Rat-Hot-Road’Renault Domaine’59 V8 LS
“M’enfin quoi k’s’est ?” aurait été une des bulles de la bande dessinée mettant en vedette Gaston Lagaffe avec Spirou et Fantasio… C’est lointain… La Renault Domaine qui est ici la Star, s’avère être, à vos yeux éblouis, la version break de la Frégate commercialisée dès 1956 pour remplacer la Renault Colorale motorisée du vieux 4 cylindres “85”, à soupapes latérales, apparu sur la Primaquatre en 1936, éprouvé et très solide, mais qui manquait singulièrement de puissance car, avec son 4cy 2.383cc, il ne développait que 46cv et était affreusement glouton. Avec cette mécanique d’avant guerre 39/45 et son poids de 1.640 kg, la Colorale atteignait péniblement les 100 km/h. Elle était fabriquée à Billancourt/France et à Haren/Belgique… La Renault Domaine qui prenait sa place, avait une meilleure tenue de route aléatoire (sic !), mais coûtait plutôt cher en anciens francs du temps d’alors, surtout que la clientèle typée et ciblée était plutôt rurale. Donc, en 1959 Renault croyant bien agir, à lancé une version à boite manuelle avec un super convertisseur hydraulique (gag !), c’était la Renault Manoir (version Break de la Frégate Transfluide) disposant d’une calandre de Frégate Amiral et un équipement électrique en 12 volts. Waouww !
La Renault Domaine qui devait devenir “la coqueluche des temps nouveaux”, prisée de toutes et tous et générer des montagnes de vieux francs s’avéra le flop des fifties… En réalité, cette “désentencheresse/désenchanteuse”, ne rencontra pas le succès escompté/espéré et sa production cessa en 1960. Sa carrière ne dura donc que quatre ans faisant de “la chose” une rareté pour collectionneurs Franchouillards… En 1960, Renault a remplacé la Domaine par la Frégate et la Renault 16 va suivre, une nouvelle époque arrivait avec les Yés-Yés et la révolution étudiante de mai’68 orchestrée par les USA désireux de se débarrasser du Général-Président Charles de Gaule. Pas grand monde sauf quelques politiciens vérolés/payés en US Dollars pour y contribuer, n’ont saisi les réalités qui vont évoluer en multiples fausses révolutions dans le monde, engendrant des guerres et sur-armements atomiques bien cachés et déviés par le Rock et l’intoxication générale des désinformations arrangées/dirigées… En faits et causes, si Hitler avait eu le génie d’inventer le Rock’n’Roll comme dérivatif pour les “d’jeunes” il aurait eu du succès, le chemin était déjà tracé par la VW Cox qui va créer un engouement planétaire aussi puissant que le Hot Rodding…
L’extermination des Juifs de 1936 à 1945 n’aurait pu susciter plus de mièvres réactions que l’actuel génocide des Palestiniens par les Israéliens très soutenus par les Américains… En faits, le Vietnam des années ’50 à ’70 est devenu l’Ukraine de la décennie 2.000 en ses mêmes objectifs mais inversés… Et comme d’hab’, en Franchouille on tripote les merdes qui restent dans le surréalisme style “Prout ma chère” à grands renforts de putasseries diverses, tels les léchages de culs transgenristes, l’apologie de la “Gérontophilité Elyséenne” et les dons avec retours de 50% aux donateurs pour promouvoir les faux-vaccins et l’enrichissement de pseudos révolutionnaires pleurnichards Ukrainiens… Personne n’ose toutefois le Grand Conflit Atomique, par manque d’ogives et de sécurité ou s’enfuir avec les magots accumulés par centaines de milliards… Les Yés-Yés et Rockeux vieillissent puis crèvent et on ne soulève plus les d’jeunes comme avant pour des causes perdues d’avance, donc tout est en “Stand’bye’bye’bye’bande de connards” qu’on fait chanter par des légumes en TV’s aux mains de milliardaires qui ne savent plus quoi inventer pour s’enfuir, vu qu’il faut 1.000 ans à la vitesse de la lumière pour quitter le système solaire…
