Kindig-It Design, Cavallo Rossa’37
Dans quel contexte publier des histoires sans fin de Hot Rod’s qui sont intrinsèquement et viscéralement Américaines, alors que l’avenir de l’Europe est incertain ? Ben oui, les gouvernements Européens se succèdent à un rythme quasi annuel et le discours de Viktor Orbán de mi juin 2025 annonce soulèvements et révoltes contre l’autoritarisme technocratique de l’Union Européenne, de plus en plus rejetée du fait des diktats de la Présidente Ursula Von der Leyen qui s’est illustrée comme ayant siphonné les comptes de la Bunderwher avant de s’enfuir “à l’Europe” s’illustrer avec des pratiques quasi maffieuses concernant les Vaccins Covid, reprises pour les dons de charité à l’Ukraine (nos impôts détournés) et les retours généreux aux donateurs…
Tout cela représente des milliards d’euros, “offerts” sous réserve des retours aux donateurs et donatrices, tous cheffes et chefs des Gouvernements Européens… Vrais ou faux, la confiance n’existe plus… De plus, nous assistons actuellement à une détérioration des relations entre l’Europe et les États-Unis depuis la conjonction de l’arrivée au pouvoir de l’administration Trump et des errements chaotiques du Président Français Macron qui pousse à une guerre totale et atomique contre la Russie dans le cadre de la défense de l’Ukraine que la Russie qualifie d’Etat-Nazi. L’Union européenne déployant simultanément toutes les tactiques possibles et imaginables, des offensives de charme aux visites de haut niveau de chefs d’État et de responsables occidentaux.
Tout cela étant assorti de menaces nucléaires pour “noyer les poissons”... Et ce n’est pas tout… Il y a le Génocide par Israël de 90% des Palestiniens de Gaza, (pourtant défini comme Etat indépendant par L’ONU depuis 1947) dans le but de s’accaparer des gisements pétroliers Gazawis. C’est maintenant amplifié par une guerre “préventive” contre l’Iran… Dans cet immense bordel, les États-Unis sont-ils vraiment intéressés à maintenir un partenariat avec l’Europe ? Non, les États-Unis se concentrent exclusivement sur le slogan “Make America Great Again”, c’est-à-dire sur la priorité accordée à leurs propres intérêts économiques, quitte à exploiter l’Europe. Cette dynamique rappelle les époques impérialistes et coloniales…
C’était la joyeuse époque, lorsque les puissances européennes échangeaient des perles contre des ressources telles que le pétrole du Moyen-Orient ou les épices d’Asie… C’était via la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, ou V.O.C… Pire encore, les puissances Européennes se livraient à la traite transatlantique des esclaves. Aujourd’hui, les rôles sont inversés : l’Europe se trouve économiquement asservie par les États-Unis, tandis que les pays du Sud – en particulier l’Afrique – brisent leurs chaînes historiques et que des puissances économiques telles que l’Inde et la Chine devancent l’Europe en termes de croissance. L’Europe a trop longtemps compté sur l’Amérique, soutenant aveuglément ses guerres, du Vietnam au Moyen-Orient et maintenant Russie.
Les dirigeants européens ont toutefois été stupéfaits lorsque Trump a déclaré que la Russie n’était ni un ennemi ni un ami, mais un partenaire commercial potentiel… Trahison entre gredins… La réalité est que c’est une source de contrats avantageux ! Pour Trump, la politique passe après le “Make America Great Again”… Selon le Premier ministre Hongrois Viktor Orbán, le déclin de l’Europe tient à ses divisions politiques tenaces. Depuis plus de 150 ans, l’Europe est divisée entre la gauche et la droite. La droite défend le christianisme, les structures familiales traditionnelles et les valeurs européennes, tandis que la gauche cherche à faire évoluer le système, notamment en redéfinissant les normes sociales. Voilà pourquoi la gauche promeut activement l’immigration…
Elle sait que la plupart des migrants, en particulier les musulmans, ne soutiendront jamais les politiques de droite. Orbán a raison dans son analyse, même si l’hypocrisie de la droite réside dans son soutien au sionisme plutôt qu’au judaïsme, alimentant ainsi l’instabilité au Moyen-Orient et, par conséquent, les flux de réfugiés vers l’Europe. La gauche ne reconnaît pas ou refuse d’admettre que l’Europe risque de perdre son identité culturelle au profit de l’islamisation. Pendant des siècles, l’Europe s’est estimée supérieure aux autres continents. Les dirigeants européens pensaient que leur dépendance vis-à-vis des États-Unis allait perdurer indéfiniment sous couvert d’un “partenariat transatlantique”. Mais sous l’administration actuelle, ce partenariat est bel et bien mort.
