Hot Rod A + : 58.000€
Le relatif intérêt que mérite ce Hot Rod, va sans nul doute définitivement échapper aux masses populaires abruties par l’excès de Foot et aussi de Fakes-News continuelles concernant l’Ukraine, la Russie et Israël/Palestine. Les sautes d’humeurs des présentateurs ainsi que des politiques, ne font, de plus, qu’abrutir les dégénérés qui s’évertuent à s’y intéresser, ce qui apporte la preuve démonstrative que les populations lobotomisées (et particulièrement la tranche des miséreux) versent irrémédiablement vers le néant qu’est le puits sans fond de la bêtise humaine…
En effet, accrocs aux divers plans-produits consuméristes rabâchés continuellement, le mauvais sens caractéristique de la franchouillardise se noie dans la non-évolution des populations, ce qui amène nos élites pensantes à estimer que l’écroulement intellectuel général pousse le peuple à s’aventurer sur des chemins hostiles… L’évidence est qu’effectivement, irrémédiablement, nos contrées sont de plus en plus re-peuplées de péquenauds s’estimant n’être que des Cochons-payeurs… Est-ce de plus, pour rester dans le sujet, un progrès fondamental qu’avoir le droit le droit de s’exhiber en “Hot Rod” ?
Les bureaux d’étude devant réagir à la déglingue généralisée, planchaient alors sur des prototypes révolutionnaires allant dans ce nouveau sens, s’avérant moins coûteux à produire (raison pour laquelle les Pontifes Européens avaient élaborés une désorganisation programmée sous forme d’une auto-annexion de l’Ukraine à l’idéal fantasmé d’une Europe reconstruite sur les mêmes principes que le nazisme, mais en version plus “soft-power” d’apparence). Certains politiques illuminés par les vertus hallucinées du Transgérisme-Gérontophile auraient même découvert des vertus aux vices les plus abjects…
Cette science aurait révélé que le meilleur rapport sexuel entre économies d’énergies, performances sexuelles déviantes et l’esthétique de la laideur, résidait dans l’abaissement du centre de gravité général… C’est une théorie Science-Fictionnelle amenant à un tel point, qu’à force de perdre de la hauteur, il se pourrait bien que les créations actuelles de “Demain”, ressemblent dangereusement aux plus ordinaires des solutions sectaires paraissant ringardes. Las ! L’allure trop fluette annihilerait toute crédibilité aux théories avancées. Ce serait trop vite oublier l’indispensable à la jungle humaine.
Pour le pire et rien que le pire, le retour du tuning (ou bolidage selon la recommandation jamais suivie de l’Académie française) n’en finit plus de tutoyer le grotesque. Pour les “Ceusses” qui resteraient encore insensibles aux pasticheries, rappelons que cette forme primitive d’expression culturelle consiste à se rendre ridicule avec le plus mauvais goût possible. Il faut saluer ici une imagination débordante dans la “grotesquification” générale… Après le massacre des populations (qui aurait du être un génocide calculé) avec les faux vaccins d’un Virus inventé en laboratoire, ce piège, se cherchait de nouvelles victimes.
Et ce, y compris parmi celles que l’on croyait définitivement immunisées. Flonflons et confettis dans l’arrière-cour, on a ressorti les vieilles gloires et exhibé la fierté des grands jours. Une énième fois, nos Gouvernements corrompus, nous ont refait la cérémonie du grand retour sur base de la philanthropie obligée. Mais qu’on se le dise, et surtout, que l’on s’en persuade, l’horreur et l’abject renaissent une nouvelle fois de leurs cendres. Comme si la liquidation n’avait jamais eu lieu, les symboles de l’anéantissement d’un monde dont l’interminable agonie fait à nouveau le bonheur des chefs…
On sauve les apparences à force de confettis et de banderoles… Tout avait à ce point sombré ces dernières temps qu’on devait douter (fort) de l’ampleur fracassante de l’évènement imaginé en dehors du cercle des dévots, d’autant que les formes datées ne sont plus de toute première fraîcheur dans un segment très sensible aux effets de mode. Mais qu’importe les sarcasmes des cyniques, la directive Européenne est de s’autoriser toutes les espérances en attendant la prochaine banqueroute. Karim Benalou se souvient du jour où il a regardé pour la première fois les phares sombres de ce Hot Rod type A…
“J’étais aux USA cherchant l’inspiration auprès des plus grands constructeurs de Hot Rod’s, et chez Gene Winfield (qui jusqu’à son décès le 4 mars 2025 était le dernier survivant de la grande époque du Kustom), je me suis retrouvé dans une oasis perdue, balayée par le vent, située au centre d’une zone déglinguée à environ 90 miles au nord d’Hollywood, le long d’un tronçon de l’ancienne Sierra Highway, juste au-delà de la ville poussiéreuse de Rosamond. Je me suis arrêté dans son atelier automobile presque effondré, en stuc battu par le soleil entouré d’une clôture en acier destinée à éloigner les coyotes et lui ai offert un rare magazine ChromesFlammes”.
