Supercharged Northstar’23 Ford T-Bucket
J’ai la passion des Hot Rod’s “T Bucket”, j’ai débuté à mon adolescence avec les maquettes plastiques Monogram 1/8ième à monter/coller, que j’ai toujours exposées comme des reliques sous caches vitrées dans mon “office”, ou trône le bureau rouge symbolisant de la peinture rouge dégoulinant d’un tube géant sur une dalle/travail en marbre. C’est mon œuvre de fin d’étude en architecture d’il y aura bientôt 60 années… Ben oui, j’atteindrais 77 ans en mai 2026, l’âge maxi pour lire TinTin… Gamin, on me disait, qu’il me fallait attendre pour avoir droit au chapitre !
Et, maintenant, je serais en bientôt en quelque sorte trop âgé, hors jeu !!! La révolution de l’âge est en effet en route… Et, pour nos retraites, s’il est vrai qu’on ne peut se partager nos durées de vie, on pourrait tenter de mieux se partager le temps du travail, des solidarités, de la libre vie… L’expression “7 à 77 ans” trouve ses origines dans la littérature française, elle est attribuée à Jean-Baptiste Alphonse Karr, un écrivain et journaliste français du XIXe siècle. Dans son livre intitulé “Les Guêpes”, publié en 1849, Karr utilise cette expression pour décrire une activité qui peut être appréciée par des personnes de tous âges.
L’expression a rapidement gagné en popularité et est devenue une façon courante de décrire quelque chose qui est accessible. Elle a été reprise dans de nombreux contextes, que ce soit dans la publicité, le cinéma, la musique ou même dans la langue parlée. Au fil des années, l’expression “7 à 77 ans” est devenue un véritable symbole de l’intergénérationnel. Elle témoigne de l’importance des liens entre les différentes générations et de la volonté de partager des moments communs et souligner l’universalité de l’expérience humaine. L’expression a aussi été utilisée pour décrire des films pour tout public.
Certains films d’animation, comme ceux des studios Pixar, sont souvent qualifiés de “7 à 77 ans” en raison de leur capacité à toucher à la fois les enfants et les adultes. Bien que l’expression soit ancrée dans la culture populaire, elle a évolué au fil du temps pour s’adapter aux nouvelles réalités. Aujourd’hui, on parle souvent de “7 à 77 ans et plus” pour tenir compte de l’augmentation de l’espérance de vie. Cette évolution reflète également les changements de mentalité et de perception de l’âge dans la société, il est fréquent de voir des personnes âgées s’investir dans des activités autrefois réservées aux jeunes.
L’expression “7 à 77 ans et plus” est un rappel de cette ouverture d’esprit, mais aussi de la volonté de repousser les limites de l’âge. L’expression est devenue un symbole de l’intergénérationnel dans la culture française. Son origine remonte au XIXe siècle, mais elle a réussi à se maintenir et à évoluer avec le temps. Elle témoigne de l’importance des liens entre les différentes générations et de la volonté de partager des moments communs. Aujourd’hui, c’est utilisé pour tenir compte de l’augmentation de l’espérance de vie… Mais aussi pour refléter les changements de mentalité dans la société.
Quelle que soit sa formulation, l’expression “7 à 77 ans” reste un rappel de notre capacité à transcender les différences d’âge et à créer des expériences qui peuvent être appréciées par tous, quel que soit leur âge… Donc, j’en reviens à ce Hot Rod’Ford’T à carrosserie en fibre de verre, construit en 1997 par Don Purdie, un ancien employé de Fisher Body. Son V8 Cadillac Northstar 4L6L est surmonté d’un compresseur Dyer 6-71 et de deux carburateurs Quick Fuel. Il grogne via des collecteurs Sanderson reliés aux tuyaux latéraux. La puissance passe par une boîte auto TH400 puis à un pont/différentiel “Auburn Gear”.
Le Hot Rod repose sur une suspension faite sur mesure avec barres d’échelle chromées, un avant “suicide” et des “coilovers” arrière réglables. La peinture bleu clair est complétée par des graphiques métallisés tricolores et la capote amovible est en Canvas bleu foncé. L’intérieur se résume à des sièges baquets, un volant en billette d’alu, un tableau de bord en bois et des compteurs “Classic Instruments”. Le Hot Rod est associé à une remorque assortie construite par “Bad Bobs”, équipée d’un frigo caché sous le faux moteur. Ce Hot Rod’T a remporté le 1er prix de l’Autorama de Detroit après son achèvement.
