HOT HOT HOT ROD…
Uranium, Ukraine et Usurpation : le mensonge triple “U” super radioactif de tous nos gouvernements européens…
La fin du XIXe siècle a vu exploser le dynamisme économique et les inégalités, ainsi que des controverses sur les tarifs douaniers, l’immigration et la politique monétaire… 2025 s’avère similaire sauf qu’au quart de ce premier siècle d’un nouveau millénaire calculé sur une légende religieusement bricolée qui démontre que l’humain est une relativité mortelle faite de poncifs éculés et de fausses légendes inculquées de force. Mais sous ses travers imbéciles l’humain a évolué en reconnaissant sous réserves diverses que tout ce qui brille n’est pas en or ni même doré… L’âge d’or sert de miroir dans lequel nous pouvons imaginer reconnaître de nombreux aspects de notre époque, re-décalqués sous des tri religieusement orchestrés en toutes périodes de crises et doutes existentiels (quoique l’histoire ne se répète jamais de même façon), mais les combinaisons kaléidoscopiques du présent illustré semblent souvent être construites à partir des fragments brisés de légendes antiques.
La citation, souvent donnée à tort comme “L’histoire ne se répète jamais, mais elle rime”, provient du chapitre 47 de “The Gilded Age” de Mark Twain et Charles Dudley Warner, publié en 1873, un roman très rarement voire jamais lu, qui a donné son nom à une époque de l’histoire américaine. Ce qui m’amène à soulever une question : “Vivions-nous dans un nouvel âge d’or qui actuellement disparait ?”… Ce n’est pas seulement qu’il faille capturer les cliquetis des armes, le choc des civilisations, les feux qu’on attise et les nouvelles sociétés qui s’inventent sur les cadavres des précédentes issues de carnages, c’est qu’il offre la vision d’une élite apparemment libérée de nos névroses… En sus d’un culte du glamour bizarre on observe même dans le Hot Rodding, un défilé des fausses valeurs affirmées, se confinant dans diverses définitions obsolètes et tirant parti d’un passéisme qui ne cesse de ressembler aux précédents, mais qui sert également de miroir dans lequel on nous dit qu’il faut y reconnaître de nombreux aspects de diverses époques afin de croire en la rédemption éternelle…
C’est bien sûr dans l’intention manifeste de nous manipuler, c’est pourquoi tout est truffé d’anachronismes et que si vous vous intéressez vraiment à ce qui arrive à une société qui traverse à nouveau une transformation économique sauvage, il est éclairant de vous abonner… Waouwwww ! Chromes&Flammes sous ma houlette agitée s’enorgueillissant d’un quotient intellectuel de 162 (qui n’est atteint que par moins d’un % de la population de notre monde), me glorifie d’un privilège me poussant contre l’avis de mon plein gré à vous informer que, malgré la complicité honteuse des merdias occidentaux, chaque jour passé en quelques instants à tapoter divers textes, m’expose à risquer ce qui me reste de vie pour vous raconter des histoires que vous ne lirez nulle part ailleurs… Pour autant que vous daignez les lire ici… Et à chaque nouvelle série d’attaques ciblées que je publie quoique les principaux merdias occidentaux les ignorent et continuent à publier des articles citant des affirmations non vérifiées qui tentent de justifier les crimes contre l’humanité.
