Hot Rod “Tendance 2025” Chrysler Royal Eight 1933
Après des années d’émissions de télé-Fake-News Franchouilles pour noctambules qui mettaient l’Amérique au panthéon car le (très) vieux Joe offrait généreusement des billions de dollars au Clown Zeelensky, héros de l’Ukraine, le vent à tourné avec la nouvelle Amérique de Donald Trump qui, informé par son bras droit, Vance, qui le tenait d’une enquète FBI et CIA et autre, que les Présidents Européens recevaient la moitié des dons offerts dans un même système que celui mis au point par Ursula la Hyène Européenne pour les faux vaccins Covid rendus obligatoires… Waouwwww ! Du coup, Trump à sermonné Zeelensky venu spécialement à la Maison Blanche pour mendier (tapoter/pianoter Trump) de quelques milliards supplémentaires…
Quasiment jeté publiquement en TV, il est revenu en Europe pleurnicher avec sa sébile, en même temps que la France profonde comprenait que les 100 milliards donnés à l’Ukraine par Macronpoléon avaient créé un puits sans fond de dettes en France que les Français devaient combler… Sans remettre la corruption en cause, les mêmes laudatrices et laudateurs des émissions de Télé-Fake-News tournent casaque (un comble) et pourfendent l’Amérique qu’ils placent au pilori des “nazis”… Waouwwww ! L’esprit Américanophile de style “Rock’n’Rodder with Love” et “Viva Las Végas and dollars” assortis de commentaires quasi libidineux : “Les Américains vont mettre la patée aux Ruskoff’s”... devient pathétiquement : “Russia et Poutine sont des salauds”…
Mais aussi : “Zeelensky héros national de l’Ukraine”… Je regarde chaque soir pour pleurer de bonheur devant le spectacle le plus Putassier jamais réalisé depuis la tonte publique des cheveux des collaboratrices sexuelles Françaises suite au régime nazi en Franchouille… Il est devenu presque impossible de ne pas remarquer ces monstres et monstresses, comprenant même des Zamiraux et Généraux déchus ainsi que divers Traitres ex-communistes repentis de toutes les causes, qui font la morale pour 20.000 euros + faux frais par mois… Leur look rétro-Russe repentis s’affiche en superposition de conseils tactiques, un tout devenant la marque de fabrique de toutes les entreprises engagées dans la mise au point de Fake’news et de concours de crachotteries puantes…
J’ai édité mes magazines en Europe, dans les pays de l’Est, en Russie, ainsi qu’aux USA, sans soucis de lectorat (total mensuel de 500.000 exemplaires en 5 langues/édition), tous étaient fan’s du Kustomizing et du Hot Rodding. Maintenant que tout a évolué vers le numérique, mes web-sites sont mondiaux avec traduction automatique d’un logitiel et s’affichent à 200.000 abonnés, c’est dire que l’aspect politique et “pots-de-vin” m’insupporte. Mais les évènement politiques interfèrent malheureusement et tendent à tout déglinguer comme l’ont fait les guerres de religion au Moyen-âge… Tout semble y retourner, tout se déglingue et même mon voisin Bernard cause de partir aux USA ou tout ce barnum n’existe pas et ne va pas tout faire capoter…
Moment propice pour vous présenter ce que vous ignorer, un fait que tout le monde oublie, à savoir que les Hot rod’s précurseurs étaient les mêmes véhicules que les icônes de l’industrie automobile américaine, les célèbres Ford T puis B32 et autres, ont servi de base à la création des premiers Hot Rods… Un terme pas clair… Pour les jeunes de Californie qui, avant la Seconde Guerre mondiale, se rendaient dans les champs de sel pour chasser/découvrir une “chetyrehtsillindrovyh” Ford T, A ou B à récupérer, il n’y avait rien de tel. Dans les années 30 et 40 du siècle dernier, il est clair que ces automobiles étaient appelées “Gow-jobs” ou “Soup-ups”, voire “Throttle-Ups”. Définitions qui se sont diluées dans le titre “Hot Rod” qui était un des premier magazine de ce style.