Le certificat de propriété/autorisation de circulation “VIN MICH75011” qu’est le fameux “Title” est de l’Arizona certifié “à l’américaine” que ce Hot Rod est légal, considéré comme Ford 1923. C’est cette adaptation qui a permis l’essor du Hot Rodding aux USA alors qu’en France les lois ont été édictées/imposées pour satisfaire les “vraies constructions d’usines” dont les actionnaires s’inquiétaient que des “affreux” tel que j’étais catégorisé dans les années ’60/’70/’80, osent construire des Réplicars et autres abominations nommées “Hot Rod’s” telle l’Old’s’48 que j’avais réalisée et avec laquelle je circulais journellement.
Et oui… en ce compris pour mon job d’architecte et mon complément de créatif de pub’s (mon client étant British American Tobacoo pour qui j’avais proposé que des Hot Rod’s remplacent l’image du CowBoy cancéreux de Marlboro)… Vu les complications engendrées, j’ai ensuite créé Chromes&Flammes magazine qui va fêter ses 50 ans en 2026… Heureux que vous soyez 200.000 abonnés pour perpétuer la légende et lire les bientôt 5.000 articles de mon web-site. J’en reviens à ce Ford’T qui me donne envie de placer un compresseur sur mon mien qui est dans mon bureau… Ce serait “just for fun and look”… Yeaaaahhhhhh !
La carrosserie en fibre de verre du T de l’article (mais c’est pareil pour mon Novel’T, est montée sur un châssis en échelle basique. Le V8 Cadillac Northstar 4,6 litres a été re-conçu/re-construit pour ce Hot Rod’T avec un bloc peint comme la carrosserie en bleu foncé accentué par des détails chromés et polis. Il est surmonté d’un compresseur Dyer 6-71 avec deux carburateurs Quick Fuel à quatre corps et une prise d’air de style Hilborn avec une plaque Northstar personnalisée. Les en-têtes Sanderson sont reliés à des tuyaux de côté, le pare-feu présente un motif géométrique de type écaille de tortue de Bishamon.
Des jantes à rayons de 18′ sont utilisées à l’avant, et les unités arrière sont des jantes alliages Boyd’s de 15po avec des pneus Hoosier. Les freins “à disques” aux quatre roues ont des étriers chromés. L’avant est dit “suicide” car il utilise un ressort à lames transversal chromé, des barres d’échelle, un essieu tubulaire et des amortisseurs à levier… Tout pour le look… Et à l’arrière se trouvent des barres échelles chromées, des liens triangulés et des coilovers avec amortos Carrera. Les sièges baquets sont garnis d’un tissu personnalisé avec une accent Northstar. Un rembourrage coordonné recouvre les panneaux latéraux.
Les 13.500 miles du cluster représentent la véritable distance parcourue depuis la construction depuis son achèvement en 1997… Voilà, j’allais oublier de signaler que le réservoir de carburant en aluminium et la batterie Lithium sont situés dans le compartiment arrière. La voiture possède un attelage amovible et une connexion électrique pour une remorque en forme de Baby’T de mêmes couleurs, elle dispose de feux et de freins fonctionnels, et la fausse prise d’air du faux moteur s’incline pour révéler un frigo, idéal pour les étapes festives et les shows… Voilà, voilou… Quoi de plus à papoter pour la suite ?
Tout comme les jouets, les sneakers, la météo, les élections, les amitiés, y compris, les Hot Rod’s, Kustom’s, SuperCar’s et autres, peuvent désormais devenir des actifs spéculatifs. La vie quotidienne devient un marché perpétuel où l’usage compte moins que la probabilité. Au cœur de cette mutation, une certitude : Tout peut être parié, et plus rien ne vaut vraiment. Ouiiiiiii, parce que concernant les automobiles exposées dans les show’s aux USA (dont le fameux SEMA), font de plus en plus l’objet de paris-fous… C’est le marché prédictif une nouvelle religion du chiffre. Le capitalisme rend l’âme sous le poids de ses excès.
