Mercos CLK GTR, le coté pute…
Après mon article sur la Cobra terroriste, les courses automobiles génocidaires mettant en scène la “ploucaille” béate des exploits débiles et inutiles des fous d’automobiles suicidaires, je me tourne vers les exploits marketing des publicitaires totalement crétins qui constituent le nectar des magazines qui ont l’art de présenter les étrons comme des œuvres d’art. La réalité c’est que c’est leur fond de commerce, tout comme les influenceuses des réseaux asociaux… Sans ces putasseries, qui irait encore acheter 100 ou 200 fois leur cout de fabrication dans les sous-zones de pauvreté des pays du quart-monde ?
Y a pas de miracle dans l’enfer de la sous humanité… Le “côté pute” décrypté : Posture provocante : portes ouvertes en diagonale, comme des jambes écartées prêtes à séduire. Ce n’est pas une voiture, c’est une mise en scène. Éclairage rose-violet : ambiance club privé, presque bordel de luxe. Elle ne roule pas, elle fait du strip-tease mécanique. Décor contrasté : Ambiance sombre, camion de transport, bitume banal… Tout ça pour mieux faire ressortir son statut d’objet sexuel de consommation. Design exagéré : aileron, courbes, fibre de carbone, chaque détail crie “regarde-moi”, “désire-moi”, “achète-moi”.
Lecture sociale : Ce n’est pas juste une voiture rare. C’est une allégorie du capitalisme obscène, un objet inutile, inaccessible… Il est exhibé dans l’espace public pour provoquer l’envie, la frustration, et le fantasme d’ascension sociale… C’est tôt lundi matin dans la capitale du Bade-Wurtemberg. Les premiers navetteurs se rendent au travail, et la circulation, souvent infernale, de Stuttgart reprend peu à peu. Le soleil se lève à peine en ce jour de fin de vacances 2025 lorsqu’un bruit de moteur, un bruit rare même à Stuttgart, capitale de l’automobile nazifiée, perce le silence de la ville…
Elle est encore largement endormie la ville… En y arrivant, sur la route fédérale B10 entre Zuffenhausen et Feuerbach, les premiers conducteurs qui se rendent en file indienne pour travailler en contrepartie de salaires pour miséreux obéissant, se frottent les yeux, car une star-pute du jour de la nuit apparaît à l’aube comme pour les narguer : c’est une Mercedes-Benz CLK GTR de plusieurs millions qui se déhanche d’une sortie de nuit… C’est en réalité une erreur de casting, car la société SML avait présenté ce véhicule quelques jours plus tôt au festival MYLE de Munich pour tenter d’attirer l’attention des visiteurs.
CarGroup d’Eberdingen, près de Stuttgart, est en effet expert en voitures de collection, surtout les plus belles et les plus rares. Les pauvres ploucs, eux, sont bien en mal de payer les mensualités de tous leurs crédits de consommation ! À Munich même, le style influenceurs et influenceuses, observateurs et observatrices, blogueurs et blogueuses ont été impressionnés par ce chef-d’œuvre du foutage de gueule automobile dénommé “Consumérisme”. Même les plus grandes gueules des prétendus passionnés d’automobiles inutiles ne l’ont jamais vu dans la circulation des pauvres ploucs se rendant au turbin…
Et ce en plein cœur de Stuttgart. La CLK GTR est une inutilité roulable qui devait avoir le look d’une Mercos de série tout en suggérant être une pure voiture de course, telle que celles présentées dans mon précédent article consacré au terrorisme automobile… Waouwwwww ! Initialement développée pour le Championnat FIA GT de 1997 pour se faire remarquer sous une apparence de Kit-Car Tuné avec super gonflette du cul et organes sexuels toto-mobiles… Tout ça pour participer à la catégorie GT1, stipulant qu’un minimum de 25 modèles homologués route doivent être construits pour pouvoir venir “sexiber”…
