Mercedes-Maybach SL680 2026
Même pas V12, sans effort de réaliser un V16, ni d’oser un ou deux compresseurs, pas d’accompagnement électrique ! C’est Bof pour Beaufs, pas vraiment nul quoique frôlant le nullissime… De plus on doit subir une surcharge de répétitions de signatures et un choix frôlant l’ambigu concernant le style et la déco Kitch… Les gens de Mercedes-Maybach ont oublié ce qui qui constitue la vraie extravagance ! La Maybach ne l’est en rien, avec l’évidence d’une retenue dans le faste et le souci de réaliser des économies, du style : “pas trop de dépenses somptuaires d’argent et d’utilisation des ressources de Mercedes”.
Je conteste donc la description de la nouvelle Maybach SL680 faite par Daniel Lescow, directeur de Mercedes-Maybach, comme étant l’offre la plus extravagante de sa marque. Pfffffffff ! Seulement un quart de million de dollar$ ou d’€uros et à peine capable de transporter deux personnalités de l’hyper-élite emportant un panier de pique-nique pour déjeuner le long d’un lac… Elle ne se vendra sûrement pas sur le plan pratique, ni esthétique, ni du confort, ni des performances, ni de l’agrément, ni de l’originalité, ni du vrai bon goût classieux ni aucun autre. En faits, elle ne correspond à rien ni personne.
Elle n’attire aucune sympathie sauf pour les survivants du Kitch et du Disco… Pour clore mon premier aperçu de la SL680, espérant qu’il n’y en aura pas d’autre, je me suis inquiété que, comme ses compagnes d’écurie Mercedes-AMG SL, la Maybach pourrait avoir du mal à offrir des niveaux de confort de conduite proportionnels au prix et à la marque et à l’image et que, bien qu’elle soit recouverte d’emblèmes Maybach signalant la richesse (un gag !), les deux ambiances de couleurs sélectionnées, n’offrent pas la personnalisation requise pour déclencher la folie extravagante d’un oligarque, fut-il Ukrainien…
Avec les milliards qu’on leur donne dans des magouilles qui ne se cachent presque plus, j’ai décidé de ne pas me taire… Eh conséquence, je m’avance à rassurer les riches morbides que cette Maybach n’est même pas capable de dorloter leurs fesses mais leur fournira une variation kitschissime de couleurs criardes et de logos répétitifs identiques ce qui réduira considérablement la probabilité de rencontrer un autre ploutocrate sur un quelconque boulevard ou dans un parking de restaurant-claque-bordel de luxe pour puputes hors de prix, maîtrisé par un voiturier patibulaire pilotant une boule identique…
Depuis ma première introduction “analytique” concernant la SL de génération R232 vers 2022, Mercedes et AMG m’ont affirmé que la suspension sophistiquée à suspension d’acier de la voiture de septième génération, interconnectée hydrauliquement, amortie de manière adaptative et à suspension d’acier (rappel), offrirait une “bande passante” suffisante pour rouler aussi confortablement ou plus que les générations précédentes, tout en augmentant l’appétit de la voiture pour le travail sur circuit… C’était surement une plaisanterie stupide typique récupérée des pays de l’ancienne Union Soviétique.
Jusqu’à présent, je n’ai jamais trouvé que les revendications de confort Mercedes sonnaient vraies. Cette Maybach, n’élargit pas cette bande passante pour invalider cette affirmation/constatation. L’équipe de réglage des suspensions Maybach domestique (des bretelles racées pour qui craint qu’une ceinture ne soit pas suffisante), offrant la conduite souple et douillette qu’un client Maybach en chasse de beautés suaves et vénéneusement carnassières (sic !) attend probablement, en adoucissant tout… Maybach a donc réduit les taux de ressort avant et arrière de 25 % (de 80 à 60 N/mm) et de 22 % (de 45 à 35 N/mm)…
Ne riez pas, c’est un réajustement décidé suite à révision des soupapes d’amortissement adaptatives afin qu’elles s’écoulent plus fluidement qu’elles ne l’étaient déjà trop auparavant… Cela devrait spermettre “une plus grande sensibilité aux entrées d’autoroutes”… Ahhhhhh ! Quoi ça veut dire ce charabia ? Rien ! Passons ! Le carrossage des roues a été quelque peu réduit pour refléter les cas d’utilisations moins axés “sur la piste” de la SL680… Qui donc va sur une piste avec une Maybach ? Et ce n’est pas tout, on souligne le réglage exclusif “Mode Maybach” qui est une nouveauté (inutile) qui a été ajoutée au menu…
Celui des des suspensions, je précise, ce qui est sensé détendre sensiblement l’appui du pied sur l’accélérateur (gag ?), augmentant la sensation de direction (laquelle ?) et la fermeté de la suspension encore plus au-delà du mode Confort (qui reste le réglage par défaut dans lequel la voiture démarre). Je suis estomaqué… J’ai passé quelques heures sur des routes sinueuses vallonnées qui relient diverses stations balnéaires parsemant le littoral de l’île espagnole de la fête, Ibiza, en goûtant aux différents modes. J’avais en effet été invité comme “personnage important” eu égard à mes plus de 200.000 abonnés…
Ceux de de ce Web-site mondial, je précise… Le thème en rapport avec IBIZA était “Qu’est-ce qui constitue l’extravagance ?”... Webster’s et Google le définissant comme “un manque de retenue dans les dépenses d’argent ou l’utilisation des ressources”… C’était une (mauvaise) idée (loufoque) de Daniel Lescow, directeur de Mercedes-Maybach, qui présentait cette dernière nouveauté comme étant l’offre la plus extravagante de sa marque… A pleurer de désespoir… Au prix d’environ un quart de million d’euros ou dollars, elle ne se vendra sûrement pas sur le plan pratique ni sur celui du “chic/chéro”… Que nenni !
