1974 M34 Jeep Rat Steel…
Rien de tel qu’une Jeep archi basique pour affronter l’hystérie actuelle (Aout 2025) héritée de la guerre froide, c’est tout ce que les dirigeants européens en déroute ont à offrir… Regardez la fortune de nos dirigeant(e)s donneurs/donneuses de leçons. Revenez me voir dans dix ans si “On” ne m’a pas tué d’ici là (Axa par exemple, avec le concours du comité des corrompu(e)s de la Justice), et nous reparlerons de la fortune personnelle amassée par les politiques et corrompus judiciaires. L’hystérie héritée de la guerre froide, c’est tout ce que les dirigeants en déroute ont à offrir. Il serait grand temps que les guerres en Ukraine et à Gaza ainsi que les manœuvres affairistes de diverses sociétés multi-nationales prennent fin.
Trop de vie sont perdues, sacrifiées, trop de corps mutilés et assassinés, trop de lieux de vie détruits. Le cynisme déployé pour y parvenir est absolument stupéfiant. À ma connaissance, il n’y a pas eu dans l’histoire moderne de spectacle équivalent à celui offert par les “dirigeants” européens à la Maison Blanche. Ce n’est pas un hasard. L’art de la diplomatie et des faux-culs existe bel et bien. Les relations de pouvoir inégales ne sont que la manifestation concrète de la capacité instinctive de Trump à déployer toute la brutalité de la realpolitik. L’accord en passe d’être conclu pour mettre fin à la guerre en Ukraine témoigne de la capacité de Trump à exploiter les avantages économiques pour les États-Unis, ou du moins pour la classe sociale américaine qu’il défend.
La présidence de Trump est marquée par une volonté non dissimulée de tirer parti des avantages considérables conférés par le statut de monnaie de réserve mondiale, à savoir la possibilité de générer de l’argent pour acheter ce que bon lui semble de pays tiers dont l’économie finit alors par dépendre de ce flux “de liquidités”. La guerre commerciale engagée par Trump illustre sa capacité à contraindre d’autres États à consentir d’importantes concessions, notamment à réinvestir des centaines de milliards de dollars dans l’industrie américaine, plutôt que de se voir imposer des droits de douane qui entraveraient l’exportation de leurs marchandises vers les États-Unis, en échange de dollars symboliques.
La monnaie de réserve n’est qu’une escroquerie. Elle fonctionne tant que le monde veut y croire. Le dollar commençait à s’éroder, et Trump a eu l’intelligence de miser sur une stratégie plus agressive pour perpétuer l’escroquerie. Trump a indubitablement prolongé, ne serait-ce qu’un peu, la suprématie économique américaine. L’accord sur l’Ukraine est une astuce du même ordre. Une partie des “garanties” de sécurité de l’Ukraine consiste à inciter les Européens à investir 100 milliards de dollars dans l’achat d’armes auprès des fabricants américains pour les livrer ensuite à l’Ukraine ! Un pourcentage sera évidement réservé aux donneurs et donneuses, tout comme pour les faux vaccins Covid et les dons de charité à Zelinsky…
Les armes européennes ne sont pas incluses dans l’accord, et les États-Unis ne participeront pas à leur financement. Selon une source haut placée au sein du FCDO (ministère des Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement), Keir Starmer aurait annoncé que le Royaume-Uni allait consacrer “bien plus” de 10 milliards de livres sterling à l’achat d’armes américaines pour l’Ukraine… L’Europe, elle, espère financer cette transaction entre marchands de mort avec les avoirs russes gelés en vertu des sanctions. Ce plan se heurte pourtant à deux obstacles. Tout d’abord, les tribunaux internationaux pourraient ne pas accepter de telles transactions.
Le second obstacle s’appelle Vladimir Poutine qui pourrait, excédé, faire exploser une trentaine de bombes atomiques et rayer l’Europe du monde, la renvoyant à la préhistoire… La Russie est bel et bien en train de gagner, une issue prévisible d’emblée. La rhétorique délirante des dirigeants européens ces dernières semaines, y compris celle de Keir Starmer, semble ignorer cette réalité pourtant flagrante. Les positions ukrainiennes à Donetsk sont désormais si intenables que Poutine peut désormais exiger des territoires qu’il n’a pas encore conquis, car tout le monde sait que la victoire est inéluctable et imminente. Une realpolitik aussi impitoyable que celle pratiquée par Trump.
