Ca gaze plein gaz…
Avec un tel titre, “ils” vont rappliquer en meute, assoiffés, car les sanguinaires sont sanguins et souvent maussades, je les connasse, j’ai gagné le procès qu’ils m’ont fait suite à mon livre “Les Protocoles”, ils se sont ensuite vengés car ce n’est jamais fini, ça recommence sans cesse, ils ont perdu leur procès, sanglants, et hop, ils m’ont volé une bagnole de collection… Et pour s’éviter des poursuites, ils ont corrompu en masse jusqu’au plus haut de la Justice et d’AXA pour me barrer le chemin du Droit, interminable saga… Ceci énoncé, qui reviendra en finale de cet article, sachez que la voiture-sujet de celui-ci, n’y est pour rien, ce qui est un double sens… Toujours est-il que les shows de bagnoles, je n’y vais plus.
Et puisque ces souvenirs me rendent d’humeur maussade (un double sens), et que c’est l’occasion de répondre à des interrogations concernant l’achat de Hot Rod’s en Franchouille, je me dis que l’occasion se présente… Pourquoi se casser la tête à vouloir rouler en Hot Rod en Franchouille ? Un vrai Hot Rod qui flashe, accroche aux USA la barre des 100.000 $ plus taxes et frais c’est déjà pas du tout dans les moyens des Franchouillards. Mais pour qui en a le flouze, c’est pas tout que le payer et le ramener en sécurité en Franchouille pour l’utiliser… Que non… C’est galère pour forçats car pour en avoir l’immatriculation, c’est devenu sous Macron, presque une impossibilité d’immatriculer et c’est comme un virus qui contamine toute l’Europe.
Mais, importer une vieille d’époque “Transgenrisée”, c’est Macronnien, donc à la fois retors et “Elyséenement” garanti. Le genre transgressif autorisé qui non seulement a l’air d’une putain de super gagneuse de haut-vol Hot-Roddisée, refaite à neuf de partouze, mais qui…. Ohhhhhhh ! “Sturpréfaction-éjaculatoire”, est vicieusement une vraie vieille et incroyable Hyper-Classieuse… De plus, c’est comme pour la passe branlette Marseillaise où Niçoise à 250 euros, pas comme celle de Monaco où St-Trop à 5.000 euros avec supplément pour la mousse… Il est donc potentiellement possible d’acquérir (par exemple) aux USA la Ford Deluxe Phaeton 1934, starlette de cet article, pour 35.000 dollars, qui a tout d’un Hot Rod…
Le style, le look, l’authentique avec même un V8 Flathead et une vraie immatriculation 1934… C’est le panard géant… Les astucieux pourront même ajouter après l’immatriculation ancêtre Française, un compresseur d’époque et des pièces Ardun qui apporteront sous le capot, le look authentique du super Outlaw qui marche dans les clous et qui sera louangé pour la restauration comme à l’origine, de fond en comble, correspondant à 100 % aux spécifications d’origine, avec un peu plus de 1.000 miles depuis l’achèvement de la restauration et un (remarquable) de seulement 36.088 miles d’origine, acquise avec certifications et preuves bancaires pour 35.000 $ départ USA !!!
Alléchant pour qui sait en plus aligner les euros qui couvriront sans surprise le transport, les taxes et le voyage A/Rpour s’assurer que tout est OK ! Dans ce cas, là, comme pour le Boss du film Jurassic-Parc version Spielberg, vous pourrez plastronner en affirmant : “Aucune dépense n’a été épargnée”, dans la restauration, qui a été en finale exécutée dans le même noir d’origine avec des jantes couleur vert pomme comme d’origine, un intérieur en cuir brun foncé de meilleure facture mais comme d’origine du début de 1934 et un toit en toile vert clair T 14, tous deux produits par la société “LeBaron Bonney” et installés par leur propre artisan, comme d’origine… Je vous sens jubilatoires, mes Popu’s…
Les options d’usine incluses dans la restauration comprennent des protections chromées de pare-chocs chromés, des feux de route chromés, les anneaux-enjoliveurs des pourtours de jantes chromées et un porte-bagages rabattable chromé, ainsi que le rare ornement de radiateur “Greyhound” très rare et désirable ainsi que chromé… En anglais, c’est : “Why Not a lot of Chromes ?”… Croyez-moi bien qu’avec son V8 221ci Flathead, c’est le TOP du Top que d’y rouler sans problème ni mécanique ni d’usage administratif… Le pourtour du pare-brise est chromé, il y a des klaxons doubles chromés, des phares chromés qui savent éclairer la route et les feux arrière chromés qui à l’époque n’étaient pas obligatoires…
Tout dénote ici que l’acquéreur n’avait pas regardé à la dépense pour des compléments (garnitures) de luxe chromés, tels aussi des rares phares antibrouillard d’usine “King Fog” qui sont installés tout comme un mobilier intérieur et un tableau de bord en bois, des pare-chocs chromés, des feux de route chromés, les déjà cités anneaux d’enjoliveurs et un porte-bagages chromé, toutes pièces qui étaient en option... Le V8 Flathead 221-cu.in est malheureusement évalué à seulement 85 chevaux… Il a en effet été restauré selon les mêmes normes que pour la transmission manuelle à trois vitesses. Aucune modification n’a été apportée et aucun problème mécanique n’est donc signalé.
