Bugatti Brouillard W16 2026 /15millions€
La Bugatti Brouillard W16 est une hypercar unique sur le thème des chevaux, basée sur la Bugatti Mistral dans la série des “Solitaires”, c’est donc, de fait, une déclinaison de “spin-offs” prétendus uniques pour faire accepter un prix mirobolant sur commande de qui à les moyens de payer le “Buy-in” minimum…
Il est de de 15 millions d’€uros ou Dollar$, plus gadgets de personnalisations multiples à l’infini pouvant encore doubler le montant final. Celui-ci, est calqué sur le système des dons de charité à l’Ukraine avec “return de 50% aux donateurs” mis au point par la spécialiste VonderLeylen des commissions Covid…
C’est devenu le “Must” des chefs d’Etats et affairistes corrompus, ce qui est un spectre tellement large, qu’il les englobe toutes et tous… “Spectre”, c’est très “James Bondien” comme image et elle se positionne tellement haut que personne ne peut s’en plaindre sans risquer des représailles “définitives”.
Ici à Saint-Tropez, les “petits riches” font une heure de file devant chez Dior, Hermes, Vuitton, Gucci, Rolex et même devant chez Sénéquier, Lignac, Grolet, avant de pénétrer ces temples/boutiques (c’est quasi sexuel comme image) avec leurs voitures “buy-in multi millions” en double file…
Les “moyens riches” viennent en Yacht dont les emplacements sont attribués en enchères “sous-mains” qui peuvent voisiner 15.000€/jour… C’est copié/collé de Monaco… Le départ “des Russes” suite aux sanctions en cause de l’Ukraine, à toutefois permis d’alléger les ballets d’hélicoptères et celui des limousines.
Si les places sont chères en terrasse de Sénéquier c’est à cause du spectacle des milliardaires de 160kg qui tentent de sortir de leur Hypercar et finissent par rouler au sol, ainsi de même que les prestations de leurs maîtresses qui exhibent le néant de leur intimité dans de subtils jeux de jambes en mêmes sorties…
Mais ces visions furtives exceptées, rien ne coutent rien aux ultra-riches qui détestent partager quoi que ce soit de concret, c’est pourquoi Bugatti monte en gamme à 15 millions d’€uros/Dollar$ la passe masturbatoire en proposant une série de modèles uniques à ses clients les plus exigeants (et les plus riches).
La première d’entre elles qui suit la précédente (sic !) est la voiture que vous voyez ici : l’unique Bugatti Brouillard… Elle, fait ses débuts (son entrée) à la Monterey Speed Week sur la cote Pacifique des USA et est ainsi nommée du surnom du cheval préféré d’Ettore Bugatti.
La Bugatti Brouillard est essentiellement une version coupé du Roadster Mistral que je vous est présenté il y a quelques jours. En ses dessous, la bête partage la même architecture “de noyau” qui est la copie des “Kit Cars” des années ’80…
Mais c’est ici en fibre de carbone et le bestiau utilise le même W-16 “quadriturbocompressé” que la Mistral. De plus, presque tous les panneaux extérieurs (parce que démontables en quelques clics) sont différents. La Bugatti Brouillard est également la première d’une série d’Unicités (gag !)…
C’est l’appellation que Bugatti qualifie de “Commissions uniques” à cause du système mis au point par Elsa La Louve VonderLeyen et Volodymir Zeelinsky (le pianiste au pénis érigé)… J’explique en quoi cela consiste, quoique je ne vais pas répépépététer sans cesse…
Le directeur du design, Frank Heyl, m’a déclaré que le plan “officiel” est de ne pas produire plus de deux de ces pièces uniques par mois sous le (faux) couvert de n’en faire que 2 par an pour entretenir l’illusion, ce qui permet de faire croire aux acheteurs que cette bêtise est un investissement (pour qui ?)…
De plus est ajouté le fumeux “Apport de modifications innovatives sans précédent à la carrosserie et aux éléments extérieurs de la voiture”... En réalité, Bugatti a inventé le KitCar de grand luxe, pour gogos fortunés. Notez que c’est très bien réalisé, aucun lien avec les kit Cars VW Scobra, mais c’est le même processus.
Le fait d’habiter pas loin de chez Trumpy en Floride et d’avoir un “chez moi” entre Brigitte et Bernard à St-Tropez, me fait inviter à divers événements d’avant-première, dont celui-ci au studio de design de Bugatti à Berlin le mois dernier, où j’avais vu un modèle extérieur grandeur nature de cette même voiture.
