Hot Rod American LaFrance Speedster 1919 Donald Trump Collection
Tapotez vous personnellement un autre titre… Masturbez-vous les neurones à y réfléchir… Créez-vous conséquemment votre titre d’humeur adéquate selon vos capacités intellectuelles… Soyez créatif… Branlez-vous l’entre-jambe de même… Mais soyez subtil ! Rappelez-vous sans cesse que jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte… Naguère relativement subtile, elle est aujourd’hui omniprésente et orientée aux extrêmes, ne s’embarrassant plus de sauver les apparences… L’emprise du politiquement correct s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement cela monopolise la pensée sociale, politique et son expression, mais se “spermet-jouissivement” de sanctionner, en ce compris judiciairement, tous les écarts…
Mais aussi écrabouiller les “ceusses” qui les commettent que sont les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs/animatrices tv et radio, influenceurs et influenceuses des réseaux asociaux se pressant aux divers portillons des accès en excès aux tribunes merdiatiques… Ce sont ceux et celles qui afficheront avec le plus de zèle et de putasserie leur soumission aux dogmes des religions du pouvoir et de leurs servilités merdiatiques… Je n’ai pas l’ambition ni le temps de vie suffisant pour pointer du doigt les attentats terroristes de la “Pensée Unique” et dénoncer les “Ceusses” qui les commettent, consciemment ou inconsciemment. Quoique, cherchez à lire l’actualité et voir le monde sous un autre angle que celui que vous imposent ces gens…
Qu’ils soient de TV, de Radio, de Presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces merdias… Pfffffffff ! Bienvenue ! Vous ferez ici partie des plus de 200.000 abonné(e)s qui ne sont en rien choqué(e)s de mes commentaires en articles déjantés, car ayant mesuré à quel point ils et elles caricaturé(e)s ont été formaté(e)s par la Pensée Unique et apprécient le degré d’urgence qu’ils et elles éprouvent à se dépolluer l’esprit… C’est bizarre, tout de même, maintenant les d’jeunes sont vioques ! J’en suis un… 76 ans… J’étais “relativement d’jeune” en me lançant en presse-papier en sortir de mes études d’architecture avec “Home”… 20 ans et quelques avec déjà une révolution truquée vécue avant d’être comprise…
L’ Amérique voulait se débarrasser du Général Président deGaule qui boutait les américanités hors de France, leurs Cowboys politiques ont payé Cohn-Bendit pour créer la révolution de 68 en prémices à toutes les autres, l’avant-dernière étant l’Ukraine, l’actuelle s’avérant plutôt un génocide calqué sur les Juifs de Varsovie, à un Ghetto s’en ajoute un autre, bien pire… “Quoi j’en ai à foutre” vous demandez-vous ? Quoique donc, je corrige… Etant déjà à mes 20 ans (il y a 56 ans déjà) plus Rolling-Stones que Beatles qui étaient plus âgés que moi (maintenant ils sont vieillards cacochymes, ce qui ne se remarque pas dans les beuglement qu’ils hurlent), c’est resté le même écart, sauf qu’ils que l’âge avancé transparait…. Regardez donc, m’enfin, vous vous rendez compte ?
Bientôt quatre vingts-dix balais qu’ils ont ces gugusses Rock’n’Roll, un truc pas possible ! Bon, je veux bien, ils se ont toujours trimballés une tronche-gueule de boîtes de conserves ouvertes au canif, mais ça ne fait rien, seule l’idée zizicale compte avec en sus le pognon qui continue de rentrer à flots et l’idée, en pareil cas, c’est que ça fait du bien quand ça rentre et qu’on s’agite, quoique quand ça sort aussi… Enfin pour moi. Ce n’est pas que sexuel, textuel aussi… Vous je ne sais pas mais, quoi que je m’en tamponne, à mon humble avis il existe des symboles de la vieille-jeunesse et ces loustics en constituent l’échantillon quasi parfait ! Oui, bon d’accord, on pourrait aussi aller chercher Mozart bien sûr, ou alors Zimmer qui a créé la zizique d’Interstellar…
Mais là c’est extra-terrestre et je vous cause de choses terrestres, bien posées sur le sol avec 4 roues, parfois 6 et parfois 2… et non des miracles célestes qui nous dominent du plus haut des sphères éthérées…. Pfffffffffffff ! Non, pour tout vous dire, mes Popu’s, tout ça ressort super incongru, ça frise l’obscénité absurde, il y a incompatibilité douloureuse. Ben oui, ça fait mal pour des tas de raisons, la principale étant qu’on ne voit pas le temps passer et qu’il s’écoule, cependant, en se foutant bien pas mal de nos gueules surtout devenues celles d’anciens d’jeunes qui n’ont pas encore digéré leur malheur de vieux kroumirs exilés en des lieux complètement étrangers, vaguement hostiles, aussi et ce, sans même évoquer l’allure saugrenue de beaucoup de ces gens qu’on croise.
