Austin Bugeye Sprite Stroker Blower V8 383ci
Les derniers jours des empires moribonds sont marqués par la domination des imbéciles. Chacun des empires dynastiques ci-après : romain, maya, français, habsbourgeois, ottoman, romanov, iranien, britannique et soviétique, s’est effondré sous le poids de la stupidité de leurs dirigeants décadents déconnectés des réalités, qui ont pillé leurs nations et surtout leurs colonies, puis se sont retirés dans des chambres d’échos où réalité et fiction sont indissociables. Les bouffons flagorneurs de ces empires sont des versions réadaptées d’un mélange de folies…
Comme le règne de l’empereur romain Néron, qui consacrait des dépenses publiques colossales à la quête de pouvoirs magiques, comme le règne de l’empereur chinois Qin Shi Huang, qui finançait sans cesse des expéditions vers une île mythique soi-disant peuplée d’immortels afin de ramener une potion qui lui donnerait la vie éternelle, et comme la cour tsariste incompétente qui passait son temps à lire les tarots et à assister à des séances de spiritisme alors que la Russie était décimée par une guerre qui avait fait plus de deux millions de morts et que la révolution couvait dans les rues.
Ajoutons les Allemands qui ont soutenu Hitler et les “figures grotesques et marginales” dont il s’entourait parce qu’il incarnait les pathologies d’une société malade, en proie à l’effondrement économique et au désespoir. La stupidité est un “déni de réalité”. Le déni de réalité signifie que quelqu’un de “stupide” est incapable “d’orienter correctement ses actes dans le monde où il vit”. Le démagogue, qui est toujours un idiot, n’est pas un monstre ou une mutation sociale. Le démagogue exprime l’esprit du temps, le détachement collectif de la société d’un monde rationnel factuel et vérifiable.
Les imbéciles, qui promettent de restaurer la gloire et le pouvoir perdus (tel celui de la France), ne créent rien. Ils ne font que détruire. Ils accélèrent l’effondrement. Dotés d’une intelligence limitée, dépourvus de toute morale, totalement incompétents et animés d’une rage contre ceux qui les ont méprisés et rejetés, ils transforment leur monde en une aire de jeux pour escrocs, arnaqueurs et mégalomanes. Ils créent des guerres pour en percevoir des retours sur dons de charités guerrières, colportent des théories à l’eau de rose sur des vaccins qu’ils rendent obligatoires pour en percevoir des commissions…
Ils étendent la surveillance des masses et le partage des données, dépouillent les résidents légaux de leurs droits et dotent d’un pouvoir illimité des armées de voyous afin de répandre la peur et garantir la passivité. La réalité, qu’il s’agisse de la crise climatique ou de la paupérisation de la classe ouvrière, n’a aucune emprise sur leurs fantasmes. Plus la situation empire, plus ils deviennent dictateurs idiots. Cette “inconscience” collective est imposée aux sociétés prêtes à adhérer au mal radical. Prêtes à tout pour échapper à la torpeur et à la désespérance où elles se sont enlisées.
Leurs populations sont trahies et conditionnées à exploiter tout ce qui les entoure dans une course effrénée vers un progrès illusionné. Les individus deviennent des objets, reflétant la cruauté teintée de mépris des classes dirigeantes… Toute société en proie aux désordres et au chaos, glorifie ces individus moralement dégénérés, y compris sexuellement avec le Transgenrisme, faisant de surcroit l’apologie de la Gérontophilie. Ils sont rusés, manipulateurs, fourbes et violents… Dans une société libre et démocratique, ces traits de caractère devraient être ouvertement méprisés et criminalisés.
Ceux et celles qui les incarnent comme nos chefs devraient être condamnés et ostracisés par la société. Mais les normes sociales, culturelles et morales d’une société malade sont inversées. L’honnêteté, la confiance et le sacrifice de soi, caractéristiques d’une société libre, sont tournés en dérision. Ce sont des valeurs préjudiciables à la survie d’une société malade. “Lorsqu’une société”, comme le notait Platon, “renonce au bien commun, elle déchaîne toujours des pulsions amorales, violence, cupidité et exploitation sexuelle et favorise la pensée magique d’un empire de l’illusion”.
Les régimes moribonds ne sont doués que pour offrir du spectacle, des jeux de cirque, des défilés militaires voire créer des guerres pour en tirer des profits en commissions payées sur comptes offshores… Cela divertit les populations en détresse et masque la cruauté de la stagnation économique et des inégalités sociales. La population est conditionnée par la culture dominante, axée sur la marchandisation générale et les divertissements triviaux et stupides destinés à éradiquer les consciences et façonner et manipuler les individus pour en faire un “public” docile et endoctriné.