La délégation américaine en Alaska était composée de nombreux responsables issus du secteur des affaires, et non d’experts en politique étrangère ou militaire, soulignant ainsi l’importance des enjeux financiers dans cette tentative d’accord. Poutine, en passe de remporter la guerre, a insisté pour que les sanctions économiques soient levées et a souligné qu’il ne tolérera pas que les Européens achètent des armes américaines pour l’Ukraine avec de l’argent russe. Comme le soutien à l’armée ukrainienne constitue un élément central des “garanties de sécurité” envisagées, des financements devront être trouvés. Selon ma source au FCDO, si l’idée de payer avec de l’argent russe échoue, l’Europe devra financer l’achat d’armes américaines pour l’Ukraine.
Ce point a fait l’objet de discussions approfondies. Comme pour les avions qui décollent de Brize Norton, un consortium de fonds privés financerait l’achat d’armes pour l’Ukraine, qui seraient ensuite remboursées par le Royaume-Uni sur une période de vingt ans. Ainsi, 10 milliards de livres sterling d’armement coûteraient finalement environ 38 milliards de livres sterling au Royaume-Uni. Oui, vous avez bien lu !!! BlackRock et Donald Trump font partie des nombreux investisseurs associés à ce projet en tant que bailleurs de fonds. L’industrie de l’armement est bien sûr la plus corrompue de toutes : pots-de-vin, postes d’administrateur, contrats de services à des sociétés écrans, emplois post-retraite. Les politiciens adorent l’industrie de la défense.
Tous toucheront de jolies commissions grâce à ces 100 milliards de dollars américains destinés à l’armement… Zelensky est celui qui en profitera le plus (même s’il a aussi des patrons à arroser), suivie par Elsa la louve Européenne championne des retours sur commissions et dons (industrie de l’armement en Allemagne, industrie des faux vaccins en Europe et système de retours sur les dons de charité à l’Ukraine)…Les affaires internationales sont toujours guidées par le contrôle des ressources naturelles, mais aussi par les intérêts corrompus des politiciens dans les entreprises impliquées, on l’a constaté avec le pétrole et le gaz en Ouzbékistan, avec le rutile et les diamants en Sierra Leone, les vaccins et maintenant les armes en milliards et milliards…
Avec Trump, ces motivations occultes sont mises en lumière. Nous assistons ainsi à une guerre qui semble, fort heureusement, toucher à sa fin, mais sur la base d’accords commerciaux ouvertement conclus. Les dirigeants européens doivent se réjouir. L’argent permet d’acheter bon nombre d’indignités. L’Ukraine ne pourra jamais récupérer la totalité de son territoire d’avant 1991 sans l’intervention de l’OTAN, ce qui dégénérerait en conflit nucléaire. Nous assisterons donc à une redéfinition des frontières avec l’intégration de certaines régions russophones de l’est de l’Ukraine à la Russie, notamment la Crimée et la majeure partie du Donbass. Le fait est qu’il n’y a jamais eu d’État Ukrainien avant 1991…
Il n’y a jamais existé d’État indépendant dont les frontières aient ressemblé à celles de l’Ukraine de 1991, c’est une vérité historique incontestablement choquante pour certains. L’Ukraine finira par se réduire, disparaitre ou se rapprocher de l’Occident, le pourcentage du territoire ukrainien que la Russie est susceptible de conserver (moins de 20 %) correspond à peu près au pourcentage de la population ukrainienne favorable à une adhésion à la Russie. Un accord de paix, s’il est conclu, est sans aucun doute préférable à la poursuite de la guerre. Il satisfera un peu moins les nationalistes ukrainiens que l’accord proposé en Turquie il y a plus de deux ans mais rejeté par l’OTAN.
