Tom Walsh’s 1927 Ford “T-V8”
Trop facile débuter un sujet Hot Rod avec une photo campagnarde réalisée via un drône, photographiant d’en haut de manière mitraillette, un couple approchant de la retraite, l’air béat de béatidude béate (sic !)… J’ai presque honte… Il n’y a pas de combat facile dans la lutte contre le vide qui est abyssal dans les pensées. C’est un combat acharné de A à Z, où l’on crache comme du sang qui n’en est pas, entre deux rounds inexistants, alors qu’on laisse croire qu’on aspire l’air à travers un protège-dents, les côtes cassées et le nez en sang, de réaliser une vue issue d’un mitraillage photographique à distance… Mais on prétend qu’on continue à se battre quand même que les temps s’atomisent de menaces parce qu’il n’y a pas de combat facile dans la lutte contre l’empire.
Surtout qu’il n’est pas le nôtre, ce que les autres prétendent de même. Beaucoup de pertes et aucune victoire nette. On passe des années à protester contre un des génocides du monde, pour n’assister qu’à des désaccords de “cessez-le-feu” bidonnés et merdiques, conçus uniquement pour nous faire taire pendant que continue l’enfer de créer un enfer pire que l’enfer pour les “ceusses” qui ne peuvent exister et leur arracher toujours plus de tout… L’humanité parvient pour l’instant à s’éviter un conflit nucléaire aux pires moments de la guerre en Ukraine tout en continuant d’être ravagé dans un bain de sang absurde facilement évitable avec un peu de diplomatie et de bon sens… D’autre-part Assange a été libéré, mais seulement après avoir accepté de plaider coupable !
Pourquoi ? Pour avoir fait son travail de journaliste… et ce, après des années de traitements inhumains qui devaient amener le public à constater ce qu’on peut créer comme exemple à ne pas faire à destination du monde entier. Le fait d’être poursuivi pour viol en suite de relations sexuelles provoquées et consenties par la plaignante qui s’est ensuite réfugiée en Israël pour s’éviter toutes “explications”, n’a fait que contribuer à la perte de confiance du public dans les merdias traditionnels propriétés de milliardaires occidentaux ce qui finit par être oblitéré, mais les gestionnaires de l’image impériale ont recours à la manipulation des algorithmes de la Silicon Valley et aux chatbots IA contrôlés par les ploutocrates pour garder le contrôle des discours…
Ils peuvent ainsi continuer de faire avancer leurs programmes écocides et dystopiques tant qu’ils génèrent es profits et confortent les structures du pouvoir impérial… Aux USA les Républicains triomphent, mais continuent à se comporter comme d’infortunées victimes et quand les Démocrates gagnent, ils se comportent comme les Républicains… Dans nos démocraties, toute véritable opposition politique naissante est balayée d’un revers de main. Les faux héros laissent tomber leurs troupes et les alliés disparaissent car les développements géopolitiques qu’on espère tant voir émerger ne se concrétisent jamais. Chaque fois qu’un moment de calme relatif s’installe, les factions dissidentes s’agitent et se cannibalisent entre elles dans des luttes intestines.
Toutes sont contre-productives mais divers coups bas sont créés pour que les rouages de la machine impériale continuent de tourner. Parfois, on a le sentiment d’être un enfant handicapé balançant des pierres sur un char d’assaut. Il n’y a pas de combat facile. Pas de victoire par KO au premier round. Au mieux, c’est un combat acharné de A à Z où l’on crache du sang entre deux rounds et qu’on aspire l’air à travers son protège-dents, les côtes cassées et le nez en sang… Mais on continue à se battre quand même. Pas parce qu’on aime ça. Pas parce qu’on est doué pour ça. Pas parce qu’on a l’impression de gagner. On continue à mordre dans son protège-dents et à donner des coups de poing parce qu’on ne sait plus que faire d’autre.