Et encore moins sur le plan de l’extravagance… Rien… Nada… Niet… Que reste-t-il avec un tel “Rien” ? il ne reste rien… Pour clore ce premier aperçu (mise en bouche) de la SL680, je me suis inquiété du fait que, comme ses compagnes d’écurie Mercedes-AMG SL, la Maybach pourrait avoir du mal à offrir des niveaux de confort de conduite proportionnels au prix et à la marque… Et ce, que, bien qu’elle soit recouverte d’emblèmes Maybach signalant la richesse, les deux ambiances de couleurs sélectionnées (annoncées à l’époque) n’offrant pas la personnalisation requise pour déclencher la folie extravagante d’un oligarque.
Ayant passé quelques heures sur des routes sinueuses vallonnées qui relient diverses stations balnéaires parsemant le littoral d’Ibiza, j’ai été ravi de constater que le système de réticulation “Active Ride Control” d’AMG maintenait une quille très régulière, résistant à pratiquement tous les piqués, tangages et roulis. Le carrossage moins agressif n’a pas dégradé la capacité de cette SL à négocier les lacets en montagne à la limite d’adhérence des pneus. Les ressorts plus souples et la nouvelle courbe d’amortissement en mode Maybach, associés à la soupape à haut débit, survolant les nids-de-poule…
Foutaises, ces nids de poules (de putes) et les dos d’âne ne sont pas survolés, mais génèrent moins d’impacts, tout en empêchant la conduite de devenir flottante. Et si l’engrenage mentionné ci-dessus semble adoucir la route, c’est parce que le nouvel ensemble de bagues lui donne une couche de sous-couche plus épaisse. Traverser le même tronçon de route en mode “Confort” par rapport au mode “Maybach” ajoute juste un peu plus de sensation de route, comme si la sieste sur le tapis-volant venait de faire place au vertige. Le mode Sport remplace la moquette par une sensation commerciale autocollante caoutchoutée.
Il est intéressant de noter que la voiture est restée amusante à envoyer dans les virages avec une charge de “G” élevée, même en mode “Maybach”, malgré la direction terne. En plus de ce qui précède, le moteur souffre d’un décalage turbo. En repassant en mode Sport on ressent la réponse de l’accélérateur AMG à 63 niveaux, tout en aiguisant la réactivité passive de la direction (sic !). Un des rares avantages de la programmation de l’accélérateur du mode Maybach est que lors d’un démarrage en douceur, je n’ai jamais ressenti de secousses du dispositif de lancement à embrayage “humide”, comme dans d’autres SL.
Notez que j’avais également choisi de laisser l’écran d’information-conducteur conçu par Maybach, avec des lectures de vitesse et de tachymètre qui ressemblaient à celles des superbes nacelles de l’étonnante Maybach Vision 6 Concept, bien que j’ai résisté à laisser l’option de pochette d’album en direct sur la section centrale, car elle ajoutait une douzaine de logos supplémentaires à cette zone. Autre point, l’échappement comporte un rembourrage en fibre de verre à l’intérieur du silencieux qui s’efforce de rester silencieux dans les modes Maybach et Confort… Vous avez raison d’être septiques…
Car le mode Sport ouvre une soupape pour contourner cette chambre tout en diffusant un son plus synthétique à travers les haut-parleurs de l’habitacle. Ouiiii, vous avez bien lu… Ce son est sensé apporter une certaine émulation de voiture de course AMG pour quelque chose de plus proche de la musique V-8 inboard d’un skiff en bois classique. C’est assez nul et pitre, je ne m’y attarderai pas… si ce n’est que c’est proche du foutage intégral de la gueule des clients… C’est volontairement vulgairement tapoté pour mieux faire valoir ma rage… C’est l’un des “alléluia” qui fait ses débuts dans cette SL680…
Et ce type de gag va bientôt s’étendre à toutes les SL avec en sus, l’installation d’interrupteurs mécaniques appropriés pour faire fonctionner le toit rabattable électriquement. Plus besoin de se brûler le doigt en glissant et en maintenant un bouton virtuel sur un écran d’infodivertissement ensoleillé comme dans les autres SL. Et pour éviter toute confusion, des boutons séparés sont ici clairement marqués pour lever et abaisser le haut standard orné du logo Maybach… C’est enfantin… Mercedes va rendre cette configuration de réglage de la suspension en mode confort disponible…
Mais sans la courbe d’amortissement du mode Maybach, sur un modèle “Mercedes-Benz SL” relancé, je suis certain que les ploucs et beaufs qui se convertissent à l’une des générations précédentes de SL boulevardier préféreraient fortement cette configuration à l’une des AMG pour plus de confort… Lors de la présentation, Maybach a mis en avant son concept de design “menu dégustation du chef”, n’annonçant que deux offres de la série : la carrosserie Opalite White Magno (mat) ou la carrosserie teintée Clearcoat Garnet Red Metallic rehaussée d’un capot et d’un toit noirs sur un intérieur Crystal White.
