Tushek TS900 Apex Aeon 2025
La Tushek TS900 Apex Aeon 2025 est issue de la Slovénie, d’où l’on ne s’attend pas à ce qu’une Hypercar de 2 millions d’€uros provienne. Qu’en est-il ? A la fin du VIe siècle, les Slaves du sud commencèrent à s’installer dans les vallées des fleuves Save, Drave et Mure. Sous la pression des Avars, ils atteignent les rivages de la Mer Noire, les plaines du Frioul, du Danube, de la Mer adriatique et du lac Balaton. Le premier Etat slovène fut créé en 623. Il fut directement annexé par l’Empire Franc au VIIIe siècle et devint une suzeraineté de la Bavière en 745. De 869 à 874, le Prince Kocelj règna sur un Etat slovène totalement indépendant, située en Pannonie inférieure. En 953, le Duché fut intégré au sein du Saint Empire Romain Germanique. Le territoire slovène sera alors divisé, et la population tendra à être germanisée et christianisée. La Slovénie va se retrouver intégrée à l’Empire des Habsbourg dès 1273. Entre le XIVe et le XVIe siècle, la Monarchie des Habsbourg va inclure (s’approprier) toutes les régions slovènes.
Entre 1809 et 1813, la Slovénie est annexée par la France, laquelle impulse la création des Provinces Illyriennes sur les territoires slovènes. A la défaite de Napoléon en 1814, ces territoires sont réintégrés dans l’Empire des Habsbourg. Des intellectuels slovènes publient le premier programme politique pour la Slovénie unie en 1848. Les Slovènes de l’Empire d’Autriche-Hongrie n’accèdent à la liberté que 70 années plus tard, en octobre-décembre 1918… Ils vont alors participer à la fondation du Royaume des Serbes, des Croates et des Slovènes, rebaptisé Royaume de Yougoslavie ou “Pays des Slaves du Sud” en 1929. En 1941 Hitler divise la Slovénie entre l’Allemagne, l’Italie et la Hongrie. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, l’essentiel du territoire slovène est intégré à l’Italie fasciste. La réunification des peuples slovènes a lieu en 1945 au sein de la République Socialiste Fédérative de Yougoslavie, dont la Slovénie est une des cinq Républiques. Dès cet instant une chape de plomb empêche d’en savoir plus sur la “Russification Communiste” de Tito et les guerres diverses…
De surcroit on tend à mélanger la Slovaquie et la Slovénie qui sont pourtant deux pays distincts en Europe. La Slovaquie faisait partie de la Tchécoslovaquie et a obtenu son indépendance en 1993. Elle est située en Europe centrale et partage des frontières avec la République tchèque, la Pologne, l’Ukraine, la Hongrie et l’Autriche. La Slovénie a émergé comme un pays indépendant après l’éclatement de la Yougoslavie de Tito en 1991 et a été récupérée par l’Union Européenne de même façon que pour l’Ukraine, par tromperies et magouilles… Lors de la conférence au niveau suprême de l’OTAN se tenant du 28 au 30 avril 2000, à Bratislava, les représentants des Etats-Unis avaient expressément confirmé aux alliés et aux candidats à l’alliance de l’époque les trois buts principaux de leur guerre contre la Yougoslavie : 1° Détacher le Kosovo (et Metohija) de la Serbie. 2° En faire un Etat distinct et indépendant. 3° Faire de ce nouvel Etat la base des troupes américaines dans les Balkans créant un précédent pour les interventions militaires de l’OTAN dans le monde entier !
