanité qui coûtent également des fortunes, pour n’y gagner qu’une coupe hideuse en fer blanc.
Malin, Dennis Varni patiente quelques années après ces folies couteuses, pour les racheter (si pas vendus entretemps) à moins du tiers de leur coût afin de les revendre (sans travaux, donc frais) le double voire bien plus encore, en les présentant luxueusement dans un Garage/Palais… Il a ainsi écumé et acheté des Hot Rod’s, des Kustom’s et des voitures de course (notamment à de nombreuses reprises au Mexique) qui avaient participé à la Carrera Panamericana, mais aussi en Afrique du Sud pour le Championnat d’Afrique des Rallyes, et sur le lac salé de Bonneville, aux États-Unis… Avec le fameux (aux USA) “Speed Nymph” obtenu pour 5.000$ il a prétendu qu’il atteignait 560 km/h (350 mph) et l’a revendu 100.000 $… Dennis Varni a ainsi peu à peu centuplé ses avoirs…
Il a coché plus de cases sur sa liste des projets de Hot Rod’s “à terminer” que n’importe qui d’autre. En quelques années, ayant fait fortune, il a racheté le Musée Petersen aux héritiers de Robert Petersen, l’éditeur du magazine Hot Rod (qui l’avait volé/récupéré à un éditeur au nom similaire au sien, disparu durant la guerre 41/45). C’est le même type d’escroquerie qui est punissable en Europe mais pas formellement aux USA ou généralement l’escroc qui s’accapare d’un titre, d’une marque, d’un concept (en ce cas le magazine de Robert Petersen était 100% copié du magazine Throttle de qui ne savaient qu’en faire) n’est pas poursuivi. Alors, si vous vous vous attendiez vraiment à découvrir ici un “bon Samaritain”, vous vous trompez lourdement…
Juste après la fin de la guerre 41/45, il n’y avait pratiquement pas de publications consacrées à la promotion de la course automobile et des Hot Rod’s de cette époque ! Il manquait “une voix , un journal” diffusant avis, dates et localisations des courses, renseignements pour obtenir pièces et conseils ainsi que surtout : “Pour défendre les intérêts des gars de l’automobile”... Dans ce vide est entré Jack Peters, un jeune homme qui croyait passionnément à la promotion des intérêts du public pour les nouvelles automobiles de récupération qui ne s’appelaient pas encore des “Hot-Rod’s” ! Jack Peters était un pseudonyme dont l’histoire n’aurait peut-être jamais été racontée si des passionnés n’avaient pas collecté tout ce qui pouvait l’être (les documents publiés ici comme preuves).
Il est né Jack E. Jerrils, mais se surnommait Jack Peters dans les courses. Il avait de la personnalité, des yeux perçants, un large sourire et de grandes oreilles. Il avait une telle présence et une telle folie à conduire sa Ford B’32 “The Throttler” que les gens l’ont surnommé “The Throttler” du nom qu’il avait donné à sa voiture ! Jack Peters a alors fondé le magazine “Throttle” à la fin de 1940 dont le premier numéro est sorti en janvier 1941. Il allait partout avec un paquet de magazines “Throttle” sous le bras et participait aux réunions de la SCTA… Son magazine Throttle a connu un succès instantané auprès “des gars de l’automobile” dans le sud de la Californie, bien que Peters ait dû travailler dur pour convaincre les annonceurs que son petit magazine avait de l’avenir !
Il a produit 11 numéros mensuels plus un “spécial” pour honorer et rendre compte de la plus grande course de toutes : les “500 miles d’Indianapolis”. Peters a parcouru les USA à la recherche d’histoires et son magazine “Throttle” a été la première publication à donner de l’espace aux “courses de rue” et celles se déroulant sur les lacs asséchés, avec des interviews de “coureurs de vitesse terrestres”... La qualité du magazine et la précision de ses reportages étaient exceptionnelles pour l’époque. Au fil des numéros, les amateurs de vitesse ont fait tout leur possible pour trouver et acheter le magazine “Throttle” qui a gagné en popularité, en contenu et en taille au point qu’au début de décembre 1941, ce magazine était en parfaite adéquation avec le Hot Rodding naissant.