Eh bien, n’ayez crainte, chers individualistes, car Mercedes-Maybach a depuis lors approuvé 50 couleurs supplémentaires de son catalogue de 1 000 teintes testées pour la durabilité, ce qui rend l’une d’entre elles disponible avec une capuche de la même couleur, ou en noir avec des emblèmes Maybach imprimés sur toute la surface, à la manière d’un sac à main Louis Vuitton. Pour l’instant, cependant, le blanc reste la seule offre d’intérieur d’usine à être annoncée. Comme Fitzgerald l’a dit en plaisantant : “Les milliardaires et oligarques sont différents de vous et moi”... J’ai rétorqué que leur denim est plus inaltérable….
Non, mais, quel culot ! La Maybach SL680 est la première voiture à utiliser le nouveau procédé “PixelPaint”, impliquant une tête d’impression de haute précision avec 1.000 buses, chacune capable de déposer des gouttelettes de peinture de 20 à 50 microns de diamètre à un rythme de plus de 1.000 gouttes par seconde, sans surpulvérisation ni brouillard. En commençant par une capuche noir obsidienne et une couche de transparent, des emblèmes gris graphite sont imprimés, puis deux couches de transparent sont appliquées et poncées à la main jusqu’à ce que les logos ne puissent plus être ressentis.
Tout cela avant qu’une quatrième couche transparente ne soit appliquée. Le prix de cette option est de 6.500 euros ou dollars. Même à ce niveau de prix stratosphérique, les acheteurs ont divers choix, dont la plupart semblent plus exclusifs, car aucune version moins chère ne partage leur carrosserie. Il s’agit notamment de l’Aston Martin DB12 V8 Volante (269.000 $/€), de la Maserati GranCabrio (203.000 $/€ pour l’essence ou 206.700 $/€ pour l’électrique)… Ensuite, il y a la Bentley Continental GTC pour ceux dont le budget de base peut s’étendre sur 82.000 $/€ de plus.
Ces voitures ont généralement une puissance plus élevée, mais personne ne les dispute pour des billets ou des ballets roses… et ces marques/boutiques ne jouissent pas nécessairement de la réputation de fiabilité, de l’héritage de la marque ou du réseau de concessionnaires Mercedes-Benz et Maybach. En tant que simples internautes-prolétaires, quoiqu’ayant les moyens de vous abonner, vous grinçez surement des dents devant les millions de logos M-M qui recouvrent le capot en option ainsi que la capote standard plus les calandres, les panneaux de porte, etc. C’est d’un mauvais goût assuré, pas discutable.
C’est totalement kitch et même vulgaire… Peut-être que la raison vient de la clientèle des Ukrainiens devenus mégamilliardaires avec les dons de charité, que nos dirigeants leurs donnent (vela provient de nos impots) malgré qu’ils ristournent un pourcentage à la cheffe de la Communauté Européenne et au chef de gouvernement donneur (de leçons)… Bref, j’ai passé la majeure partie du trajet en mode Maybach et j’ai été ravi de constater que le système de réticulation “Active Ride Control” d’AMG maintenait une quille très régulière, résistant à pratiquement tous les piqués, tangages et roulis.
Le carrossage moins agressif n’a pas sensiblement dégradé la capacité de cette SL à négocier les lacets en montagne à la limite ou près des limites d’adhérence des pneus. Les ressorts plus souples et la nouvelle courbe d’amortissement en mode Maybach, associés à la soupape à haut débit, traversent les nids-de-poule et les dos d’âne avec beaucoup moins d’impact, tout en empêchant la conduite de devenir flottante. Et si l’engrenage mentionné ci-dessus semble tapisser efficacement la route, le nouvel ensemble de bagues lui donne une couche de sous-couche plus épaisse.
Traverser le même tronçon de route en mode Confort par rapport au mode Maybach ajoute juste un peu plus de sensation de route, comme si la sieste sur le tapis venait de s’amincir légèrement. Mais… Mais… Mais… Mais… N’ai-je déjà pas tapoté la même pensée ? Je crois que oui… J’en suis même certain… Voyez comme cette voiture engendre un coté roboratif/rébarbatif des plus écoeurants… J’ai presque honte… Pour résumer : Prix de vente 248.000 $/€. V8 biturbo de 4L0 577cv 590lb-pi DACT 32 soupapes. Boite automatique à 9 rapports AV + 1 AR. Je ne vous recommande pas l’achat…