350-Powered Ford Track-T Roadster
Cette Hot Machine noire geais et la superbe Women, belle en blanc revêtue (avec chapeau assorti), n’indiquent ni l’une ni l’autre, la richesse présumée de qui les possèdent (ce qui est machiste, oh combien, concernant la belle Dame en blanc !), ni ne promet aucune richesse à regarder le spectacle offert de mes bons soins, étant attentif que vous “payassiez” 1 euro d’obole pour mes frais, sous couvert d’un premier mois d’abonnement, sans retour à 50% sur ce don comme ce serait pratiqué en Ukraine sous l’égide (malsaine) mais financièrement géniale d’Elsa/Ursula-la-Louve VonDerLeylen qui aurait fait ses armes en pillant la Bundeswehr dont elle était ministre, puis en contribuant à la vente par milliards d’euros de vaccins Covid créés/commercialisés en famille, en effet, son mari possède les laboratoires Pfizer et tout tendrait à démontrer une indicible réalité (sauf erreurs ou omissions, des doutes étant simultanément apparus).
A savoir pour l’un d’eux, que ce pourrait être une fausse ou exagérée contagion pour justifier les vaccins imposés que beaucoup de spécialistes aux USA mettent officiellement en doute, y compris le Président Américain Donald Trump, le but (sous toutes réserves) ayant été de générer des milliards de profits ! Aussi pire, il est prétendu qu’en continuation de ce machiavélisme abyssal, en continuation, elle aurait imaginé/inventé les dons à l’Ukraine avec retour immédiat d’une moitié partagée entre elle, Zeelinsky et le chef d’Etat donneur d’ordre du don “charitable” issu des impôts de chaque pays Européen dont les infortunés n’ont aucune voix admissible à s’y opposer… Tout comme en Palestine à Gaza sous génocide, une part de sécurité alimentaire, ne garantit pas plus la prospérité, qu’aider à survivre… Arghhhhhhh ! Chers tousses, quel monde merveilleux qu’est le notre !
Avant de vous causer de ce Ford Track-T Hot-Roadster V8 350ci, qui n’est qu’un prétexte visuel pour tapoter un texte déjanté politiquement incorrect qui m’amuse bien plus que décrire des trucs de garagistes avec rappel de l’identité commerciale des fournisseurs pour espérer recevoir des cadeaux ou des primeures des firmes citées (le tarif aux USA est de minimum 100 $ par citation de marque commerciale pour aider les gens de presse, ce qui explique ces descriptions “endormissantes” et répépépétitives (sic !) sensées pousser les lecteurs à y acheter leurs pièces pour leurs réalisations… J’ai donc envie d’élever le contenu des sujets et en cet instant précis, de vous causer d’or dont l’once qui flirtait avec les 2.000 US$ encore en mars 2024, est sur le point de passer le cap de 4.400 US$… Une hausse de plus de 55 % sur un an qui va bientôt atteindre 100% en fin d’année une accélération spectaculaire.
A suivre les explications du Président Donald Trump qui prêche ses vérités comme Jésus (qui n’a jamais rien écrit, les textes l’ayant été plusieurs siècles plus tard par des moines qui n’en avaient rien vécus), nos chefs et cheffes de Gouvernement mettent ces méthodes à leurs profits privés avec leurs retours nets des dons à l’Ukraine, alors que nos impôts qui payent cette gabegie nous ruinent et détruisent notre économie (qui est dans le rouge) plus efficacement que si l’armée Russe envahissait l’Europe et serait soit obligée de nous assister ou de nous “génocider” avec quelques bombes atomiques anti-matières-grises… Que Trumpy se marre de nous voir si stupides est de ces faits, très compréhensible. Nous sommes intrinsèquement crétins et stupides, nous croyons en Jésus et aux miracles, on nous a même fait le coup de la prétendue révolution étudiante de mai’68 pour évincer de Gaule et la suite ne sera qu’un calvaire…
Un calvaire en tous points proportionnel à la défiance quasi irrémédiable envers l’ordre financier mondial que révèle la flambée de cette relique barbare (termes de Keynes), qu’est le dollar, détrôné le 15 août 1971 par Richard Nixon, qui a suspendu “temporairement” la convertibilité du dollar en or… Ce “provisoire” dure toujours ! S’inspirant probablement de Clémenceau, selon lequel : “Rien n’est plus long que le provisoire” (qui dure toujours), le Président américain de l’époque (Nixon) était parfaitement conscient qu’il y avait bien plus de dollars en circulation que d’or en réserves (Notez que les USA ont gardé toutes les réserves d’or que les Européens ont mises en sécurité aux USA pour que les nazis ne s’en emparent pas ! Les USA ont ainsi payé toutes leurs guerres avec ce trésor qui ne nous sera jamais rendu !)… Soixante-quatre ans plus tard, nous assistons en direct à l’application de “La loi de Thiers”…