Ces monstres sont en train de détruire notre planète. Ils commettent un génocide. Ils brandissent des armes apocalyptiques comme ils agiteraient leurs pénis en érection et jouent à qui sera le plus dangereux pour la vie de tous les organismes terrestres que d’éjaculer leurs saloperies cancéreuses. Ils nous entraînent toujours plus avant dans une dystopie tyrannique où l’esprit est sous contrôle, tout en déployant tous les moyens possibles et imaginables pour étouffer n’importe quel génie artistique et empoisonner absolument tout ce qu’il y a de meilleur en nous. On les combat parce qu’on n’a pas d’autre choix. Même si les rouages de la machine finiront par tous nous écraser, au moins, on aura le sentiment d’avoir tout donné sur le ring planétaire.
Et on continuera donc à se battre. On donnera tout ce qu’on a, même si on a l’impression de se mesurer à une montagne à coups de poings. On encaissera les coups, on crachera toutes nos dent, et on ripostera avec des lance-pierres parce qu’on ne peut rien faire d’autre… “The right stuff/L’Étoffe des héros” peut s’appliquer à pratiquement tous les sujets que vous lui lancez, mais pour retomber sur mes pieds et vous converser amicalement de Hot Rod’s parce que ça fait plus de 60 ans et plus que je me suis plongé la dedans, “The right stuff” n’est pas toujours facile à découvrir dans la vie et son exécution ainsi que dans la préparation (c’est-à-dire la collecte initiale des choses) de ce à quoi on se met à rêver… Je me suis en effet mis à rêver d’une image de l’Amérique…
Mais, lorsque j’ai eu les moyens financiers de m’y installer, diverses réalités Européennes provenant d’un concurrent désireux de prendre ma place (ce qui impliquait pour le Groupe Michel Hommel éditant Nitro, d’anéantir mes magazines Chromes&Flammes en Europe via une délation fiscale de centaines de millions d’€), m’ont fait découvrir que les réalités sont illusionnées. Que soit… Je suis toujours là et ce web site dispose de 200.000 abonnés tandis que le Groupe Hommel a fait faillite et que quasi toutes leurs troupes font le bonheur des caniveaux et égouts voire certaines prisons Thaïlandaises pour faits de moeurs sur gamines nubiles… Mais le Hot Rodding Franchouillard y a perdu ses possibilités de faire rêver comme les Western’s le faisaient…
De surcroit, nos chefs rêvent d’être conquérants… On fait revenir Pétain parce qu’on a fait revenir l’Allemagne et ses industries issues du Nazisme dans un boulevard de retours sur dons par milliards et autres à l’Ukraine que nos pontifes ont calculé d’avance camoufler dans une guerre atomique qui détruira toute opposition… Alors dans ce grand foutoir, quel est donc le sens de publier un article de Hot Rod’s indiquant que n’importe qui peut construire un Hot Roadster Deuce et le qualifier de traditionnel… C’est’y pas surréaliste de tapoter une telle connerie après un départ de harangue sociale ?… C’est l’absurdité humaine… Elle est comme le sommeil qui vous prend, vous cauchemarde, vous fait rêver et vous ramène aux petits matins… L’absurdité…
Notez que tant qu’à me piéger moi-même dans diverses voies sans issue dans lesquelles j’entends distinctement mes proches (vivants encore ou déjà morts), me crier “Fait attention”, il faut se dire qu’un jour chasse l’autre avec la nuit qui disparait mais revient sans cesse… Ouaihhhhh ! Sortir de cette introduction confine à être équilibriste… Je retombe sur les pieds en tapotant qu’en matière de Hot Rod’s, les modèles T sont les plus emblématiques, mais ce sont les B’32 qui font l’unanimité, ce n’est pas le seul gros poisson dans les eaux traditionnelles, loin de là. Pour d’autres il n’y a pas grand-chose de mieux qu’un modèle A… Tom Walsh de “NorCal” a voulu prouver qu’une carrosserie Ford T’27 montée sur un châssis Ford B’32 pouvait “effectivement faire l’affaire”.