Les “ceusses” qui ressemblent aux petits dessins en couleur de nos livres d’école, quand ils évoquaient fièrement les possessions coloniales de la Quatrième Répupu ! Des gens qui parlent comme les populations en cause dans les histoires drôles dont nous faisions à l’époque des gorges chaudes… Mais oui, souvenez-vous, le genre : “Mohamed fait-moi une phrase avec le mot volupté” – “Oui, ji voulu p’ter ji chié dans le sarouel”… Vous voyez/lisez ce que j’écris, pas vrai ? Un monde nous sépare de l’actualité brûlante, un monde qui me traduirait directement en injustice pour des petites blagues de cet acabit s’il me lisaient, mais sans aller chercher la malédiction épouvantable attirés sur nous autres par notre propre génération d’imbéciles prétentieux autant que jouisseurs.
Il suffit de tenter une conversation avec quelques p’tits d’jeunes pour appréhender la profondeur vertigineuse de l’abîme. Nous ne parlons pas la même langue, nous évoquons des tas de choses qu’ils (les d’jeunes cons) ne peuvent même pas imaginer et, en retour, si par impossible ils s’abstraient un instant du smartphone qu’ils tripatouillent en permanence comme le séminariste son bréviaire (ou autre chose, c’est vous qui voyez), ils nous tiennent même des propos abstrus… Et la plupart du temps, s’exprimassent-ils en un français entendable ? Non… La terminologie utilisée et leur diction mal articulée nous les rend rigoureusement hermétiques. J’ai beau chercher dans mes souvenirs lointains des années cinquante je ne crois pas m’être trouvé en telle situation.
Surtout celle d’incommunicabilité vis à vis de mes grands-parents, gens provenant en droite ligne, toutefois, d’un dix-neuvième siècle qu’ils n’avaient jamais tout à fait quitté. Je me rappelle clairement m’être assez souvent fait rappeler à l’ordre pour cause de langage insuffisamment châtié, d’affreuses fautes grammaticales ou d’articulations laissant à désirer, mais en aucun cas, mes aïeux et moi même, ne nous sommes jamais trouvés en situation de n’entraver que dalle à ce que racontait l’autre. C’est ce qui se produit aujourd’hui, la faute en revient à la République Franchouillarde qui s’est laissée déborder. Nous en arrivons d’ailleurs à des situations dont le côté comique ne parvient plus à prendre le pas sur le caractère parfaitement catastrophique de la vie sociétale.
Il n’est plus possible d’instiller une dose de politiquement correct telle que de vieux birbes et barbons, comme Voltaire, Flaubert ou même Camus, eussent été incapables de fournir. Voilà donc le cœur de l’affaire en question. J’entends déjà les vieux grognons de mon espèce observer que dans le genre sujet on pourrait imaginer quelque chose qui fasse un peu plus référence à notre littérature, laquelle apparaît largement à même d’offrir l’occasion de faire valoir l’étendue des acquis de l’humanité. En l’occurrence la culture fouteballesque, le côté ludique du joueur de balle-au-pied rémunéré plusieurs millions par mois pouvant donner matière à une réflexion bien structurée du style : “j’sé po sékoi ke’t racont a moa”... C’est panique à bord pour les scrupuleux !
S’ensuit une véritable bronca sur les réseaux asociaux et autres carrefours de culture, où les d’jeunes déversent leur haine envers ces salop’s même pas capables de causer intelligiblement. Mais au fond, tout bien considéré, je ne vois pas très bien pourquoi je m’obstine à publier des histoires de Hot Rod’s et autres à des futur(e)s/bientôt atomisé(e) qui s’comprennent déjà pluche… Yeahhhhhhhh ! Il me reste à prendre en compte les réalités… Pour ne rien simplifier, en marge des opérations militaires, comme dirait le Général Pénisbrandi (sur LCI et MSN tous les soirs entre 23 et 24h), se joue une autre partie entre les tenants d’une solution négociée offrant à la Russie l’opportunité de conserver ses anciens territoires qu’elle réoccupe…
Notez que c’est en échange de l’arrêt rapide de la guerre, et de l’émasculation des autres, les partisans d’une victoire absolue de l’Ukraine assortie d’une dépoutinisation radicale… Présipède qui plaide pour la première formule se met ainsi à dos, non seulement Zelensky mais encore les Polaks et les Baltes, sans parler de Trump qui regarde tout ça en rigolant car, en attendant que le prix de son gaz de schiste et de son pétrole grimpe, sa fibre écologiste s’en trouvant satisfaite, nonobstant le tiroir caisse amerloque qui se remplit grâce aux gaz et pétrole de schistes extraits par fracturation hydraulique. Bref, la situation se révèle de plus en plus compliquée. Bien sûr, comme d’habitude, les Anglo-Saxons règlent plus ou moins la chorégraphie !
