Hemi Swapped’47 Hudson Super Eught
Existe-t-il vraiment en moi un idéal de spontanéité, de production instinctive d’articles, une inclination à m’abandonner au moment propice à la création d’une histoire concernant une automobile d’une époque révolue dont pas grand monde n’a que faire ? M’imaginez-vous rêver de futilités peu avant d’écrire, alors que je suis poète d’une l’implacable rigueur, artiste pointilleux, recoupant une opposition entre l’écriture à processus et l’écriture à programme, qui sont respectivement nommées par les spécialistes de génétique littéraire : “Ecriture à déclenchement rédactionnel” et “Ecriture à programmation scénarique” ?L’écriture à processus impose une attention particulière aux circonstances de la création, à l’heure et au lieu où elle prend place, aux préférences qui font de moi un être mieux disposé les nuits que les jours…
L’écriture à programme, plus “sérieuse et complexe” précède par contre d’une longue réflexion et d’un long vécu, comportant des notes, des pièces, des preuves et une méditation intense incluant les réflexions entre des passions contraires mais puissantes. Je pense par exemple, arrivant au bout de 15 années d’avoir subi une escroquerie en bande criminelle organisée, d’en raconter l’affaire… Et cela, après avoir lu les pages des Codes (civil et pénal) pour me reformer l’esprit et ainsi me rappeler aux bons souvenirs d’un Pontife concernant son implication et celle de sa société d’assurances dans la création et l’usage de faux documents brouillonnés… J’écris après avoir tout décortiqué, analysé et creusé des canaux de drainages dans lesquels afflueront ainsi des torrents de pensées analytiques et de vérités qui ouvriront toutes grandes, les vannes du barrage judiciaire.
Il est en effet souvent manipulé pour les besoins de contenir des océans de crimes aux fins qu’ils restent impunissables par corruptions corporatistes dès qu’un Magistrat est sévèrement impliqué… Les mots en phrases qui déferlent, l’histoire réelle d’une escroquerie qui m’a été faite et qui grandit comme un paysage qui s’ouvre à mesure qu’on s’éloigne, de l’air, de l’air toujours plus, et cette liberté infinie du cavalier dans la rase campagne qui peut aller de droite et de gauche sans rencontrer le moindre obstacle… En voilà des embardées narratives, des chemins qui s’ouvrent et doivent mener en terres de vérités… Je les parcoure, mais d’autres se présentent qui semblent attentifs soit à tout masquer voire à tout voler et détruire. Alors je les emprunte tant que j’ai encore le souffle d’y veiller. Le grand bonheur de l’exhaler en phrases bondissantes est alors une récompense !
En écrire ce n’est toutefois pas accumuler des petits papiers, des plans, et se faire le fonctionnaire de la pensée… Non ! Traduire et écrire ce qui fut vraiment et ainsi découvrir ce qui fut caché ainsi que les faux, ce n’est pas une tautologie, cela veut dire initier et soutenir un accroissement exponentiel. Chaque phrase est une cellule qui en génère une autre et ainsi de suite parce que le texte de la réflexion finale est l’inverse du cancer de la page blanche qui n’en finit pas de se propager en effaçant les réalités et vérités. En complément il y a l’autre chemin utilisé par des amis sincères, qui utilise l’esprit mathématique de fins logiciens utilisant le processus de l’épistolaire, une mécanique subtile et réglée comme un tir d’artillerie, fruit patient de gens cultivés, méthodiques et patients, d’hommes dans la lignée des géomètres en littérature…
En réalité, tout écrivain est à processus comme à programme, pense en cavalier autant qu’en géomètre et ce, de manière alternée au cours de la rédaction d’une même œuvre… Un écrivain “à processus” le porte par nature davantage à la création spontanée qu’aux dessins préparatoires ! Imagine-t-on un écrivain qui se lancerait dans un roman avec guère plus d’idées que la première phrase alors que le but est de publier une histoire authentique que des bouffons et malandrins ont déformé ? À la rigueur, cela se peut avec l’influence de l’incipit sur la totalité d’un texte. L’incipit est le début, l’introduction, que ce soit un roman, une nouvelle, un mémoire ou une œuvre. Il est constitué des premiers mots, des premières lignes et même des premières pages d’une histoire. L’incipit permet au lecteur de pénétrer dans le monde du texte débité par le narrateur/victime du vécu.
