Chevy Chevelle 1971 V8 Crate 502ci
C’est “LA” Chevelle la plus victorieuse de l’histoire des Chevelle’s : 200+ prix nationaux USA en First place. Présentée à la télévision, a servi de “porte étendard” pour “Weld Racing Wheels”, présentée dans 25 magazines américains comme étant la N°1 des 10 plus belles et extraordinaires Chevelle jamais construites ! Donald Trump s’y est assis pour un tour d’Indianapolis, Clint Eastwood l’a utilisée dans un de ses films, pareil pour Robert Redford et Tom Cruise et Jay Leno a soi-disant proposé un pactole pour l’acquérir de même que le Petersen Muséum… Rassurez-vous, c’est une arnaque…
Aux USA c’est la voiture qui est présentée aux infos avant le génocide des Palestiniens par Israël, avant le scandale des retours de 50% sur dons par centaines de milliards d’euros/Dollars à Zeelinsky organisé par la Hyène VonDerLeylen… On en est là et c’est pitoyable, absurde et écoeurant… Je m’absente ici, quelques instants pour aller vomir, m’éclater à la Vodka en chantonnant “Ahhhh ça ira, ça ira, ça ira” une chanson révolutionnaire dont le refrain, qui symbolise la Révolution française, fut entendu pour la première fois en mai 1790.
Son auteur, un ancien soldat chanteur des rues du nom de Ladré, avait adapté des paroles anodines sur le Carillon national, un air de contredanse très populaire dû à Bécourt, violoniste au théâtre des Beaujolais et que la reine Marie-Antoinette elle-même aimait souvent jouer sur son clavecin. Cet air est notamment utilisé comme thème principal du quatrième mouvement de la Symphonie en la majeur du compositeur allemand Friedrich Witt, écrite vers 1790. Je suppose que vous vous en foutez totalement… Vous avez tort et le tort tue… Aussi bien à Gaza qu’en Ukraine et partouze ou il y a de l’Humain…
Le titre et le thème du refrain de cette chanson furent inspirés par l’optimisme imperturbable de Benjamin Franklin, représentant très apprécié par le peuple français du Congrès des treize colonies d’Amérique à Paris, du 22 décembre 1776 au 12 juillet 1785, qui, lorsqu’on lui demandait des nouvelles de la guerre d’Indépendance américaine, répondait invariablement dans son mauvais français : “Ça ira, ça ira”... À la Révolution Française, le texte fut transformé par les sans-culottes en apostrophes assassines à l’égard de l’aristocratie et du clergé. Le “Ça ira” survécut même à Thermidor…
Je suppose que vous ne connassez pô l’histoire de notre France, bande de sinistres… Pfffffffff ! Le Directoire ordonna même qu’on le chantât avant chaque spectacle, mais il fut interdit sous le Consulat. Il existe bien des versions de ce chant, les paroles évoluant de l’optimisme de la fête du 14 juillet 1790 : “Ah ! ça ira, ça ira ! Pierrot et Margot chantent à la guinguette. Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Réjouissons-nous, le bon temps reviendra !” au refrain ultérieur beaucoup plus menaçant : “Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Les aristocrates à la lanterne. Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Les aristocrates on les pendra !”…
J’ai enregistré “GatsbyOnline” et “ChromesFlammes” comme étant des “Magazines satiriques”… Satire désigne aujourd’hui un texte ironique dans lequel l’auteur fait une critique sociale ou politique. Ce terme, venu du latin satura (puis satira), désignait une “macédoine de légumes”, puis, par extension, des “pièces de genres mélangés”, et des pièces critiques des vices, chez les auteurs Horace et Juvénal. Ce terme a ensuite été appliqué aux œuvres en prose ou en vers s’attaquant aux mœurs de l’époque. On dit souvent “faire la satire” et l’on parle de “comédie satirique” pour désigner un film, un texte, une parodie théâtrale.
Rien de tel que se moquer des mœurs en faisant rire… Le satyre est par contre un dieu grec, compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Par analogie avec ce demi-dieu, le satyre a désigné, dans un sens aujourd’hui vieilli, un homme débauché (introduit comme tel par Scarron), ou, comme un pervers. J’assume…
Cette Chevy Chevelle est une sorte d’aboutissement présentée comme une sorte d’œuvre d’art pour gogos, gardant les panneaux de carrosserie d’origine, les planchers d’origine, les chromes d’origine et normalement le moteur et ses accessoires ainsi que les trains roulants. L’Amérique fait “fi” des détails…
En réalité tout est neuf sur cette guimbarde de luxe, reconstruite, le moteur étant un GM Crate 502ci et la transmission une TH400 à changement de vitesse inversé et pont-différentiel Ford 9po, de même que quasi tout : les radiateurs, les accessoires, les trains roulants, les jantes, pneus et freins… L’intérieur est en cuir, les freins à disque sont des Wilwood aux 4 roues et la peinture époustouflante d’exposition est gagnante de trophées…. Rien de tel qu’une super arnaque au pays des arnaques ! Complètement “streetable”, la bête est annoncée à 85.000 $ (les transactions partielles sont considérées)…
Voilà… Ma conscience est en paix avec le reste de mon moi-même au plus profond… Je n’ai pas attendu le génocide des Palestiniens par les Israéliens dont la cause est l’appropriation d’un gigantesque champ Gazier et Pétrolier dans les eaux territoriales Palestiniennes, ce qui est caché par ceux qui seront richement mandatés pour l’exploiter… Mais la presse étant presqu’entièrement aux mains de groupes d’affaires et de milliardaires, ne vous en informera pas. Reste donc à faire l’effort d’aller lire : Nakba : Eretz Yisrael, la vraie histoire qu’on vous cache ! – Gatsby Online Gratuit : 322 pages avec illustrations…





