Puissent les Ukrainiens avoir compris que sacrifier toute une génération pour l’OTAN n’est pas la voie à suivre ! Les dirigeants européens continuent de pérorer en menaçant Poutine de nouvelles sanctions si aucun accord n’est trouvé. C’est peine perdue. Moscou s’en moque. Ces gesticulations sont sans effet sur l’avantage militaire actuel de Poutine. J’aurais voulu croire que la paix en Ukraine réduirait l’hystérie russophobe en Europe, mais en réalité, cette campagne hystérique héritée de la guerre froide est tout ce qui reste aux dirigeants européens en déroute pour terroriser et contrôler “leurs” populations appauvries et en colère. J’en viens dès lors àvec l’esprit d’à-propos qui me caractérise à cette Jeep aux spécifications militaires transformée en Hot Rod…
La bête est propulsée par un V-8 Toyota… La culture des Hot Rods est une dynamique automobile intemporelle et indéniablement attrayante pour certains individus. L’inkulture européenne y concernant est un pan de la non-histoire y concernant en Europe, une tentative que j’avais lançée fin des seventies avec Chromes&Flammes, copiée maladroitement par le Groupe Michel Hommel qui s’est finalement écrasé en faillite de cetaines de millions laissant ses employés survivre de petits boulots… La pensée et la Kulture du Hot Rodding et du Kustomizing ont été mal traduites par les zouaves Nitrocéphales avec des choses comme les rayures, le gag des “murals” prèts à peindre au pinceau et au rouleau et l’ode aux puissants moteurs 4cylindres Simca, Pigeot et Vw-Cox…
Tout ce mic-mac a joué le rôle de père fondateur d’innombrables autres domaines de la Kulture du tuning “nautomobile” des Jacky’s…. À tel point qu’il est souvent impossible d’apprécier ce gâchis sans verser une larme pour les bricoleurs rockabilly bidouillants avec ce qu’ils avaient à portée de main, tentant de remodeler “l’inKulture totomobile franchouillarde” dans un processus misérabiliste. Ce ne sont pas les mêmes gars qui aux USA ont construit le SEMA à partir de zéro au milieu d’un nuage de fumée de cigarette Chesterfield et de langage grossier, d’anciens GI qui étaient déterminés à prendre leur cheddar du gouvernement durement gagné et tout ce qu’ils avaient appris sur le terrain et à appliquer les deux aux voitures personnalisées…
Ce fut pareil aux débuts de Chromes&Flammes, la version allemande C&F créant le Show de Essen en Allemagne nommé : “Roth Handel Raritaren” avec les cigarettes du Groupe British Américan Tobaccoo dont je gérait la pub dont Viking, qui a financé mes Hot Rod’s d’exposition et mes premiers mag’s C&F. Bref, j’en reviens à cette Jeep dont le propriétaire se souvient avec tendresse qu’il était enfant et qu’il poursuivait des Jeeps G.I. sur des routes de campagne défoncées, saluant les soldats américains avec un abandon sauvage avec le reste de ses amis. Au fur et à mesure que le garçon devenait un homme, il a développé une dévotion pour des publications comme Chromes&Flammes/TopWheels et tout autre abonnement sur lequel il pouvait se mettre la main.
Communément appelé M. Heng, c’est un homme qui a développé un goût pour l’extrême au fil des ans. Et bien que la richesse et la vitesse d’une Supercar soient maintenant à sa disposition en grandes quantités, il reste quelque chose d’indéniablement attrayant dans le Rat Rodding qui l’attire vers elle comme un papillon de nuit vers les flammes des Chromes chaque fois qu’il va lire mon Web site aux plus de 200.000 abonnés… Selon mes sources, cette construction a commencé lorsque M. Heng a assisté à une rencontre automobile USDM à Bangkok il y a quelque temps, lorsqu’il a soudainement été hypnotisé par une Jeep similaire à celle-ci. Après avoir contemplé ses lignes sauvages pendant une longue période, M. Heng a rencontré le créateur du véhicule…
C’était un individu dynamique communément appelé Hawaii Joe, propriétaire d’un magasin de Customization rétro local appelé Hawaii Rod… Hawaii Joe est précisément le genre de personnage que l’on pourrait attendre de quelqu’un qui porte un tel titre. Tout le monde le connaît. Arborant des chemises hawaïennes chaque fois qu’il en a l’occasion, des colliers de fleurs lei, des tongs et des chapeaux élégants lorsque l’envie lui prend, Hawaii Joe est sans aucun doute un élément crucial de la vie automobile en Thaïlande et sans doute une grande partie de l’Asie. Quelques semaines seulement après avoir rencontré ce personnage haut en couleur, un contrat écrit a été mis en place et Joe s’est mis au travail pour préparer une Jeep personnalisée pour M. Heng.