C’est faire entrer les voyeurs en quête de vérités, dans un monde qui a été effacé pour tromper, à un instant ou l’horreur de l’action funeste, n’existait pas encore. C’est un lieu stratégique du texte. En écrire, c’est choisir une énonciation, délivrer des informations qui vont éclairer la suite du récit. Comme un problème mathématique, l’énoncé devient un premier développement incorporé qui contient en puissance ses futures suites en développements et de même que l’on calcule méthodiquement une dérivée à partir d’une fonction, de même tout cela peut se générer jusqu’à la conclusion par la seule logique… C’est la concaténation… Elle est généralement utilisée en grammaire générative, où le problème de la production des phrases explicatives est central : elle désigne le fait que, pour constituer un syntagme, les éléments sont mis en chaîne dans un ordre précis.
Imaginez un peu : Je suis à ma fenêtre, je vois une Hudson Super six 1947 exactement identique à “ma mienne” qui me fut volée il y a 15 longues et interminables années par les membres d’une bande criminelle organisée… Et cette Hudson dont il n’en existe plus que 3 au monde, passe sous mes fenêtres, pilotée par le CEO de la compagnie d’assurance qui a refusé de m’indemniser et réalisé un faux contrat bodouillé… Drame !?!? Est-ce un rêve ? Je peux écrire : “Le CEO avait l’air anxieux”… Mais je ne peux écrire qu’il l’a volée, parce l’action du vol a été réalisée par un autre… Mais reste la question de comprendre quel est le lien entre eux… En variante, on peut se demander comment et pourquoi un tel personnage nanti de tant de moyens de d’argent, s’en vient à se commettre dans une aventure aussi minable que de camoufler un vol ! Certes elle est rarissime, mais le but, la réalité ?
C’est alors que l’amoncellement d’indices relevés peuvent s’emboiter comme les éléments d’un puzzle. Il y a sérieusement de quoi en écrire un roman policier. Mais pour simplifier, l’énigme se résout par réflexion… Si la vision des caméras d’autoroute ne visualise pas la Hudson Super Six 1947 volée, c’est qu’elle est transportée dans un camion fermé, ce qui élimine l’intempestif et ouvre la réflexion d’une organisation criminelle en bande organisée. C’est comme un cocon de vers à soie dont on va tirer un fil pour en dévider une longueur surprenante. Voici déjà découvert le personnage qui m’a demandé d’obtenir cette voiture pour soi-disant attirer du public payant à son exposition en promesse de l’assurer… Mais, le soir du vol, l’enquête interrogatoire de Police enregistre son audition alors qu’il avoue et signe qu’il n’a pas fait assurer la Hudson pour les 200.000 euros d’une convention entre parties…
Or, ce même personnage va prétendre le contraire deux ans plus tard pour, à l’appui d’une histoire alternative d’un parti pris narratif qui consiste à prétendre que la voiture a été volée pour que j’en obtienne plus que sa valeur réelle… Détail a priori contingent, est l’extrémité du fil du cocon. Cette phrase est un point de départ suffisant lui conférant une puissance démiurgique… La phrase mensongère qui veut déterminer DEUX ANS PLUS TARD les lois réécrites qui régiront l”histoire. C’est un “Fiat Lux” : “Au commencement sera ce verbe”... Avec de l’habileté, de la technique, des lettres et de l’imagination, n’importe quel malandrin membre d’une bande criminelle organisée/expérimentée par rien de moins qu’un Procureur qui s’affiche vendre des histoires alternatives, est capable d’en faire sortir plusieurs centaines de pages.
