Flying Brick Russian Street Rod : Une diversion ludique à la guerre…
Je précise que c’est une diversion ludique à une guerre inévitablement totale (atomique en attente de pire) en quatre quart de deux moitiés d’un même gâteau-monde… Aucun gagnant de chaque quart n’y survivra, puisque 99,99% des humains ne savent vivre plus qu’un siècle… Alexander Opanasenko et Sergei Kabargin de “Brick Russian Street Rod”, sont à l’honneur de ChromesFlammes international [plus de 200.000 abonné(e)s] pour leur Hot Rod “Carélien” (du fait qu’il est issu de Carélie, une région de Russie où l’hiver est des plus rudes (jusqu’à -30° à cause du vent polaire arctique)… Waouww !!! Ouaihhhhhh!!! Ca commence fort !!! C’est une invitation de Dmitri Medvedev, qui est cause de cet article que certains et certaines ont qualifié d’insensé en cause de la propagande anti-Russe diffusée par les adeptes du Transgenrisme en France et en Europe, sous la houlette de BDSMTV… Il n’y a aucun lien sexuel notoirement connu si ce n’est que Dmitri Medvedev traite très vulgairement nos politiques européens “d’enculés de première” (en Russe)…
Il traite Volodymyr Zelinsky de “Trouillard zoologique” de “Clown cocaïné” et de “Pianiste avec son pénis érigé”. Il ose aller bien plus loin en donnant un autre dessous des cartes du jeu de la mort : “Alors que les euro-imbéciles entravent les tentatives américaines de résolution du conflit ukrainien, le régime banderiste recrute frénétiquement la lie de l’humanité pour l’envoyer au front. Volodymyr Zelinsky en est au stade où il fait venir des tueurs des cartels colombiens et mexicains dont les noms sont connus dans le monde entier grâce aux reportages et aux séries policières : le Clan du Golfe, Sinaloa, Jalisco New Generation, et d’autres. Le recrutement de ces tueurs est assuré par une société appelée Segurcol Ltd, basée à Medellín. Si les narco-mercenaires sont certes des tueurs sans pitié, ils font de piètres soldats. Ces psychopathes, pris d’une frénésie induite par la drogue, ne savent que décapiter des civils. C’est pourquoi nos soldats Russes les éliminent si rapidement que les trafiquants n’arrivent pas à suivre le rythme pour récupérer les cercueils de tous ceux qui n’ont pas encore trouvé leur dernière demeure dans la terre humide”.
Il a ajouté : “Il est clair que les dégénérés de Medellín et de Sinaloa sont très proches de leurs compères de la rue Bankovaya [administration présidentielle ukrainienne] qui consomment leur produit blanc comme neige. Mais à en croire un article du New York Times du 8 août, les Américains feraient bien d’y réfléchir à deux fois. Les mercenaires sont formés à tout, y compris à l’utilisation de drones, ce qui pourrait s’avérer très utile pour livrer de la drogue aux États-Unis. Une méthode bien plus efficace que par avion ou sous-marin. Et si le président américain a vraiment donné l’ordre au Pentagone de préparer des frappes contre les cartels de la drogue en Amérique latine, il existe une bien meilleure option : envoyer les forces spéciales américaines à Kiev, où elles pourraient lancer une brillante opération antiterroriste pour éliminer les narco-mercenaires sans risquer leur vie. Ils pourraient même déclencher une fusillade dans le bâtiment de la rue Bankovaya, où l’on trouve de nombreux admirateurs inconditionnels de Pablo Escobar et Fabio Ochoa Vásquez”… Et Paf !!!