C’était réalisé sans l’aval du Conseil de sécurité de l’ONU… L’agression de l’OTAN a été largement perçue comme une démonstration (au premier chef à l’intention de la Russie) de l’usage illimité de la force. Dans ce contexte géopolitique, il ne faut pas oublier que les avions américains ont également profité de l’occasion pour bombarder volontairement l’ambassade de Chine à Belgrade, tuant trois journalistes chinois. Cette agression a violé les principes fondamentaux du droit international et de la Charte des Nations unies et elle a été menée sans l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU. Compte tenu du fait que la Yougoslavie ne constituait pas une menace pour aucun pays membre de l’OTAN, les dirigeants Européens ont ainsi enfreint leur propre acte fondateur, tandis que les pays membres de l’OTAN ont bafoué leurs propres constitutions en agissant sans l’autorisation de leurs parlements respectifs, alors que cette attaque a été présentée mensongèrement par les merdias comme une intervention “humanitaire”…
Il faut y voir en réalité un fait de guerre en vue d’une expansion politique de l’OTAN (et ainsi des Etats-Unis) vers l’Est en direction des frontières russes, ce qui a également constitué un précédent pour les autres agressions américaines qui ont suivi (Afghanistan, Irak, Libye, Syrie). Le déploiement immédiat de la grande base militaire américaine “Bondsteel” près d’Urosevac, au Kosovo et à Metohija, n’était que la première d’une longue série de nouvelles bases militaires américaines en Europe centrale et orientale, 3 en Bulgarie, 3 en Roumanie, et 4 en Pologne… Ainsi, l’OTAN a non seulement, et pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, ramené la guerre en Europe et parallèlement donné une impulsion extraordinaire au processus de remilitarisation intensive du vieux continent. Tous les pays membres ont été obligés de consacrer 2 % de leur PIB aux dépenses militaires, d’adapter les infrastructures civiles aux nouvelles exigences militaires et de limiter la vente de grandes entreprises aux seuls investisseurs potentiels de l’UE et de l’Otan…
C’était présenté pour des raisons de sécurité, ce qui a permis d’ajouter d’autres clauses telles que cesser d’importer de nouvelles technologies de “fournisseurs non fiables” (la 5G)… et stopper les achats de gaz et de pétrole Russe à ceux qui y ont recours, pour saper la sécurité de l’Europe ! Des missiles, dont certains à l’uranium appauvri, incluant notamment des bombes à fragmentation, se sont alors abattus sur la Serbie et le Monténégro, causant des pertes humaines gigantesques et détruisant volontairement l’économie de ces pays. La Serbie ne se remettra jamais des immenses pertes économiques et sociales qu’elle a subies à cause de l’Europe “Otanisée”... A Belgrade et dans d’autres grandes villes, même dans les quartiers centraux, on trouve toujours les vestiges de bâtiments gouvernementaux en ruine suite aux bombardements par l’OTAN. Cependant, au travers de son agression de 1999 contre la Serbie et le Montenegro, l’OTAN a parallèlement mis à mal toute la structure de sécurité et de coopération de l’Europe et du monde…
Comment ? Mais en invalidant Téhéran, Yalta, Potsdam, Helsinki et d’autres accords et piliers de l’ordre consécutif à la Seconde Guerre mondiale et réinstallant ainsi le désordre, l’insécurité, voire le chaos qui est actuellement relancé avec l’agression contre l’Iran… L’agression de l’OTAN contre les ex-pays Soviétiques a momentanément été “mise au placard” avec la résolution 1244 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui garantissait mensongèrement la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RFY (Serbie) et une grande autonomie pour la province du Kosovo et de Metohija au sein de la Serbie… Depuis, l’agression se poursuit sur un autre terrain… L’objectif visant à détacher de la Serbie la province autonome a évolué dans un nouveau contexte… Alors que la province était placée sous mandat de l’ONU et que la Kfor était principalement composée de troupes de l’OTAN chargées soi-disant de garantir la même sécurité pour tous, 250.000 Serbes ainsi que divers non-Albanais ont été massacrés, leurs maisons incendiées et leurs terres expropriées.
En 2008, les ex-dirigeants terroristes de l’UÇK ont proclamé la sécession unilatérale. Les pays de l’OTAN et de l’UE, à l’exception de l’Espagne, de la Roumanie, de la Slovaquie, de la Grèce et de Chypre, ont reconnus la sécession, bien que sachant qu’elle était une violation du droit international, de la résolution 1244 de l’ONU et de la Constitution Serbe qui subit une pression continue sans précédent de la part de l’alliance Etats-Unis/OTAN/UE pour la levée de son veto à l’adhésion du Kosovo aux organisations internationales, y compris l’ONU, prétextant l’établissement de relations de bon voisinage sur une base égalitaire de respect mutuel de la souveraineté et de l’intégrité territoriale, la reconnaissance préalable et mutuelle des symboles étatiques et nationaux et l’instauration de relations avec le Kosovo sur une base quasi-diplomatique. Sous prétexte de “normaliser les relations”, l’Occident, sous le leadership des USA, tente en réalité de forcer la Serbie à reconnaître de facto un nouvel Etat, celui du Kosovo, issu de l’agression de l’OTAN en 1999…
Les promesses d’adhésion à l’UE, les investissements et les dons, ont été instrumentalisés afin de forcer la Serbie à reconnaître la sécession d’une partie de son propre territoire et à renoncer ainsi à tous les droits fondés sur le droit international, la Charte des Nations unies, les garanties du Conseil de sécurité de l’ONU et sa propre Constitution. Toutes ces exigences sont contenues dans le soi-disant “Accord de normalisation des relations entre le Kosovo et la Serbie”, présenté à la Serbie le 27 février 2023 et confirmé le 18 mars 2023 à Ohrid, en Macédoine du Nord, sous la forme d’un ultimatum accompagné de menaces de sanctions et de restrictions économiques, financières et autres en cas de non-respect, qui a été entériné par le Conseil européen le 24 mars 2023, date anniversaire ou l’OTAN avait commencé à bombarder Belgrade, Priština et d’autres villes serbes, il y a exactement 24 ans. Les véritables raisons de tout cela sont multiples… et sont causes des guerres qui sont en gestation ayant pour but final un plan Américain : “Que l’Europe s’atomise et disparaisse”...