Il est donc possible d’être une crapule dans une bande de crapules et nullement un Gogol débile… Cependant, il y a fort à parier qu’une œuvre qui se bâtirait sur le seul fondement d’une phrase arbitrairement choisie ne saurait être réussie, mais surtout ne pourrait arriver à terme sans beaucoup de mauvaise foi. Car une telle entreprise se joue moins dans l’esprit que dans le corps de l’histoire débitée. Oui, il faut avoir quelque chose qui brûle ou qui ronge, quelque chose de violemment accroché et auquel on veut faire lâcher prise. Ainsi ce qui ne se proposerait que d’être une aventure de l’esprit, et non une lutte avec l’ange, la prise à bras le corps d’une difficulté intime, ne saurait valoir mieux qu’un tour de force… Oubliant qu’il avait déposé et signé en Gendarmerie, le soir du vol, n’avoir pas pris d’assurance, le malandrin entouré d’une bande organisée va sortir deux ans plus tard une assurance datée de deux ans passés…
Un miracle ! Rien qu’à la voir elle apparait d’une fausseté inimaginable, du genre à ranger au rayon des curiosités, celles que l’on a vues sans les avoir jamais regardées, parce qu’il suffit d’avoir entendu parler de la contrainte à la racine du travail de tromperie pour s’en faire une idée. En amont la fausse assurance que donc aucune société n’assure, est acceptée sur ordre du Procureur qui en est l’auteur ! Pis encore, avec des faux numéros Siren/BCE et datée d’après sinistre… De plus, pas signée de quiconque… Diantre… De toute écriture à processus se trouve le long programme d’un mûrissement d’émotions, d’images et de souvenirs. Et si l’on s’étonne de la rapidité de production de certaines œuvres, c’est qu’on oublie la durée considérable qui s’avéra nécessaire à leur surgissement : Picasso prétendait que la fleur dessinée en trente secondes lui avait coûté soixante ans de travail…
Ainsi les fausses écritures à processus s’accompagnent nécessairement de phases d’écritures à programme. Et en ce cas tout est faux… C’est tellement faux que d’un coup, la totalité du dossier s’évapore des prétoires et que quiconque avocat le cherchant est menacé par le Procureur qui est le Maitre d’œuvre rémunéré par la Cy d’assurance pour qui il est Lobbyiste officiellement créateur d’histoires alternatives qu’il fait passer de par sa fonction… Un Magistrat supérieur truand, waouwwww ! Point que ça… On a beau être un cavalier lancé en pleine nature, si l’on veut que sa chevauchée mène quelque part, on doit bien s’arrêter un instant et déplier sa carte sur l’herbe de la plaine. Alors on règle un peu mieux l’itinéraire et l’on fixe des étapes à la cavalcade. Celles par lesquelles il lui faudra passer, car, il faut avoir une idée de sa destination, tout est encore si flou d’être si loin à l’horizon.
Mais du moins sait-on qu’il s’agit d’arriver un jour et que, si tous les chemins mènent en ce cas en Israël, tous n’ont pas le même agrément ni les mêmes intérêts. Régulièrement, l’écrivain à processus interrompt la course des mots et prend le temps de fixer l’itinéraire de ses futurs développements par des notes préparatoires, des réflexions consacrées aux personnages, des recherches géographiques, une phase de repos, une halte sur le chemin, qui lui permettent de tout reprendre en main. De tout ressaisir en cours de route afin d’être conducteur plutôt que passager et réciproquement. Il y a chez tous les écrivains géomètres un cavalier qui n’attend pas mieux que de prendre la route. Ils ont beau préparer avec une minutie maniaque les moindres détails de leur création, avoir médité quinze ans un personnage avant de placer une parole dans sa bouche, s’être complu dans des travaux préparatoires…
Et avoir écrit des plans, dessiné des cartes et les portraits de leurs créatures imaginaires, le moment de l’écriture est forcément celui d’un désordre apporté à ces préparatifs, une évolution du projet ! C’est une ouverture à l’inconnu par le seul jeu des mots. Certes, on aura beau jeu de répliquer en citant la phrase célèbre de Racine : “La tragédie est faite, il n’y a plus qu’à l’écrire”... Il est vrai que les hommes du grand siècle admiraient dans un poème dramatique son architecture avant toutes autres choses, certains auteurs prouvant un talent supérieur dans l’édification d’édifices harmonieux… On a beau enfermer une bête féroce, maîtriser une flamme, elles ne cessent pas de vivre leur vie propre, contenue mais intense, domptée mais toujours dangereuse. Non seulement le programme de l’écrivain n’abolit jamais cette liberté absolue du moment de l’écriture, mais cette liberté est davantage qu’une concession offerte…
Il existe une différence fondamentale entre l’écriture entendue comme travail préparatoire et l’écriture comme production de l’œuvre. Cette différence est comparable à celle qui distingue la stratégie de la tactique. La stratégie consiste à prévoir les mouvements d’une armée à l’aide de multiples renseignements. La stratégie consiste à écouter ses informateurs, étudier la topographie du théâtre d’opérations et se représenter les événements à venir. La tactique est une discipline bien différente. Elle impose de se confronter à la réalité du terrain et à celle des mouvements de l’ennemi, réalités qui, vues de près, s’avèrent souvent bien différentes de celles que le stratège se représente. Il faut donc imaginer l’écrivain au travail comme un stratège devenu tacticien. Vue depuis ses notes préparatoires, l’œuvre se plie à son caprice car ce qui la constitue, à savoir les mots, n’est pas encore entré dans la lutte.