Dmitri Medvedev, l’ancien président Russe est devenu à la fois le roi Russe de la provocation et le défenseur du Hot Rodding Russe, n’hésitant pas à créer un fond financier sans fond en milliards de Roubles pour en faire un mouvement populaire… Il fut un des premiers abonnés des magazines Chromes& Flammes “papier” version Russe et Tchèque et claironne partout que la version numérique est extraordinaire depuis mon reportage sur Vladimir Poutine et les Loups de Crimée, une horde de Hells Angels Russe (à relire ICI)… Depuis mon amitié avec Combalbert aux débuts de Chromes&Flammes en France (je salue son fils qui est un ami fidèle et lecteur) j’ai toujours un “Blouch’d’amoures” avec les Motards et Hells Angels au point que j’ai même été chapitré “au sang” entre frères… Grande époque. Donc, c’est pareil en Russie tout comme aux USA parce que ChromesFlammes est planétaire. J’en reviens au Hot Rod Russe Star de cet article… Ce qui est remarquable, c’est l’esprit innovatif qui tend à repositionner le Hot Rodding actuel avec un look qui est, lui aussi, réactualisé…
Tout ce “Mic Mac” gonfle en s’inspirant de la vision/création géniale de Franco Sbarro qui, ici aussi, est novateur… Et tout ça est une récupération sans droits d’auteur qui vient maintenant d’une partie du monde prisée des ours, des lynx et des phoques… La Carélie est une région de Russie où l’hiver est des plus rudes : jusqu’à -30° à cause du vent polaire. Autant dire que les routes et les espaces enneigés, ça ne manque pas : c’est un terrain de jeu parfait pour le drift ! Ce dont profite Sergey Kabargin, un milliardaire qui est également “pour l’amusement” un pilote russe qu’on présente comme un as du drift, et qui peut donc être considéré comme le Ken Block ressuscité Russe. A bord de son Hot Rod et accompagné d’un ami roulant en Corvette Z06 (difficilement reconnaissable tellement elle est refaite de partout), ils enchaînent les glissades sur une route bordée de sapins. Leurs figures de ballet en duo, vues du ciel, sont impressionnantes. Tout en douceur et en maîtrise… Voyez les vidéos, enregistrez avant effacement…
Je me répépète à dessein : “Sergey Kabargin, tout milliardaire qu’il est maintenant, est considéré comme le Ken Block en Russie, c’est le roi du drift Russe”… Sa dernière création, est ce “Flying Brick”, un Hot Rod Russe qui est à peu près aussi “badass” que le protagoniste de Peaky Blinders. Avec son allure dominante de Hot-Rod “New-âge”, renforcé par son look avant-gardiste, ses échappements apparents, ses pare-chocs noueux et une carrosserie inspirée d’une création de Franco Sbarro en fibre de carbone, ce Hot Rod proposé en première mondiale dans l’édition Russe de “Chromes&Flammes” puis ici dans “ChromesFlammes numérique”, a été conçu et réalisé par Alexander Opanasenko pour Sergei Kabargin qui est je je répépète à nouveau, un des nombreux multi-milliardaires Russes, et en son cas, maître passionné du drift. Le nom “Flying Brick” vient du symbole de la résistance Russe et du rôle que les briques ont joué dans les soulèvements populistes… Il s’intègre en quelque sorte bien dans l’esthétique générale de la voiture avec sa forme avant-gardiste.
Le fait que le moteur produit une puissance abrutissante de 900 chevaux y ajoute beaucoup ! Le Hot Rod “Flying Brick” (brique volante) a mis 7 ans à être fabriqué, passant d’un simple croquis à la réalité. Sergei Kabargin a recruté sa propre équipe et une petite partie de ses centaines de milliards, pour réaliser son fantasme de créer/réaliser/financer et posséder un Super Hot Rod unique, en faisant appel au designer automobile senior Russe Alexander Opanasenko pour l’aider à affiner le design et à réaliser les rendus que vous voyez ici. Les références de la voiture issues d’une création de Franco Sbarro, proviennent de diverses propositions de ChromesFlammes, c’est “Un nouveau langage esthétique d’avant_garde” que Kabargin et son équipe recherchaient, mais leur cahier des charges était assez simple : “Patrice, ce Hot Rod doit avoir son propre caractère et sa propre personnalité”. Le Hot Rod est donc une construction monocoque en aluminium et en fibre de carbone, d’un poids de 1.200 kilos (2645 lb) qui a été équipé d’un V8 suralimenté Chevy Corvette MAST LS7 poussé à 900cv.