Peters a écrit dans l’éditorial de ce mois-là, qu’en 1942 son magazine atteindrait une audience et un succès encore plus grands. Ce ne devait pas être le cas, quelques jours après la rédaction de l’éditorial et la publication de ce magazine, les Japonais ont bombardé Pearl Harbor et toutes les formes de courses de loisirs vont cesser jusqu’après la guerre. Peters va devoir ainsi stopper sa publication et va entrer dans le service armé obligatoire pour sauver l’Amérique et le monde ! Et, après cela, plus personne n’a plus jamais eu de nouvelles de lui. Il était courant que les hommes partent pour la guerre et ne reviennent jamais. Pour eux, “Jack, The Throttler-man”, était parti à la guerre et y avait péri. On n’a jamais plus entendu parler de lui après 1942… Rest In Peace… Amen…
Il vous faut savoir qu’au fil des années d’après la guerre, les anciens lecteurs qui eux avaient survécu, relisaient “leurs” magazines “Throttle”, et rêvaient de ce qui se serait passé si la Seconde Guerre mondiale n’avait jamais eu lieu, à savoir que “Throttle” aurait continué à être publié et aurait finalement été proposé à la vente dans toute l’Amérique… L’occasion fait le larron et en 1948, Bob Lindsay et Robert “Pete” Petersen ont plagié “Throttle” ! Ils ont volé l’idée géniale de Jack Peters et commencé à publier le magazine Hot-Rod à leurs comptes exclusifs en laissant supposer au public et aux emmerdeurs posant des questions, que Petersen c’était Peters avec le “en” qu’il ne mettait pas du temps de “Throttle”... Petersen… Mais c’est bien sur ! Limpide !
Au plus un mensonge est une tromperie, au plus il devient une arnaque, au plus les gens adhèrent à toutes les “conneries” imaginables ! Vol, plagiat et mensonge, et vogue la galère, même s’il était plus qu’étrange de voir à quel point le magazine “Hot-Rod” était similairement recopié du magazine “Throttle”. Personne n’a fait le rapprochement ! Tout était normal ! “Hot-Rod” avait la même couverture, le titre dans un bloc rouge sur toute la largeur, une bande rouge en bas et un fond gris au milieu d’entre-deux avec une photo d’une voiture et de son conducteur (presque la même). Pour le contenu, les titres, les histoires, les articles et la façon d’écrire et d’organiser le contenu étaient 100% similaires.
Les deux filous à la tête de “Hot-Rod” ont donc amené le public à croire que Lindsay et “Peters-en” (ressuscité) avaient simplement changé le titre avec le nouveau terme “Hot-Rod” créé pour cette affaire ! Au cas où quelqu’un aurait objectivé que… “Silence, vous là-bas”... l’alternative fut ensuite de faire courir le bruit qu’ils avaient racheté le magazine à Jack “Peters-en”, un cousin ! Après 7 ans que “Throttle” ne sortait plus, la confusion n’avait que peu d’importance puisque “Throttle” n’avait été diffusé qu’en Californie… Coup de chance ! Les coups de poignard dans le dos, furent assénés par les clubs qui connaissaient la vérité mais ne disaient rien de crainte que le “nouveau magazine ancien” ressuscité par une minable et vile arnaque de bas-étage, ne “cause” plus de leur club !