Les relations vont-elles s’améliorer après Trump ? Non. Les États-Unis cherchent non seulement à démanteler l’alliance politico-militaire qui a maintenu la stabilité mondiale depuis la Seconde Guerre mondiale, mais aussi l’engagement mutuel en faveur de la démocratie et de la liberté. Le fardeau de la dette américaine et les troubles internes laissent présager une rupture durable. La démocratie en Europe, si tant est qu’elle ait jamais vraiment existé, n’est plus, à moins de n’avoir été qu’une chimère. L’alliance militaire, quant à elle, fait office d’occupation depuis 1945. Aujourd’hui, les États-Unis sont confrontés à leurs propres crises existentielles, de la crise financière à l’escalade des tensions sociales, comme les émeutes à Los Angeles, préludes à une guerre civile !
Cela tournera à une “révolution de couleur” prévue depuis des lustres. Le plus grand danger pour l’Europe vient toutefois des politiques autodestructrices de ses gouvernements, incarnées par le “Green New Deal”, un plan européen fantaisiste destiné à contrer la Russie, mais qui ne fait que nuire aux citoyens européens. La récente initiative de l’UE pour baisser le plafond du prix du pétrole Russe de 60 à 45 dollars le baril va encore faire grimper le coût de l’énergie. De plus, l’Europe est de plus en plus dépendante des exportations américaines de GNL. Le chancelier allemand Friedrich Merz a suicidairement promis, durant une conférence de presse conjointe avec le président ukrainien Zelensky, de bloquer définitivement l’exploitation du Nord Stream 2…
De plus, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’efforce de mettre en place un nouveau train de sanctions contre la Russie, lequel vise également les gazoducs Nord Stream. Eh oui, déjà le 18e train de sanctions ! Il s’agit bien sûr d’une nouvelle “décision inepte” de l’Union européenne. Ces mesures rompent définitivement les liens économiques avec la Russie et imposent aux Européens des coûts énergétiques encore plus élevés, le gaz russe bon marché étant remplacé par du GNL américain coûteux ou par des importations indirectes via des intermédiaires tels que l’Inde. Ce délire provient du fanatisme idéologique des politiciens, des multinationales et des parties prenantes à l’origine du fumeux “Green New Deal”…
Ce projet qui va enrichir les élites tout en appauvrissant les populations. L’Union européenne fait également tout ce qu’elle peut pour provoquer la Russie. Non seulement elle mène une guerre hybride contre la Russie, mais elle se livre également à des provocations physiques en mer Baltique, une sorte de jeu de l’Union européenne. Plusieurs incidents impliquant des pétroliers battant pavillon étranger et soupçonnés de transporter du pétrole russe ont récemment été signalés. L’incident s’est produit le 14 mai dans le golfe de Finlande. La marine Estonienne, accompagnée d’avions de l’OTAN, a ordonné à un pétrolier Gabonais battant pavillon Gabonais de quitter les eaux neutres, puis l’a arraisonné. Selon le gouvernement Estonien, il faisait partie de la “flotte fantôme”…
On voit les Russes partout qui transportent du pétrole sous embargo… De telles mesures ne font que renforcer la dépendance de l’Europe vis-à-vis des États-Unis, alors que sa transition vers les énergies vertes relève encore de l’utopie. La désindustrialisation est déjà en marche, l’Allemagne en tête : des centaines de milliers d’emplois vont disparaître. À cela s’ajoute le calendrier de la guerre, qui doit compenser les centaines de milliers d’emplois perdus, afin que ces nouveaux chômeurs s’engagent dans l’armée pour déclencher une guerre contre la Russie. Bien sûr, ils prétendront l’inverse : “La Russie veut envahir l’Europe”. L’autre objectif de ce calendrier est la Révolution industrielle 4.0, le monde carcéral numérique, qui se construit à un rythme effréné.