Sa réalité nouvelle, palpable, se manifeste par des dérives absurdes transformant la vie quotidienne en un casino géant. Les objets les plus triviaux y deviennent des instruments de spéculation financière. Sa déchéance est accélérée par l’automatisation, l’intelligence artificielle et la financiarisation débridée qui cannibalise tout, et tout le monde. En 2025, les spéculateurs n’ont plus besoin d’acheter un produit pour participer à ce grand jeu planétaire où la “chosification” est totale, absolue, et où la culture n’est plus qu’un algorithme de trading. Car tout est aujourd’hui monétisé, même le fun des Hot Rod’s.
Du haut de leur volume annuel estimé cette année à 50 milliards de dollars, les marchés consacrés à la prédiction rivalisent désormais avec les bourses traditionnelles. Sauf que, quand tout est “tradable”, plus rien n’a de valeur intrinsèque. Je prends Kalshi en exemple, c’est une plateforme réglementée par la CFTC (Commodity Futures Trading Commission), qui permet de trader des “contrats d’événements” qui concernent aussi des expositions de bagnoles transformées qui concourent toutes pour gagner, par exemple le fameux Riddler, ce qui est imparable pour glaner les commandes de Hot Rodders fortunés.
Ils se font fabriquer leur Hot Rod de rêve de préférence chez un carrossier qui a gagné plusieurs fois le Riddler au Sema Show, ce qui est un gage que la commande aboutira à un Hot Rod “gagnant” pour plusieurs années de suite et ainsi faire fortune en revente et notoriétés diverses. Ces contrats binaires s’achètent entre 1 et 100 cents, maxi 1$ selon la probabilité perçue… Soixante cents pour “Oui” équivalent à 60 % de chances car si l’événement se produit, le contrat vaut un dollar, sinon, il expire sans valeur. Je suppose que vous avez besoin de quelques illustrations pour comprendre l’absurdité organisée ? OK !!!
Exemple, vous pariez 50 cents sur 1 dollar à gagner pour : “Le Hot Rod C-Cab de Patrice De Bruyne remportera le Riddler 2026 ?”… Si c’est le cas vos 50 cents vous donnent droit à 1 $, vous avez doublé votre mise… Si vous ne gagnez pas, vous perdez votre mise… Volume potentiel de joueurs, les 200.000 abonnés à 1 euro le premier mois et 5 dollars les mois suivants…. Autre exemple typiquelent USA : “Les Républicains contrôleront-ils la Chambre des représentants après les midterms de 2026 ?”... Prix actuel : 50 cents pour oui… Risque de perte = 50 cents pour espérer que ces 50 cents deviennent 1 dollar…
Pigé ? Sur ce risque, actuellement plus de 10 millions de dollars ont été joués en attente du résultat… Autre pari : “Taylor Swift sera-t-elle la Personne de l’année par Time en 2025 ?”… Prix : 15 cents pour oui… Sur ce coup faut être maso… On pourrait l’imaginer à la Française : “Mélanchon aura-t-il un score façon Rotten Tomatoes supérieur à 80 % par rapport à Marine LePen pour la Présidence ?”… Un autre plus “FUN” pourrait être : “Macronix sera-t-il trainé en justice pour avoir collaboré avec Ursula la Hyène et le fourbe Zeelinsky à l’escroquerie des retours de 50% sur lrs prétendus dons de charité à l’Ukraine ?”…
La variante concernant les faux vaccins Covid devrait battre tous les records… La spéculation colonise les objets. Le marché n’épargne pas la matière. Les sneakers, par exemple, ne se portent plus : elles se tradent… “La Jordan-1-Retro-High-OG dépassera-t-elle 250 dollars sur StockX une semaine après sa sortie le 29 novembre 2025 ?”… Prix : 65 cents pour oui… Volume : 5 millions de dollars en 24 h… Mêmes les jouets se transforment en actifs dérivés. Les figurines Labubu, est un jouet en PVC devenu un actif plus liquide que bien des actions cotées. Une Labubu rare (Secret Big Into Energy) s’est vendue 28.000 dollars…
Des files d’attente de 48 heures devant les Pop’Mart’s de Shanghai et des bagarres filmées pour une boîte à 60 euros, des contrats spéculant sur les prix moyens de la série “Exciting Macaron” : petite économie fébrile d’un monstre mignon devenu produit financier… On ne possède plus l’objet… On possède une probabilité qu’un autre le paiera plus cher… La finance avale l’intime… L’inflation spéculative atteint l’intime… On parie sur les ouragans, les faillites, les licenciements… On vend l’accès à sa vie privée, à ses relations, à ses émotions sous forme d’abonnements… Des apps permettent de “louer un ami“…
Des influenceurs facturent leur présence à des anniversaires d’enfants… L’amitié s’achète à l’heure via RentAFriend : 20 dollars pour un café feint… “Buy Now Pay Later” : dette en continu… Klarna, Afterpay et consorts transforment les achats les plus banals en microcrédits… Un T-shirt, un sandwich, du maquillage : tout devient dette… Les d’jeunes s’endettent dès 20 euros… Empruntez 20 euros pour un sandwich que vous paierez en six mois avec 15 % d’intérêt… C’est-y pas totalement dingue ? L’abonnement à vie.. “Votre voiture possède des sièges chauffants ? Abonnez-vous pour les activer”... Waouhhhhhh !