Mais lorsqu’il s’agit de passer à la rédaction, les mots sont là comme des êtres, des individus avec leur personnalité propre, leur caractère, leur histoire… Le tout font d’eux des auxiliaires plus ou moins fiables, plus ou moins acquis à la cause de leur capitaine. Et celui-ci, lorsqu’il prétend les mettre en marche pour rejoindre l’étape suivante (ce chapitre qu’il veut finir en abordant tel sujet, en mettant en scène tel personnage accomplissant telles actions) se trouve comme un stratège parachuté depuis la salle des cartes dans la jungle infernale du langage. Soit les mots résistent, soit les mots s’entendent sournoisement pour n’être pas séparés : soldats fraternels, ils ne veulent pas changer d’unité. Vous avez beau leur ordonner de passer à l’attaque, absurdement ils attendent. Ils répondent plus tard que cette cascade au loin est magnifique ou qu’ils n’ont pas oublié cette amie que vous avez connue il y a dix ans…
Car, n’en doutez pas, à votre corps défendant, ils s’entendent pour évoquer jusqu’à vos plus lointains souvenirs auxquels personne d’autre que vous n’a accès. En somme, les mots bafouent ouvertement votre autorité mais il n’y a pas de conseil de guerre où les traîner. Alors le terrain du roman glisse sous les pieds du capitaine, il avait beau avoir prévu un itinéraire logique et précis du temps qu’il était stratège, voici que le territoire autour de lui se recompose, que des chemins inconnus apparaissent. Mais aussi que des obstacles s’élèvent où un instant plus tôt il n’y avait rien alors que d’autres s’aplanissent où des montagnes s’élevaient auparavant. Écrire, une affaire de Police/Justice, c’est donc faire l’expérience hallucinatoire d’un soldat dans la brousse autour duquel le paysage changerait en permanence et dont les supérieurs exigeraient néanmoins qu’il accomplisse sa mission.
Pour comble de malheur, le stratège sait bien qu’au jour de l’affrontement le hasard est là qui peut déranger ses plans les mieux préparés, ce malin génie qui vient semer la discorde entre les mots, les arranger à sa guise… De sorte qu’un auteur qui se proposerait de traiter un sujet déterminé, tel que plus particulièrement celui-ci, dont on effacerait la mémoire avant de lui demander de recommencer le lendemain la même page, en viendrait à produire deux textes largement différents. Car selon le moment de la journée, la lumière dans le bureau, les bruits dans la rue, jusqu’au support de l’écriture, peuvent exercer sur le travail en cours une influence déconcertante. Alors, pour en écrire, bien sûr, j’aime les Mustang’s, les Camaro’s, les Chevelle’s et les Challenger’s, les Corvette’s également, les Thunderbird’s et bien d’autres…
Et même des Américanités ostentatoires équipées d’un bon gros V8, mais, ce qui attire vraiment mon attention, c’est quand quelqu’un sort des sentiers battus et emprunte un chemin inattendu. C’est le cas de cette Hudson’47 Super Six V8 Hemi, construite par les gens de “Schwartz Performance Custom” que dirige Jeff Schwartz. On n’en voit aucune en dehors des States et pas beaucoup autour et alentour d’où qu’on se trouve aux USA,. C’est tellement vrai qu’avant qu’on en découvre une au pays d’Oncle Donald (Trump) peuvent se dérouler des années. Un gars qui désire rester anonyme a découvert cette Hudson Super Six de 1947. Il s’est avéré qu’il habitait à quelques kilomètres de là ou elle se trouvait et il y est donc allé, en vélo. La voiture avait vécu là toute sa vie de bagnole de luxe et avait participé aux nombreux défilés automobiles que réalisaient les tenants du pouvoir de Crystal Lake au fil des ans.