“J’ai reçu en retour de sa part, un tuyau à propos d’une Deuce abandonnée dans un vieil entrepôt. Heureusement, j’ai pris l’initiative de la rechercher. Ce fut la luxure au premier regard. Il ne m’a pas fallu longtemps pour conclure un accord d’achat sur la Ford négligée. Plus tard, mon ami Rich Conklin m’a aidé à extraire le véhicule de son trou-à-rats… À partir de là, a été entamé le processus de transformation du tas abandonné depuis longtemps. Exporté en Belgique Il est devenu un Hot Rod sauvage qui résiste à l’épreuve du temps et s’est avéré être le signal attendu car il s’est révélé devenir un Hot Rod emblématique de la Kustom-Kulture”…
Habituellement, j’ignore les commentaires qui font allusion à des sentiments d’avertissement, mais alors que le grondement du FlatHead V8 métal sur métal m’ensorcèle, j’ai du mal à étouffer les souhaits de chance et de courage qu’on m’a prodigué. Il s’avère que je suis certes à 4 ans d’avoir 80 ans dont 50 ans passés en Europe et aux USA à éditer mes magazines dont ChromesFlammes m’amusant à faire le “Ouf” de piloter/conduire toutes sortes d’engins apocalyptiques que me confient des fanatiques lecteurs/lectrices/internautes qui me vouent un culte s’apparentant à celui d’un Gourou es-automobiles.
Affalé pour atteindre les pédales tout en étant suffisamment droit pour voir par-dessus le volant, je me fraye à bord de ce Hot Rod découvert par Karim Benalou ami de 50 années de folies, un chemin à travers la campagne, dans la nature sauvage de la Belgitude ou sévit et demeure Karim et sa famille… Le Flathead V8 m’appelle. Deux grands nids-de-poule apparus soudain ne bloquent pas ma chevauchée vers le monde libre, et, compte tenu de mes défis verticaux, de la garde au sol négligeable de la voiture, de son manque de capot, l’instinct et l’intuition sont les seuls sens sur lesquels je peux compter.
Sur le papier, rien ne dit que ce Hot Rod devrait être dangereux. Ses 400cv par rapport aux supercars modernes de 1.000cv sont chétifs, certes, mais, aligné à un feu rouge, mon mollet gauche commence à brûler à force d’enfoncer l’embrayage avec juste mes orteils avant que les feux ne changent.J’ai l’impression d’être au feu de l’arbre de Noël sur la ligne de départ d’une piste d’accélération. Lorsque la lumière ambrée apparaît, le Hot Rod s’élance comme une fusée. Je renonce à la responsabilité du pilotage, je ne suis plus maître de mon destin ; Je suis à la merci de cette machine infernale qui gronde comme un fauve.
Tout Hot Rod est la vision d’une nouvelle voiture de sport à deux places qui vise à incarner l’esprit de la liberté. Un Hot Rod c’est tout ce dont on a besoin pour survivre dans notre monde de cinglés, avec une ingénierie et un style simples, un bon gros et simple V8 et une transmission manuelle. Le président et chef de la direction de Dodge/Plymouh/Chrysler l’a bien compris et créant le Prowler qui malheureusement ne disposait que d’un 6 cylindre japonais… Lee Iacocca qui a aidé à sauver Chrysler à la fin des années 1970 était un autre joueur clé du groupe de développement Team Viper.