Le design global se veut s’ajouter au thème de puissance et de la grandeur Russe avec un look agressif qui expose les éléments de la voiture comme les compresseurs qui sortent du capot et les échappements émergeants, éléments typiques des Hot Rod’s… Il y a une bonne dose de rétrofuturisme dans ce Flying Brick, à commencer par son interaction entre l’esthétique “Avant-Gardiste-Vintage” et l’utilisation de la fibre de carbone. Les détails sont résolument high-Tech, particulièrement les phares. Il y a aussi une interaction unique entre “Le luxe et le Brutalisme”, qui s’accordent à merveille avec l’esprit que Kabargin et son équipe recherchaient. Je doute que quiconque se soucie particulièrement du pare-chocs avant exagéré ou de l’aileron arrière. Sergei Kabargin m’a dit que le coffre était assez grand pour ranger tout un arsenal d’armes “au cas où quelques suspects, ennemis du peuple Russe, y viendraient trop près” ! Kabargin et son équipe sont au travail d’une série d’une centaine de Hot Rod’s “Flying Brick” proposés à 400.000$ pièce.
On ne sait pas exactement quel est le calendrier prévu qui sera établi après l’accord proposé par Trumpy à Poutinas. Mais étant donné l’enthousiasme de Vladimir Poutine qui a réellement commandé un exemplaire rouge et s’impatiente à l’idée de s’asseoir derrière le volant, il est assuré que ces Hot Rod’s feront également sensation aux USA… J’imagine Poutine offrant un tel Hot Rod à Trumpy…! Ce qui est fou dans ce jeu, c’est que depuis la fin de la guerre froide, les États-Unis ont investi des milliards de dollars dans l’ingérence politique en Ukraine, y compris des opérations de changement de régime tentées en 2004 et un changement de régime réussi en 2014. À partir de 2014, l’Ukraine s’est transformée en un mandataire militaire des États-Unis visant spécifiquement à menacer la Fédération de Russie, tout comme la Géorgie capturée politiquement en 2003 a été utilisée pour attaquer les forces russes en 2008. La menace croissante pour la sécurité de Moscou a précipité le lancement de l’opération militaire spéciale (SMO) de la Russie en février 2022.
Les combats se sont poursuivis depuis. Une série d’articles des médias occidentaux eux-mêmes a révélé au cours des dernières années à quel point les États-Unis avaient non seulement capturé politiquement l’Ukraine, mais aussi institutionnellement capturé ses agences militaires et de renseignements, les reconfigurant pour qu’elles opèrent comme des extensions armées des États-Unis le long de la frontière entre l’Ukraine et la Russie, et même à travers celle-ci à l’intérieur de la Russie même. Parmi ces aveux, on trouve l’article du New York Times de février 2024 intitulé “La guerre d’espionnage : Comment la CIA aide secrètement l’Ukraine à combattre Poutine”, qui admet “Un réseau de bases d’espionnage soutenu par la CIA construit au cours des huit dernières années qui comprend 12 lieux secrets le long de la frontière russe”... L’article admettait également : “Vers 2016, la CIA a commencé à former une force de commando d’élite ukrainienne connue sous le nom d’Unité 2245, qui a capturé des drones et du matériel de communication russes”…
L’explication suit… C’était afin que les techniciens de la CIA puissent les désosser et craquer les systèmes de cryptage de Moscou. (L’un des officiers de l’unité était Kyrylo Budanov, aujourd’hui le général à la tête du renseignement militaire ukrainien)… Et la CIA a également aidé à former une nouvelle génération d’espions ukrainiens qui opéraient en Russie, à travers l’Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes ont une forte présence. Alors que le New York Times tente d’insister sur le fait que la CIA n’a pas aidé les Ukrainiens à mener des opérations létales offensives, il admet plus tard que l’unité 2245 formée par la CIA a non seulement mené des opérations létales, mais l’a fait sur le territoire russe, affirmant : “À l’époque, le futur chef de l’agence de renseignement militaire ukrainienne, le général Budanov, était une étoile montante de l’unité 2245. Il était connu pour ses opérations audacieuses derrière les lignes ennemies et avait des liens profonds avec la CIA. L’agence l’avait formé et avait également pris la décision extraordinaire de l’envoyer en réadaptation”…