Et il a construit son Hot Rod Walsh-T qu’il a définitivement et spécialement conçu pour qu’il puisse se rendre à l’édition de la côte ouest de la “Race of Gentleman” de Santa Barbara/Californie, là ou Alain Clénet s’était installé une mini usine pour conquérir le monde en vendant des Clénet Séries III Asha (le prénom de sa fille qui s’est reconvertie dans la mode Californienne). Le rêve d’Alain Clénet lui a été volé par un affairiste qui était soudeur chez Clénet, préposé aux nettoyages des Clénet’s avant livraisons et s’est mélé dans diverses affaires sordides le rendant milliardaire, Alain Clénet finissant de son coté quasi ruiné sans plus même pouvoir avoir la santé de nettoyer quelconques voitures… Cela fait partie des rêves cauchemardés Américains…
Pour ce qui concerne le Hot Rod de rêve de Tom Walsh de “NorCal”, son Hot Rod devait non seulement avoir la bonne apparence mais être suffisamment fiable pour faire le voyage depuis leur domicile jusqu’à Santa Barbara… Une épopée “gag” américaine de moins de 100kms… Mais le Hot Rod devait y arriver en utilisant des pièces entièrement adaptées de l’époque d’où venait la T… Cela signifiait qu’il n’y avait pas de trains roulants plus récents que 1953, pas de roues de moins de 15 pouces de diamètre et pas d’équipements modernes, tels que des freins à disque et autres. À l’exception du moteur, un V8 Flathead (à tête plate) construit vers 1947 par Ron Sterbenk, le châssis dans son intégralité est donc totalement antérieur à 1940, ce qui apparait stupide…
Quoiqu’il en soit et en coûte, Tom Walsh à utilisé un essieu Ford V8-60 de 1937 percé et à ressorts Deuce avec un châssis plate-forme 109po comprenant des freins Ford 1940, une direction, des triangles fendus, un chargement par le haut de 1939 et un Pont/Différentiel/Banjo de 1940 équipé de jantes Halibrand imitant les jantes à rayons Ford 1935 de 16 pouces portant des pneus à plis diagonaux Firestone Deluxe Champion de taille 500&890… Waouhh ! C’est la première fois qu’un guide de compréhension expliquant le “pourquoi du comment” a été édité en photocopies… La carrosserie du Hot Roadster, achetée à la fin des années ’90 à un dénommé Jim Stroupe a été comme ressuscitée par Jim Hendricks et Guy Ruchonnet, des carrossiers/garagistes.
La caisse a été peinte en British Racing Green réalisée par un vieil ami dénommé Marcos Garcia, œuvrant pour un salaire de miséreux chez “Lucky 7 Customs” un garage situé à Antioche USA… Rien à voir avec l’Antioche décrit sur Wikipédia que je me dois historiquement d’évoquer : “Antioche, ou Antioche-sur-l’Oronte (en grec ancien : Ἀντιόχεια ἡ ἐπὶ Ὀρόντου / Antiókheia hē epì Oróntou ; en latin : Antiochia ad Orontem) afin de la distinguer des autres Antioche plus récentes, est une ville historique originellement fondée sur la rive gauche de l’Oronte dans la Syrie historique et qu’occupe la ville moderne d’Antakya, en Turquie. C’était l’une des villes d’arrivée de la route de la soie. Fondée vers 300 av. J.-C. par Séleucos Ier Nicator après sa victoire d’Ipsos sur Antigone le Borgne…
Il l’appelle Antiocheia (en grec ancien : Ἀντιόχεια) en souvenir de son père Antiochos. La ville connaît un essor démographique rapide car elle est créée par synœcisme de plusieurs bourgs avoisinants, Iopolis, Jope, Meroe et Bottia, (le synœcisme est la réunion de plusieurs villages pour fonder une polis), synœcisme amplifié par l’adjonction de 3 500 familles macédoniennes et grecques déplacées d’Antigonie, l’ancienne capitale de son rival située 9 km en amont sur l’Oronte. Bâtie initialement en retrait de la rive gauche du fleuve en raison des risques d’inondations, elle est conçue sur un plan hippodamien à l’image d’Alexandrie et des prestigieuses cités hellénistiques. Elle se veut en être la concurrente dans la région. Antioche devient l’une des grandes villes de l’époque. On la connaît aussi sous le nom d’Antioche sur l’Oronte…