Le terme “Hot Rod” signifiant un Roadster Chaud, est resté…. Mais assez parlé de sémantique. Les Ford T et plus tard les Ford A étaient des bases bon marché pour des petits budgets qui de plus ne nécessitaient pas de révision complexe. Comme les Hot-Rod’s ont peu à peu changé à la fois à l’extérieur et à l’intérieur, il faut se souvenir que les premiers étaient fabriqués à partir de matériaux de récupération (ou de vol) et que la plupart des détails de leurs créateurs étaient extraits des décharges et casses. L’idée principale de l’époque était : “Réduction de poids et augmentation de la vitesse de pointe”. Les Hot Rods étaient même privés du pare-brise. La nécessité de réduire le poids a entraîné la libération de tout, ne laissant qu’une boîte basique sur roues.
Une grande opportunité de mettre à niveau et d’augmenter la capacité du moteur est venue en cause du fameux Ford V8 Flathead (tête plate) en 1932 qui disposait d’un mécanisme de distribution vers les soupapes inférieures. Ce moteur et les voitures en disposant sont devenues populaires d’autant plus que la disponibilité du véhicule et du moteur ont été maintenues pendant longtemps, tandis que les voitures étaient améliorées, le plus souvent avec des carburateurs plus performants et un système d’échappement modifié permettant une plus grande puissance. En 1932 a été commercialisée la fameuse Ford modèle B, basée sur le nouveau châssis “Deuce” qui va devenir lentement mais sûrement un succès à l’aube de ses 40 ans et le reste à ce jour ou j’écris ceci.
C’est la réincarnation du concept Hot Rod. Après la Seconde Guerre mondiale, il y a eu trois développements majeurs, d’abord, le Hot Rodding est devenu un phénomène de masse florissant, augmentant l’adhésion de plus en plus de gens enthousiastes. De plus, la technologie utilisée pendant la guerre pouvait maintenant être utilisée pour le développement de nouveaux moteurs et de nouvelles technologies. Et le grand nombre de bases militaires non utilisées voire désaffectées pouvaient désormais être utilisées comme sites d’essai et de pistes pour les courses d’accélération… L’augmentation du nombre Hot Rod’s a créé le besoin d’organiser les usages sur route et sur pistes de dragsters. Dans le même temps, le rock’n’roll va s’emparer de l’Amérique…
Mais, c’est en se combinant parfaitement avec le mouvement du Hot Rodding, d’autant qu’Elvis Presley s’affichera plus tard en Hot Rod dans un film de même que les Beach’Boy’s dans leurs chansons popularisées en Télévision naissante… La première exposition de Hot Rod’s s’était tenue en 1948 à Los Angeles. L’événement a marqué la sortie du nouveau magazine qui était le vol du magazine Throttle, une idée originale de son créateur en 1949 qui va s’achever avec Pearl Harbor en 1941… Le publiciste américain Robert Petersen à récupéré l’affaire après guerre en prétendant que c’était une idée de son frère portant le même nom… Un show a été créé, à attiré 10.000 personnes et a lavé les vraies origines du Hot Rodding…
Ce fut quasi pareil en France quand j’ai créé Chromes&Flammes et que le Groupe Michel Hommel m’a copié et tentant de m’éliminer… En 1951 a été fondée la National Hot Rod Association (NHRA), de sorte que des courses de dragsters ont été organisées pour remplacer les courses de rue illégales. Dans les années 1960, le mouvement Hot Rod va commencer à s’estomper, tué par ce que l’on appelle : les “Pony-Car’s. Avec la création de Chromes&Flammes à la fin des seventies, également diffusé mondialement, le Kustomizing et le Hot Rodding ont recommencé à se développer en Europe, ce qui a ré-enclencher le mouvement aux États-Unis. Seulement, cette fois, le caractère était différent. Les Hot Rods étant créés aux USA par des Américains avec des revenus…