Le veau d’or est toujours debout et Satan conduit le bal… Rien que de très normal en somme, nous payons toutes les âneries commises depuis la fin de l’URSS. Voilà maintenant qu’on demanderait aux Ukrainiens de lâcher un gros morceau du pays à leur agresseur, ça rappelle un peu l’époque où nos amis Allemands nous ratiboisaient l’Alsace et la Lorraine, sauf qu’alors personne n’avait bougé pour s’y opposer, surtout pas les Rosbifs, bien contents de nous voir dans le pétrin… Le temps passe et les fondamentaux demeurent ! Va me falloir maintenant vous causer d’un Hot Rod ou d’une belle américaine pour justifier qu’on est dans ChromesFlammes… Oui, mais pourquoi et pour qui ? D’abord pour les survivants du groupe Michel Hommel en faillite depuis 5 piges.
Pas que d’un peu mais de plusieurs centaines de millions d’euros. Ils tentent de survivre avec un autre mag’Nitrocéphalique… mais au vu des pôvres résultats, ce n’était pas une bonne idée, même si le (c)rachat fut misérable, que de vouloir présenter des trucs médiocres par des comiques de cirque tapotant des convenances à grand fracas sur des sujets relativement minables assorties de “textilarités” débilitantes que d’ailleurs personne ne comprend, même quand c’est sous-titré et sous-truqué à bloc puisqu’évidemment les intérêts matériels et moraux en jeu impliquent qu’on ne laisse pas au hasard le soin de faire les choses. Même sur ce genre de question à la “mords-moi le noeud en partouzes“, il n’est pas bon de prendre les braves gens pour des imbéciles.
Ainsi va le monde ! Je vais donc innover avec le Hot Rod “LaFrance” qui est une alternative aux Contrôles Techniques qui servent à interdire les Hot Rod’s en France… La plupart d’entre nous connaissent l’Américan LaFrance comme l’un des noms les plus célèbres dans la fabrication d’engins d’incendie aux USA. Pourtant, au début de leur longue et illustre histoire, A.L.F. a construit un petit nombre de voitures de route civiles, dont la rumeur dit qu’elles ont été conçues avec l’aide de leur voisin Simplex. Connues sous le nom de “voitures des chefs”, ces automobiles puissantes, luxueuses et coûteuses étaient plus susceptibles d’être trouvées dans la remise à calèches d’un riche homme d’affaires que dans une caserne de pompiers.
On ne sait pas exactement combien d’entre elles ont été construites, et il ne s’agissait évidemment que d’un projet parallèle pour Américan La France, réalisé pour des personnages de haut rang. Aujourd’hui, les experts estiment qu’il n’existe que deux voitures Chief originales, mais, malgré cette obscurité, elles ont inspiré un grand nombre de passionnés à créer des interprétations personnelles uniques du thème du camion de pompiers et de la voiture de sport. Utilisant les puissants moteurs à tête en T et le châssis robuste des camions de pompiers Américan LaFrance, et soulagés du fardeau du poids, ces Speedsters sont extrêmement puissants, passionnants à conduire et aussi uniques que les personnes qui les créent.
