Dodge Hot Rod’34
Avec ce Web-Site, comportant 5.000 articles, s’ouvre une centaine de milliers d’images, regroupées dans un labyrinthe excavé à même la masse des icônes de l’histoire de l’automobile, vous invitant à voir se révéler réalités, rêves et mirages dans vos écrans, un tout assortis de corps féminins enveloppés de moirages psychédéliques vous engloutissant parfois dans des lettrines incunables ou dans ce qui semble des hiéroglyphes, alors qu’en périphéries dérivent des bêtes mécaniques mythiques, des Hot Rod’s et kustom’s créés par des dieux survivants dans la conscience des peuples.
Et vous dérivez dans mes textes denses ou gélatineux dans lesquels seule l’inconscience vous permet de naviguer. D’ailleurs, ici tout se branche uniquement par vos ordinateurs “spermettant masturbatoirement”, que tout s’agite dans des vagues de soubresauts jouissifs, amorces d’un mouvement répétitif menant à la jouissance… Car, opiniâtre, votre tête opine (sic !) et toujours, sans cesse, ce geste “quasi-rédempteur” se reprend, se décuple, vous fait exulter via une magnificence tétralogique d’images occupant tout le champ des perceptions, dans un espace ahurissant, dans les replis terrassés de vos yeux. Waouww !…
Vos mouvements restent pourtant inachevés à chaque instant de passer aux écrans se suivant, tous d’un click salvateur, mais qui s’auto-reprennent d’eux-mêmes, comme cherchant la finalité… Chaque va et vient est décalé en réverbération sur votre écran d’où s’extrait finalement une éjaculation irraisonnée en opposition à vos gestes laborieux… Il ne se passe pourtant rien de plus que l’expectative d’un mouvement fini…. Pfffffffff ! Ce n’est rien d’autre que la montée lente du désir d’en voir et savoir plus dans le dédale de mes incessantes manipulations électroniques, que je vous avoue calculées…
L’écran est l’entrée de la caverne de Platon diffusant un jeu de clair-obscur distribué en fond de trame sur un voile en tableau sur l’arrière-scène branchée, prolongée, projetée en direct dans vos ordinateurs boulimiques qui tentent de trafiquer le destin à l’intérieur de vos cages aux contours de puces, de lumières et de giga-octets contenus dans une polymorphose avalée dans les corps évanescents alimentant les ordinateurs avec la carte de l’ADN contenu dans chaque cellule des corps. En nourrissant chaque ordinateur de ces données, ils se transforment en des ensembles de codes en paramètres constants.
Ainsi, se crée une même musique perçue différente pour chaque humain et pour chaque état modifié. Par exemple, il me complait de re-diffuser par plaisir sadique, la musique de la Nitrovangélisation échouée dans un naufrage évangélique quasi “cruci-fictionnel”, qui a perdu sa flottaison, ses bases et ses basses dans la retentissante faillite en centaines de millions, du Groupe Michel Hommel… Vade Rétro… Le rythme est plus morbide que la musique joyeuse des années Chromes (& Flammes), car l’hymne de la tentative de Nitrovangélisation de la Franchouille, ressemblait à du Tuning Jacky’Touch quart-mondiste.
La petite bête hybride est maintenant craintive comme les “ceusses” qui fuient les vaccinations de Covid et le terrorisme des Gabelous fiscaux. Dès qu’un vecteur d’éradication s’approche, dès qu’elle perçoit un mouvement, entend un son, sent une chaleur, elle se referme sur elle-même… À force de réagir aux présences elle devient folle et les zombies qu’elle a créé attaquent et se ruent sur tout ce qui bouge. L’évolution est nécessaire… En plein écran, en déplaçant un curseur à l’aide de la souris, on fait s’illuminer des détails. Des portions de chairs, de poils, de cicatrices, de boursouflures, d’enflures, de brûlures…
Toutes renvoient à la primate et aux zombies qui cafouillent et vocifères leurs imprécations derrière les grilles d’un asile d’aliénés à sécurité maximale. Leurs traces physiques restent encore inscrites dans leurs non-créations Customiesques qui témoignent de leurs lourdes misères et d’immenses souffrances dont la texture forme une fresque dans l’intimité la plus profonde de ces individus. Seule la formule de l’hypertexte Chromes&Flammes spermet d’en révéler l’histoire intime dans le cyberespace de la frénésie, soulignant à jamais l’interactivité des mouvements continus autogénérés misérabilistes.