Putain, keckéchouette ! Mercedes-Benz souhaitait participer au championnat dès 1997, la FIA lui accorda une dérogation spéciale avec des dessous généreusement offerts pour spermettre d’éjaculer une mixture routière. La Mercedes-Benz Classe CLK (W208) en était la base. Hormis son nom et ses caractéristiques extérieures, comme les phares, la CLK GTR n’avait en réalité aucun points communs avec la CLK de série destinée à la plouquesque émerveillée. Notamment en raison de son moteur V12 central et de son châssis et sa carrosserie en composite de fibre de carbone…
Elle a même un arceau de sécurité en acier, intégré, le moteur et la transmission assurant la portance et les portes s’ouvrant en diagonale vers le haut/vers l’avant… Ce n’est plus seulement vers le haut, comme sur la 300 SL à portes papillon. Il est donc impossible de rouler vite portes ouvertes comme le faisaient les riches dragueurs de jolies dames convaincues que l’arrosage de sperme venant de la haute société leur apporterait une rente pour l’enfant de l’amour servant de surcroit de garantie financière aux fins que les épouses trompées dans la médiocrité sexuelle ne le sachent avant de divorcer pour un gigolo…
Le moteur Mercos était logé directement devant l’essieu arrière pour démontrer que même avec un tel casse-tête pour casses-couilles et pintades, la Mercos serait sacrée au plus haut de la putasserie organisée… Ouaissss ! Avec une cylindrée de 6.898 cm³ de 631cv à 6.500 tr/min, le pari fou d’en vendre entre 1998 à l’été 1999 a spermi que 20 CLK GTR Coupé ont été produites chez HWA à Affalterbach, puis vendues à des montants stratosphériques… En 2002, compte-tenu du succès, une petite série de cinq CLK autres GTR a été produite, sous le nom de CLK GTR Roadster, sans capote en tissu.
Voilà pour les chiffres officiels… Officieusement le contraire est toujours vérité éphémère… Ce coupé CLK GTR, actuellement en circulation chez SML CarGroup à Stuttgart et issu d’une collection d’amis du Musée national de l’automobile (la Collection Loh, ne fait pas partie des 20 modèles mentionnés ci-dessus. Ce véhicule est le prototype de cette petite série et est donc présenté comme quasiment inestimable, ce qui est plus élégant que d’avouer que c’est temporairement invendable. Ne croyez pourtant pas que c’est “assez extraordinaire de traverser Stuttgart aux heures de pointe au volant de ce bolide”…
Ne soyez pas naïf, c’est une mise en scène consumériste destinée à attraper un Gogo parmi d’autres… Le trajet a été calculé pour traverser le centre-ville…Et ce devant la MHP Arena, puis par hasard (gag !) jusqu’au musée Mercedes-Benz, le décor parfait pour “Gogoler” ce véhicule en le prétendant exceptionnel. Après quatre bonnes heures de plouqueries débilitantes, le véhicule n’a pas été acheté, pas même une interrogation et a donc été ramené chez SML CarGroup à Eberdingen, où il sera toiletté des cacas locaux et pisseries plouquesques et pris en charge aux côtés d’autres véhicules…
Ceux d’autres collections privées nationales et internationales, en quéquète d’acquéreurs… Tout ça avant de rentrer au Musée national de l’automobile. Quelle journée passionnante !!! Voilà… J’avoue que mon style est acide, provocateur, et clairement orienté vers une critique féroce du consumérisme automobile et des stratégies marketing tapageuses. Tout dénoncer l’absurdité d’un monde où le luxe est mis en scène pour séduire les naïfs. Les voitures deviennent des objets de fantasme plus que de fonction, et où les influenceurs jouent les VRP d’un rêve inaccessible. Idées de sujets à creuser…
Le rôle des influenceurs dans la marchandisation du rêve Analyse de comment les réseaux sociaux transforment des objets de luxe en symboles de réussite, et comment cela manipule les désirs des classes moyennes. La mise en scène du luxe dans l’espace public… Pourquoi exhiber une voiture à plusieurs millions dans les embouteillages ? Est-ce une forme de provocation sociale ? Une stratégie marketing ? Une satire involontaire ? La CLK GTR comme icône du délire automobile, cette voiture incarne l’excès, l’inutilité fonctionnelle, et la glorification du superflu.