Les USA veulent toutefois que tout se déroule selon un plan ne les mettant pas en cause et en première ligne ! D’abord favoriser l’adhésion à l’OTAN du Kosovo ainsi que son rattachement à l’Albanie visant à préparer une “OTANisation” complète des Balkans, incluant la Serbie et la Bosnie-Herzégovine… Cela en parallèle de manœuvres identiques pour incorporer l’Ukraine et éradiquer la présence Russe et Chinoise, tout en forçant à lever les objections de cinq Etats membres de l’UE (dont quatre sont membres de l’OTAN) à la reconnaissance de la sécession unilatérale du Kosovo et ainsi rétablir l’unité au sein des alliances… Ce seraient les Etats-Unis d’Europe sous domination Américaine… En 1999, l’agression de l’OTAN contre la Serbie et le Monténégro (RFY) avait marqué le tournant de l’Alliance, qui est passée de la défense à l’agression, d’une Europe partiellement autonome à sa soumission totale aux Etats-Unis dans leur quête de mondialisation de l’interventionnisme et de confrontation globale avec la Russie et la Chine.
Bien que cet évènement ait semblé être le point culminant de l’arrogance unipolaire et de l’hégémonie des Etats-Unis/OTAN, il n’en reste pas moins un rappel à l’ordre pour tous les naïfs qui croient en un nouvel ordre mondial démocratique. Voilà qui est écrit… La société Tushek qui se trouve au milieu de ce cloaque d’abominations et de mensonges, a été fondée en Slovénie par Aljoša Tushek, puis s’est installée en Autriche lorsque Jacob Carl Spigel l’a rejoint lui conseillant de migrer vers l’Autriche. La société Tushek a fabriqué plusieurs Supercars au fil des ans, les produisant en nombre très limité. La TS900 Apex est la dernière d’entre elles. Elle a l’air incroyable dès le premier coup d’œil, avec un design agressif et anguleux qui la distingue de presque tout ce qui se trouve sur les routes. Ses chiffres de performance revendiqués sont également fous. La TS900 Apex revendique 1.351cv et 1 239 lb-pi de couple, indiquant passer de 0 à 62mph en 2,3 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 236mph tout en ne pesant que 1.343 kg pour un rapport poids/puissance de 1:1…
Ce sont des chiffres invérifiables pour une automobile fantomatique issue originellement d’un pays quasi cloné sur l’Ukraine et ayant bonifié suite aux apports Russes des années cachées d’un monde dont on n’entend jamais parler… En ce cas la guerre illégale OTAN/USA contre Yougoslavie/Croatie que je viens de résumer ci-avant… C’est exactement ce qui est arrivé à cette Hypercar européenne moderne qui déboule pour se battre contre les Ferrari et Lamborghini tout comme le repreneur Croate de Bugatti… La Tushek dispose d’un groupe motopropulseur incroyablement avancé et impressionnant et revendique des chiffres qui sont hors de ce monde en provenance d’un sous-pays d’où l’on ne s’attend pas du tout à ce qu’une telle voiture provienne. En effet, elle est incroyablement puissante et chère. Si vous voulez une TS900 Apex, vous devez être incroyablement riche. Le prix basique (de départ) de ces voitures est de 1,5 million d’euros (un peu moins de 1,73 million de dollars) hors taxes, frais et options….