Fi-donc aux transferts de représentations surannées sur des surfaces vides… L’ordinateur a t’il conquis un espace qui n’existait pas ? Car la réalité est que tous les ingénieurs et les mathématiciens, tous les généticiens de la machine et du courant électrique ont dû forcer le réel à s’insérer dans le code binaire, fût-il à huit, à seize ou à trente-deux bits… L’analyse et l’encodage binaires du monde déterminent maintenant nos mouvements, nos réflexes, jusqu’à nos concepts philosophiques. Ces puissants générateurs d’information peuvent en effet trafiquer rapidement toute la matière du monde…
Ils nous projettent violemment dans la vitesse, comprimant la complexité du monde en puces/mémoires tout en inventant une véritable machine de guerre d’un genre jamais vu. Tout se passe comme si les questions non résolues pouvaient enfin trouver leur exutoire ultime dans la négation sans réponse aucune. Les relations et interactions entre humains s’évanouissent ainsi à travers un filtre résolument machiniste. Même l’art s’y engouffre tout entier à partir d’ordres précis, tout est maintenant analysé, pré-implanté, modifié, opèrant instantanément des chassés-croisés dans des masses…
Celles-ci sont, de surcroit selon leurs capacités, limitées à ne comprendre que ce qui est pré-convenu, toutes identiques. Le système les ingurgite sous forme de langage machine et les régurgite en assemblages incompréhensibles “essentiels”... Partout vitesse et foisonnement sans aucune réflexion. Et puis surtout, étrangement, en absence d’interrogation morale et éthique sur les valeurs de ces outils. A tel point que maintenant mêmes nos chefs et cheffes politiques s’amusent, inventent des discours et diverses prouesses techniques, affichant leur foi inébranlable en eux et elles-mêmes…
Aux interventions qui présentent l’humain comme une problématique, comme une donnée essentielle, ces gens opposent l’immense pouvoir créateur des machines de guerre et destruction. Dans les débats, chez ceux qui travaillent en recherches sur la création, aucun ne peut douter un instant. La masse glorieuse des inventeurs, des ingénieurs, des fabricants et des docteurs es-bits avance résolument sur l’autoroute des octets. Toute visibilité, toute création, tout champ d’exploration, toute question désormais passe par l’ordinateur en mode surveillé et ses extensions sensorielles.
L’incontournable présence du réseau planétaire finement tissé dans l’épaisseur des fibres optiques et des ondes relayées par satellites, considère l’ensemble des données comme étant d’égale valeur, abolissant les corps… Les machines célibataires, les bêtes autarciques, les soubresauts trépidants et hystériques, et jusqu’aux capteurs contraignants, tout cela va dans le même sens d’une égalité absolue entre toutes les informations du monde. La science et la technique, comme système de mesure exacte et son application dans le quotidien, imposant au réel une poussée désengageant de la philosophie…
Un système dictatorial avalant ce faisant le barbare et l’instable bête humaine. Les corps deviennent ainsi des accessoires, des matériaux, de la matière à traiter, à manipuler. Ils s’abolissent dans des projections virtuelles et optent pour la transparence, ils se dispersent dans des images furtives, ils forcent les populations à se soumettre aux contraintes que leur imposent les puces sensorielles, ils obligent à ce que les peuples soumis s’attachent à des fils, à des fibres optiques, à des mécaniques perverses. L’humain se décomposant dans des gouffres binaires qui lui révèlent des motifs internes jamais envisagés…
Les structures, les comportements sont dès-lors empreints de mystères. Les conflits doivent se résorber dans des zones sans tensions où toutes les cohabitations sont simultanément possibles. En abolissant l’objet même de nos désirs et de nos haines, en absorbant les territoires conflictuels où se déroule la survie, les biologiques n’ont plus voix aux chapitres. Alors nous assistons, l’œil globuleux et irrémédiablement seuls avec l’écran fébrile, au pseudo-jeu de l’interactivité qui projette l’intervenant dans cette illusion de pouvoir. L’informatique, dans ces applications multiples, isole et morcelle.