Cette American LaFrance Speedster de 1919 est tout simplement présentée par son propriétaire, Donald, fanatique de Hot Rod’s comme étant le plus bel exemple que nous ayons jamais rencontré. C’est du Donald Trump tout craché et l’engin fait partie de sa collection… Dans sa configuration d’origine en tant qu’autopompe de type 45, ce camion (numéro de châssis 31676, numéro d’immatriculation 2850) a été construit sur commande pour le service d’engin d’incendie de York, en Pennsylvanie. Un cahier des charges qui l’accompagne montre qu’il a été équipé d’une carrosserie de voiture dénommée “Pumper and Hose” de 900 gallons et qu’il a été baptisé “Fire Engine 2”... et il porte toujours cet insigne aujourd’hui. Mais Donald voulait un Super Hot Rod américain…
Comme pour toute autopompe, la puissance et la maniabilité sont essentielles, et la Type 45 a certainement livré beaucoup de la première grâce à un énorme six cylindres en ligne à tête en T de 855po soit un moteur glorieux de 14.000cc qui rend la conversion autour et dans ce speedster irrésistible. On sait peu de choses sur la carrière de ce camion et ses mésaventures avent Donald Trump, mais une note au dossier indique qu’i ll’a acquis en 1967 et a effectué les premiers travaux de conversion vers un style “Hot Rod” en supprimant tout le poids mort inutile de la pompe, de la carrosserie et de l’équipement, et en raccourcissant le châssis de 23po. Il semble qu’il a conduit sa LaFrance pas mal de temps, mentionnant des voyages n Floride…
Mais aussi à Boston, Winchester, Virginie et la New Orléans ainsi que New York. Apparemment tombée dans une période d’abandon, cette LaFrance a été redécouverte par son ami d’alorsn constructeur de voitures électriques qui l’a pris ben charge à ses frais chez un restaurateur d’automobiles respecté de l’époque du laiton sur la côte Est (des USA). Après une remise en service mineure, il l’a proposé comme un projet de restauration complet, en cours, dynamique et viable. On croyait encore qu’il était dans sa configuration de la fin des années 1960 à l’époque, il avait l’air un peu débraillé, un peu grossier, mais avec un potentiel énorme. Heureusement, Donald a reconnu son potentiel et l’a saisi. Donald, a fait entreprendre un vaste projet “modificatif”…
Il consistait à reconstruire ‘2850’ à partir de zéro, effectuant lui-même une grande partie des schémas du projet. Le résultat voulu est un exemple étonnant du thème “Hot Rod LaFrance Speedster”, fini à un niveau élevé et détaillé de manière évocatrice de la proue à la poupe… Si Donald n’eut pas été milliardaire, personne d’autre n’aurait été aussi fou de le faire construire… Au cœur de la nouvelle identité de ce Hot Rod hors normes se trouve une carrosserie arrière en queue de bateau superbement fabriquée et proportionnée, combinée à un capot enveloppant. La carrosserie et la colonne de direction ont été abaissées d’environ 4po pour obtenir un look beaucoup plus élégant. Les ailes et le panneau du tablier arrière étant sculptés pour refléter le corps de la queue (sic !)…
Même les ailes avant ont été allongées, ce qui a nécessité des marchepieds raccourcis. Longues et basses, les proportions capot long/pont court sont merveilleusement jugées pour masquer la taille du Type 45. Parmi les touches fabuleuses, citons des feux arrière en forme de cloche de plongée d’époque, une porte de golf intégrée avec des charnières polies convenablement charnues (Donald est Golfeur invétéré), un radiateur et des phares en nickel poli, des roues en acier LaFrance de couleur assortie avec des pneus ballon charnus, et bien plus encore. Bien qu’il soit visuellement époustouflant, ce Hot Rod étrange est également conçu pour être conduit, de sorte qu’il y a une direction assistée hydraulique, des leviers de vitesse et de freins assistés.
Il y a aussi les 2 sièges réglables, des clignotants et une gamme complète d’instruments dans le tableau de bord. Le propriétaire souvent coiffé d’une casquette rouge, le trouve fantastique à conduire et jure que sa bête s’est jusqu’à présent avérée remarquablement fiable. En ce qui concerne les déplacements dans des réunions de Hot Rodders, ce Hot Rod LaFrance n’aurait aucun mal à s’y rendre rapidement grâce à son énorme six cylindres en ligne, mais ce n’est plus à l’ordre du quelconque des jours présidentiels…. Avec un alésage de 5 1/2po et une course de 6po, il déplace 855 pouces cubes, soit environ 14.000cc. Il fournit un couple de torsion par l’intermédiaire d’une boîte à 3 vitesses entraînant deux pignons arrière à transmission par chaîne.
La bête peut atteindre 60 mph à un peu plus de 1.000 tr/min, tirant comme un train de marchandises tout au long du trajet. Les échappements brillamment polis sortant du capot et tournés vers le bas font connaître son arrivée bien avant que la peinture rouge brillante, les filets dorés et les pin-up à l’aérographe n’attirent l’attention ! Superbement réalisé et doté d’une présence et d’une qualité indéniables, ce puissant American Hot Rod LaFrance Speedster de 1919 est une bête exaltante, qui offrira certainement une expérience de conduite sans pareille… Donald m’a proposé un deal détaxé spécial ChromesFlammes pour 254.000$ et annule les taxes… J’hésite… Le cadeau présidentiel est Trumpesque, trop… Je vais y réfléchir…









