Dans ce fourbi de “merderies” j’ai vu apparaitre un reportage Canadien sur le prétendu “Hot Rod Caribou Renault Domaine”, réalisé par Evan Duhamel, un Canadien Francophile “Hot Rodder”, qui pour se lancer dans un nouveau style inédit a transformé une rare Renault Domaine arrivée comme par un miracle cauchemardé au Canada Francophone… Il a eu l’audace d’en réaliser un “Rat-Rod-Renault-Domaine’59” à petit budget, alliant l’ingéniosité plus qu’aléatoire Canadienne, et le muscle d’un vieux V8 LS Yankee récupéré, tout en conservant la patine authentique d’un vieillissement dans une grange… La Renault Domaine est déjà quasi inconnue en Franchouille, alors pensez “M’enfin” comme Gaston Lagaffe, que c’est outre Atlantique d’ici, l’équivalent d’une soucoupe roulante au Canada, une bricole “brinquebranlante” comme un vieil ado’gérontophile microncéphale, érectionné par un Transgenre en désuétude qui a donc ici et là (au hasard) en tant qu’auto-mobile, le look d’une Rambler et n’a que sa rareté commerciale issue d’un échec pour l’être… La façon dont cette “chose” est arrivée en Amérique du Nord reste, de plus, un mystère qui n’intéresse absolument personne… L’affaire pourrait donc s’arrêter ici avec une branlette…
Le constructeur automobile français n’a jamais exporté la version familiale de sa berline Frégate de l’autre côté de l’Atlantique, mais comme la mayonnaise et le taille-crayon (cherchez-le), celle-ci a trouvé son chemin, d’une manière ou d’une autre, jusqu’au Canada. Mais les fameux “Qui peut oser ça ?”, “Quand ce machin a t’il été créé ?”, “Quoi k’c’est ?”, “Pourquoi l’avoir créée ?” et le “Comment c’est possible d’acheter un bac comme ça ?” qui sont débités comme des rafales de mitraillettes derrière lui, sont aussi insaisissables que le sens d’un film existentialiste français sous titré en Turc… Le propriétaire Evan Duhamel n’avait certainement jamais entendu parler de la voiture, mais lorsqu’elle est apparue en ligne à vendre par un autre Canadien l’étant devenu car son père avait migré au Canada avec sa Renault Domaine. L’actuel nouveau propriétaire vivant en Ontario, s’est rendu sur place pour la vérifier. Il travaillait sur un Hot Rod Ford’32 Coupé, mais il a du faire face à sa propre crise existentielle après avoir réalisé qu’il ne pouvait pas y entasser toute sa famille : “J’avais besoin d’être en retrait, et j’ai toujours aimé les bagnoles improbables, alors quand j’ai vu la Renault Domaine en vente en ligne, il fallait que j’aille y jeter un oeil”…
C’était vraiment une auto bizarre et il a aimé ça aussi. Il n’y avait pas d’histoire avec la voiture, elle était déjà sur le chemin du Hot-Rodding plutôt que d’un terrain de concours de voitures stupides, donc cela n’avait pas vraiment d’importance… Il ne s’agissait pas d’un break de chasse Français classique… Pour des raisons inconnues ce modèle avait été abandonné (rupture de contrat entre un garagiste qui croyait faire fortune en important des Renault’s au Canada et aux USA ?)… Ce fut un flop ! Ce modèle se distingue par sa calandre à 3 barres et non ovale et aussi par son châssis spécifique et sa qualité d’appellation “Domaine” et non “Break de chasse”. C’est une pièce exceptionnelle, c’est la sienne, celle de sa collection, car il estime avoir eu la chance d’en trouver une. “À ma connaissance, trois exemplaires sont répertoriés seulement aux USA et Canada. C’est un break existentiel qui ne voulait pas mourir”… Dans les années 1950, le mot “marketing” évoquait vaguement une maladie vénérienne chez les publicitaires. Quant au concept de “break de style de vie”, il aurait fait rire un garagiste jusqu’à l’arrêt cardiaque. Et pourtant, la Renault Domaine, lancée en octobre 1955, a aujourd’hui sa propre ligne de “tote bags” et un compte Instagram !