Rien ne vous empèche d’améliorer le contenu et d’emporter 300cv… L’engin est même livré avec une housse de protection-parking sur mesure fabriquée par “LeBaron Bonney”. Le “Title” (titre “propre” du Massachusetts) est “clean”. Cette Ford Deluxe Phaeton représente le haut de gamme de la gamme Ford de 1934 (à l’exception du coût plus élevé des Woodies). Le véhicule a été restauré par des professionnels selon des normes élevées et a été entretenu selon les mêmes normes depuis l’achèvement de la restauration en 2013. C’est une voiture à 100 points… Au cours de la dure année de la Grande Dépression de 1934, seules 3.128 Ford Deluxe Phaeton (et 373 Standard Phaeton) ont été vendues.
Cela rend les voitures restantes-survivantes très collectionnables aujourd’hui. Cela semble donc être un excellent exemple d’une affaire à réaliser sans délais…. Arghhhhh ! J’ai, pour des raisons psychologiques, stoppé ma “collectionite-automobile” il y a 15 ans (j’avais un peu plus de 60 ans), suite au vol de ma LeaFrancis Ace of Spades, par des faux culs de faux amis oeuvrant en bande criminelle organisée pour satisfaire un ex-homme d’affaire ayant fait fortune dans les chaussures qui prenait retraire en Israël… Il s’est fait aider par des margoulins œuvrant pour l’Agent Général AXA pour la Belgique, qui ont fabriqué des faux documents à l’appui d’une histoire rocambolesque…
Leur nationalité fait qu’ils s’estiment intouchables tout comme leurs condisciples qui estiment avoir tous les droits pour “génocider” les Palestiniens natifs… C’est pénible à vivre, réprimé par l’ONU et les lois internationales… Les Palestiniens qui sont pourtant sur leur terre ce qui fut confirmé fin des années quarante par l’ONU, sont exterminés/génocidés en masse par un retour de la bascule du génocide dews Juifs perpétrés par les nazis qui volaient eux aussi les œuvres d’art… Le fait que j’ai gagné haut la main le procès pénal qu’ils me faisaient pour mon livre “Les Protocoles”, m’offre une paix relative. Pour le reste, et le surplus, il suffit de suivre l’actualité…
Donc, “je ne fais plus les shows de bagnoles”, les voleurs de ma LéaFrancis me disent donc avec leur sens de l’humour “Abrahamique” que “Ca gaze pour moi”… Ils ont donc de l’humour… De l’oppidum d’Alésia à la citadelle de Belfort, des champs de bataille aux terrains de football, la France est, avant Israël, passée maître dans l’art de changer les défaites en gloires éternelles. Cette surprenante faculté se retrouve dans nos réalisations techniques. :Villas d’avant-garde vaincues par les contingences pratiques, supersoniques de rêve rattrapés par la crise pétrolière, aérotrains du futur sacrifiés pour de sombres intérêts corporatistes, automobiles d’exception incomprises ou méconnues…
Notre histoire regorge de flops légendaires et de succès qui ne sont que d’estime. A l’opposé du pragmatisme anglo-saxon, le goût de l’éclat de nos plus talentueux créateurs ne s’accommode pas des bas compromis imposés par la compétition commerciale. Se vendre ? Quelle bassesse ! L’hominidé Franchouillard, pis que d’autre, mais je vais rester à l’international, donc causer de l’humain qui est soi-disant prodige de la création, est le seul animal à s’abaisser devant une machine. Il va même, suprême ironie du “progrès”, jusqu’à s’assujettir aux esclaves mécaniques qu’il a créé pour le servir. Lorsqu’il n’est point en quête de nourriture ou de femelles, il s’adonne au fétichisme de la bagnole…
Et ce, au lieu de roupiller à l’ombre comme le ferait n’importe quel mammifère supérieur. Et pour sa bagnole, il est capable à tous les abaissements : bouffer du cambouis des heures durant à la recherche d’une improbable fuite, perdre le sommeil à trop penser à son faisceau électrique, brimer femme et enfant pour une nouvelle ligne d’échappement, aller au bout du monde dégoter une paire de jantes sans fêlure. Son auto, pourtant, s’en fout comme de ses premières plaquettes. Pas sa femme… Non content de subir les caprices d’une bête à chagrin réunissant à peu près tout ce qui peut rouiller, fuir, rompre, de préférence prématurément, il clame une passion à toute épreuve.