En 1989, le premier concept de Viper a été dévoilé au Salon international de l’auto d’Amérique du Nord, l’approbation a été donnée en 1990 et la production a commencé en 1992. Parce que Chrysler se concentrait sur la création de valeur et la production de voitures aussi bon marché que possible pour faire face à d’autres difficultés financières à la suite d’une dure récession, sa nouvelle voiture de sport halo devait être excitante, mais basique. Gale avait déjà travaillé sur la Plymouth Barracuda et la Dodge Challenger, ce n’était donc pas son premier rodéo. La Cobra a sans aucun doute eu une grande influence…
Mais il en va de même pour les icônes similaires à long capot des années soixante. Pendant le développement de la Viper, Chrysler possédait toujours Lamborghini, et l’équipe d’ingénieurs italiens a examiné un prototype de moteur dérivé de l’unité de la série “LA” de Dodge, suggérant une conversion en aluminium pour gagner du poids, avec des pièces moulées modifiées et des pièces usinées. Le développement final du V10 de 8,0 litres a été développé sur ordinateur en interne chez Chrysler, et avec l’actionnement des soupapes à tige de poussée et seulement deux soupapes par cylindre, puissance de 50cv/L
Pas de serpent dans l’herbe, mais des références serpentines partout.. Arrêté à un carrefour, et avec ma main gauche serrée autour du volant, le pied droit en équilibre et les yeux fixés sur la route devant moi, je suis prêt à foncer dans ce Hot Rod. Alors que je suis sur le point de lever l’embrayage et d’appuyer de manière spectaculaire sur la pédale d’accélérateur, ma concentration est brisée. Un éclair de cheveux multicolores traverse à côté de moi. Une Steam-Punk m’implore de la prendre (sic) d’abord comme passagère, plus si affinités… Les bras agités sauvagement dans les airs, elle forme un cœur avec ses mains.
C’est tout l’encouragement dont j’ai besoin pour créer du spectacle via une démonstration visuelle de force, je fonce à 120km/h en une fraction de seconde. D’un mouvement de pied, l’échappement rugit et la voiture dévore la route. Le couple brutal est pleinement démontré dès le départ. Le Hot Rod est au delà de la limite du patinage des roues arrière et sans pneus massifs et à cause de ma retenue, il ne part pas à toute vitesse avant même d’avoir trouvé la moindre adhérence. Le maintenir sur la route est un exercice physique complet, il exige les deux mains sur le volant. Terrifiant
Ce n’est pas qu’il a besoin d’une correction constante, mais plutôt qu’il souhaite être fermement maintenu en ligne droite pour amortir les irrégularités de la route. Même sans sa capote targa, la structure est incroyablement rigide. Pour les routes lisses et les virages serrés, c’est idéal, mais les routes secondaires ajoutent une complexité supplémentaire à une situation déjà difficile. La deuxième vitesse me plaque au sol et ce n’est qu’à 96 km/h que j’envisage de passer en troisième, principalement pour atténuer le bruit du moteur. Les échappements rendent impossible de manquer le V8 aussi assourdissant qu’une Cobra.
Mais rester à haut régime plus longtemps que nécessaire risque de me priver d’audition. Malgré le masochisme inhérent, c’est un plaisir incomparable. Alors que le Hot Rod franchit le sommet de la côte, je passe la quatrième vitesse pour laisser mes autres sens me dire ce qui se passe. Les yeux plissés et les cils au vent, je réalise que ma mâchoire est restée bloquée depuis le début. L’ouvrant doucement, j’ai enfin le temps d’apercevoir l’intérieur et de rire à gorge déployée. C’est peut-être la définition même de la bêtise, mais c’est quelque chose que j’ai envie de refaire. Et encore. Et encore.
L’une des qualités les plus attachantes de ce Hot Rod est peut-être sa capacité à être conduit comme s’il n’allait pas me tuer. Il y a une dualité étonnante : si on est doux, elle peut sillonner les routes comme si le V8 ne ronronnait pas. À grande vitesse, il n’est pas non plus aussi frénétique qu’on pourrait le croire. Cette personnalité à la Jekyll et Hyde est infiniment cool. Même si ce Hot Rod peut se comporter parfaitement bien, c’est comme si un diable était assis sur mon épaule. Alors que la voiture atteint le sommet de la côte, je passe la quatrième vitesse pour laisser mes autres sens me dire ce qui se passe.