Il se peut que vous ayez déjà manqué votre chance d’en acheter une. Tushek produit ses voitures en nombre très limité, et il n’a l’intention de construire que 36 exemplaires de la TS900 Apex. C’est vraiment une voiture que vous ne connaîtrez ou que vous voudrez acheter que si vous avez une richesse de milliardaire et que vous voulez quelque chose d’extrêmement exclusif. Les performances revendiquées du Tushek TS900 Apex sont assez impressionnantes à elles seules, particulièrement pour le groupe motopropulseur qui lui permet de produire cette énorme quantité de puissance et de couple en premier lieu. La TS900 Apex est dotée d’un système hybride qui associe un V8 de 4,2 litres entraînant les roues arrière et deux moteurs électriques entraînant l’avant. Ce n’est pas la chose la plus impressionnante qui soit, car plusieurs voitures hybrides ont réussi à créer une configuration à traction intégrale en faisant cela. Mais il y a une solution innovante cachée là-dedans…
Les deux moteurs électriques sur l’essieu avant ne passent pas par la transmission manuelle séquentielle que l’ICE traverse pour alimenter les roues arrière. Au lieu de cela, les moteurs électriques entraînent directement les roues comme une voiture entièrement électrique. Il s’agit d’une configuration qui est étonnamment similaire au groupe motopropulseur à entraînement direct que Koenigsegg a mis au point pour la Regera. Bien que la Tushek TS900 Apex dispose d’une boîte de vitesses conventionnelle dans la configuration, elle tire parti de la possibilité d’utiliser un groupe motopropulseur à entraînement direct avec des moteurs électriques. Il existe une version encore plus rare axée sur la piste La TS900 Apex. De toute évidence, Tushek pense qu’il y a des clients qui voudront quelque chose d’encore plus fou en plus, parce qu’ils en ont fait une version axée sur la piste. Cette version s’appelle la TS900 Racer Pro. Limitée à seulement 12 unités, la TS900 Racer Pro pèse 145 kg de moins que la TS900 Apex disposant du même groupe motopropulseur hybride.
Cela signifie que la TS900 Racer Pro a un rapport poids/puissance de 1,13:1 et dispose également d’un nouvel aérodynamisme, notamment d’un aileron arrière géant avec d’énormes séparateurs avant et arrière. Cela permet (sic !) non seulement à la TS900 Racer Pro d’avoir plus d’appui que la TS900 Apex, mais aussi de refroidir les freins. Il y a beaucoup de Supercars qui ont fini par être des voitures rentables car jouables dans les jeux vidéo… En fait, c’est parfois la seule façon dont beaucoup de cons-somateurs (et trices) connaissent les voitures les plus rares et les plus étranges. La Tushek TS900 Apex ne fait pas exception à la règle. Elle apparaît dans Asphalt 8 : Airborne, Asphalt 9 : Legends, et Grid Legends…. La TS900 Apex était particulièrement importante dans Grid Legends, comme elle l’a fait dans la bande-annonce de lancement du jeu. La Tushek TS900 Apex ne semble toutefois pas avoir atteint le statut de “voiture de jeu vidéo vénérée” qui existe réellement dans la vraie vie.
Les plus jeunes qui ont joué à Asphalt 8, Asphalt 9 et Grid Legends, grandiront peut-être en parlant de la qualité de la Tushek TS900 Apex dans le jeu et lui donneront enfin le statut célébré que Tushek a clairement espéré… La Tushek TS900 Apex pourrait toutefois être une Supercar assez folle telle quelle, mais, les gars de Tushek travaillent actuellement sur quelque chose qui est vraiment encore plus fou. Le dernier projet s’appelle l’Aeon, et si elle peut atteindre les chiffres revendiqués, ce sera l’une des voitures les plus folles jamais produites ! L’Aeon sera disponible en deux variantes différentes. L’Aeon H devrait entrer en production en premier. Elle aura un groupe motopropulseur très similaire à celui de la TS900 Apex, associant un moteur V8 biturbo actuellement non spécifié qui alimente les roues arrière à deux moteurs électriques qui alimentent l’avant (sic !). De toute évidence, il y a eu une certaine mise à niveau de la TS900 Apex avec l’Aeon H, car Tushek affirme qu’elle peut produire 1.930cv et 1 549lb-pi de couple.
Cela proviendra probablement du moteur, qui, selon Tushek, sera une unité “FIA Racing Spec”.…Le véritable perturbateur de la gamme Aeon, cependant, pourrait être l’Aeon E entièrement électrique. Il s’agira de la toute première voiture électrique de Tushek qui entrera en production (sic et re-sic !) juste après l’Aeon H. La bête disposera d’un grand total de 6 moteurs électriques, dont 2 à l’avant et 4 à l’arrière. Le résultat de tous ces moteurs qui alimenteront l’Aeon E se traduira par des chiffres inventés de 2 500cv et plus de 4 056 lb-pi de couple. Si l’Aeon E atteindrait vraiment ces chiffres, cela la placerait dans une toute autre ligue que d’autres hypercars électriques comme la Nio EP9 ou la Rimac Nevera R. Lorsque ces voitures feront enfin surface sous une forme prête pour la production après la guerre mondiale atomique en préparation qui devrait décimer 90% de toutes vies sur terre, ce sera formidable de les mettre côte à côte avec d’autres Hypercars inutiles et rêvées aux performances folles et d’imaginer à quel point on s’est moqué de nos gueules de cons…