
Mustang RTR Spec Five 2026
Elle propose ses 870cv si vous l’achetez (série limitée) départ USA : 159 999 $ plus le toutim habituel, quelques options, quelques assurances sécuritaires, quelques spécifications, les taxes, les impôts en finale avec en attente quantités de dépenses indispensables… Je suis allé voir de plus près chez Vaughn Gittin Jr. qui m’a reçu comme un Prince du Moyen-Orient ne sachant quoi acheter, puis en tant qu’éditeur dont le Web-Site et ses 200.000 abonnés (un euro le 1er mois et 5 euros les suivants ce qui pour 200.000 internautes représente ce qu’on nomme “du poids potentiel en retour”… Me serais-je obligé de n’en que bien causer façon dithyrambique…
Titre : “La Mustang est de retour avec la plus extrême de cette génération à ce jour, la Mustang RTR Spec Five 2026″… Elle coute une bagatelle… Ah oui ? Quelle bagatelle ? La somme astronomique de 159 .999 $ plus tout ce que j’ai déjà énuméré ci-avant va sûrement avoisiner 300.000 euros dans l’Union Européenne… Allez savoir si Miss Ursula VonDerLeylen ne va pas l’assortir de surtaxes…. Pourtant, c’est la moitié du prix d’une Mustang GTD … et la RTR produit plus de puissance… Ou est l’arnaque ? Comme tout est devenu arnaque dans le monde, c’est donc commun et pas grand monde ne se vautre dans le commun des Has-been.
C’est un terme signifiant : “Appartenant au passé, ayant connu un grand succès, mais qui est tombé dans l’oubli, a retrouvé l’anonymat et persévère à revenir bien que sa carrière soit en perte de vitesse”. Les Stars “has been” parviennent parfois à revenir sur le devant de la scène, en opérant un retour (souvent désigné par l’emprunt “come-back”... Il s’agit d’ailleurs d’un créneau lucratif très exploité et porté par les merdias en jouant sur la nostalgie des gens…. Prenez une minute pour lire ceci. Si vous ne comptez plus vos consultations sur ce site, j’espère qu’elles vous ont transmis 1€ de connaissances par mois. Il y a 25 ans, ChromesFlammes/GatsbyOnline/SecretsInterdits (3 en 1) n’était qu’un rêve, une folle ambition…
C’était une amélioration vers l’infini des versions “papier” des débuts. Un rêve peu à peu devenu réalité. Aujourd’hui, c’est 5.000 articles, 200 000 abonnés de par le monde et 25 ans de connaissances… Pas trop mal… Voilà, le principal est écrit… Me reste à afficher quelques photos de la Mustang RTR Spec Five 2026 qui se pointe (visant 99,99% des possibles acquéreurs fortunés pour sortir le coût réel de 300.000 euros de cette petite folie… La crise de 2020, dopée par les stimuli monétaires, a transformé le capitalisme. L’efficacité et l’intelligence artificielle sont devenues les seuls impératifs de Wall Street, creusant un fossé historique entre les marchés en euphorie et le marché du travail en souffrance.
Cet écart entre la Bourse et la rue n’est pas qu’économique : il est un avertissement civilisationnel. Une infime minorité est ivre de records, pendant que la rue suffoque. Cette victoire est illusoire : elle ne repose pas sur la création, mais sur la captation de valeur ; elle ne s’appuie plus sur le travail, mais sur l’extraction des marges. Face à la mise au chômage forcé de millions de salariés à l’occasion de la pandémie, le grand capital a d’abord été pris de panique. Mais il a très vite assumé la dichotomie sous-jacente dès 2020, se reprenant par la grâce des stimuli monétaires qui ont inondé le système de liquidités. Nul ne s’en est plaint ; nous fûmes tous reconnaissants des interventions déterminées et historiques des États et des banques centrales.
Pourtant, certains en ont profité pour forcer le bouleversement de paradigme — certes inévitable — qui aurait pu être canalisé pour éviter ce grand et immoral écart. Car si les centaines de milliards déversés, si les taux zéro, si les achats d’actifs ont favorisé la reprise massive de la liquidité, ils n’ont pas entraîné une reprise décente du marché de l’emploi. Mais Wall Street affiche aujourd’hui un désintérêt total et inédit pour le chômage, exclusivement préoccupée par l’efficience. Les entreprises ont lourdement investi dans la Tech et l’automation, renonçant à retrouver les niveaux d’embauche pré-pandémiques. Les travailleurs ont été remplacés par des outils numériques et par l’IA…
Résultat : la productivité et, bien sûr, les marges bénéficiaires se sont considérablement améliorées. Une poignée de géants mène à présent la charge, permettant aux bourses de franchir chaque semaine des records historiques de hausse. L’euphorie régnant sur les marchés est entièrement redevable à la Big Tech, qui domine en maîtresse absolue et qui hisse mécaniquement avec elle les capitalisations des entreprises traditionnelles. Notre contexte macro-économique se retrouve aujourd’hui à un stade jamais expérimenté jusque-là : nous dépendons officiellement et ouvertement de quelques compagnies qui avec leurs satellites, conditionnent l’ensemble du spectre, propulsant les bourses à des niveaux stratosphériques.
Les marchés ne sont plus sensibles aux fondamentaux. En fait, ils se réjouissent des taux de chômage qui s’aggravent, car synonymes de progression de leur productivité, donc de leurs profits. Les flux de capitaux comptent désormais bien plus que l’emploi, induisant ainsi une inquiétante et historique déconnexion : les entreprises sont appelées à produire plus, à faire plus, mais avec moins. Les flambées boursières se succèdent, semaine après semaine les records sont pulvérisés. Quelques miettes seulement affectent le marché du travail, à des années-lumière de la routine des géants boursiers qui s’adonnent à leurs rachats d’action et à la gestion de leur abondante trésorerie.
Wall Street et Main Street vivent dans des univers parallèles. Combien de temps cette accumulation de profit et de capital pourra-t-elle s’isoler de la production traditionnelle ? Par son ampleur, cette fracture est un avertissement majeur. Nous sommes à un tournant, et ce déséquilibre est, à très court terme, insoutenable. Quand la rentabilité se nourrit de l’exclusion, il n’est plus possible de parler d’économie : c’est un schisme civilisationnel. La “Révolution inévitable” est sur le point d’entrer en collision frontale avec l’imminente insoutenabilité… Pfffffffffffffff !!! Voilà, voilou, c’est différent d’un article typique “Full Automobile” et certainement plus utile… Quoi d’autre à tapoter ?