Tous ces grands médias pour la plupart propriétés de milliardaires d’affaires, servent en effet de courroies de transmission à la propagande destinée à aseptiser les crimes d’écriture et déshumaniser les victimes, tout en abandonnant les “ceusses” qui se tuent à l’ouvrage de rédaction de vérités contre-productives qui ne servent finalement à rien ni personne… Il n’existe en effet en dehors de moi-même et de ChromesFlammes/ GatsbyOnline et le sulfureux SecretsInterdits, aucun engagement en faveur de reportages vrais et éthiques. Mon drame existentiel est de refuser d’être complice. Malgré les risques auxquels je suis sans cesse confronté sur tous les terrains au quotidien, je continue avec persévérance à dénoncer diverses fausses vérités, à enquêter sur la corruption, me voyant proposer de me payer pour n’en rien raconter sur des comptes off-shores qui sont invariablement les bases de clôtures de toutes discussions. Je n’ai ainsi aucune allégeance à faire aux puissants et encore moins envers les pauvres hères damnés de la terre…
Pas non plus de lien financier avec des intérêts particuliers n’existe, malgré mes efforts que je reconnais vains… Je ne compte donc pour ma survie (de plus en plus hypothétique) que sur mon moi-même des bons jours et nuits (avec si possible des créatures voluptueusement sexuelles)… Je n’espère donc strictement plus rien de strictement personne au point névralgiquement dépassé de ne répondre courageusement à quiconque d’autant plus facilement qu’aucun être ne me propose plus quoi que ce soit… Cela signifie que j’apprécie particulièrement divers rapports qui sont en mesure de compléter les plus de 200.000 abonnements payants, d’autant plus qu’actuellement, seuls 10 % des 2 millions des ceusses qui viennent ici me lire sont devenus des abonnés payants. Ce n’est pas viable pour le genre de reportages approfondis et dangereux qui font les nouvelles et influencent les politiques au plus haut niveau. Pour à peine 1 euro , l’abonnement soutient mon action qui refuse d’être réduite au silence.
Et pendant les prochaines 48 heures, j’offre 20% sur les dons que je vous invite à faire via les panneaux de la page d’accueil… Ne me donnez pas les 1.000 euros que vous voulez m’offrir en tant que citoyens/citoyennes démontrant votre engagement en osant verser plus que nécessaire… Je vous offre directement 20% sur les 1.000 euros que vous voulez offrir à ma cause, gagnez donc 200 euros en ne versant que 800 euros,.. Merci… Vous pouvez donc passer aux sujets de fond en vous approchant du précipice et en faisant un dernier pas en avant…Vous pouvez donc lire entre autres sujets mais particulièrement sur cette page, les aventures totalement creuses et débilitantes de Scott Bonowski et son équipe de “Hot Rods and Hobbies” chez qui vous n’irez jamais et à qui vous ne commanderez strictement rien, qui est par ailleurs 100% inutilisable sur les routes Franchouillardes et que vous ne pourriez que laisser à perpétuité comme relique dévote dans votre box-garage où comme décoration de fond de jardin…
Ces choses ne sont pas étrangères au brassage de vent opéré par“The Tanks, Inc.” une société de bras cassés qui a créé un des Hot Rod’s “de l’année”, (sans qu’on connasse lequel),.. Donc en 2018 avec ce même Roadster modèle A construit pour David Martin dont vous n’avez jamais entendu parler, dont vous vous foutez royalement et dont vous n’entendrez plus causer après avoir lu cet article (pour autant que vous soyez abonné et que vous persistiez à lire)… Vous vous rendez surement compte dès à présent, que strictement personne n’en a “rien à foutre” de personne, à tel point qu’il m’arrive de me demander :“A quoi bon publier des articles”... Je n’ai que des réponses à donner en contrepartie de ce que je reçois, mais personne ne me pose de question… De plus, arrivé à ce stade du texte, seuls les abonnés peuvent encore lire et je subodore que vous avez tenté la resquille…
Cette attitude qui vous a fait risquer votre euro est actuellement la cause de votre désespoir… Bref, je me dois d’abréger votre calvaire, il est temps d’enfin pour moi tapoter n’importe quoi puisque plus grand monde ne pourra se plaindre… Par pur plaisir masochiste, je vais narrer la suite que peu d’entre-vous liront et que je connasse trop bien… Ces gens d’Amérique ont donc “fait le job” sur ce Hot Rod Coupé ’31 Model A pour que Ryan Kalil leur donne un max de dollars… Ca se limite basiquement à pas plus que ça… Les loustics se sont retrouvés dans le Top Cinq des plus beaux Hot Rod’s américains (il n’y en a pas d’autres) avec ce Coupé “élégant et robuste”, quelques mois seulement après qu’il a été finaliste de la côte ouest d’élégance à Del Mar…
Je suppose que vous vous en foutez, avec raison… Moi aussi… Ce modèle A coupé a toutefois reçu une histoire familiale typiquement Américaine, capable d’enflammer jusqu’aux bouseux de l’Oregon qui en principe n’en ont rien à foutre que donc ce Hot Rod avait appartenu au grand-père de la femme d’un des gars, connu sous le nom de “Jav” car il était “mince comme un javelot”... Taisez vous lorsqu’un SAGE (moi) écrit l’histoire dont vous n’avez rien à f…. Je continue donc à persévérer tapoter des conneries inutiles… Jav Ryan était fortement impliqué dans la scène des Hot Rods du sud de la Californie dans les années 1940 et 1950 qui étaient les vrais débuts de ce mouvement, et Jav Ryan voulait pré-honorer son histoire lorsqu’il a pris possession de la voiture.
