2011 Hyperion XP-1 Hypercar Hydrogène 2000cv
Alors que nous nous habituions aux Supercars électriques, ce que l’on dit être la première Hypercar à hydrogène au monde est apparue. La XP-1 est une nouvelle offre de la société américaine Hyperion, créée en 2011, qui promet depuis sa création, pouvoir apporter le meilleur de deux mondes automobiles différents aux acheteurs de voitures ridiculement rapides… C’est-à-dire qu’elle sera “verte”, avec l’eau comme seule émission, mais aussi facile à ravitailler qu’une voiture standard à moteur à combustion interne. L’entreprise promet de grandes choses, avec plus de 2 000 chevaux, un temps de ravitaillement de trois minutes et le genre de chiffres de performance que nous ne voyons normalement que dans les Hypercars les plus rapides. “Cette voiture est l’avenir”, disent les Pontifes pontifiants d’Hyperion, ajoutant : “Attendez-vous à de grandes choses, et devenez actionnaires d’Hypérion pour décupler votre investissement“… Mais l’Hypérion XP-1 qui n’existait pas encore en 2011, pas plus qu’actuellement en juillet 2025 si ce n’est un prototype/spectacle destiné à des expositions de shows et incapable de se mouvoir dans les rues qui ne sont elles-mêmes absolument pas encombrées de Supercars et Hypercars…
Que ce soit à Los Angeles, Monaco, Londres, Dubaï, jusqu’à présent, il m’a semblé que publier ce que nous savons de la XP-1 permettrait d’éviter quelques suicides… Hyperion, start-up californienne auto-prétendue être spécialisée dans les motorisations à hydrogène, s’auto-déclare “merdiatiquement” chaque année depuis 2011, être à pied d’œuvre pour présenter son premier véhicule à quatre roues : la XP-1. Et le projet qui est pour le moins ambitieux tout en étant le même chaque année depuis 2011 est une Super-Hyper-car aux allures de vaisseau spatial qui est alimenté à l’hydrogène et qui disposerait de performances démentielles. Le projet est reconduit d’année en année depuis 2011 avec la certitude que l’année suivante sera celle de la “Révélation-Ultime”. Waouwwww ! La “chose” a en réalité été exposée/abandonnée au musée Petersen de Los Angelez/Californie… Alors, révolution ou arnaque ? Dans la mythologie grecque, Hypérion (en grec ancien Ὑπερίων : celui qui est au-dessus) est un Titan, fils d’Ouranos (le Ciel) et de Gaïa (la Terre). Diodore de Sicile, d’origine évhémériste, fait d’Hypérion un simple mortel, devenu roi des Atlantes par son mariage avec sa sœur Basilée (la Royale)…
Elle était la fille aînée d’Ouranos et de Titéia (Gaïa) et Diodore de Sicile conte que jaloux de la beauté et de la vertu des enfants d’Hypérion, ses frères les Titans, alors considérés eux aussi comme de simples mortels, conspirant entre eux, convinrent de tuer ce dernier et de noyer le jeune Hélios dans les eaux du fleuve Éridan. Apprenant l’assassinat de son frère, Séléné se précipita dans le vide et la mort du haut de son palais de verre, et Basilée, ayant perdu la raison, se mis à errer dans les campagnes Atlantes. Elle-même disparu de la surface terrestre après avoir appris qu’Hélios et Séléné avaient été portés au nombre des divinités, le premier en tant que dieu du Soleil, la seconde en tant que déesse de la Lune (Diodore de Sicile, livre III consacré aux Atlantes)… Chez Homère et chez d’autres poètes antérieurs à Hésiode, Hypérion est assimilé au Soleil lui-même. Son épouse se nomme alors Euryphaessa… Bref… Le monde des Supercars/Hypercars passionne les “ceusses” qui n’ont aucun moyen d’en acheter, ni de s’abonner à des magazines, ni de devenir actionnaire d’une Start-up Californienne… Mais, ils sont tous dingues de Ferrari, Lamborghini, Bugatti, Koenigsegg, Pagani, McLaren, Lykan, Saleen et autres.
Ce sont des noms qui résonnent dans les esprits des passionnés d’automobiles qui sont traditionnellement thermiques. On a, toutefois, ces dernières années, assisté à l’émergence de Supercars/Hypercars hybrides, voire intégralement électriques tel le concept-car Lamborghini, Terzo Millennio ou, plus simplement la Tesla Roadster… Mais pour attirer les foules, il faut oser ne pas parler de véhicules thermiques ou électriques, mais à hydrogène… Là, c’est aller carrément sur Pluton et Jupiter plutôt que sur la Lune… L’Hyperion XP-1 qui donc sert à attirer des foules d’abrutis investisseurs se devait d’être aussi prometteuse qu’innovante. et réalisant (sur écran d’ordinateur) des performances impensables il y a encore une décennie… Tout d’abord une autonomie supérieure à 1.600 kms à une vitesse “possible” de 400km/h avec un seul ravitaillement de cinq petites minutes seulement ! Des performances évidement bien supérieures à celles réalisées par Bertrand Picard au volant de son Hyundai Nexo… Il est vrai qu’en comparaison, les modèles électriques font bien pâle figure. Mais peu de pays sont réellement équipés en infrastructures permettant la distribution d’hydrogène ainsi que l’entretien des véhicules.
