VW Cox Dakodoc…
Cette VW m’a vraiment pris de court. Je ne suis pas vraiment fan des Cox’s malgré que la Split Window 1949 fut la voiture familiale acquise pour célébrer ma naissance (en mai 1949) et que j’ai l’art et la manière d’en faire tout un plat à déguster… Je salue ici encore l’audace de mes parents. Concernant ce que l’on peut faire d’une Cox dans l’esprit Chromes&Flammes si ce n’est un Buggy ou une Porschette 356, je viens de découvrir une VW-Cox Kustom venant de l’autre coté du monde, en Indonésie, conçue et fabriquée par Deny Kuzsumah dans le cadre du Hot Wheels legend Tour Asia Pacific, qu’il a remporté devant 131 participant(e)s, devenant le premier vainqueur indonésien du programme mondial annuel du Hot Wheels Legends Tour.
Cette réalisation, qualifiée de “très extrême”, combine deux types différents de VW’s en une seule voiture, à savoir une VW “Kodok” (le surnom de la Cox en Indonésie) et un Combi VW. Deny Kuzsumah a coupé la carrosserie d’un VW Combi, presque en plein centre, ne conservant que l’avant, puis l’a raccordé avec la poupe d’une VW Coccinelle dénommée VW Frog en Indonésie. Le travail qui s’en est suivi a duré 3 ans. La direction de Hot Wheels a considéré que le résultat était la conséquence d’un haut niveau de créativité de de capacité de réalisation “à domicile, dans un box” et d’un gigantesque facteur “WOW” ! qui est devenu une caractéristique des produits/jouets au 1:64ième fabriqués par Hot Wheels.
De son côté, Vero Sahetapi, PDG d’Indonesia Diecast Expo, a souligné qu’il était très heureux et fier d’avoir “alerté” GatsbyOnline/ChromesFlammes de la création de Deny Kuzsumah en envoyant les photos de cette création avec un texte explicatif, ce qui rend mon Website partenaire de Hot Wheels dans l’organisation du premier “Hot Wheels Legends Tour” en Indonésie… Avec ma création et l’incorporation d’un système de traduction dans toutes les langues du monde (et au delà), mes “Popu’s” internautes ont droit sans cesse à de l’inédit. Le Boss de la “Indonesia Diecast Expo” elle-même, m’a écrit espérer que grâce à ma publication (que vous lisez ici) Deny Kuzsumah le vainqueur du “Hot Wheels Legends Tour Indonesia”, pourra faire connaître le nom parfumé de l’Indonésie.
Et cela aux yeux du monde entier grâce à ses voitures modifiées présentées dans mon Web-site. Le vainqueur du “Hot Wheels Legends Tour Indonesia” aura l’occasion de participer aux demi-finales de l’APAC (Asie-Pacifique), où les vainqueurs de plusieurs pays tels que la Malaisie, les Philippines, le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande seront opposés avant de passer aux demi-finales mondiales qui affronteront les champions de chaque région. Les demi-finales mondiales elles-mêmes seront également organisées virtuellement par des juges de “Hot Wheels America” en octobre 2025. Les dix finalistes viendront des États-Unis, d’Amérique latine, d’Asie-Pacifique et de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique).
Et sur les dix finalistes, il n’y a qu’une seule voiture gagnante qui sera transformée en miniature Hot Wheels à l’échelle 1:64 et sera vendue en masse dans le monde entier. Oeuvrant ouvertement, j’ai abordé tout cela de manière désintéressée, expliquant nonchalamment que mon Web-Site comportait presque 5.000 articles, que des sujets dingues présentant souvent des cavalcades épiques déconseillées aux hypersensibles qui adorent mes dérapages incongrus (mais oh combien maîtrisés !) souvent hallucinants… Voilà… Dans ma chambre encore noire, le soleil semble faiblement perler entre les rideaux. Pas certain de l’heure exacte, je me demande si je n’ai pas simplement passé la nuit entière dans mon lit, sans bouger, à attendre le sommeil sans succès.
Je devais sans nul doute flotter mentalement, en roue libre complète, torpillé par des images mentales ingérables, qui ne cessent de me tomber sur la tronche comme une pluie d’étoiles. Trop épuisé pour dormir (gag !), j’ai décidé de me lever et de marcher vers mon studio Internet perso, pensant que me connecter à l’aube me permettrait de trier quelques emails en sirotant un cappucino. J’ai ouvert mon ordi, qui m’a éblouit de par son style graphique, regardé les news de la nuit et l’évolution de la probable guerre atomique, puis, après avoir passé en revue mon Outlook, j’ai commencé à traîner sur le web au hasard, sans but, comme un mec coincé pendant une heure devant son menu Netflix, ne sachant quel film choisir, malgré les recommandations taillées sur mesure…
Silencieux, yeux qui brûlent légèrement, j’ai décidé de lancer “Deadbeat Meets The Mole”, un vieux machin électronica chelou, joyeux mais mélancolique, qui me berce chaque fois doucement alors que… Que quoi ??? Pfffffff !!! Certains morceaux sont parfaits pour cette heure de transition de fin de nuit à l’aube aux teintes bleutées. La musique s’étire, j’en perds la notion du temps, et le fait d’être explosé par le sommeil renforce ce côté hypnotisant. C’est beau, enjoué, un peu drogué. Parfait. Puis “Farfisa Hoser Hymnal” commence, et au moment où ce morceau absolument magnifique résonne, Blacky arrive comme un fou pour me rappeler de l’accompagner sur notre plagette pour faire pipi… puis pour que je compose sa patée du matin…