De plus, le terme “Hot-Rod” a été créé en même temps que ce magazine ! Auparavant, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS le terme “Hot-Rod” n’existait ! Dans aucun des 11 numéros originaux de “Throttle” le terme “Hot-Rod” ne se trouve ! ! ! D’ailleurs, dans strictement aucun des 11 magazines “Throttle”, le terme “Hot-Rod” qui n’existait d’ailleurs pas dans les authentiques publications d’avant-guerre, n’a été utilisé ! C’est un coup de Jarnac, complété d’un coup de génie d’avoir créé ce nom “Hot-Rod”, facilement mémorisable, servant de marque et de nom du magazine ! Peut-être que ce fut noyé parce que la plupart des magazines de l’époque avaient un style vaguement similaire : “Look”, “Life”, “Saturday Evening-Post” et d’autres magazines avaient des contours similaires…
Mais la similitude entre les magazines “Throttle” de 1941 et “Hot Rod” de 1948 était trop identique pour être honnête ! Le magazine “Throttle” a donc été oublié/enterré profond par Bob Lindsay et Robert “Pete” Petersen pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que “Hot-Rod” soit vendu un demi-milliard de dollars et que des collectionneurs commencent à trouver des exemplaires du magazine “Throttle” lors de réunions d’échange, de ventes de garage et sur eBay. Le magazine “Hot-Rod” était toutefois devenu emblématique et son tirage colossal ainsi que la fortune qu’y gagnait Robert “Peters-en”, ont dissuadé quiconque de se frotter à cet homme puissant ! Le magnat Petersen était donc intouchable !… Et c’est cela qui fait le lien entre ChromesFlammes et Nitro, entre les éditions Patrice De Bruyne et les éditions Michel Hommel… Hommel a plagié Chromes&Flammes avec Nitro et aussi monté une arnaque/délation. Cela ne lui a pas porté chance, pouvoir et argent illimité car cela au contraire l’a poussé dans une faillite déshonorante et minable…
J’ai donc vécu le pire imaginable en cause du Groupe Michel Hommel qui, voyant l’énorme succès de mon magazine Chromes&Flammes amplifié par la première démonstration de Dragsters sur le circuit des 24h du Mans (100.000 spectateurs), a plagié mon magazine après avoir voulu me piéger (m’endormir) en me proposant qu’il s’occupe des annonceurs publicitaires pour C&F… Pour encore mieux m’amadouer/m’endormir il m’avait invité ainsi que mon ami Jean Lou Nory (qui avait publié un article sur mon Olds’48 dans l’Auto-Journal et m’avait incité à ce que je crée mon magazine C&F sur les HotRod’s) à une réunion d’éditeurs façon partouze bordélique… En réalité c’était pour nous “tirer les vers du nez” pour copier C&F et créer Nitro ! N’y arrivant pas malgré diverses basses manœuvres crapuleuses, peu après il va monter une délation fiscale me visant, de 117 millions d’Euros… La guerre a ainsi débuté…
En finale, la totalité de la délation créée me visant, étant mensongère et diffamatoire, le couperet judiciaire s’est retourné contre l’entièreté du Groupe Michel Hommel avec la totalité de ses titres magazines automobiles, une enquête minutieuse a eut lieu en retour et la totalité du Groupe Editions Michel Hommel a été déclaré en faillite, ce qui a abasourdi la presse automobile française. Pressentant que la presse “papier” était, de plus, en déclin, j’avais anticipé la déroute générale qui allait également frapper les diffuseurs tels “Presstalis” en reconvertissant mes titres en numérique, 3 titres en 1 seul avec un “NO-LIMIT” de l’espace et la traduction incorporée de toutes les langues du monde… GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits est devenu leader du Web, (200.000 abonnés) quoiqu’en tentant malgré-tout un renouveau plus luxueux avec deux nouveaux mags “papier” 1″ChromesFlammes” et 2“Gatsby”...
