Bienvenue en Australie… Phil Rillotta’s 1932 Ford Coupe
Ce Hot Rod Ford B’32 fait le bonheur de Phil Rillota en Australie. C’est Ron Barclay un garagiste Australien qui s’est spécialisé en constructions et entretiens de Hot Rod’s qui lui a réalisé ce B’32 Five Window’s Coupe. Ron a remporté plusieurs premiers prix Australien “SMOTY” depuis 1990 avec son HQ ute révolutionnaire, ce qui lui a donné une notoriété commerciale bienvenue qui a eu au départ beaucoup d’impact avec des modèles’T Bath’Tub’s (des baignoires d’usage routier équipées de roues arrières monstrueuses ou Blowers vertigineux, mais toujours avec une grande attention aux détails, à des tas de facteurs coolesques et une capacité de construction infinie dans l’univers Australien. Bien que Ron avait toujours prévu que ce Hot Rod’32 soit un Street Rod, plutôt qu’un Show Rod élitiste, il s’est vu obligé d’avouer après l’avoir constaté que la philosophie de construction était exactement la même…
De ce fait, il a dit à son ami-client Phill Rillota : “Mon pote, si je construisais 20 voitures en même temps, je les construirais toutes de cette façon, sans regarder à la dépense que subiront mes clients. Picasso ne se posait pas de question pour ses peintures et sculptures, si ses clients trouvaient ce job trop cher, il leur disait d’aller se branler”... Sa première construction lui a coûté 9.000 $ à construire il y a 35 ans. Cette voiture a valu à Ron un premier prix aux “Street Machine Nationals”. Dûment encouragé, il a vendu ce Rod 60.000 $ avant la fin du show avec la coupe 1er prix en fer-blanc et les paperasses attestant du 1er prix et au même salon il a commencé à crayonner un nouveau projet. La seconde construction lui a coûté 22.000 $ à construire, une somme assez importante au début des années ’90, mais certainement à la portée du gars moyen qui lui a acheté cash 60.000 $.
Maintenant que nous sommes dans les années 2020, après avoir construit une centaine de Hot Rod il a réalisé celui qui est la vedette de cet article. Il lui a coûté un peu plus de 40.000 $. Il l’a vendu 100.000 $ à Phill Rillota, mais pour une Hot Rod aussi bien exécuté c’est un excellent rapport qualité-prix. À quel point ? Assez bien rangé pour non seulement faire partie du Top 20 Elite aux Summernat’s Australiens, mais aussi pour remporter le “Outstanding Engineered Hot Rod”, le “Top Closed Hot Rod” et la première place dans la finale des “Meguiar’s Superstars Australiens” ! Alors, comment fait-il ? Il m’a dit que ses clients devaient avoir les moyens financiers pour ne pas le faire chier en réclamation de son temps et son savoir-faire… Et ensuite, c’est à sa clientèle de savoir tirer le meilleur parti de l’argent qu’ils ont. Il n’y a pratiquement pas de pièces de rechange sur des Rods puisque tout est rectifié.
Mais même ainsi, il a dépensé 40.000 $ en matériaux et temps, ce qui signifie que ses clients qui vivent les mêmes choses doivent avoir en portefeuille de quoi payer cash direct sans devoir se disputer… L’Australie c’est Western comme aux USA. À l’origine, Ron avait pensé à utiliser un V8 LX 304ci local, mais il a réfléchi sérieusement et a opté pour un moteur Yankee. “Je savais que si je construisais une machine de rue d’élite, avec un moteur trop petit, je construirais quelque chose que je ne voudrais pas conduire, et ces voitures ont une faible valeur de revente, de ce point de vue, une la folie a plus de sens”... Avec cela en tête, la construction a été comme une croisière en cœur de l’Océan Pacifique. Le “Job” a commencé avec une coque en métal à cinq fenêtres de chez Deuce Customs’32, avec un toit ayant un clapot de 2 pouces.