Pas de panique, rien à voir avec le tiers payant, c’est le nom de l’un de nos anciens grands hommes politiques “Adolphe Thiers”, premier Président de la IIIᵉ République Française qui en avait bien plus que Micron dans le slip sous le pantalon… Son discours prononcé à l’Assemblée nationale le 16 septembre 1848, dans le cadre de la discussion sur la Constitution, où il abordait la question du papier-monnaie était limpide : “Le papier-monnaie, cette monnaie dont la valeur dépend uniquement de la confiance publique, quand cette confiance fait défaut, que devient-il ? Il se déprécie. Il perd ses garanties. Et alors, le travailleur, l’artisan, le commerçant ne veulent plus en recevoir, ou l’acceptent à un prix moindre. Il ne suffit pas de décréter que ce papier vaut une certaine somme : il faut que quelqu’un veuille l’échanger pour cette somme. Si l’échange ne se produit pas, la monnaie reste étrangère à l’économie réelle, et la société souffre”…
Il a ajouté : “La monnaie n’est point une création arbitraire de la loi ; elle est une marchandise, une marchandise précieuse, choisie par le consentement universel des peuples. Quand l’État veut substituer son crédit à celui du métal, il tente de faire ce que la nature sociale ne permet pas. Le papier-monnaie est une illusion de richesse. Il ne crée pas de valeur réelle, il ne fait que déplacer la richesse existante. Il est dangereux, car il peut être émis en trop grande quantité, dépréciant ainsi sa valeur”… Ca change des niaiseries Transgenres et Gérontophiles “Microncéphales” franchouilles qui font le bonheur des merdias roboratifs appartenant a des hypers milliardaires qui nous pompent l’air et nos ressources… Ne trouvez-vous pas ce discours étrangement moderne et adapté à nos circonstances actuelles, 177 ans plus tard ? “S’ils en ont la liberté”, affirmait Thiers, “les gens choisiront naturellement la meilleure monnaie, celle en laquelle ils font confiance”.
Son principe, énoncé en 1848 mais étudié dans les facultés de sciences économiques du monde entier (Macron l’a donc lu), éclaire le comportement des agents économiques qui thésaurisent la “bonne” monnaie et dépensent la “mauvaise”, de moindre valeur. Adolphe Thiers connaissait l’Histoire, celle où les empires de l’Antiquité avaient l’habitude, en périodes de difficultés, de diluer la concentration de leurs pièces d’or et d’argent ! Le phénomène avait été décortiqué par un conseiller de la reine Élisabeth Iʳᵉ d’Angleterre au XVIᵉ siècle, Thomas Gresham ayant découvert (à la suite d’Aristophane et de Copernic) que la “mauvaise” monnaie est systématiquement utilisée comme moyen de paiement, tandis que la “bonne” monnaie (celle ayant plus de valeur intrinsèque) est conservée. La loi de Gresham démontre comment la monnaie de qualité (quelle que soit sa nature) tend à se raréfier et à disparaître de la circulation.
La “bonne” monnaie est enfermée dans les coffres-forts, voire aujourd’hui sur des comptes-métal ou encore sur la blockchain pour les cryptomonnaies, tandis que la “mauvaise” monnaie dépréciée inonde les marchés. Ces divers principes s’appliquent aujourd’hui avec une pertinence glaçante. Les monnaies fiduciaires (dollar, euro, yen) semblent des coquilles vides, à peine encore soutenues par une confiance évanescente en des institutions vacillantes, en des banques centrales à bout de souffle. Symptômes manifestes de la perte de crédibilité du système et des pouvoirs en place : la Réserve fédérale américaine mise en échec par une réalité sur le terrain où le prix de l’alimentation et du logement explose de 20 à 30 % en glissement annuel réel. L’Europe politique est simultanément en lambeaux, la seule et unique fuite en avant consiste à se réarmer massivement via l’Ukraine, et à renouer ainsi avec ses vieux démons.
On se moque du peuple, ouvertement, car le peuple ne comprend rien… Personne ne s’instruit, toutes et tous abêtis et hébétés et malaxés par des comptes-rendus de débiles pour de plus débiles encore… Les lois de Thiers et de Gresham ne sont pas des théories poussiéreuses, elles dissèquent la mécanique impitoyable de notre implosion… À 4’400 $ l’once d’or, l’empire monétaire occidental n’agonise plus lentement : il convulse… Les États-Unis d’Amérique affichent une dette qu’il est plus aisé de chiffrer à 40 trillions de dollars qu’à quarante mille milliards… Pour la première fois de leur histoire, la charge annuelle de la dette américaine (1,16 trillion de dollars) dépasse ce qu’ils dépensent sur leurs armées (1,13 trillion de dollars). Le règlement des intérêts sur leur endettement surpasse donc le coût lié à la protection et à l’expansion de leur Empire. Je me demande ce que ferait Nixon, aujourd’hui, dans cette situation ?