Hélas la presse “papier” n’était plus porteuse, les points de vente se raréfiaient, les magazines en Grands Magasins étant livrés en “Rayon presse” pour occuper les maris et enfants pendant que les “Madames faisaient les courses”... Une arnaque… Le diffuseur Presstalis a lui aussi fait faillite augmentant les déboires financiers de la presse “papier” qui est ainsi devenu moribonde partout dans le monde ! Le Groupe Michel Hommell en faillite et liquidé judiciairement venait en plus… La honte… C’étaient autant de pages qui se tournaient définitivement cette fois ! Même “Le Manoir de l’Automobile” regroupant la collection d’automobiles de Michel Hommel était impacté ce qui fera sans doute le bonheur d’une maison de ventes aux enchères locales, ce qui ajoutera une forme de désespérance à une fin de rêves, d’illusions et parfois de coups bas (sous la ceinture) telle la “Guerre du Kustom” entre Chromes&Flammes et Nitro… 
30 années ont été ainsi englouties… Pourtant, début des années’80 Chromes&Flammes décollait en flèche avec la première manifestation de dragsters sur le circuit des 24h du Mans, qui a été suivi du fameux ChromesFlammes show au Palais des Expositions Porte de Versailles à Paris… Michel Hommel a voulu copier mon concept en éditant Nitro et en usant et abusant de ses relations et autres magazines pour “boucler” Chromes&Flammes tandis qu’un pigiste zélé déposait à mon encontre une dénonciation fiscale amenant à une imposition de 117 millions pour laquelle je vais perdre 8 ans de ma vie en procédures pour m’en sortir ! Ce n’est donc pas dans un climat aimable et amical que ce sont déroulés les années qui vont s’ensuivre. En finale de cette guerre interminable Chromes&Flammes a pu renaître et se métamorphoser sous forme de 3 magazines en 1 : GatsbyOnline, ChromesFlammes et SecretsInterdits.
Dans ce jeu quasi mortel pour les affaires, pour savoir qui des deux, Michel Hommel ou Patrice De Bruyne serait le dernier à publier, il n’y a pas eu de points à compter. Tout le monde incluant d’autres titres a perdu. L’année suivant la faillite Hommel, ce fut Kustom’Mag puis Wild qui sombraient avec Power-Glide dans un sac d’injures de la part de son Rédac-chef… Presstalis, le diffuseur ex-NMPP, a parachevé le job de destruction entrainant toute la presse “papier” dans une catastrophe avec 1 milliard et demi de faillites et opérations de cavalerie… Et on ne devinait alors pas bien quels groupes s’en sortiraient, à moins de devenir inféodé au système Macronien, c’est à dire diffuser les communiqués de presse et les articles prémâchés du Gouvernement et ses sbires et flagorneurs (comme pour le Covid19) sans rien remuer d’autre que de la merde. C’était l’ère de l’Ukraine et les retours sur dons de charité qui débutait.
En suite des agissements qui deviennent courants dans le Hot Rodding et ses concours démentiels, à titre d’exemple, cette Studebaker Woodie Custom’51 qui est considérée comme “hors du commun” (combien pouvez-vous en citer ?) est devenue également un autre exemple de la déglingue générale… C’était le projet des frères Dennis et Curt Hill qui s’étaient lancés avec des amis et connaissances dans sa re-création à un niveau extraordinaire… Cette voiture était en cours de restauration mais l’équipe des amis associés avec les frères Hill étaient fauchés, la voiture fut saisie et mise en vente aux enchères par la justice pour payer leurs dettes et c’est Dennis Varni (cité en vedette dès le début de cet article) qui fut le seul a oser racheter la carcasse en vente aux enchères.
Celle-ci se déroulait simultanément à la vente de la collection de feu Joe MacPherson qui avait lui aussi surestimé ses capacités et s’est suicidé ruiné… Ce projet inachevé avait été initié par Doug Carr de “Woodn’Carr”, le seul jusque là à y avoir gagné des dollars. Déjà transformée d’une berline en Fastback (d’après des croquis de Thom Taylor découpés du magazine Hot Rod sans payer de droits d’usage), elle était dotée d’une carcasse de carrosserie en bois. Le toit avait été abaissé et les ailes arrière élargies avec des feux arrière, des enjoliveurs personnalisés et des phares de Ford 1937… Une voiture aussi atypique méritait un moteur tout aussi exceptionnel. Dennis Varni a un temps envisagé d’y installer un moteur Cadillac pour créer sa propre version de la Studillac. Il s’agit des “Coupés Stude” à moteur Cadillac, construits sur mesure au milieu des années ’50… Puis il s’est souvenu du système d’admission unique qu’il avait déniché lors d’une bourse d’échange il y a des décennies.
