239 Flathead Ford Track-T Roadster
Le Hot Rodding Français en juillet/aout 2025 à Saint-Tropez ? Rien… Point… Nada.. Zéro… Nul… Pas même en mode documentaire, sans fioritures, sans pep’s, sans fanfaronnades ni auto fabulations, c’est sec et dur, ça n’offre pas du rêve.
Dans la clientèle des milliardaires qui ère de boutique en boutique, certains se font la gueule de trafiquants d’armes internationaux, de mac’s obsédés et de poivrots libidineux. Les plus riches se doivent d’avoir l’air fauché, carrément clodos…
Mais , ils achètent des illusions, ils “dealent” les textiles, ils se font voler leur montre à 300.000, ils grillent les feux rouges, les stops et tous les passages-piétons… Et pourtant, ce qui rend Saint-Trop indispensable, c’est que c’est putain de beau.
Les putes comme les nananas et transgenres sont quasiment tous des Brigitte’s sublimes en mode comptines à 5.000 la masturbation éphémère, lorgnant plus du coté cul que face, avec mélo de cristallines viciées à re-chanter sous la douche à se tripoter en y repensant…
La majorité couine en mode vocoder dépressif mais “à donf”... Il faut cracher ses spermes et chier sa hargne pour avoir l’air “Vrai”... Tabasser sans discontinuer en qualité premium, avoir l’air bizarre, mais façon ultra sensible et pourtant vachement agressif, qui ne ressemble à rien d’autre.
Allez, on va être honnête, tout le monde a raison. A mort, à mort, à mort… Aucune importance, ça tue de bout en bout, pas un tout à jeter, avec des moments bravaches fous et héroïques et beaux à crever, sans contestation possible, on en reparlera dans 10 ans si je ne suis pas crevé d’ici là….
Mon sujet n’est toutefois pas St’Trop mais ce Track’T Roadster qui se veut remettre au gout du jour un concept désuet depuis que l’ennui s’incruste dans les foyers… Comment créer une histoire mettant ce Hot Track en star incontestable ?
Partant d’un Truc-Track imaginaire son propriétaire a façonné un mini T-Rod Track parfait pour tes nuits dénuées de sommeil en recherche de puputes dociles pas trop chères… Un relent d’American Graffiti 2025. De premier des derniers du genre, ce Track’T navigue vers des territoires plus enlevés…
Ils sont parfois angoissants, toujours beaux sur un lit de violons émo et mélodies tire-larmes qui laisse penser qu’émigrer aux USA reste plus festif que l’Europe Transgenre légèrement plus laidback qu’avant l’êre Trump… Impossible de faire du track by track pour causer de ce Hot Rod…
En effet, il suscite des commentaires paquebots sur fond speakeasy local Californien, avec conversations de trottoirs et piaillements d’oiseaux sous le soleil. Il ne reste plus qu’à fermer les yeux, laisser son imagination courir et être confortablement installé avec la fonction shuffle de votre i- phone…
J’aurai adoré faire une chronique géante de ce Hot Rod, racontant l’histoire de son proprio défoncé se baladant de clubs en clubs, de bars en boites, dansant comme un fou, entre deux bastons et trois pintes de bières. . Chaque Track’T est une ode dérouillée pour sorties apocalyptiques, un ovni déstructuré…
Mais qui est ravagé par la dope prise par son concepteur, donnant l’impression d’être en pleine tentative de suicide psychiatrique, ravagé par la peste bubonique.. Parfait pour imaginer être au bout du rouleau après une nuit en enfer, en redescente de drogue, du sang plein la gueule.
C’est surement l’un des Track’T’s les plus intenses, parfait si 100% maso, croupion levé attendant la saillie, adorant se faire tabasser la margoulette à coup de pelle sans discontinuer depuis 3 ans, On sait qu’un passage dans l’au-delà peut être risqué, et beaucoup de Hot Rodder’s adorent les trucs-tracs bizarres..
J’ai d’ailleurs failli m’immoler de bonheur en matant ce gemme la première fois subissant toutefois de violentes mornifles dans tes tympans. Pas la peine de classer l’engin, il se conduit en sifflotant au large de ses concurrents. Pas au dessus, ni devant, juste très très loin, seul dans sa salle du temps..
C’est pour rêver bâtir des cathédrales vocodées avec haine/amour, casquette Trump vissée sur la tête… Je n’y ai pas cru au départ. Au diable les conneries, à mort la mélancolie, tout ce que je voulais c’est de vous communiquer l’envie de vous faire tabasser la tronche ultra brutalement…
Faut-il que ce soit pour qu’elle sorte en bouillie sanguinolente par les oreilles. Et pour le coup, je n’ai pas été déçu ! Cet engin rend hystérique façon sacrifice rituel pour orgies bareback’s donnant l’impression d’être attaché pendant une heure, trainé sur l’asphalte comme un vieux bout de bidoche.
Et ce, avec pour seul espoir les blafardes lumières d’un interminable tunnel d’autoroute. Et le pire, c’est que cela t’excite, déviant que vous êtes.. Personne ne va caler ce petit Rod dans son top de l’année, et cela est bien dommage avant de bouffer sa boite de Xanax.
Il est tout mignon, tout beau et a été construit dans les années 1990 puis stocké pendant une longue période de 30 ans. La carrosserie est en fibre de verre et la suspension est antique avec des barres d’échelle avant et arrière, des ressorts à lames transversaux et un essieu avant abaissé.
Il y a aussi des freins à disque aux quatre roues et des jantes US Mags décalées. La puissance provient d’un V8 Flathead 239ci de 1947 surmonté d’un collecteur d’admission Offenhauser, de deux carburateurs Stromberg 97 et de culasses Offenhauser, le tout lié à une transmission automatique C-4.
Il y a aussi un pont différentiel GM à 10 boulons. Le “Title” répertorie la voiture comme une Ford de 1926 ayant une carrosserie 1980 en fibre de verre peinte en noir avec des fioritures. Un pare-chocs avant amovible et des feux de recul “de rechange” sont inclus dans la vente qui est de 30.000$,
Une sellerie rouge recouvre la banquette et les panneaux latéraux… Un levier de vitesses Lokar a été installé avec des compteurs Stewart-Warner placés dans un panneau brossé… Voilà, c’est terminé, vous pouvez maintenant reprendre votre vie “normale”…




