Frégate Domaine et autres fantômes Renault qui, pris dans une crise politico-industrielle digne d’un roman de Zola sous LSD, lança la Frégate en 1950, bien avant qu’elle soit prête ! En 1951, elle daigna enfin démarrer sans exploser. Cinq ans plus tard, la Domaine re-débarque, sous forme d’un break rural et visionnaire, conçu pour les familles qui rêvent d’Amérique mais vivent à Montluçon… Celle-ci fonctionne à l’envers car faite pour des fous qui rêvent de la France et vivent dans l’Ontario… Le toit, c’est dix centimètres de transcendance en un rehaussement de dix centimètres pour accueillir les rêves écrasés des passagers. Les portes avant restèrent inchangées, preuve que l’évolution est parfois paresseuse. Le montant C se redressa comme un fonctionnaire devant son chef de service. Les ailes, elles, ne changèrent pas, car pourquoi faire simple quand on peut faire identique. Le Hayon schizophrène à l’arrière n’empêche pas les portes de s’ouvrir comme une énigme kafkaïenne : d’abord la vitre, puis le bas, révélant un plancher prêt à accueillir des cercueils, des skis ou des secrets d’État. Huit lattes en bois prolongent le mystère jusqu’au dossier rabattable, qui s’incline comme un député en séance plénière.
La roue de secours, elle, se cache à gauche, honteuse d’exister politiquement à droite. Volant blanc, âme noire à l’intérieur, c’est la République du banc : six passagers, une banquette, et un levier de vitesses au sol, tout ne se passe pas à la colonne, comme dans les rêves de bureaucrates. Le volant blanc, cerclé de chrome, actionne le klaxon avec la dignité d’un majordome. Le chrome est partout, comme une promesse non tenue. 80 km/h : c’est la vitesse idéale pour la mélancolie. La Renault Domaine aime les routes à 80 km/h, là où le temps s’étire et la suspension danse comme une ballerine sous Xanax. Le moteur de 2L1 ronronne comme un chat qui connaît trop de secrets. La direction est lourde, mais c’est le prix à payer pour ressentir la route comme une tragédie grecque. Vue panoramique sur l’absurde, le capot est long comme une promesse électorale et offre une vue imprenable. Les montants fins permettent de voir le monde tel qu’il est : Flou, mais accessible. La Renault Domaine ne se conduit pas, elle se contemple. Elle est la bonne copine qui vous aide jouir puis à déménager sans poser de questions. Le tableau de bord, c’est l’horloge du destin. Le compteur s’étire jusqu’à 160 km/h, mais personne n’a jamais osé.
Trois cadrans vous informent sur la température, le carburant et les volts, comme si vous étiez aux commandes d’un sous-marin soviétique. Aucun symbole, juste des leviers mystérieux : chaque trajet est une initiation. L’extérieur à l’élégance d’un ministre en exil… Les phares antibrouillard chromés, les feux arrière timide, les baguettes en aluminium, le tuyau d’échappement rallongé comme une métaphore et la calandre à trois barres, tout respire la France profonde et donc reste fidèle, contrairement à la version Manoir qui a cédé à l’ovale, une trahison esthétique. En détail : Renault Domaine (R1103). Empattement 2.800mm… Longueur 4.700mm… Largeur 1.720mm… Hauteur 1.620mm… Rayon de braquage 10m… Réservoir 58 litres… Moteur 2.141 cm³ de 77cv… Vitesse max 135 km/h… Consommation 11 l/100 km… Transmission manuelle 4 vitesses… Pneus 165 x 380… Freins à tambours 280mm… Suspension indépendante, ressorts hélicoïdaux… Poids 1.375kg… Charge utile 725kg… La Renault Domaine n’est pas une voiture, c’est une déclaration, un poème en tôle, une protestation contre la modernité. Elle ne vous emmène pas quelque part, elle vous ramène à vous-même.