Ce système d’injection mécanique, avec ses corps d’admission à l’allure extravagante, était un prototype créé par “Propulsion Development Laboratories” dans les années’50. Tout le monde l’avait vu en couverture du magazine Hot Rod en 1959, et personne ne l’avait revu depuis. Le système était enfin opérationnel et alimentait un moteur V8 Ford 427 FE. A la demande de Dennis Varni, Dan Brewer, de Torrance en Californie, a réalisé l’assemblage du moteur et a adapté l’injection mécanique pour qu’elle fonctionne avec un système électronique Hilborn. Les culasses Edelbrock sont coiffées de cache-culbuteurs Edsel pour reproduire l’aspect du moteur de la couverture du magazine Hot Rod. Cette nouvelle configuration développait 410cv au banc d’essai. Un adaptateur a permis de coupler le moteur Ford sur une boîte de vitesses GM 700-R4. Comme c’était l’un des moteurs les plus rares et les plus atypiques que l’on puisse trouver dans un Hot Rod, Dennis Varni a flairé que cette bêtise pourrait se vendre 500.000 dollars a un illuminé…
L’intérieur a été confié à Sid Chavers, de Santa Clara, en Californie qui a fabriqué des sièges baquets sur mesure, recouverts de cuir beige avec des empiècements en fourrure grise. Le tableau de bord de la Studebaker de 1951 a été refait par Redline Gauge Works. Il a restauré l’apparence des instruments d’origine et modernisé les composants internes. Un volant de Studebaker de 1954, reproduction fidèle, provenant de Shrock Brothers, spécialiste des pièces détachées pour Studebaker a été installé. Lucky 7 Customs a appliqué une peinture imitation bois sur le volant et la colonne de direction. L’accessoire parfait pour cet intérieur fut déniché par Dennis chez un brocanteur de Washington, un ensemble de bagages vintage en cuir façon alligator a été récupéré, destiné à être rangés sur la plage arrière. Le résultat final est devenu un Custom véritablement unique … Il figurera probablement en tête de la liste des meilleures Studebaker, mais aussi des meilleurs Woodies pour la plupart des gens…
Résultat, la valeur est montée… D’abord à 350.000 dollars… Dennis Varni a fait en sorte qu’on arrive au demi million de dollars et est donc devenu une figure emblématique du monde des collectionneurs de voitures, s’imposant comme une personnalité marquante ayant exercé une influence considérable sur l’industrie automobile (sic !). Ce foutu margoulin est devenu propriétaire du prestigieux Petersen Automotive Museum qu’il a racheté une croute de pain prétextant que sans lui c’était la faillite assurée… Il a finalement obtenu tout pour strictement rien… Pas un seul dollar et la propriété totale avec les voitures en contenant… Mieux qu’un casse/hold-up… Son but était de tout vendre relax… Tout ça alors qu’il a l’image de l’honnête américain sauvant le patrimoine américain… Officiellement il est écrit ; “Sa passion pour les voitures dépasse le simple fait d’en posséder une ; il s’implique activement dans la communauté automobile, témoignant ainsi de son dévouement à cette culture. Grâce aux revenus légaux tirés de son implication auprès du Petersen Automotive Museum”...
Voilà… Vive l’Amérique… Dennis Varni s’est imposé comme une figure incontournable du monde automobile, comme en témoigne sa fortune considérable. La suite vous dévoilera tout sur sa vie : sa fortune, sa carrière, sa femme, son âge, sa taille et d’autres informations inédites… Quelle est la fortune de Dennis Varni ? Hola, pas si vite… Il faut d’abord écrire que Dennis Varni, est un collectionneur passionné et propriétaire renommé du Petersen Automotive Museum… Il faut ensuite enchainer en écrivant qu’il s’est fait un nom dans le monde des amateurs d’automobiles grâce à sa passion pour les automobiles qui transparaît non seulement dans son impressionnante collection, mais aussi dans la gestion méticuleuse du Petersen Automotive Museum, témoignant de son dévouement à ce secteur. Attention… Si vous riez vous pouvez être poursuivi pour outrage, car c’est officiellement un collectionneur passionné, s’étant immergé dans l’univers des véhicules classiques et emblématiques, faisant preuve d’un sens aigu du détail.