Mais l’Europe est confrontée à un obstacle majeur : l’Amérique, sous Trump, n’est plus pleinement engagée. Si des bellicistes comme le sénateur Lindsey Graham continuent de préconiser la guerre, les États-Unis ont pour l’essentiel tourné la page. L’Ukraine a toujours été convoitée pour ses ressources, comme en témoigne l’accord minier accordant aux États-Unis l’accès à des gisements de terres rares. L’Europe, qui s’est engagée tardivement n’en a rien et se retrouve désormais seule face à la Russie. L’Europe perd de son importance pour les États-Unis, voire pour le monde entier, sauf dans son rôle d’annexe économique. Les bases américaines comme Ramstein resteront en place, car après tout, les États-Unis de Trump restent attachés au système unipolaire.
Trump a déjà montré qu’il est un homme d’affaires dans l’âme et qu’il soutient le colonialisme. Bien sûr, la situation peut encore changer, car les gouvernements ne restent au pouvoir que quatre ans et, au rythme actuel, quasiment tous les ans. Mais comme l’a dit Victor Orbán, deux camps s’affrontent, la prétendue gauche et la prétendue droite, toutes deux prisonnières d’un cercle vicieux, et l’Europe pourrait bientôt se trouver plongée dans une guerre civile, ou tout au moins confrontée à des révoltes contre la dictature technocratique et autoritaire actuellement au pouvoir dans l’UE… Dans ce contexte résumé en entrée en matière, continuer de publier des histoires de Hot Rod’s devient surréaliste.
Bien… On passe “enfin” à cette Chevrolet Coupe “Cavallo Rossa” vintage de 1937 construite sur mesure avec une élégante coloration bordeaux, qui est publiée ici pour vous “changer les idées”... Un peu de rêve pouvant vous apporter du bonheur pourrait toutefois s’avérer déprimant de ne pas pouvoir ni l’acheter, ni savoir faire la même auto et pire, dans les deux cas, se heurter à une quasi impossibilité de l’immatriculer en Europe… Cette “Cavallo Rossa” est une Chevrolet 1937 reconstruite sur mesure et donc largement modifiée pour créer un Kustom-Hot-Rod unique et accrocheur. L’abaissement de la ligne de toit lui donne une apparence plus élégante et plus agressive. Le nom “Cavallo Rossa” se traduit par “Cheval rouge” en italien.
La suspension a été abaissée, les freins améliorés et un nouveau V8 modifié a été installé. Un tel projet de personnalisation destiné à créer un véhicule unique en son genre, a couté largement plus de 100.000$ pour pouvoir, sous le prétexte d’une créativité “à l’Américaine” satisfaire un égo surdimenssionné par les capacités financières très importantes… La passion pour le design automobile est un prétexte, le but est que cette “Cavallo Rossa” soit susceptible d’attirer l’attention partout où elle ira glaner des prix et coupes en fer-blanc… Je concède un coté à la fois pitoyable ET digne de moults remerciements… Pour ma part, c’est le fait de pouvoir en réaliser un des presque 5.000 articles qui constituent ce web-site…
La carrosserie est entièrement en acier et repose sur un châssis Art Morrison. La bête est propulsé par un V8 498ci de 425cv assisté d’une transmission automatique 700R4. Conçue et construite par Kindig-It Design (qui s’était fait remarquer avec une sorte de Super Corvette ’53), est un parangon de l’entreprise. “Cavallo Rossa” est peinte en “rouge pomme d’amour” complété par un intérieur en cuir Harvest… la bête a remporté le GM Design Award du plus beau Hot Rod GM au SEMA-Show. Regardez la vidéo présentée ci-dessous et préparez-vous à être fasciné… Voilà, j’en ai terminé… Vous pouvez enfon regarder la vidéo qui ne raconte strictement rien de ce que je vous ai publié…