Nous assistons à l’extrusion du corps social tel qu’on pouvait le concevoir jusqu’au début de cette décennie. Il n’y a plus de consensus par débat public, par partage d’une expérience commune, il n’y a plus cette définition identitaire basée sur la présence des corps. Les arts électroniques amènent les individus dans un territoire étrange qui fonctionne sans aucun humain. Alors, dans ce nouvel isolement qui surgit dans tous les recoins du petit village Terre, la question du pouvoir se pose de manière renouvelée et aiguë. Les lieux du pouvoir sont en effet maintenant complètement déplacés…
Les institutions traditionnelles, qui jusqu’ici veillaient à la santé de la démocratie, sont caduques. Qui domine les médias et les outils de communication, domine en quelque sorte le monde. Ce sont ceux-là qui donc dirigent le monde et imposent leur vision du bonheur, sans avoir jamais à se soumettre au vote populaire. Les diktats des nouveaux conquérants, les prédateurs, se présentent comme artistes, et pourtant aucun ne situe son discours dans le champ de l’art, mais seulement dans le sens d’une maîtrise des outils informatiques et télématiques… Ce n’est plus l’art qui importe, ou la politique, voire le social…
Non, ce qui importe c’est seulement la circulation, seulement le spectacle, seulement la binarisation de l’univers. Alors et alors seulement, nous pourrons affirmer : “Tout roulera bien”… En réalité on aura “enfin” réduit le monde au seul concept de perfection assistée, obligatoire, puisque parfaitement descriptible, parfaitement “” et éternellement disponible… La conquête du monde passe donc par sa négation. Et dans cette saga d’une techno-nature en devenir, la chair risque d’être contre nature avec le transgenrisme et la gérontophilie donnée en exemple “Elyséen” d’où l’on va évacuer tous les sucs, spermato’s et cyprine…
Donc, GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits continue la lutte en diffusant ce que vous ne voyez plus ailleurs… En ce cas, un Hot Rod de plus, celui de Michael qui a construit la voiture qui illustre cet article, ce qui lui a pris environ 20.000 heures…. L’avantage étant qu’aux USA, le Hot Rodding est populaire et légal… Michael a utilisé un moteur V8 Chevrolet de 1968 d’une cylindrée de 355ci, re-construit par Bill McKenzie à Phoenix, en Arizona. Le moteur est doté d’un alésage/course de 60, d’un vilebrequin forgé, de pièces “Edelbrock” en aluminium, et de collecteurs “Wicked Brothers of Phoenix”.
Un Blower (compresseur) vivant de l’aspiration via de deux carburateurs 750cfm “Demon”, permet au V8 de produire 750cv. La carrosserie a été travaillée sur mesure par Michael lui-même, et c’est le capot personnalisé par une coupe suivant la forme des flammes stylisées qui forme tout l’attrait et la nouveauté du genre, c’est un travail de personnalisation réalisé par Dan Fink. La peinture est du PPG Harqulin, peint/appliqué par Michael. L’intérieur comprend un arceau/cage, des sièges recouverts de cuir fabriqué par Jerry Noon à Los Angeles et un tableau de bord avec instrumentation Auto Meter…
Michael a trouvé la voiture en Arizona et a passé cinq ans à la “customiser”. Il a engagé son Hot Rod dans le concours “Americas Most Beautiful” et y a remporté la première place. Gene Windfield, peu avant son décès, a rendu hommage à la créativité de Michael, ce qui était tout un honneur. Voilà, l’affaire a été narrée/racontée en détails avec une pointe inhabituelle de commentaires destinés à vous faire réfléchir et vous rendre-compte que le monde c’est vous et pas les gens de politique qui s’en mettent plein les poches et coffres en vous entrainant dans des crapuleries comme les retours sur dons en Ukraine. CQFD.




