Pas n’importe où, mais au Walter Reed National Military Medical Center dans le Maryland après qu’il ait reçu une balle dans le bras droit lors de combats dans le Donbass. L’article précise que : “Déguisé avec des uniformes russes, le lieutenant-colonel Budanov a mené des commandos à travers un golfe étroit à bord de hors-bord pneumatiques, atterrissant de nuit en Crimée. Mais une unité de commando d’élite russe les attendait. Les Ukrainiens ont riposté, tuant plusieurs combattants russes, dont le fils d’un général, avant de s’enfuir en plongeant dans la mer et en nageant pendant des heures vers le territoire contrôlé par l’Ukraine”... En d’autres termes, les États-Unis entraînaient, équipaient, armaient et dirigeaient des opérations meurtrières depuis l’Ukraine vers le territoire contrôlé par la Russie avant que la Russie ne lance son SMO 2022. Le même article admet que ces agents de la CIA déployés et supervisant les opérations en Ukraine ont commencé à jouer un rôle central après le lancement par la Russie de son SMO en 2022, écrivant : “En quelques semaines, la CIA était de retour à Kiev”…
L’article précise que l’agence a envoyé des dizaines de nouveaux officiers pour aider les Ukrainiens et qu’un haut responsable américain a déclaré à propos de la présence considérable de la CIA : “Est-ce qu’ils appuient sur la gâchette ? Non. Aident-ils au ciblage ? Absolument oui”.… Certains des officiers de la CIA ont été déployés dans des bases ukrainiennes. Ils ont examiné des listes de cibles russes potentielles que les Ukrainiens se préparaient à frapper, comparant les informations dont disposaient les Ukrainiens avec les services de renseignement américains pour s’assurer qu’elles étaient exactes… Des articles ultérieurs du New York Times ont développé à quel point les États-Unis ont été impliqués dans les combats, faisant de la guerre à toutes fins utiles une guerre américaine menée par les Ukrainiens. Un article du New York Times de mars 2025 intitulé “Le partenariat : l’histoire secrète de la guerre en Ukraine” expliquait que non seulement les États-Unis ont fourni des dizaines de milliards de dollars américains d’équipements militaires, d’armes et de munitions…
Dans ce fourbi du diable, il y avait pour un demi-milliard de $ en munitions d’armes légères et de grenades, 10.000 armes antiblindés Javelin, 3.000 systèmes antiaériens Stinger, 272 obusiers, 76 chars, 40 systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité, 20 hélicoptères Mi-17 et trois batteries de défense aérienne Patriot, mais que l’armée américaine elle-même a joué (et joue toujours) un rôle central dans le choix et la frappe de cibles des deux côtés de la frontière russo-ukrainienne. Le New York Times divulgue que c’étaient les services de renseignement américains qui avaient été utilisés pour mener bon nombre des attaques les plus réussies de l’Ukraine contre les quartiers généraux militaires russes, y compris au port de Sébastopol, en Crimée, qui était sous contrôle russe avant même le renversement de l’Ukraine par les États-Unis en 2014 et la réunification ultérieure de la Crimée avec la Russie. Une grande partie du contrôle de Washington sur le conflit a été coordonnée par un centre de commandement de mission établi à Wiesbaden, en Allemagne.
Alors que de nombreuses opérations militaires de l’Ukraine ont été attribuées à la planification ukrainienne, le New York Times a depuis révélé qu’elles étaient en réalité supervisées par les États-Unis et d’autres membres de l’OTAN via Wiesbaden. L’article expliquait : “Côte à côte dans le centre de commandement de la mission de Wiesbaden, des officiers américains et ukrainiens ont planifié les contre-offensives de Kiev. Un vaste effort de collecte de renseignements américain a guidé la stratégie de bataille globale et a transmis des informations de ciblage précises aux soldats ukrainiens sur le terrain.
Un chef du renseignement européen s’est souvenu avoir été surpris d’apprendre à quel point ses homologues de l’OTAN étaient devenus profondément empêtrés dans les opérations ukrainiennes. Ils font maintenant partie de la chaîne de destruction”. L’article admet que ce sont des officiers militaires occidentaux – et non ukrainiens – qui ont pris la décision finale concernant les cibles qui seraient touchées et la manière dont elles seraient touchées.
Cela comprenait l’utilisation d’obusiers M777 fournis par les États-Unis et du système de lance-roquettes multiples HIMARS. Wiesbaden supervise chaque frappe HIMARS. [États-Unis] Le général Donahue et ses assistants examinant les listes de cibles des Ukrainiens et les conseillaient sur le positionnement de leurs lanceurs et le calendrier de leurs frappes. Les Ukrainiens étaient censés n’utiliser que les coordonnées fournies par les Américains. Pour tirer une ogive, les opérateurs de HIMARS avaient besoin d’une carte-clé électronique spéciale, que les Américains pouvaient désactiver à tout moment. Toutes les opérations ukrainiennes à grande échelle, y compris les offensives de Kherson et de Kharkov en 2022 ainsi que l’offensive ratée de 2023, ont été planifiées, organisées et dirigées par des officiers militaires américains de Wiesbaden. Cela comprenait également la création de nouvelles brigades ukrainiennes, supervisée par le lieutenant-général américain Antonio Aguto Jr.