Ceux-ci sont pour une part (loisirs) investis dans la création de loisirs entièrement différents, dont les Kustom’s et Hot Rod’s. Aujourd’hui, il n’y a plus de limite, un Hot Rod doit être le plus puissant et pourtant le plus beau. La création de Hot Rod’s sont l’œuvre de garages spécialisés. Depuis le milieu du 20ème siècle, les courses de dragsters génèrent des bénéfices de plusieurs millions de dollars, qui proviennent de la publicité et de la couverture continue des courses de Dragsters à la télévision et cela a ramené la construction de Hot Rod’s extraordinaires qui diffèrent également des tendances habituelles. En voici un exemple, qui tend vers le grand luxe, car plutôt qu’une carrosserie de Ford T, A ou B certains veulent utiliser une ancienne de prestige…
Telle est la Chrysler Royal 8 de 1933 qui illustre cet article… L’idée est simple :“Plutôt qu’utiliser une Ford populaire, prendre un marque de prestige permet de se distancer de la masse”... Cette Chrysler Royal 8 1933 est comme une Pierce Arrow ou une Cadillac voire une Lincoln, donc autant prendre cette base pour créer un Hot Rod “classieux”… CQFD… Avec une carrosserie entièrement en acier d’origine cette Chrysler a débuté sa vie d’usage en Caroline du Sud. En 1961, elle a été complètement démontée et expédiée en Californie où elle est restée dans l’entrepôt de l’entreprise des anciens propriétaires pendant des années. Après avoir harcelé son partenaire commercial pendant des années pour qu’il lui vende la voiture, celle-ci est finalement entrée en sa possession…
C’était en 1989 et la voiture est restée en pièces et morceaux jusqu’en 1999, date à laquelle le propriétaire a prévu de faire une reconstruction complète “usine” qui a évolué en la création d’un Hot Rod de Grand luxe qui s’est achevé en 2004 et est resté depuis exposé dans le salon du manoir de son propriétaire. La seule modification apportée à cette version a été le remplacement du moteur en novembre 2015 par un B8 318 Magnum hyper préparé “construit pour être utilisé” qui a été magistralement assemblé par Jesse Robinson de SKMFX Engines à Alexandrea/Ontario/Canada. Le V8 318vi fonctionne avec de l’essence “pompe” à indice d’octane 87 et produit 359cv et 383 pi/lb de couple…
J’ai reçu toutes les feuilles de dyno sur le moteur que je ne publie pas, par manque de place et d’intérêt véritable… Un coffre verrouillable d’époque a été monté sur le porte-bagages “usine”. Les pinstriping ont été réalisés par “Mac the Knife”, l’un des premiers pinstripers du Nord-Est des USA. À propos de la voiture : Chrysler Royal 8 originale de 1933 tout en acier Cabriolet. Intérieur personnalisé et moteur A/C.318 Magnum, transmission électronique Mopar A-518 OverDrive. Freins à disques avec assistance aux 4 roues. La Pont/différentiel Ford 9″ en 3,91. Colonne de direction inclinable. Boîtier de tableau de bord Wabbit Classic Instruments. La voiture dispose d’un verrou de ligne d’échappement (commande électronique) permettant de rendre le flux non silencieux…
Pourquoi ? Mais c’est pour faire savoir aux gens (au peuple) que le Hot Rod arrive. Jantes de 15 pouces avec pneus 205/70/15 à l’avant et 255/65/15 à l’arrière. L’alternateur a été mis à niveau pour produire 110 ampères afin d’assurer un bon fonctionnement lorsque TOUTES les charges possibles fonctionnent (climatisation, lumières, pompe à carburant électrique, ventilateur électrique, etc.) Le coffre est un vestige des années 30 et les serrures fonctionnent toujours pour verrouiller les objets de valeur lors des sorties/spectacles nocturnes. À l’origine, la batterie se trouvait sous la voiture, mais a maintenant été déplacée derrière le siège arrière ou il y a également un espace de rangement supplémentaire.