En effet, toutes les combines semblent épuisées, quoique Donald Trump a découvert qu’on peut encore faire les fonds de poche des crèves la faim que nous sommes devenus en Europe… Après tout, la richesse vraie ne s’imprime peut-être pas en billets de banque mais en articles publiés ici et ici… Arghhhhhhhh ! Jouissance ! Allons, il est temps maintenant pour moi de tapoter un texte “Hot Roddien”, un des “ceusses” qui vont “spermettre” à ce web-site d’atteindre 5.000 articles… Une saga… Ce Hot-Roadster style Track-T a été construit sur quelques années (4) depuis 2021. La carrosserie est en fibre de verre et le moteur est un V8 Ford “BluePrinterEngines” 350ci (100$ à m’envoyer) surmonté d’un carburateur “Holley” (encore 100$ à recevoir). La boîte automatique trois vitesses “MonsterTransmission” (100$ encore), et le câblage, les freins et la suspension arrière ont été révisés (Pas de $, pas de nom, c’est la règle des mag’s américains).
Ouiiiiiiiii, c’est pour aider les scribouillards. Je reprend donc le système… Le propriétaire de ce Hot Rod a également remplacé les pneus de tailles décalés (plus larges et plus grands à l’arrière qu’à l’avant) sur des roues en aluminium de 15po (Pas de $ pas de nom de marque), et la voiture est en outre équipée de sièges de style bomber, de jauges/compteurs numériques, d’un volant de style banjo (pas de $ pas de nom), de freins à disques “Wilwood” (j’ai indiqué la marque qui me doit 100$), de collecteurs de style lac-salé, et plus encore, comme décrit ci-dessous en fonction des dons que je recevrais ou pas. Ce roadster dispose d’une capote et d’une protection en sus de sa place dans un box-salon-bar-maison… Il est immatriculé dans l’Utah au nom du vendeur répertoriant la voiture comme une Ford Roadster 1932, ce qui est bien évidement le secret de la raison que le Hot Rodding est hyper populaire aux USA…
Ouiiiiii, les USA privilégient le business plutôt que de chanter que “Micron-Malbrough s’en va-t-en guerre”… Si beaucoup de Français ont appris cette comptine dans leur enfance, peu d’adultes sauraient expliquer d’où vient cette ritournelle et qui est son héros éponyme. La chanson n’est qu’un lointain écho de la bataille de Malplaquet, tournant de la guerre de Succession d’Espagne, et perpétue une infox du xviiie siècle avec la mort de John Churchill duc de Marlborough, au cours du combat. Il y eut tant de morts : 36 000 en une journée, la plus sanglante du conflit et même du siècle, que le bruit courut que l’invincible chef des coalisés (l’équivalent de notre Micron) en faisait partie. Faites un parallèle avec sa soif de combattre la Russie… Avec les crapuleries des dons à l’Ukraine qui ont amené la Franchouille à un trou de 50 milliards d’€… nous ne sommes pas loin d’un même désastre…
Fallait pas voter pour un ex-banquier gérontophile/transgenriste pour faire barrage !… Notez que c’est presque pire dans les autres pays membres de l’Europe… On crève plus sous les conneries que sous les hypothétiques bombes Russes, quoique succomber avec des bombasses Russes, c’est jouissivement spermatif… Ahhhhhh ! En dernière minute je reçois 100$ pour indiquer le nom de fabricant de la carrosserie en polyester… “Jerry Bowls”... Ok… Et encore 100$ pour citer le nom du Klaxon a air comprimé “Wolo BadBoy”... Cool… Le fournisseur de la calandre n’offre rien ? Non… OK… Les phares non plus… OK…La calandre brossée en alu vaut le coup, pas même 50$… Non…et la marque des rétroviseurs en acier inoxydable ? Non… Pffffffff ! Radins… Ahhhhh ! Un effort est consenti pour les combinés filetés arrière “Alden American”...100$ de plus… Cool… Les pneus changent d’avis, encore 100$, Bravo…
Ouaihhh, ce sont des “BFGoodrich” décalés… Des durites de frein tressées en acier inoxydable et des embouts de biellette en acier inoxydable ont été utilisés, mais pas de US$ pour dévoiler qui… Donc pas de nom… Des sièges de style bombardier ont été installés avec des panneaux en aluminium. Ahhhh! Un autre don de dernière minute, la chaîne stéréo compatible Bluetooth est liée à un amplificateur “Cruchfield” et à des haut-parleurs “JVC”, et la voiture dispose également d’une caméra de recul, d’un levier de vitesses de style grenade et d’un porte-gobelet personnalisé… 100$ l’ensemble des 2 noms,, c’est un cadeau…. Merci les gars… Arghhh, ça se réveille, 100$ pour citer les jantes et le volant de type Banjo en indiquant que c’est du “Billet Specialties”. J’ajoute que c’est une colonne “Ididit”… OK… Et Hop, encore 100$ pour la marque des compteurs numériques “Intellitronix” installées dans un tableau en bois de zèbre…