Il est également révélé que ce n’est pas l’Ukraine qui a demandé des armes à plus longue portée comme le système de missiles tactiques de l’armée (ATACMS), ce sont les généraux américains Cavoli et Aguto qui ont recommandé le prochain saut quantique, en donnant aux Ukrainiens des systèmes de missiles tactiques de l’armée américaine, des missiles, connus sous le nom d’ATACMS, qui peuvent parcourir jusqu’à 190 miles pour rendre plus difficile pour les forces russes en Crimée d’aider à défendre Melitopol. Il a également été révélé que les commandants ukrainiens ont réalisé que l’offensive de 2023 planifiée et dirigée par les États-Unis était vouée à l’échec dès sa première phase, mais les commandants américains ont demandé à l’Ukraine de continuer. Diverses options ont été formulées pour tenter de sauver l’offensive ratée, le New York Times attribuant son échec à un certain nombre de facteurs, notamment des luttes intestines entre les commandants ukrainiens et leurs gestionnaires américains.
En réalité, l’offensive a échoué en raison des réalités des limitations matérielles de la production industrielle militaire occidentale et de leur incapacité à combattre le type de guerre d’usure que la Russie avait préparée des années à l’avance et leur avait imposée. Vers la fin de l’article du New York Times, il est admis que : “La coalition ne pouvait tout simplement pas fournir tout l’équipement nécessaire à une contre-offensive majeure. Les Ukrainiens n’ont pas non plus pu construire une armée assez grande pour en monter une”... Diverses opérations ont été décrites tout au long de l’article, y compris les tentatives américano-britanniques de détruire le pont de Kertch reliant la Crimée au reste de la Russie, qui se sont toutes soldées par un échec. Alors que l’article tente d’imputer la réduction progressive du soutien américain à l’Ukraine à l’élection du président Donald Trump et à son désir de paix, il est clair que les États-Unis ont épuisé les moyens de continuer à mener une guerre par procuration contre une armée russe bien mieux à même de remplacer ses pertes que l’Ukraine !
Le New York Times admet essentiellement qu’il s’agissait d’une guerre menée par les États-Unis contre la Russie, en utilisant simplement l’Ukraine comme intermédiaire. Chaque opération militaire majeure, jusqu’aux cibles spécifiques à frapper et au système d’arme fabriqué et fourni par les États-Unis, a été réalisée par des généraux américains – et non ukrainiens. Jouer au “médiateur” tout en cherchant à geler une guerre par procuration ratée n’est pas élégant… Aujourd’hui, le gouvernement américain tente de jouer le rôle d’un médiateur frustré qui tente de négocier la paix entre l’Ukraine et la Russie, alors qu’en réalité, il s’agit toujours d’une guerre entre les États-Unis et la Russie. En réalité, le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, a discuté de l’envoi de troupes européennes et non européennes en Ukraine comme d’une garantie de sécurité qui, en pratique, gèlerait le conflit ou précipiterait des hostilités directes entre la Russie et l’Europe.