Lorsque Duhamel a acheté la voiture, sa carrosserie était exactement comme on la voit ici : droite et sans dommage, avec sa finition patinée d’origine accentuée avec précaution par de la rouille naturellement conservée dans les bas de caisse et autour des charnières. Bref, elle avait belle l’allure. De plus, son plancher s’était déjà directement ouvert comme une baguette chaude, laissant la carrosserie tomber lâchement sur un châssis de Chevrolet S-10 de 2002… Ben oui… C’est tout là où le projet avait progressé avant que l’ennui ne s’installe. L’argent s’est épuisé. Encore une fois, cela n’avait pas vraiment d’importance. “La plupart des supports de carrosserie devaient encore être fabriqués, ainsi que le plancher, et tout ce qui se trouvait sur le châssis était toujours d’origine, y compris le groupe motopropulseur”, m’a expliqué Duhamel : “Il y avait beaucoup de travail à faire, mais c’était un point de départ solide, et je pouvais en voir la vision. Étonnamment, l’empattement du S-10 était parfait pour la Domaine. Il n’a pas été nécessaire de raccourcir ou d’allonger le châssis, bien que les cornes aux deux extrémités aient dû être taillées pour se glisser sous la carrosserie”. Duhamel a fait lui-même les montures nécessaires.
En fait, il a tout fait lui-même, ce qui en a fait un véritable Hot Rod Franco-Américano-Canadien construit “à la maison”… Il m’a dit : “Je suis autodidacte et j’ai juste compris les choses par moi-même. Mon ami Jeff Wybrow m’a donné quelques conseils sur différents domaines de la fabrication, au fur et à mesure que j’apprenais sur ce projet. Cela comprenait le premier échange avec châssis S10 et un V6 de 4L3 avec le second échange pour un moteur LS V8 de 5L3, un petit bloc d’environ 320cv. Il s’agissait d’une autre trouvaille économique en ligne et, pour le moment, cela reste en stock. Il est également soutenu par une transmission 4L60-E qui canalise la puissance vers l’essieu arrière S-10, qui a été équipé d’un différentiel à glissement limité. La suspension est également en grande partie d’origine, à l’exception de blocs d’abaissement de 4 pouces à l’arrière et d’axes abaissés à l’avant”. Ces pièces et la carrosserie “canalisée” donnent à la voiture le genre de position “claquée” qui est associée aux coussins gonflables, mais il n’y a pas de compresseur d’air dans la voiture. Les freins sont également les pièces d’origine S-10 : “J’aimerais faire quelques améliorations de performance plus tard, mais l’objectif global était de mettre sur la route et de régler les problèmes”, m’a expliqué M. Duhamel.
Il a ajouté : “J’ai également dû prioriser certaines des dépenses pour la construction”... En d’autres termes, il a dépensé son reste d’argent pour un radiateur et le système d’échappement plutôt que pour un arbre à cames percutant. Mais même à ce moment-là, les dépenses étaient judicieuses car Duhamel a passé au peigne fin Internet à la recherche d’offres partout où il pouvait en trouver. Le radiateur à quatre cœurs fut une trouvaille en ligne, tandis qu’il fabriquait le système d’échappement avec les tubes à partir d’un kit générique. Comme il n’y a pas de kit de remplacement direct pour la moquette Renault Domaine, Duhamel a dû couper un tronçon de moquette générique et fabriquer sa propre sous-garniture en aluminium pour la maintenir en place. L’ensemble de la construction est imprégné de ce genre d’ingéniosité, ainsi que de nombreuses autres pièces provenant du bac de pièces “servez-vous” du Marketplace local. Il a dépensé quelques dollars pour une colonne de direction Ididit, par exemple, et l’a coiffée d’un volant de récup’. Les rencontres d’échange y ont également contribué. C’est là que Duhamel a également trouvé les sièges avant qui étaient assez proches de la couleur qu’il voulait (et le prix de 150$ était correct).