Pourquoi ? Mais afin de la distinguer des quinze autres Antioche créées par le monarque et d’Antioche épi [près de] Daphnè, du nom d’un bois sacré voisin consacré à Apollon et dans lequel Séleucos éleva un temple au dieu tutélaire des Séleucides. La première Antioche, dont Séleucos confia la construction à une commission de trois superviseurs, Attaios, Péritas et Anaxicratès, ne comprenait que deux quartiers : ce qui devait devenir le quartier royal, dans l’île, et le quartier sud. Elle fut entourée d’une enceinte (dont il ne reste rien) conçue par l’architecte Xénaïos. Légende tardive ou souvenir d’un rite barbare, Jean Malalas explique que la fondation d’Antioche est marquée par un sacrifice humain, celui d’une jeune fille nommée Aimathè. Elle est alors considérée comme une déesse, la Tyché (la Fortune)…
Son sanctuaire fondé par Séleucos devient l’un des plus importants de la cité. Le roi commande une statue au prestigieux sculpteur Eutychidès de Sicyone, œuvre monumentale qui va devenir une des plus célèbres du monde grec : elle représentait la jeune fille voilée, couronnée de tours, tenant à la main des épis de blé, assise sur un rocher qui symbolise le mont Silpios ; à ses pieds apparaît à partir de la taille un jeune nageur étendant les bras, et représentant l’Oronte. L’originale aurait été détruit par le terrible tremblement de terre de l’an 115. Une copie romaine repose aujourd’hui au musée du Vatican. Le roi fonde aussi d’autres sanctuaires pour la ville nouvelle : celui de Zeus Bottaios, un dieu macédonien, et dans les environs un temple d’Athéna avec une belle statue de bronze pour les colons athéniens venus d’Antigonéia…
Ne pas oublier de signaler qu’un bois sacré de cyprès est situé à proximité du Daphneion, qui est le Sanctuaire du Laurier, consacré à Apollon, sur les hauteurs de Daphnè au sud-ouest”... Allo, allo… Vous êtes encore là. Non ! Pfffffffffffffffffffff ! Je suis déçu car je me donne beaucoup de mal pour parfaire votre savoir… Bien, je vais donc abréger puisque vous ne me semblez pas au niveau… J’en terminerai donc en vous signalant les autres commodités extérieures du Hot Rod qui comprennent un sabot ventral complet ainsi qu’un capot fabriqué sur mesure, un pare-brise coupé de moitié en sa hauteur et un pare-chocs arrière tubulaire “maison”. Les phares étant en B-L-C, (cherchez vous même avec l’IA) tandis que les feux arrière sont des Ford 1937.
Voilà, j’arrive au bout et j’en suis aise… L’intérieur est ce que l’on attend de Sid Chavers (pour autant que vous connaissez qui il est) , avec une touche traditionnelle parfaite, c’est-à-dire que Sid Chavers a recouvert l’hémisphère arrière du cockpit, les bases des sièges (provenant d’un bombardier) et les panneaux de porte en cuir marron, tandis que le sol a été recouvert d’un panneau d’aluminium à fossettes plutôt contrasté. Les compteurs sont des Stewart-Warner, le volant est un authentique modèle T retourné. Avec tout ce qu’il faut, Tim, Justin et Cindy Walsh ont réussi à faire leur “trek” et retour prévu pour assister à l’entièreté de la course de plage : “The Race of Gentleman”, dans le plus pur style traditionnel (familial) ! Voilà… Terminé… Bye… Au plaisir… Salut…





