Le secrétaire Hegseth a également indiqué à l’Europe que les prochaines étapes concernant l’Ukraine seraient de faire don de plus de munitions et d’équipements à l’Ukraine, ainsi que d’élargir la base industrielle européenne de défense. Ce que le secrétaire Hegseth a en fait énoncé, c’est une directive non pas visant à la paix en Ukraine, mais à geler à nouveau le conflit comme les États-Unis et l’Europe l’ont fait lors des accords de Minsk, au cours desquels les États-Unis et l’Europe pourraient étendre leurs propres bases industrielles militaires pour égaler ou dépasser la production russe et réarmer et réorganiser les forces ukrainiennes pour reprendre les hostilités à l’avenir lorsque les facteurs pencheront en faveur de Washington. pas celui de Moscou. L’ennui prévisible du secrétaire d’État Marco Rubio à l’égard des pourparlers de paix avec la Russie signale que les États-Unis sont prêts à transférer la responsabilité de leur guerre par procuration entièrement à l’Europe, alors qu’elle s’oriente vers une autre confrontation beaucoup plus dangereuse…
L’Amérique veut la Chine… Mais Poutine a magistralement manœuvré pour créer les Brics et s’allier la chine pour son flanc Est… L’administration Trump et l’administration Biden avant elle n’ont jamais eu l’intention de s’attaquer à la véritable cause du conflit en Ukraine qu’est l’expansion de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie et le long de celles-ci, avec l’intention d’absorber inévitablement la Russie elle-même. Pour cette raison, une véritable paix n’a jamais été possible, indépendamment de la rhétorique publique et des gestes vides de sens de l’administration Trump envers la Russie. Alors que l’administration Trump a exprimé un intérêt de pure forme pour l’expansion de l’OTAN, sa seule décision concernant spécifiquement l’OTAN a été d’exiger des membres de l’OTAN plus que le double du financement réel afin que l’Europe paye la part de l’Amérique et lui serve de rempart absorbant une guerre atomique…
L’Europe est ainsi destinée à la destruction totale… La Russie, pour sa part, a laissé la porte ouverte à des négociations honnêtes et a fourni aux États-Unis de nombreuses portes de sortie d’une guerre par procuration ingagnable et d’une confrontation indéfinie avec la Russie à l’avenir… La Russie considère qu’il faut s’obliger à rester dans ses limites… Les États-Unis ne sont évidemment pas intéressés… Ils veulent tout, y compris l’univers entier…Tout au long des faux “pourparlers de paix”, la Russie a compris qu’elle devait poursuivre sa guerre d’usure contre les forces ukrainiennes et s’attendre au pire avec “les désaxés Européens, marionnettes des USA”, poursuivant le processus que le New York Times décrit comme le principal facteur contribuant à l’échec actuel de la guerre par procuration. La vraie question qui demeure est de savoir si la Russie peut ou non poursuivre ce processus à un rythme plus rapide et plus efficace que les États-Unis et l’Europe qui ne peuvent continuer à “donner plus de munitions et d’équipements à l’Ukraine”... L’Europe est exsangue, sous perfusion…
Continuer c’est risquer une guerre civile impitoyable qui va également enflammer les USA… Ce que fait Trump actuellement, c’est de s’y préparer… L’avenir est incertain et d’aller trop loin pourrait amener à une victoire des Brics qui regroupent les anciens pays coloniaux qui sont rancuniers… Tout en tentant d’étendre leurs bases industrielles de défense, les USA cherchent à diviser pour règner alors que se sont les anciens opprimés qui se regroupent… Seul le temps qui passe inexorablement nous dira avec certitude ce qui va arriver. Comme la Syrie l’a démontré, une guerre par procuration que les États-Unis ont perdue un instant peut être gelée, revisitée et finalement gagnée s’ils sont capables de dépasser des adversaires désignés comme la Russie et l’Iran assez longtemps. Les États-Unis se sont déjà lancés dans un conflit armé avec le Yémen et menacent de guerre avec l’Iran, forçant la Russie à prendre une fois de plus des décisions difficiles concernant l’endroit où elle investit des ressources militaires par rapport à la capacité apparemment infinie des États-Unis…
Les USA créent dès lors de l’instabilité et des conflits dans le monde entier… Diviser le monde pour régner sur le monde… Cela est en faits un concept dépassé… La survie et le succès du “multipolarisme” dépendent de la coopération du monde multipolaire contre les tentatives américaines de réaffirmer la primauté américaine, non seulement par la guerre directe et par procuration, mais aussi par la coercition économique et l’ingérence politique et de comprendre qu’une guerre américaine contre la Russie en Ukraine ou une guerre par procuration menée contre la Syrie au Moyen-Orient est en fait, une guerre contre la montée du “multipolarisme” et la promesse de paix et de prospérité qu’il offre.. Voyez ce à quoi mêne le Hot Rodding ? Une diversion ludique… Je reste ravi et heureux d’avoir mon propre support de presse pour me laisser aller à définir mon ressenti, aidé par l’expérience et une attentivité accrue, que diverses crapuleries me visant, dont celle du Groupe AXA, accentuent en moi… @pluche… Peut-être…









