Elle était restée la propriété et dans la propriété du même homme pendant au moins 40 ans. Il y avait beaucoup de rouille dans le plancher, et la voiture s’était enfoncée dans le sol jusqu’à ses essieux, de sorte qu’elle ne pouvait pas rouler. La dépanneuse a eu du mal à le sortir de la boue. Une fois avoir décapé chimiquement la carrosserie, ce fut incroyable de voir à quel point le reste de la tôle était parfait à partir des portes ! Ces voitures étaient construites avec de l’acier épais. “Hudson Motor Car Company” a commencé la production de véhicules en 1909 et a fini par fusionner avec “Nash” pour former “American Motors Cy” (AMC). Bien que près de 50.000 Super Six aient été construites en 1947, il n’en reste pas beaucoup. De plus, l’un des plus grands défis de la reconstruction d’une voiture comme celle-ci est qu’il n’y a pas de support après-vente disponible.
C’était donc aux artisans de “Schwartz Performance” de construire sur mesure toutes les pièces nécessaires. Les planchers étaient pourris, mais ce n’était pas un gros problème puisque le plan de Schwartz était de les remplacer de toute façon pour s’adapter à leur nouveau châssis. La grande Hudson 47 a donc été reconstruite sur un châssis “G-Machine Schwartz Performance” avec des combinés filetés réglables “Ridetech” et de gros freins “Pro Plus Baer” de 14po à six pistons à l’avant et à l’arrière. Pour contrôler le roulis de cette bête, des barres stabilisatrices cannelées ont été installées AV et à AR. Sous le capot, se découvre un moteur V8 Mopar Performance Hemi de 6,4 L habillé pour avoir l’air de la vieille école au moyen d’une admission carburateurs “OCPerformance”, d’un couvercle de filtre à air en aluminium et de cache-soupape en aluminium gravé “392 HEMI”.
Le Gros bloc V8 expire à travers un ensemble de collecteurs à long tube en acier inoxydable “Schwartz” avec des primaires de 1,875po dans un système d’échappement double en acier inoxydable soudé TIG de 3po. Le moulin EFI moderne est soutenu par une transmission automatique GM 4L60E overdrive… Il renvoie la puissance à un intermédiaire électrique “Moser” de 9po avec des essieux à 31 cannelures et un système de moyeu “Baer” à flotteur complet. À l’intérieur du boîtier “Moser”, se trouve un “Currie”, un différentiel à glissement limité “Truetrac” et un ensemble d’engrenages en 3,70. Alliant style vintage et performances modernes, l’Hudson roule sur un ensemble de jantes “Forgeline J03C” de 18 x 9po AV et de 18 x 12po AR, enveloppés de pneus “BFG Rival S” en 275/35/18 AV et 335/30/18 AR.. Alors que le plan pour la carrosserie était de préserver l’apparence de l’Hudson, il y a eu une tonne de travail de plus…
Ce fut une fabrication qui reste difficile à repérer sur la voiture finie. Un pare-feu personnalisé, un plancher, des ailes intérieures et des mini-baignoires uniques ont tous dû être terminés avant que la peinture marron puisse être posée. Un temps considérable a également été consacré à l’installation à la main de tous les chromes et travaux brillants d’origine sur la voiture. L’objectif était de conserver l’ambiance vintage de l’intérieur de l’Hudson tout en mettant à jour toute l’électronique et en lui donnant le confort moderne auquel nous sommes tous habitués de nos jours. Une colonne d’inclinaison “Flaming River” maintient l’Hudson pointée dans la bonne direction, tandis qu’un système “Vintage Air Gen IV” maintient tout le monde à la température parfaite. Le tableau de bord a été entièrement retravaillé mais a toujours l’air d’appartenir à 1947. Du cuir personnalisé recouvre les sièges et le tableau de bord.
Voilà, vous êtes au bout de l’histoire… Additionnez tout cela, et vous obtenez une balade en salade réinventée qui se démarque vraiment dans une foule de vieilles constructions identiques. C’est moderne, juste assez pour être agréable, mais conserve tous les éléments de design classiques qui ont rendu la Hudson si cool… Le prix du bestiau est positionné à 200.000$ ou €… Pareil qu’une certaine LéaFrancis qu’on m’a volé dans de mêmes conditions absurdes, on croirait même que c’est la même histoire sous d’autres noms et marques… Bizarre autant qu’étrange…