8 PHOTOS DU HOT ROD BLEU AVEC FLAMMES EN ATTENTE
Les yeux plissés et les cils au vent, je réalise que ma mâchoire est restée bloquée depuis le début. L’ouvrant doucement, j’ai enfin le temps de jeter un coup d’œil à l’intérieur et de ricaner. C’est peut-être la définition même de la bêtise, mais c’est quelque chose que j’ai envie de refaire. Et encore. Et encore. L’une de ses qualités les plus attachantes est peut-être cette capacité à se conduire comme s’il n’allait pas me tuer. Il y a une dualité étonnante : si on est doux, il peut slalomer comme si le V8. À grande vitesse, elle n’est pas non plus aussi frénétique qu’on pourrait le croire.
8 PHOTOS DU HOT ROD BLEU AVEC FLAMMES EN ATTENTE
Cette personnalité à la Jekyll et Hyde est infiniment attirante. Même si la Viper peut être parfaitement sage, c’est comme si un diable était assis sur mon épaule. Soudain, d’un mouvement brusque du pied, l’échappement rugit et la voiture dévore à nouveau la route à une vitesse alarmante. La différence entre les rapports de la boîte est presque imperceptible, ce qui, au début, est un peu déconcertant. Cela oblige à faire abstraction de tout le reste et à me concentrer. La première pourrait être la troisième, la deuxième et la quatrième semblent identiques, et il n’y a pas de cinquième en laquelle avoir confiance.
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Un coup d’œil au levier de vitesses ne révèle aucun repère de changement de vitesse. L’accélérateur est un allié bien plus efficace, et si les freins ne paraissent pas très puissants au départ, s’ils étaient plus puissants, la voiture risquerait de perdre mon sang-froid, mais avec un équilibre de poids avant-arrière de 49/50, le poids est presque parfaitement équilibré sur les essieux. Après environ une demi-heure, j’ai l’impression de ne faire qu’un avec le Hot Rod, les changements de vitesse sont généralement fluides et toute préoccupation intrusive a été remplacée par une curiosité malicieuse.
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Malgré son aspect, il est assez facile à placer, mais il faut garder une prise ferme sur le volant car il se déplace avec presque trop de retour sur le tarmac rugueux. Certaines voitures puissantes montrent clairement dès le départ que vous allez opérer des montagnes russes à faire fondre le visage, mais ce Hot Rod se glisse sur moi avant que je ne réalise ce qui se passe. L’absence de fonctionnalités signifie l’absence de boutons. Ce Hot Rod est en substance le rêve ! Les gens en sont fous, me jetant presque de l’argent comme un acompte. Même que des célébrités ont essayé de me soudoyer pour s’inscrire sur ma liste…
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Ce Hot Rod crée le buzz autour de moi grâce à un style scandaleux pour une somme relativement modique de 55.000€. Aux USA obtenir un même coute proche de 80.000 voire 100.000, mais mais c’est une sacrée bagnole pour ce prix. Vous vous démarquerez à chaque concentration d’américaines.
Il faut être courageux, à la limite du déséquilibre neuronal pour en conduire un tous les jours, mais vous obtiendriez des plaisir et douleurs sexuelles inégalées. Voilà, c’est fini… Un sentiment de soulagement m’envahit. Je suis revenu en un seul morceau. Oui, ce monstre peut être conduit et apprécié…
En m’éloignant de la bête bleue enflammée qui se refroidit tranquillement, je me souviens des avertissements prudents que j’ai reçus avant de partir. Chacun d’entre eux était parfaitement valable, mais aucun n’était assez sérieux pour exprimer à la fois le danger considérable et la joie incomparable de conduire cette folie venimeuse qui attire une incroyable faune de beautés suaves, vénéneuses et carnassières du genre et style qui remplissent la section SecretsInterdits que je vous recommande car compris dans le montant de l’abonnement qui n’est que d’1 euro…
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