En faits réels, Jav a été étroitement impliqué dans la construction de ce Rod jusqu’à sa mort qui a en réalité été le but de sa vie qui était de mourir de trop en faire pour une cause inutile… C’est pathétique, je sais… Moins que FuFu fabriquant son Omlet Baveuz pour obtenir une postérité mort-née… Pathétique histoire également… Mais pas tant que l’histoire éculée du concepteur de Hot Rod’s Eric Black (qui était blanc avant de crever) mettant Ryan en contact avec Scott chez “Hot Rods and Hobbies”, où la vision du “Flying Jav Model A” a pris vie en échange d’un acompte de 20.000 dollars en billets de 20$…. Le coupé Model A a donc été basé sur un châssis Deuce, équipé d’un essieu avant en I abaissé, avec des épingles à cheveux et un boîtier de direction “Flaming River”…
Un quadribras triangulé qui suspend l’arrière de style Banjo, et roule sur des jantes à rayons Wheelsmith de 15 et 16po chaussées de pneus Coker Excelsior, ont été montés tout autour. La puissance moderne se présente sous la forme d’un moteur LS3 et d’une transmission 4L65E, mais ils ont reçu un style vintage grâce à un système d’injection de carburant Borla 8-Stack, des couvercles de soupape Thunderbird avec des emblèmes personnalisés, des collecteurs d’échappement moulés et des détails bien pensés. La carrosserie du modèle A a été traitée avec un toit haché, qui a également été étiré pour accepter des portes de berline affleurantes. Le coupé a également été “mis à jour” avec une calandre, des ailes et des marchepieds Deuce.
Une barre d’écartement BDSM avant personnalisée avec encore les attaches-membres aux chevilles avec la fixation du tube destiné à soutenir le Pénis électrique s’enfonçant dans le vagin, le tout ayant été modifié par récupérations et complété par une fine barre nerf à l’arrière qui elle aussi avait servi de barre d’écartement, mais encadrée par des feux arrière d’une DeSoto’37 qui n’en pouvait strictement rien et qui a subi un calvaire ignoble… Le corps du délit est baigné d’une belle teinte verte Axalta mélangée sur mesure…. Chris Plante de chez “Plante Interior Co” (un ancien jardinier). s’est occupé du travail de rembourrage de bon goût (car le mauvais gout est fréquent), qui comprenait un beau cuir brun “vomissif” cousu sur un siège Glide…
Un volant classique à quatre branches cerclé de faux bois en plastique surmonte la colonne personnalisée, tandis que des compteurs “Classic Instruments” ont été montés au hasard dans le tableau de bord… Le levier de vitesses “Gennie” est surmonté d’un pommeau personnalisé équipé d’une tête de chevalier tirée d’un médaillon que “Jav” portait à l’époque de sa vie dissolue….Le “Flying Jav” s’est parfaitement comporté lors de la compétition Hot Rod de l’année (j’ai oublié laquelle mais ça n’a aucune importance), allant même jusqu’à se mettre de côté dans un tonneau magistral puis à verser dans un fossé y continuant son impressionnant burnout. Nous aimons à penser que “Jav” était là aussi en esprit car on n’a jamais retrouvé son cadavre… Ouaissssssss !