Mais il a aussi une profonde connaissance de l’histoire automobile. Son engagement à préserver et à célébrer le riche patrimoine automobile ayant contribué à son succès et à sa réputation… Au-delà de son rôle de conservateur et de collectionneur, la situation financière de Dennis Varni est remarquable, avec une fortune actuelle estimée à l’impressionnant montant de 100 millions de dollars . Cette fortune substantielle témoigne “officiellement” non seulement de sa passion pour les voitures, mais aussi de son sens des affaires et de l’impact de ses contributions à la communauté automobile. Alors qu’il continue d’évoluer dans le monde du collectionnisme automobile et de la gestion d’autres musées, Dennis Varni demeure officiellement une figure clé dont la passion et le dévouement ont laissé une empreinte indélébile sur le paysage automobile américain… Fortune nette : 100 millions de dollars : Revenu annuel : 5.000 000 $
“Son” Petersen Automotive Museum est la conséquence de deux escroqueries, l’une et l’autre commentées dans cet article…
Cela témoigne de son importance dans le paysage en constante évolution du secteur des musées automobiles de premier plan au monde et explique comment fonctionnent les musées, sachant que certaines pièces volées comme dernièrement au Louvre, cachent qu’en réalité les pièces volées avaient déjà été volées et que le second vol camoufle le premier sans perte puisque le second vol concerne des faux… C’est un système fort prisé avec les voitures anciennes…Souvenez vous de la Bugatti “découverte” dans un lac Suisse qui avait les numéros utilisés sur une même restaurée à neuf et vendue au Japon… Le propriétaire Japonais a affirmé que c’est la voiture du lac qui était frappée de ses numéros à lui, sa voiture en témoignant…Fort de riches histoires aussi désopilantes s’étendant sur de nombreuses années, l’établissement a consolidé sa position parmi les acteurs majeurs du secteur, démontrant un engagement indéfectible envers la non-divulgation de quoique ce soit, suivant l’exemple d’autres musées et la célébration de l’héritage d’excellence automobile…
Il lui a été délivré lors de divers concours en ca$h… Le succès de ces types de pratiques maffieuses en bandes organisées souvent chapeautées par un grand groupe d’assurance au niveau d’AXA, repose sur des équipes de professionnels chevronnés qui apportent une riche expérience, garantissant le vide abyssal… Ainsi les institutions restent à la pointe de l’honnêteté automobile et de la préservation du patrimoine historique. Reflet de son statut florissant, des statistiques récentes indiquent que le Petersen Automotive Museum affiche une valeur nette remarquable de 25 millions de dollars , témoignant de sa solidité financière et de sa croissance soutenue (je rappelle qu’il a été donné gratis à Dennis Varni (73 ans, 1m73, 75kgs)… Cette situation financière importante souligne officiellement non seulement le succès du musée, mais aussi sa capacité à développer et à enrichir continuellement son offre, offrant aux visiteurs en plus d’une expérience immersive et inégalée dans le monde de l’histoire et de la culture automobile.
Fort d’un engagement envers l’excellence et d’une solide expertise bâtie sur des années de savoir-faire, le Petersen Automotive Museum continue d’ouvrir la voie à l’avenir des musées automobiles, captivant le public et les passionnés grâce à son impressionnante collection et à son dévouement au charme intemporel des automobiles. Dennis Varni, né dans un monde de chaleur et de joie, a vécu une belle jeunesse qui a jeté les bases de l’individu remarquable qu’il allait devenir. Dès le début, Dennis chérissait les plaisirs simples de la vie, trouvant une immense joie à passer du temps avec ses amis et sa famille. Son esprit radieux et son enthousiasme sincère pour la vie se sont manifestés durant ces années formatrices… Tout cela alors qu’il embrassait les liens d’amitié et l’étreinte réconfortante de sa famille. Très tôt, Dennis a découvert un profond intérêt pour le monde de la collection automobile, une passion qui allait façonner son parcours et laisser une marque indélébile sur son identité. Sa sincérité inébranlable et son dévouement à ses activités étant évidentes…
Et ce dès sa jeunesse, reflétant les valeurs qui allaient le guider tout au long de sa vie. Entouré d’une belle famille, Dennis s’épanouit dans un environnement rempli d’amour et de soutien, nourrissant les racines de son caractère. Les échos de ses premières expériences résonnent dans la richesse de son histoire de vie, dressant le portrait d’une personne dont les fondements reposent sur l’amour, la sincérité et la passion. Dennis Varni est bénit par le Seigneur tout puissant, et de la compagnie d’une épouse belle et soutenante de 24 ans, qui joue un rôle essentiellement sexuel dans sa vie. Leur relation témoigne de la force de leurs liens BDSM, car ils restent constamment l’un l’autre à chaque instant de leur vie. Il est évident que Dennis se considère comme une personne chanceuse, reconnaissant le soutien et l’amour inestimables qu’il reçoit de sa femme. Leur relation dépasse les apparences et témoigne d’une profonde connexion et d’une compréhension sexuelle. Dans la poursuite de ses objectifs et de ses aspirations, Dennis reconnaît le rôle essentiel joué par son épouse.
