Les millionnaires et les Hot Rodders sont en perte de vitesse et n’avalent plus les brouets de sorcières…
Le “World Wealth Report 2025” annonce que la France est en deuil de ses millionnaires ! La Franchouille en compte effectivement 21.000 de moins en 2024 qu’en 2023, tandis que les États-Unis en affichent 562.000 de plus en 2024 qu’en 2023 sur la même période ! Waouwww ! Que se passe-t-il sur cette terre appelée “France” dont la place boursière fut, l’an dernier, la seule au monde à dévisser (-2.5% pour la CAC 40), tandis que même l’Allemagne en mauvaise posture s’en sortait avec un Dax à +18… Nous n’avons hélas pas de “7 Magnifiques” (Nvidia, Apple, Microsoft, Amazon, Alphabet, Meta, Tesla) comme aux Etats-Unis… Pôvre Franchouille qui subit les conséquences de ses très mauvais choix d’avenir, amenés par des lobotomisations politiciennes…
Celles-ci créent la peur et générent un quasi référentiel à la “Macropoléonite”, incitant les foules d’obsédé(e)s en pleines métamorphoses et baignant dans le visqueux du “Copulisme Transgentiste Gérontophile”… à “faire barrage aux idées et options négativistes prônées par l’extrême droite”... La conséquence fut l’équivalent d’un virus créé en parallèle/tandem (sic !) pour obliger à une vaccination rapportant des milliards d’euros et dollars avec dessous de tables et pots de vins, aux “décideurs/décideuses”.… Dans ce grand souk, les fumeux et fumants Franchouillards et Franchouillardes ont ainsi pu contribuer à l’effondrement de la capitalisation des sociétés l’Oréal (40%), Kering (24%) et LVMH (13%) qui faisaient la fierté de la France.
Leurs dirigeants, dont Bernard, mon voisin aux Parcs de St-Tropez, envisageant de partir définitivement aux USA… Pffffffffffffffff ! De plus, la hausse de 6% sur 2024 de notre indice Stoxx Europe 600, fait très pâle figure face aux indices US (Nasdaq et S&P 500), qui eux se sont envolés tous deux de plus de 30%… Notre continent Européen, tous nos Gouvernements étant en fête et en pleine rigolade de “baiser Poutine” et “ramener la Russie à n’être qu’un sous Etat Bolchevique”, étaient convaincus qu’aider l’Amérique d’Obama dans l’organisation d’une fausse révolution en Ukraine, donc hostile envers la Russie, révolution financée par milliards de dollars et d’euros, à l’appui de harangues minables et de propos orduriers, allaient terrifier et tétaniser les foules…
Cela, pour permettre d’utiliser “gratos” les Terres Rares Ukrainiènnes et diminuer de 50% les coûts de fabrication de tout ce qui était fabriqué en Europe, principalement les automobiles… A trop vouloir voler sans même s’inquiéter du désastre économique réel qui allait en découler, les populations natives allaient inexorablement perdre les emplois donnés à l’Ukraine. Vladimir Poutine qui s’insurgeait que tout ce cirque célébrait simultanément le nazisme viscéralement enfoui dans l’ADN Ukrainien, a vu rouge comme l’ancien drapeau Soviétique, estimant que la Russie était également dupée et qu’en plus, les élites européennes allaient simultanément dérégler les normes, de par leur aversion aux risques ceinturés par des réglementations fragmentées.
Sans doute que les symboles nazis et les drapeaux à croix gammée Ukrainiens ont été de trop et la Russie est revenue quémander ce qui lui était dû… L’Europe est désormais subjuguée, reléguée… Les fortunes migrent vers les Etats-Unis et s’y créent en plus vivaces, car l’Europe n’est plus un territoire de l’innovation. Et pour cause, puisque c’est 60 milliards qui y sont consacrés au capital-risque contre 200 milliards aux US ! C’est 3.5 % du PIB américain qui sont dépensés en faveur de la R&D (soit 990 milliards $) en rapport aux 440 milliards $, ou 2,3 % du PIB, en Europe… Les Etats-Unis, caracolent donc en tête avec une productivité du travail 1,55 fois supérieure à l’Europe (productivité/heure travaillée 85 $ contre 55 $ en Europe).
Tout cela induit mécaniquement une création de richesse plus rapide aux USA. Les banques centrales Européennes respectives d’elles-mêmes, reflètent la peur panique que l’Europe a d’intervenir dans l’économie et en faveur des entreprises et des consommateurs. Un seul chiffre, tout s’éclaire, car c’est 8.500 milliards de $ qui ont été injectés par la Réserve Fédérale américaine entre 2007 et aujourd’hui, contre 4.700 milliards d’euros par la BCE Frankfurtienne. Bien-sûr, le coup de grâce pour l’Europe, aura été le “Inflation Reduction Act (IRA)” de Joe Biden, planifiant 783 milliards $ d’investissements sur 10 ans dans l’énergie propre, dans la santé et dans l’agriculture, dont une part significative fut dépensée en 2024.