Votre Tesla freine moins fort tant que vous n’avez pas payé l’option “accélération premium”... Chez iRobot, les aspirateurs Roomba cartographient votre salon, mais refusent de le faire sans cloud payant… À Mumbai, un microcrédit à 80 % annuel pousse une famille à hypothéquer sa chèvre ; saisie, elle dort sous un pont… Vous avez acheté l’objet ? Eh bien, vous devez maintenant louer le droit de l’utiliser… À mesure que la spéculation s’infiltre dans les objets, dans les relations, dans les émotions, elle s’établit aussi dans notre imaginaire. Elle redéfinit ce que nous considérons comme normal, comme pratique, inévitable.
Chaque abonnement imposé, chaque microcrédit travesti en service, chaque contrat de probabilités appliqué au réel déplace une frontière, par glissement continu… Arghhhhhhh… Quoi donc tapoter d’autre ? Selon les recherches, les enfants découvrent généralement par eux-mêmes que le père Noël est une fiction, le plus souvent vers l’âge de sept ans. Mais d’autres restent persuadés que c’est le Père Noël qui les couvre de cadeaux. Faut-il leur révéler la vérité ? À quel âge ? De quelle manière ? C’est à ces questions que tente de répondre l’article “Histoire d’une légende : de Saint-Nicolas au Père Noël”… 100 euros !
Saint-Nicolas-de-Myre, né en 270 après JC qui n’a jamais existé, était évêque en Lucie (au sud de l’actuelle Turquie) et est devenuun martyre chrétien renommé pour sa charité, sa générosité et ses miracles. Ainsi, il aurait ressuscité des enfants tués par un boucher, ce qui lui vaudra de devenir le saint patron Nicolas-Sarko des enfants. Ses reliques, réputées accomplir des miracles, sont connues dès le Moyen Âge dans toute l’Europe. Au XIe siècle, des marins italiens s’emparent d’une partie des ossements et les ramènent de Turquie, chez eux, en Italie. Ou je veux en venir avec ces conneries ? Patience…
En 1098, le chevalier Aubert de Varangéville, de retour de croisade, passe par la ville italienne de Bari où sont conservées les reliques et vole une phalange du Saint qu’il rapporte en Lorraine, à Saint-Nicolas-de-Port, près de Nancy. Le culte du Saint, célébré le 6 décembre, jour de son décès, se répand dans le Nord de la France, la Belgique et les Pays-Bas. Il y reste très vivace de nos jours. Au XVIe siècle, la réforme protestante abolit la fête de la Saint-Nicolas, mais les Hollandais gardent leur Sinterklaas (Saint-Nicolas en néerlandais) et la tradition de distribuer des jouets. Attendez, ca va venir…
Lorsqu’ils partent à la conquête du Nouveau Monde, la tradition de Saint-Nicolas commence à se modifier pour donner naissance au Père Noël. Les familles de colons anglais sont rapidement séduites par le Saint. Peu à peu Sinterklass devient Santa Claus (Saint-Nicolas en anglais). D’origine chrétienne, Santa Claus va évoluer progressivement, au gré des illustrateurs et des romanciers, pour devenir le Père Noël tel que nous le connaissons aujourd’hui. Saint-Nicolas se déplace à cheval ou à dos d’âne (selon les pays), et en 1821, déboule un conte pour enfants, “La nuit d’avant Noël” de Clément Clarke Moore…
Il dote le Père Noël d’un traîneau tiré par des rennes. Alors que Saint-Nicolas vient du ciel, Thomas Nast, dessinateur au journal new-yorkais Harper’s Illustrated weekly, lui fait prendre ses quartiers au pôle Nord. Le Père Noël tel que nous le connaissons aujourd’hui, jovial et débonnaire, a vu le jour en 1931 sous les pinceaux de l’illustrateur Haddon Sundblom. La marque Coca‑Cola cherchait un moyen de booster la vente de ses boissons qui durant la saison froide de l’hiver connaissait une baisse de consommation. Engagé par la marque de soda, Sundblom s’est inspiré de représentations de Santa Claus…
Elles montraient un vieil homme habillé en rouge et blanc. Les couleurs de Coca-Cola ! Voilà, on s’est fait avoir par une pub Coca Cola…Vers quel âge et pourquoi faut-il dire la vérité ? Oui, il faut dire la vérité. Pourquoi ? Parce que l’enfant a grandi et qu’il a atteint l’âge de savoir. Mais quel est cet âge, me direz-vous ? Généralement, les enfants croient au père Noël jusqu’à l’âge de 6-7 ans, parfois jusqu’à 8 ans, voire un peu plus tard. Jusqu’à 3 ans la pensée magique domine : l’enfant confond imaginaire et réalité. Vers 4-5 ans, il distingue le fantastique de la réalité, mais la frontière reste perméable.