Il me reste à vous discourir du second Hot Rod de cette page qui appartient à Joe Horsik, un Hot Rodder depuis plus de 70 ans, avec plus de 100 voitures passant par sa signature et qui affiche 94 ans… Ce n’est pas le plus âgé des survivants mais ce n’est pas très loin… Vous ne connaîtrez jamais les authentiques vieux survivants. Je vais donc vous en tracer un bref historique… Il y a eu le Hot Rod familial Double Bubble ’61 Impala, puis une Pontiac décapotable ’62, quelques camions classiques et d’autres. Son projet le plus récent est ce Hot Rod Coupé Ford ’34 noir qui s’est auto-classé parmi les cinq premiers au concours “Tanks, Inc. Concours Hot Rod de l’année”...
Joe avait confié un Hot Rod Coupé Ford’34 de ses débuts qui avait été restauré il y a longtemps, à l’équipe de “Dutchboys Hotrods” dans le Michigan pour une “simple” remise à jour. Cependant, alors qu’ils creusaient “hard” au dedans de la chose-voiture, des problèmes antérieurs avec des réparations douteuses ont fait surface, ce qui a retardé le projet. Pour aider à respecter le calendrier, Dutchboys a collaboré avec Henry Richards de “Steadfast Manufacturing” pour certains éléments clés de la construction à refaire de A à Z…. La carrosserie originale de la Ford’34 avait reçu un sérieux coup dans le toit et le Hot Rod en totalité a été reconstruit sur un châssis “Steadfast” personnalisé équipé d’un pont-différentiel (ils sont toujours à l’arrière) à changement rapide.
Chaque panneau a été retravaillé à la perfection avant de recevoir une finition miroir de “BASF Jet Black” dans la cabine de peinture de Dutchboys. Notez les persiennes (Louvers) extra-larges qui remontent au centre du capot re-formé sur mesure, puis qui semblent se frayer un chemin à partir du dessous de la lunette arrière étroite vers le bas sur le couvercle du coffre et le plateau arrière, apparaissant comme “enroulé” pour finalement s’arrêter juste au-dessus de la sortie d’échappement centrale double, formée sur mesure. C’est Koolesque… Ces sorties d’échappement sont reliées entre-elles par une série de coudes/tuyaux soigneusement réalisés en acier inoxydable.
La transmission dispose de cinq vitesses Tremec TKX de Bowler, le tout connecté à un V8 383c.i. stroker small Chevy retravaillé chez Blueprint Engines à 400 chevaux, traité avec une finition “LeMans Blue dynamique”, et de nombreux éléments ARP polis avec un système d’admission Borla… Ouvrez l’une des portes suicide et vous êtes accueilli par un intérieur en cuir bleu assorti fabriqué en interne chez Dutchboys. En dessous de ces affûts colorés se trouvent des panneaux en aluminium personnalisés et des sièges baquets Speedway Motors modifiés. Le tableau de bord est équipé d’un système Vintage Air et de compteurs de style Dakota Digital ’34 vues à travers un volant Speedway.
Pour ajouter une touche de contraste à l’extérieur, Joe a sélectionné un ensemble de jantes à rayons Coker classiques pulvérisées en bleu pour correspondre à l’intérieur et à la couleur du moteur. Quant au numéro 18 sur la porte, entouré de bandes de vitesse bleues, ce n’est rien de particulier, juste un chiffre… C’est ce que radote Joe, ajoutant que la bête s’est avérée être un projet amusant avec beaucoup de gens talentueux qui ont eu des idées et ont travaillé ensemble pour finir une super voiture de 140.000$… Voilà moi je m’en f… mais vous êtes sans doute content pour Joe tout en vous vous en f…. totalement également… Etant abonné vous pouvez passer à l’article suivant et ainsi de suite… Merci d’être venu, n’oubliez pas votre don complétif !!!




