La soirée (il est 1h57 du mat à Saint-Trop) va t’elle rapporter 1.000$… Waouwwww ! Les 609 miles indiqués au compteur représentent la distance parcourue depuis l’achèvement de la construction. Le V8 350ci provient de “BluePrinterEngines”, (déjà cité et payé numériquement) et il est surmonté d’un collecteur d’admission “Edelbrock” avec un carburateur “Holley”… Wouahhhh ! Deux noms en plus… 200$ ajoutés… Le moteur comprend des culasses en aluminium, des culbuteurs à rouleaux, une pompe à eau en aluminium et un radiateur en aluminium, un ventilateur électrique et des collecteurs de style lac. Le rapport du dynamomètre indique une puissance maximale de 358,2 chevaux et un couple de 406,9 lb-pi. Le vendeur a installé la transmission automatique à trois vitesses “MonsterTransmission” Turbo 350, (déjà cité) qui est liée à un train arrière Quick-change “Speedway Engineering“ (100$ de plus).
Un refroidisseur de transmission a également été utilisé… Une partie frontale personnalisée de style ’32 est incluse avec les disques exposés dans la galerie. La voiture est intitulée Ford Roadster de 1932 en utilisant le 181252977 VIN, qui s’aligne sur une Ford de 1935… Total des dons que je ne partage qu’avec mon Cocker Blacky qui semble guéri du cancer diagnostiqué et soigné à la clinique vétérinaire de Toulon… Que du bonheur… Je convertis les dollars en or demain matin au “changeur” sur le port en allant déjeuner chez Sénéquier… Combien de mentions, vous pouvez compter pour moi, c’est coolesque… Il est 2h23 et il me reste à positionner les photos, puis RRRRR, RRRRR, RRRRR ! Voilà, c’est terminé, il est 5h25, j’ai la diarrhée verbeuse scripturale et mon Cocker Blacky a une diarrhée de vrais cacas de chien qu’il me faut jeter dans le jardin de mon voisin milliardaire…
Ben, voilà… C’est fini, c’est tout et terminé… J’y ai passé la nuit et mon Blacky a eu la diarrhée m’obligeant à déambuler partouze… Mais je préfère ce genre “d’emmerdement”, ce qui est le bon terme à défaut du bon mot pour rire, qualifiant ses “exploits” gastriques… Tout cela mis partouze à part de mon coté légendairement sérieux, je note qu’il est 8h05 en ce lundi 20 octobre et que l’aube pointe à peine, comme s’il était 6h du mat’… Bizarre autant qu’étrange. Je me rend compte que je n’en avais pas terminé avec “Malborough s’en va-t-en guerre” (ou Malbrough, ou Malbrouck) qui est une chanson traditionnelle du début du XVIIIe siècle. Elle est aussi connue sous le titre “Mort et convoi de l’invincible Malbrough”. Le héros de la chanson est John Churchill, le premier duc de Marlborough, le principal général anglais de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle qui fut un des adversaires les plus acharnés de Louis XIV…
Contrairement à ce que laissent entendre les paroles de la chanson, Churchill ne fut que blessé et non tué lors de la bataille de Malplaquet (11 septembre 1709). Les Français se vengèrent de la sévère défaite qui leur avait été infligée par Marlborough et son ami le prince Eugène, en composant cette chanson qui est reprise en 1781, quand Beaumarchais l’intègre comme chanson du page Chérubin dans sa pièce “Le Mariage de Figaro” à la scène 4 de l’acte II. La chanson connaît alors un immense succès et de nombreux objets (éventail, rubans, coiffures, gilets, chapeaux…) furent décorés d’illustrations reprenant ce thème. Dans le parc de Versailles, une tour du Hameau de la Reine fut aussi dénommée “Tour de Marlborough”. En 1813, Beethoven l’inclut dans son œuvre “La Victoire de Wellington” où elle symbolise les forces françaises. La mélodie a été adaptée par les Britanniques sous le titre “For He’s a Jolly Good Fellow”...




