Ce public n’est toutefois pas réel. Il s’agit d’une abstraction monstrueuse, un tout qui n’est rien, juste un mirage propagé par les “merdias” aux ordres et subventionnés malgré qu’ils appartiennent à des milliardaires industriels. En bref, nous sommes devenus un troupeau d’individus irréels qui ne sont et ne peuvent jamais s’unir en une situation ou une organisation réelle, mais sont néanmoins liés entre eux pour former un tout. Ceux et celles qui s’interrogent sur la société, qui dénoncent la corruption de la classe dirigeante (par exemple mon combat de bientôt un quart de siècle) sont qualifiés de rêveurs…
Mais plus vulgairement de “fouteurs de merde”... Selon la définition grecque de la “polis”, eux seuls peuvent être considérés comme des citoyens. Thomas Paine a écrit qu’un gouvernement despotique est une moisissure qui se développe sur une société civile corrompue. C’est ce qui est arrivé aux sociétés du passé. C’est ce qui nous est arrivé. La pourriture et la corruption ont ruiné toutes nos institutions démocratiques, qui ne fonctionnent que dans la forme, pas dans le fond. Le consentement des gouvernés n’est qu’une farce cruelle à la solde des milliardaires et des grandes entreprises.
Les tribunaux sont les appendices des entreprises et des riches. Les merdias sont la caisse de résonance des élites, aucune ne prône les réformes sociales et politiques qui pourraient nous sauver du despotisme. La question n’est pas le despotisme en soi, mais l’apparence que nous lui donnons. Ce qui a détruit l’Empire romain, c’est “la dérive et la mauvaise orientation du pouvoir gouvernemental”. Le pouvoir est devenu un moyen de servir des intérêts privés., l’instrument des entreprises, des banques, de l’industrie de la guerre. Il se cannibalise pour concentrer les richesses au sommet.
Le déclin de Rome fut la conséquence naturelle et inévitable d’une grandeur démesurée. La prospérité a accéléré le principe de décadence. Les causes de la destruction se sont multipliées avec l’étendue des conquêtes, et dès que le temps ou le hasard a détruit les soutiens artificiels, l’édifice prodigieux s’est effondré sous son propre poids. L’origine de la ruine est simple et évidente : au lieu de nous demander pourquoi l’Empire romain a été détruit, nous devrions plutôt nous étonner qu’il ait survécu aussi longtemps... Le gouffre est béant entre les valeurs de nos fausses démocraties et la réalité…
Cela réduit jusqu’à l’absurde les discours politiques, les mots utilisés pour tout décrire. Notre décadence, notre ignorance et notre déni collectif de la réalité sont le fruit d’un processus. L’érosion de nos droits, en particulier notre droit de vote, la transformation des organes de l’État en instruments d’exploitation, la paupérisation des cols bleus et de la classe moyenne, les mensonges saturant nos ondes, la dégradation du système éducatif public, les guerres vaines et interminables, la dette publique vertigineuse, l’effondrement de nos infrastructures sont les signes avant-coureurs de la fin de tous les empires.
Et la presse subsidiée, se retrouve quasi en charge de vous divertir pendant le naufrage… Je ne suis pas en charge de vous divertir, vous venez vous divertir en vous acquittant d’une obole d’un euro et ce n’est que sur un ensemble de 200.000 abonnés/jour que le site fonctionne dans le monde entier avec un logiciel de traduction… Malgré tout, vieillissant de 24 heures par 24 heures comme d’autres de secondes en secondes, je m’use lentement quoique baignant dans l’humour avec une dose de “non-sens”... Avec un certain ras-le-bol en de plus en plus d’occasion d’apparaitre désillusionné… Voilà, voilou…
Cette Austin-Healey Bugeye Sprite de 1960 a été motorisée d’un V8 Chevy 350ci équipé d’un compresseur B & M, de pistons forgés, d’un arbre à cames Crane, de deux carburateurs Demon 625cfm, d’un allumage Mallory et de collecteurs Sanderson. Les autres équipements comprennent une transmission automatique à trois vitesses TCI StreetFighter TH350, un convertisseur de couple B&M, un pont/différentiel Ford, d’une crémaillère de direction Mustang II, d’une colonne de direction Flaming River, de freins à disque avant Wilwood en 11po, de bras de suspension avant en acier inoxydable “Aldan American”.
Il y a aussi une suspension AR à quatre bras “Jegs”, des combinés filetés, des jantes en acier 15po chaussées de pneus Hankook Ventus R-S3 en 195/50 AV et 225/45 AR. La carrosserie est dotée d’un capot à clapet en fibre de verre et d’élargisseurs d’ailes arrière de même fibre, et l’intérieur personnalisé est garni d’une sellerie en cuir beige et abrite l’instrumentation AutoMeter Pro-Comp Ultra-Lite positionnée au centre du tableau de bord incluant un indicateur de vitesse de 120 mph, un tachymètre et de quoi en connaitre sur la température de l’eau, la tension, la pression d’huile et le niveau de carburant… Voilà…