La seconde craque ? Normal, c’est une marque de fabrique maison ! Le tableau de bord tombe en ruine ? Et alors, au volant, je ne regarde que la route ! La radio ne capte plus rien ? Qu’importe, tant le chant du moteur subjugue ! Une fois encore, nous touchons le cœur de la pathologie, les moteurs agissent comme le chant des sirènes sur Ulysse. Et si la voiture était à l’homme ce que la chaussure est aux femmes, un objet d'(auto-) séduction, éminemment narcissique, exutoire de pulsions refoulées, pour ne pas dire sexuelles ? Poussons plus loin le raisonnement (d’une grande portée scientifique, cela va sans dire), et affirmons-le tout net, il existe un érotisme de la bagnole comme il y a un érotisme de la chaussure.
Les deux font l’objet de fétichismes parmi les plus obsessionnels observables chez l’homme. Car non content de ressembler à une godasse (revoyez la suggestive type E…) l’auto fantasmée renvoie au même imaginaire érotique. Quand le sage montre la montagne, l’imbécile regarde le doigt. Ahhhhhhhh ! Bottes de cuir, supecars et cuissardes lassées, de l’alabi à la la libido, il n’y a que des sous-entendus. Capots phalliques et poupes callypiques répondent de concert aux talons agressifs et cambrures affolantes de la cheville. Comment ne pas y déchiffrer autant de métaphores friponnes, entre détournement de symbolique masculine, exhaltation de la féminité, goût du pouvoir et jeu de séduction ?
Dans le même genre, mais sur deux roues seulement, souvenez-vous de BB bikeuse (c’est ma voisine, mon voisin étant Bernard) en cuissardes noires… Vous connaissez tous ces sondages de magazines féminins pour les avoir parcourus d’un œil distrait chez le dentiste en attendant nerveusement votre tour de roulette. On y racontait que toutes les femmes rêvaient de ressembler à Brigitte Bardot.. Maintenant c’est le cas… Mais je m’égare, je me dois de rester sur le sujet et d’y aller au plus profond… Certains prétendent que les femmes, une fois casées, achètent moins de chaussures, à fortiori sexuellement connotées (de là à croire que la hauteur des talons renseigne sur la disponibilité de la belle !)…
C’est aussi fréquemment après avoir enterré leur vie de garçon que bien des étalons fougueux se résolvent à quitter leurs bombinettes bolidées pour une bétaillère à mioches. Erotisme de l’auto et de la chaussure se confondent dans le fétichisme du cuir, matière ô combien connotée, symbole de luxe et de luxure, qui épouse et fait reluire les sièges comme des mollets affolants. La descente de voiture de la beauté bottée en cuir noir coordonné à l’habitacle faisait à l’époque Chromes, partie des poncifs des calendriers de tuning, imagerie porno chic et autres vidéos d’écraseuses de champignon élégamment chaussées. Certains sites Web comme Fast Driving Girls s’en étaient fait une spécialité.
On y découvrait des femmes sûres d’elles, aimant rouler vite, qui dominaient chacune leur machine et s’appropriaient la symbolique phallique du levier de vitesse… Arghhhhhhh ! Toutefois, la caméra se focalisait principalement sur les pieds de la conductrice que les amateurs aimaient voir se tendre et se cambrer de manière suggestive. Il manquait la syncope éjaculatoire des branleurs lorsque la vidéo promotionnelle annonçait “8 minutes de pieds en gros plan”. Chacun des mâles s’imaginait-il inconsciemment à la place de la pédale, piétiné par une dominatrice ? Le piétinement, justement, était un “fantasme spécialisé” étonnamment fédérateur en ces temps de communautarisme pas encore numérique.