Tout ce cinéma sert à “faire de la promo”, la voiture sera livrée à son client seulement en 2027. Bugatti n’a pas révélé son nom, mais a déclaré que l’acheteur était “l’un des principaux clients de Bugatti au monde”. Quel cinéma… Tout le monde s’en f… que c’est Brad Pitt…
Les détails mécaniques sont essentiellement inchangés par rapport à la Mistral, la Brouillard utilisant la même version de 1.578 chevaux du moteur W-16 quadriturbocompressé de 8,0 litres de Bugatti et une transmission à double embrayage à sept vitesses.
La voiture sera livrée en Europe dans la propriété vinicole de Brad. Je lui ai dit qu’une bonne vieille Jeep Wrangler était plus cool et pratique mais c’est une tête de mule… Bien que les détails des dimensions n’aient pas été publiés, l’équipe de conception m’a confirmé que la Brouillard est plus longue que la Mistral.
Cette longueur supplémentaire se situe dans le nez allongé qui intègre toujours le ridicule et très laid contour de la calandre en forme de fer à cheval de Bugatti, l’un des détails qui, selon Frank Heyl, n’est pas négociable lorsqu’il s’agit de réaliser des modèles pseudo-uniques.
C’est mon prétexte pour décliner tout achat… Bien que le profil latéral extérieur soit similaire à celui de la Mistral, toutefois plus enveloppé et kitch que la Chiron toute en courbettes, le toit de la Brouillard est nouveau par rapport au roadster toujours ouvert car on n’arrive pas à le fermer de manière étanche…
Cela comprendra à la fois un auvent en verre transparent et des trompettes d’admission allongées fraisées pour faire “Plus” d’effet… C’est gamin… À l’arrière se trouve un élément d’aile fixe au-dessus des feux arrière en forme de X repris de la Mistral, l’un des composants externes partagés sur la voiture.
L’architecture de l’intérieur est similaire à celle de la Mistral, mais Brad, l’acheteur de cette Brouillard a donné carte blanche à l’équipe de design de Bugatti pour faire des choix radicaux de couleurs et de garnitures… Le vert vomi désigné Veert-Macht par les nostalgiques est ici sublimé…
Le thème du cheval a été poursuivi avec des graphiques équins incorporés dans les sièges et les cartes des portes, ceux-ci fabriqués à partir d’un matériau tartan créé en partie à partir de crin de cheval réel. (Les amateurs de chevaux seront ravis de confirmer que cela est récolté sans nuire aux animaux).
Notez que ce rapprochement subtil avec l’image du cheval Ferrari laisse supposer un possible rapprochement financier avec Rimac concernant l’électrification… On reste toutefois dans le brouillard… Gag : le sélecteur de vitesse contient une représentation en aluminium fraisée d’une tête de cheval…
Oui, dans du verre, ce qui donne un coté “Alien-chevalin” cauchemardesque. Un autre clin d’œil au thème du cheval sont les éléments en forme de fer à cheval dans les vastes jantes en alliage. Combien cela coûte-t-il réellement ? Vous ne serez probablement pas surpris d’apprendre que Bugatti ne le dira pas…
Mais, Brad, le futur-déjà propriétaire admet que ce sera “plusieurs fois” le coût de l’un des modèles réguliers Bugatti. “N’oublie pas, Patrice, que le prix de détail doit récupérer la totalité de l’investissement du projet auquel je participe”… Après un dîner et une partouze “chic” cela m’a été dévoilé à 15 millions de dollars.
Paf !!! Trois fois plus que le montant “officiel”… Tout cela pour la possibilité de s’adapter aux autres propriétaires de ce qui va soudainement ressembler à des Bugatti ordinaires pour décorer les jardins… Brad a refusé d’exclure de voir d’autres pièces uniques de “sa” Solitaire basées sur la plate-forme W-16…
Il m’a confirmé que l’architecture V-16 de nouvelle génération qui sous-tendra la prochaine Bugatti Tourbillon sera bien mieux adaptée pour servir de base à d’autres pièces uniques. Donc, comme dit vulgairement : “Ces bazars de putes sont jouissifs”...













