Vers 6-7 ans, il n’y a plus pour lui de confusion entre imaginaire et réalité ; il reconnait la réalité, mais tout en continuant à entretenir un monde imaginaire, et il navigue habilement d’une dimension à l’autre. La croyance au père Noël diminue avec l’âge au fur et à mesure que la maîtrise du raisonnement causal augmente, c’est-à-dire que sa pensée concrète lui permet de rassembler des faits pour aboutir à une conclusion logique. À 3-4 ans, l’enfant n’est pas perturbé par les invraisemblances. Il accepte sans sourciller qu’un vieil homme voyage dans le ciel sur un traîneau tiré par des rennes,…
Il croit aussi qu’il rentre chez les gens par la cheminée, qu’il présente une physionomie différente à chaque rencontre ou qu’il puisse le croiser à diverses reprises dans des lieux différents en l’espace de quelques minutes. Généralement, vers 6-7 ans, il commence à interroger ses parents, sans pour autant remettre en question l’existence du Père Noël : Comment le père Noël fait-il pour rentrer chez nous alors que nous n’avons pas de cheminée ? Comment peut-il passer par la cheminée avec son gros ventre ? Puis, l’enfant commence à relever les incohérences : Où trouve-t-il l’argent pour acheter des cadeaux ?
Comment peut-il distribuer des cadeaux à tous les enfants de la Terre en une seule nuit ? Comment peut-il être dans la rue alors que nous venons de le voir dans le magasin ? Les incohérences s’accumulant, il émet progressivement des doutes quant à l’existence du Père Noël. Quand annoncer que le père Noël n’existe pas ? L’approche des fêtes de fin d’année me semble un moment pertinent pour aborder la question du Père Noël. C’est à cette période que l’enfant pose des questions. C’est un bon moment pour souligner les valeurs véhiculées par la fête et affirmer la pérennité de ces valeurs.
C’est aussi à ce moment-là que les parents peuvent faire prendre à l’enfant un rôle actif dans la magie de Noël et l’adouber dans ce nouveau statut de grand. Dévoiler cette réalité est une manière d’aider l’enfant à passer d’un stade de développement dominé par l’imaginaire au stade des opérations concrètes… Il faut agir de même pour les dieux et les saints ainsi que pour les discours politiques, les dons de charité à l’Ukraine et autres fumisteries… et ce sans détours, parfois de façon brutale, il est important de dire la vérité. Il ne faut pas faire injure à l’histoire humaine et accepter les divagations !
L’humain a souvent besoin de temps. La prise de conscience se fait petit à petit, il faut passer du monde de la naïveté à celui de la connaissance. Ce que la fiction du Père Noël peut apprendre, c’est que tout ce qui est dit par nos penseurs politiques et relayé par leurs amis milliardaires qui possèdent la presse et les TV’s, n’est pas vérité et qu’il est bon parfois de douter et de remettre en question ce qui nous est raconté. Voilà, il est temps que ça s’arrête, j’en ai réellement ras-le-bol et je dois me maîtriser pour ne pas exploser…




























