A longueur de vidéos (payantes), on ne comptait plus les bottes de cuir vengeresses crucifiant pêle-mêle cigarettes, nourriture, jouets et les automobiles miniatures… A chaque spécialité sa clientèle ! Le refoulé est resté un marché. Les plus sadiques, à l’inverse, prennent leur pied en matant de pauvres filles usant leurs galoches sur l’accélérateur de vieilles chignoles impossibles à redémarrer (Gas Pedal Pumping). Les nombreux clips vidéos disponibles, peu délicats envers nos compagnes, se terminent généralement par un gros pétage de plomb avec insultes en règle de l’auto récalcitrante, voire abandon de talon dans la gadoue. Attention, stéréotypes à la chaîne et misogynie de très bas étage !
Ces fantasmes sophistiqués, symptômes de la misère sexuelle étreignaient les solitaires en ces temps de repli sur soi ? Bref, tout ça fait que le temps imparti était sans cesse dépassé… Je ne crois toujours en rien actuellement avec mes 76 ans, strictement en rien, mais j’aime laisser supposer que je crois encore à la fécondité intellectuelle d’une argumentation contrefactuelle assumée au sein d’une démonstration factuelle générale… C’est une conséquence des rapports que l’injustice de la justice, particulièrement judiciairement corrompue par nécessité, à façonné en moi. Mais, pour le reste, j’y discerne le plaisir d’un jeu avec le feu pour meubler le vide intellectuel.
Cela reste un jeu alors que le feu de l’humour continue de brûler ce qui l’entoure sans que quiconque puisse l’éteindre… L’art du parlé est alors la justification des non-sens et affabulations des écrits, le plus simple médiocre scribouillard de feuilles où tapoteur de textes sur clavier, paraissant alors savant. C’est ainsi que par vécu de ces complexités, j’ai dérivé à croire aussi, depuis les origines mêmes de mon désir de devenir créateur d’écrits vains, que je daterais au bas mot de mes années au plaisir de l’estrangement cher à Montaigne, donc à Carlo Ginzburg… L’uchronie la plus vertigineuse servant de toile de vérités toutes aussi fausses que les réalités supposées.
Elles doivent se situer, sans douter, dans les histoires, toutes simples, rendues complexifiées par le besoin de concevoir une logique dans l’inattendu et les aléas. Il s’ensuit que discours et réquisitoires sont réalisés pour être assénés de mêmes façons sournoises, tandis que les plaidoiries et explicatifs se voulant modes-d’emplois ne sont que des messages enfermés dans des bouteilles jetées à la mer(de). S’en est tellement partouze que cela se déroule dans l’indifférence génératrice de crimes et de révolutions et l’importance de préférer tuer dans l’ordre les bébés, les génitrices et géniteurs que les vieux gériatriques, pour au moins gagner le temps d’une pleine génération.
Voilà… Je ne suis plus ou je suis, sinon qu’à Saint-Trop “ça check à l’entrée des clubs”… Ouiiii, c’est Saint-Tropez et ça rigole fort, tout le monde est bourré, c’est chicon, pas trop quand même… Verres descendus en rafale, culs posés sur tabourets encore moites des boissons renversées peu avant, ça glousse, ça ironise sur la gueule de chacun, ça se teste. Les nanana prétendent n’avoir pas une thune, et vont constamment aux toilettes, pour échapper aux staffs forçant à recommander. Le son est fou, tubesque, avec deux trois saillies en lumières dans les yeux, flashs épileptiques, rétines grillées. Je préfère finir de tapoter ce texte puis d’aller m’installer dans mon canapé Roset préféré…
Voilà, cette chronique était sensée vous causer d’un Hot Rod qui est une vieille Ford 34 restaurée comme neuve pour 35.000$..J’ai envie de me casser. Je fonce, je m’étrangle, je m’étale alors que des mecs crient, me hurlent dessus… La lumière bleue/rouge de l’ambulance me tue les yeux, mon cœur s’emballe, j’ai du mal à penser, Je ne crois en rien, mais j’aime laisser supposer que je crois à la fécondité intellectuelle d’une argumentation contrefactuelle assumée au sein d’une démonstration factuelle générale… C’est une conséquence des rapports que l’injustice de la justice, particulièrement judiciairement corrompue par nécessité, à façonné en moi. Mais, pour le reste, j’y discerne le…. d’un jeu avec…, pour meubler le vide intellectuel… Pffffffff !










