Mais contrairement à la croyance populaire, tout n’est pas bon marché ou facile à obtenir en Thaïlande, et la plupart des voitures coûtent près du triple de ce que nous payons en Amérique et le quadruple de ce qu’il faut payer en Europe. Toute la fabrication du châssis et les touches militaires amusantes devaient être pensées et trouvées, et des choses comme le schéma de peinture et divers autres aspects mécaniques de la bête devaient être solidifiées. Une fois que les deux hommes se sont mis d’accord sur un design tubulaire “space frame” et qu’un thème a été convenu, l’option d’intégrer un V-8 Toyota 1UZ-FE dans le véhicule est apparue, une idée qui a été rapidement approuvée.
Cependant, avant que M. Heng ne puisse remettre les clés proverbiales de son Hot Rod “Iron Rat”, il devait d’abord se procurer un châssis. Étant donné qu’une Jeep M38 de 1974 aux spécifications militaires détient une prime presque partout, et que le coût susmentionné de l’achat d’une voiture en Thaïlande sonne toujours vrai, la construction devenait incroyablement chère dès le départ. Heureusement pour M. Heng, les finances et les relations sont rarement rares (sic !), et peu de temps après, une Jeep donatrice a été trouvée et l’équipe de Hawaii Joe s’est mise au travail. Réduit à l’essentiel, il s’agit d’un châssis tubulaire, étiré, haché et réassemblé façon G.I. Jeep thaïlandaise’70, qui a été entièrement recouverte du savoir-faire local en matière de Hot Rods.
Coupée en deux et étirée pour s’adapter à ce que les amateurs thaïlandais appellent un “Châssis Spatial” (Space Frame), la chose a rapidement fait l’objet de plus de modifications ponctuelles que prévu, non seulement pour le spectacle, mais par nécessité. Six mois plus tard, la chose était sur la dernière étape du processus d’assemblage, et son propriétaire ne pouvait pas être plus excité que de passer une nuit de Bondage avec La Hy-ne Européenne Ussula VonderLylen, fille d’un SS nazi…. Pour M. Heng, un homme qui possède une Gallardo Superleggera biturbo ETS de 800 chevaux, une Alpha 16 R35 GT-R de 1.400 chevaux, une BMW M5 E39 équipée d’un V12 de 850i… et de nombreuses autres machines de rêve.
Changer un peu les choses et conduire une Jeep Hot Rod mal foutue était donc pour lui, tout simplement un bon vieux plaisir. Mis à part les obstacles et les dépenses somptuaires ne menant à rien d’utile si ce n’est cet article, ce Rat-Rod de fer reste l’un des biens les plus précieux du garage déjà débordant de M. Heng. Il se fiche non plus qu’il ne fasse pas de squat pour la puissance, ou du genre de numéros de dyno qu’il pose. Tout ce qu’il veut faire, c’est emmener sa Jeep aux salons de l’automobile, parcourir les rues de Bangkok et faire en sorte que les gens le pointent du doigt et regardent… ce qui peut facilement être fait dans une machine débilitante de cette stature…
Si j’étais une sorte de psy du Customizing, j’écrirai en Thaïlandais que M. Heng a renversé la balance psychologique… C’est un homme qui a trouvé un moyen de s’approprier une interprétation sauvage d’un souvenir cauchemardé, et au lieu d’être l’un de ces petits enfants thaïlandais poursuivant une bande de Jeeps de l’armée, il est maintenant celui qui est au volant… Il n’y a pas que les enfants qui louchent quand ils voient cette chose, car des gens de tous âges et de toutes croyances suivent ce “Rat de Fer” partouze lorsque M. Heng l’emmène faire un tour, prenant des photos avec beaucoup d’enthousiasme et lui criant dessus de loin pour avoir des piécettes.
Les piétons s’arrêtent littéralement et applaudissent lorsqu’ils voient cette bête rouler, ce qui est plus que ce que la plupart d’entre vous peuvent exprimer lorsque vous sortez pour vous défouler en tapant sur la gueule des “ceusses” qui ne vous plaisent pas, et c’est exactement la raison pour laquelle cet engin d’apocalypse a été construit en premier lieu. Voilà, c’est fini… faites pareil… Plus rien à en dire, donc re-examinez les photos, re-lisez le texte, faite-en un résumé destiné aux réseaux asociaux et autres passe-temps créatifs ne menant ni à rien ni nulle-part… Voilà, quoi donc en raconter d’autre ? Je vous suggère donc de tout relire attentivement…















