Le contraste entre Stuttgart, ville ouvrière, et les bolides de collection est une réflexion sur le choc entre le quotidien des travailleurs et les apparitions spectaculaires de véhicules inaccessibles. La critique du storytelling publicitaire du “Comment les marques créent des récits autour de leurs produits pour leur donner une aura quasi mystique, alors qu’ils ne sont que des objets manufacturés”, frappe fort, comme une décharge de V12 dans un parking de supermarché à 6h du mat. Ma plume est toujours aussi incisive, provocante, et sans concession. Je continue à démonter les artifices du marketing automobile…
Et cela avec une verve qui ferait rougir un moteur suralimenté. Ce nouvel article a donc été une montée en puissance, passant de la Cobra “terroriste” à la CLK GTR “star-pute”, sans faire dans la dentelle, exposant la mise en scène grotesque du luxe roulant dans un décor de misère sociale et démontrant comment l’objet automobile devient un outil de séduction, de domination et de manipulation. Pour aller encore plus loin, j’ai quelques idées pour enrichir mes angles : une galerie des “voitures putes” qui ne servent qu’à aguicher, séduire, provoquer. Je me dois donc de créer un parallèle avec l’art contemporain…
Comment les voitures de luxe sont mises en scène comme des œuvres, alors qu’elles ne sont que des produits de consommation déguisés ? Une plongée dans les coulisses des shows automobiles : qui sont les visiteurs ? Que cherchent-ils vraiment ? C’est une critique des influenceurs auto, démontrant leur rôle dans le futile… Qu’ajouter de pire avec une verve qui claque comme une portière de GTR en pleine parade ? Voilà… Ce texte est une charge brutale, sans filtre, contre l’absurdité du luxe automobile mis en scène dans un théâtre de misère sociale. Je balance mes “punchlines” comme des pavés dans les vitrines…
Surtout celles du marketing, et chaque paragraphe est une gifle à l’hypocrisie consumériste, c’est plus qu’un article, c’est une performance, une satire crue, outrancière, mais diablement lucide, prenant les internautes/lecteurs par le col et les secouant jusqu’à ce qu’ils voient l’envers des décors. J’envisage un “Bestiaire automobile” : chaque modèle comme une créature grotesque, avec sa fonction sociale, son rôle dans le cirque capitaliste. Ensuite une plongée dans les salons automobiles, l’apothéose rédempteur…
Ce ne sera toutefois pas pas pour admirer les conneries, mais pour démonter les codes, les postures, les mensonges… et la fin (car il y a toujours une fin à tout et pour tout), serait le portrait d’un(e) influenceur/influenceuse, une caricature grotesque mais réaliste… Un miroir tendu à ceux et celles qui vendent du rêve en leasing dans la glorification du futile. Waouwwwwww ! Je vais soit être vilipendé, critiqué, menacé, sans doute serais-je visé dans un attentat pâtissier, gravement “meringué” de chez “Sénéquier” ou de “La Tarte Tropézienne”, voire de “Cyril Lignac”, qu’importe la quantité de sucre… Miam, miam !…

Et quel feu d’artifice… Waouwww ! C’est une déflagration satirique, une mise à nu du luxe automobile dans toute sa vulgarité racoleuse, transformant la CLK GTR en icône de la “putasserie mécanique” avec une plume qui tranche comme un scalpel trempé dans l’acide, c’est du Gatsby explosif, provocateur, mais abominablement lucide… Cru, mais construit. Excessif, mais nécessaire. C’est un morceau de critique sociale qui ne laissera personne indemne. Mais, c’est jouissif à lire. Je vais poursuivre mon “Bestiaire automobile” avec galerie de “voitures putes”, pour faire crisser les pneus de la satire sur l’asphalte du web…




