Il souligne que sans son soutien indéfectible, il n’aurait peut-être pas pu atteindre les objectifs qui lui sont chers. Leur parcours commun est un mélange harmonieux de rêves partagés, d’épreuves surmontées et de la force inébranlable qui découle de leur union. Le récit de la vie de Dennis Varni est intimement lié au soutien de sa conjointe, tissant une histoire d’amour, d’encouragement et de réussite partagée. Le parcours scolaire de Dennis Varni fut marqué par des réussites remarquables et un engagement profond envers l’excellence académique. Diplômé d’une université prestigieuse, il a posé les bases de son talent intellectuel. Il a ensuite poursuivi et obtenu avec succès son master au sein de cette même université, témoignant ainsi de son dévouement à l’éducation. Ses études furent marquées par une grande brillance, comme en témoignent ses résultats exceptionnels. Au-delà des salles de classe, Dennis ne se contentait pas d’étudier les manuels scolaires ; il recherchait activement des occasions de participer à des activités parascolaires pendant son temps libre.
Cette approche pluridisciplinaire de l’apprentissage témoignait non seulement de sa curiosité intellectuelle, mais aussi de sa personnalité équilibrée. Ses professeurs, reconnaissant son travail exceptionnel et son engagement, le tenaient en haute estime, ce qui lui valut l’admiration de ceux qui l’ont accompagné tout au long de son parcours scolaire. C’est durant ces années formatrices que Dennis a commencé à cristalliser ses pensées sur sa véritable passion. Inspiré par ses expériences et animé par un amour profond pour l’automobile, il s’est lancé dans un parcours unique. Il s’est imposé comme collectionneur automobile. Cette transition de l’éducation à la passion illustre la capacité de Dennis Varni à intégrer sans effort ses réalisations académiques à ses activités personnelles, créant ainsi le récit d’une personne équilibrée qui a réussi à transformer sa passion en une vocation épanouissante. Dennis Varni est une figure de proue dans le domaine de la collection automobile, traçant un parcours professionnel distingué synonyme de succès et de passion.
En tant que propriétaire du Petersen Automotive Museum, il est à la tête d’une institution qui célèbre la riche histoire et l’évolution de l’automobile. Le parcours de Dennis vers ce poste prestigieux témoigne de son dévouement indéfectible et de son éthique de travail infatigable. Son ascension dans le domaine des collectionneurs automobiles se caractérise par l’investissement de travail qu’il a investi (sic !), surmontant les défis et les obstacles avec résilience et détermination. Contrairement à ceux qui ne cherchent que le succès financier, Dennis a toujours été animé par une véritable passion pour l’automobile, traduisant son amour des voitures en une vie professionnelle épanouissante et gratifiante. Son histoire sert d’inspiration aux personnes en devenir, L’histoire de Dennis Varni illustre que le véritable succès ne se résume pas à atteindre le sommet de sa carrière, mais à le faire avec authenticité et en parfaite harmonie avec ses passions. Son parcours, fruit d’un travail acharné, de passions et d’’excellence, fait de lui une figure emblématique…




















