Ron s’est immédiatement attelé à éliminer les petites imperfections comme les trous d’épingle et les bords rugueux, il a supprimé les gouttières du toit et a retravaillé les portes pour qu’elles s’adaptent parfaitement. Ce n’est pas tout Ford, cependant, et Ron a dû pincer certaines pièces de l’autre côté de la clôture… Il a utilisé une crémaillère de direction de Holden Commodore (une marque Australienne) et des étriers de frein “itou” se frayant un chemin dans l’avant. Il était certain plus que sûr que les fan’s de Ford seraient choqués d’apprendre cela, mais ça ne s’arrête pas là non plus. Sous le capot avant en acier bat le cœur d’un Ford V8 EFI de 5,0 litres de 350cv, magnifiquement détaillé, ce qui motive. Même si le moteur est essentiellement “coolesque”, il alimente toujours assez bien le ’32 raisonnablement léger et il sonne aussi de manière correcte…
En effet il décharge les gaz d’échappement à travers un ensemble personnalisé de tubes d’échappement. En fait, les yeux fermés, on pourrait presque s’imaginer que l’on écoute un le rugissement d’un fauve avec un échappement modifié. C’est un bruit qui est plus fort que tous les autres… Cependant, l’aspiration du filtre “Rampod”, semble amplifiée par les limites du compartiment moteur. Cela vous donne certainement matière à réflexion lorsque vous le voyez se promener, car il ne ressemble à aucun “Rampod” que j’ai jamais entendu. Pour continuer avec la philosophie de Ron “Bon pour la croisière tout autour de l’Australie”, la boite automatique Turbo 700, est restée d’origine, tout comme le convertisseur. Un arbre de transmission personnalisé transfère la puissance au pont/différentiel de 9po.
Alors qu’à peu près tout ce qui se déplaçait sur le Rod était broyé en douceur, seuls le boîtier de différentiel et le collecteur d’entrée dont résisté à ce traitement, rien n’a jamais été aussi beau ! Ron a demandé au peintre Darred Bodyworks de réaliser une perfection en PPG Teal Glow après que Ron ait terminé avec la carrosserie. Tout a été peint durant le processus de pulvérisation, y compris le châssis, les protections et les marchepieds en acier. Lorsqu’il s’est agi de choisir des jantes, Ron a évité les alliages billettes et a opté pour les traditionnelles American Racing Torq Thrust II. Avec des six po de large AV portant des Goodyear Eagles 195/50/15, et des 8po AR avec des 225/65/15, il offre juste assez de râteau à la position du Coupé. L’intérieur imite le style original de 1932, mais le dépasse à la fois en qualité et en fonctionnalité.
Sur le tableau de bord, des compteurs VDO informent des conditions de fonctionnement, tandis qu’un levier Lokar se trouve sur le plancher plat entre le conducteur et le passager. Une installation Pioneer a été montée à l’arrière de la paroi de la cabine. C’est une position soignée qui permet de garder le tableau de bord dégagé, mais elle rend le changement de CD en cours de route un exercice un peu pénible. Du cuir gris recouvre les sièges et les garnitures des portes. Une moquette à poils coupés de couleur similaire orne le sol. L’ami Gus de Ron, s’est occupé de la finition intérieure… C’est d’ailleurs sacrément confortable pour s’asseoir et circuler car le Hot Rod Coup’32 de Ron est axé sur la croisière? Le coupé a été utilisé par Ron et sa femme Cindee comme voiture de mariage en octobre de l’année dernière, puis il a fait ses débuts au Bright Rod Run, où il a pris la 1er place du Top 10.
Ajoutez à cela les récompenses qu’il a remportées lors du Melbourne Holden vs Ford Show et du Victorian Hot Rod Show, et le Ron’s’32 a ainsi commencé à collectionner un palmarès réellement digne. Que nous réserve l’avenir ? Eh bien, Ron s’occupe de promouvoir ChromesFlammes/GatsbyOnline et déjà des bruits circulent pour un total de 15.000 abonnés Australiens… Avec de tels soutiens on sait qu’on va vers le TOP sans s’attendre à rien de négatif, rien que de la qualité assisté par Ron Barclay. J’ai hâte de voir ce qui sortira de son garage ensuite. La plupart des vedettes en Australie sont du style Pro Street et, bien que cela ait été populaire à l’époque, aujourd’hui, les gens commencent à se demander si tout cela ne risque pas de terminer en sucettes avec les bagnoles électriques. Mais il faut regarder plus loin que la ligne d’horizon…
Voilà… Roulements de tambours et fanfare avec Majorettes sexy’s…L’arrivée de ce web-site en Australie et tiyre la zone d’affluence incluant la Nouvelle Zélande, augure positivement la possibilité d’obtenir 300.000 abonnés fin 2025 sauf si guerres partouze… Wait and see… Le fait que ce Web-site s’auto-traduit en automatique dans toutes les langues a touché une corde sensible chez tous les Hot Rodders Australiens. Ron estime que les gens viennent le lire tout le temps et lui racontent des histoires sur l’effet que ChromesFlammes a sur eux et sur la façon dont il influence leurs voitures aujourd’hui. C’est incroyable l’effet qu’un homme de 76 ans tel que moi basé à Saint-Tropez, peut avoir sur la scène mondiale, mais personne ne peut nier que les contenus proposés sont au TOP…