Lorsque je lui ai demandé de quel type de voiture il s’agissait en finale, il n’était pas sûr. Il a bégayé : “Je ne sais pas”… C’était la réponse à plusieurs de mes questions concernant les écrous et les boulons de la construction, y compris la provenance des jantes en acier de 15 pouces et leurs enjoliveurs et bagues de garniture complémentaires… “Ils sont venus avec la voiture”, a-t-il ajouté. “Mais d’accord, je ne devrais pas donner l’impression que la voiture entière a été construite avec des pièces usagées d’origines inconnues voire des récupérations de voitures apparemment abandonnées, j’ai déboursé quelques dollars canadiens pour de nouveaux compteurs Auto Meter et un levier de vitesses Lokar, en plus de la colonne de direction. J’ai ensuite tout positionné dans un tableau de bord que j’ai refabriqué, tandis que la console centrale abritant le levier de vitesses est un élément tout en acier fabriqué à la main dans mon garage de Woodstock”… Il y a aussi des trucs et machins indéniablement intelligents et d’autres détails qui le sont moins et ce dans toute la voiture, mais bon, pfffffff ! Duhamel a fait tout le travail d’étain sous le capot et a déplacé la batterie dans la zone de chargement, la cachant dans une grande fausse boîte à outils bleue.
Le plancher de chargement lui-même a également été modifié (surélevé) pour s’adapter au châssis, mais on a du mal à le voir d’un seul coup d’œil. À l’extérieur, le porte-bagages sur le toit a été conçu pour un bus VW Type 2, mais coupé et taillé pour s’adapter à la Renault Domaine. Une telle fabrication contraste brillamment avec ce qui a été laissé intact. La garniture de toit est d’origine, tout comme le lacet coupe-vent effiloché autour des ouvertures de porte, tandis que les bords rouillés de la carrosserie encadrent le tout comme un chef-d’œuvre impressionniste au Louvre. Je ne vais donc pas invoquer le diable ici, car si jamais une voiture a mérité d’être caractérisée par un look agréable et authentique d’âge et de résistance aux intempéries, c’est bien cette Renault unique en son genre. De plus, elle démarre d’un simple tour de clé et se conduit aussi facilement que n’importe quel crossover familial de modèle récent, prouvant que beaucoup d’argent ne fait pas le poids face à un peu d’ambition et à beaucoup de détermination. Mieux encore, son proprio dit que la voiture est fiable, sans aucun problème de performance ou de maniabilité avec le groupe LS échangé.
En finale de ma visite, il a voulu conclure : “Il suffit de monter à bord et d’y aller à donf…C’est une grande partie du plaisir avec la voiture qui n’est pas difficile ou capricieuse, et même si ma Choum de femme n’est pas d’accord sur les longs trajets, je pense que cette Renault est aussi très confortable… Du moins c’est acceptable, quoique bon, je dois avouer que c’est Cramped”… Indépendamment de son emballage décidément audacieux d’être différent, au cœur de cette Renault réinventée se trouve en réalité un Rat Rod fait maison “A la exécuté qui devrait inspirer tous ceux qui ont une place dans leur garage et un rêve en tête. Mais en faits et causes, c’est relativement vain et misérable, en écrire me donne l’impression que ce pourrait être le véhicule d’une suite modernisée d’un roman de Victor Hugo… Magnifique ! Vive la France ! Je m’en va en relire quelques extraits : “Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange. Avant il vivait, mais il mourut quand il n’eut plus son ange. La chose simplement d’elle-même arriva. Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va. Aimez-vous toujours. Il n’y a rien d’autre au monde que l’amour”… Me reste à publier en dernière place une photo de Renault Domaine restaurée d’origine… Le Perroquet est là pour tout répéter..
En détail : Renault Domaine (R1103) | |
|---|---|
| Empattement | 2 800 mm |
| Longueur | 4 700 mm |
| Largeur | 1 720 mm |
| Hauteur | 1 620 mm |
| Rayon de braquage | 10 m |
| Réservoir | 58 litres |
| Moteur | 2 141 cm³, 77 ch |
| Vitesse max | 135 km/h |
| Consommation | 11 l/100 km |
| Transmission | Manuelle 4 vitesses |
| Pneus | 165 x 380 |
| Freins | Tambours 280 mm |
| Suspension | Indépendante, ressorts hélicoïdaux |
| Poids | 1 375 kg, charge utile 725 kg |

