Avec un impact de 1% de PIB en plus sur 2024, et 1,5 million d’emplois supplémentaires (souvent bien rémunérés) d’ici 2030, alors, nous pouvons à l’évidence nous congratuler en Europe pour notre hétérogénéité fiscale (27 régimes) qui pousse nos grandes fortunes à déplacer leurs capitaux. Nous pouvons aussi, en France, nous vanter de notre fiscalité de 45 % sur les hauts revenus, la plus rédhibitoire de l’Union. Une PME française doit consacrer en moyenne 140 heures par an à la conformité fiscale, contre 80 heures aux États-Unis, selon la Banque mondiale. C’est l’AVC qui menace la France, le pays champion du surmenage fiscal… Chômage moyen de 5.9 % contre 4.1… Croissance moyenne de 0.9% contre 2.6, PIB à 40.000€/habitant contre 80.000.
Même le Mississippi, État américain le plus pauvre, dépasse en PIB la plupart des grandes économies européennes… Quo vadis Europe ? Pffffffffffffff ! C’est pour tout pareil… L’idée de moteurs V8 américains de plus de 1000cv frappe tout simplement différemment. Dans une Ferrari ou une Lamborghini, ce chiffre semble approprié, une facette naturelle de l’argumentaire de vente de performances exotiques. Bugatti développe une puissance à quatre chiffres depuis 20 ans. Mais avec les nouveaux V8 américains, le “un peu fou” est la norme… Avant que je ne parte à nouveau aux USA pour un reportage “Hot Roddien” on m’a demandé si j’étais nerveux. : “C’est beaucoup dire”, ai-je dit avec un haussement d’épaules. Nonchalance cool et professionnelle.
Même après l’avoir conduit, ce Hot Rod est encore un peu au-delà de l’entendement dans ma tête. Il s’agit d’un V8 avec un tiers de puissance de plus que la norme. Lorsque le projet a démarré, l’ajout d’un Blower faisait partie des calculs. Cela signifie que le châssis a été sur-construit. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu de surprises en cours de route. Les premières rumeurs indiquaient que la puissance était d’environ 800cv, alors qu’en fait, l’équipe moteur a surpassé les attentes et l’a poussé bien au-delà. Tout ce qui bénéficie d’être différent est différent… Il y a donc une pompe de récupération supplémentaire avec des pistons et bielles en adéquation et bien plus encore. Un radiateur et un intercooler ont été ajoutés comme une solution inspirée de la course. l
L’impression est une agression fonctionnelle. Le Hot Rod a établi une vitesse de 233mph !!! Il ne manque qu’un système électronique utilisant des amortisseurs magnétorhéologiques et un différentiel électronique. Et donc me voici, installé attendant de réaliser une accélération démente. Je n’y vais pas à l’aveuglette, ayant fait quelques essais de familiarisation. Mais c’est une machine entièrement différente. Le son est différent, le moteur hurle dans un râp d’alto comparé au grondement sourd habituel. Mais il y a tellement d’adhérence que je grogne de manière audible à cause de l’effort pour garder une attitude digne et stable (Note à moi-même : “A 76 ans j’ai vraiment besoin de plus d’exercices de base pour profiter de la puissance”…)
Je me dois de préciser que c’est avec une variété de virages pour tester l’équilibre et la dynamique et avec beaucoup d’espace pour corriger si les choses tournent mal. Une vitesse élevée me permet d’être facilement gourmand où je tente de freiner au plus tard en remettant l’accélérateur trop tôt. Ce Hot Rod est une sorte de monstre amical prévisible. L’accélérateur ressemble plus à tourner un robinet qui coule comme une bouche d’incendie. Une puissance massive peut masquer beaucoup de choses, y compris le poids, mais ce Hot Rod est relativement léger et associe sa puissance prévisible à une attitude neutre en virage qui est facilement réglée à la fois avec l’accélérateur et les freins, permettant des corrections d’entrée et de milieu de virage plus nettes.
Cela est toutefois aidé avec une simple pression sur l’une ou l’autre pédale, sans intervention de la direction. C’est une vertu de maniabilité inhérente à la configuration. Dans les virages, les caractéristiques rassurantes, ne font que la moitié du travail. Le reste, c’est me convaincre de continuer à pousser, c’est-à-dire que si les pneus ne commencent pas à glisser, la voiture ira plus vite. Je jette un coup d’œil rapide à mes tours pour voir que, bien sûr, il s’agit moins de surmonter la peur que de simplement recalibrer. Normalement, je suis un partisan de moins d’adhérence, car glisser est un divertissement en soi. Ici, cependant, le Hot Rod prend les virages facilement sur les routes publiques… Voilà, j’arrive (enfin) au bout de l’écriture de cet article.
Ouaissssss, c’est là où les limites de la sécurité et de la santé mentale entrent en jeu avant l’explosion… J’attendrais… La guerre en Ukraine et autres folies font que maintenant un Hot Rod devient difficile à acquérir et a immatriculer (C’est pire à revendre)… Même avec des autocollants “POLICE” sur les flancs ça ne fonctionnerait pas… Considérez que le prix de base de 100.000 $ est relativement élevé pour les esprits européens… Avec ce Hot Rod, pas de soucis pour faire mousser une 911 GT3, ou une Revuelto. Les Supercars exotiques peuvent coûter plusieurs fois le prix de ce Hot Rod sans rien ajouter d’évident au-delà de la valeur attachée à leurs marques. D’après cette expérience j’écris que ce Hot Rod offre sa propre version de performances. Pfffffffff ! Bye bye…