Même en Californie, premier État américain en matière d’hydrogène, les points de ravitaillement sont rarissimes. Le principe d’un moteur à hydrogène est relativement simple sur le papier : la voiture avance grâce à un moteur électrique alimenté par une pile à combustible. Cette même pile est alimentée par de l’hydrogène stocké sous forme de gaz dans des bonbonnes à l’intérieur du véhicule. L’hydrogène se diffuse dans le véhicule par le flux d’air extérieur entrant pendant la circulation. Un échange électrique est généré et charge donc la pile. Le seul rejet de la voiture à hydrogène est de l’eau sous forme liquide. Les émissions polluantes directes sont donc réduites à zéro ! Grâce à sa technologie “hydrogénique”, la XP-1 ne nécessite pas de batterie, son poids en est donc considérablement réduit, à peine plus d’une tonne (1 031 kg)… D’après les Pontifes-pontifiants d’Hyperion, la Supercar/Hypercar devrait boucler le 0 à 100 km/h en 2,2 secondes seulement. La vitesse de pointe serait quant à elle de 355 km/h. Ces deux affirmations étant purement utopiques puisque tout cela est un montage confirmé par des mensonges et du baratin de bateleurs de foires…
En exemple : “Ce n’est que le début de ce qui peut être réalisé avec l’hydrogène comme moyen de stockage d’énergie. Le potentiel de ce carburant est illimité et va révolutionner le secteur de l’énergie”, s’auto-enthousiasme depuis 2011 Angelo Kafantaris, PDG et membre fondateur d’Hyperion Motors… Côté mécanique, Hyperion annonce (toujours depuis 2011) un système de stockage d’hydrogène en carbone qui ne serait pas affecté par les températures extrêmes et : “Qui fournira de manière fiable des performances de pointe sur des sessions de conduite prolongées”…. L’engin utilise un châssis monocoque en carbone-titane ainsi qu’une carrosserie en compostage renforcée au titane. On remarque également des éléments aérodynamiques actifs sur la carrosserie… Revenons sur terre… Hyperion Motors est une start-up technologique basée en Californie du Sud et dans le centre de l’Ohio, fondée par Constantine “Angelo” Kafantaris. Fondée en 2011, l’équipe a été constituée soi-disant à partir d’un groupe d’ingénieurs aérospatiaux et automobiles qui souhaitaient faire passer le concept d’automobile à hydrogène au niveau supérieur. Sauf qu’il n’y a pas d’équipe… Il n’y a rien que du vent…
De plus, alors que d’autres voitures imaginées par d’autres “combinateurs” qui prétendaient via des communiqués de presse anonymes, utiliser des éléments inspirés de l’aérospatiale, Hyperion voulait également prendre bien plus qu’un simple tableau de bord d’un ancien avion déclassé du monde de l’aviation… La société Hyperion affirmait de surcroit, anonymement que la XP-1 allait apporter technologies d’explorations et savoir-faire aérospatial sur les routes (Sic !). Par exemple, le XP1 intègrait soi-disant les technologies H2 de la NASA pour fournir une puissance énorme à quatre moteurs électriques à flux axial, ainsi qu’à des alliages de fusées légers et résistants… Cela à l’appui d’un montage photo adéquat avec des vues de l’ancienne navette spatiale hors service depuis des années (Photo/preuve en fin d’article). Le module de pile à combustible XP-1 HyperCELL a ainsi été décrit comprenant également une architecture aérospatiale de piles à combustible à haut rendement utilisant des membranes recouvertes d’un catalyseur de pointe réduisant les métaux de terres rares et augmentant la durée de vie du moteur… Hyperion avait simultanément l’intention de créer un réseau de stations de ravitaillement en hydrogène…
Celles-ci devant refléter le réseau de Superchargeurs-Tesla. Mais rien n’était vrai… Pour relancer le délire, la société Hypérion a affirmé s’attaquer à la rareté relative du ravitaillement en hydrogène avec son réseau HyperFuel, car la XP1 avait également un autre tour dans son sac de science-fiction, ce qui signifiait qu’elle n’aurait pas besoin d’utiliser le réseau aussi souvent que d’autres… Le XP1 a alors été définie comme ayant une autonomie de 1.016 miles, ce qui devait impressionner les foules si l’on considère que même les voitures électriques à la plus longue autonomie n’étaient pas capables de parcourir le tiers de cette distance. L’Hyperion XP1 disposait ainsi également de ce que la société appellait “Un ravitaillement rapide comme une fusée”, qui, en langage normal, était un réservoir plein d’hydrogène rempli on ne sait ou en trois à quatre minutes. Dans ce délire, l’Hyperion prévoyait de commencer avec une infrastructure d’hydrogène à faible coût, Kafantaris envisageant : “Un avenir sans émissions, provenant de l’éolien et du solaire renouvelables, et alimenté par H2”... Le sprint de 0 à 60 mph dans la XP-1 allait être pris en charge en 2,2 secondes, avec une vitesse de pointe extrêmement impressionnante de 221 mph….
Pour ébaudir les foules, il fut martelé que la bête disposait de 2.038cv (plus crédible qu’un chiffre arrondi, de toutes façon inventé)… En 2022 “Hyperion Companies” peinant à payer ses frais locatifs, a déménagé son siège social du sud de la Californie dans une installation brinquebalante située à l’ouest de Columbus, dans l’Ohio, tout en prétendant investir plus de 297 millions de dollars dans une nouvelle usine pour fabriquer sa pile à combustible à hydrogène de nouvelle génération, qui allait alimenter l’Hypercar XP-1. Dans le délire le plus total, l’entreprise a déclaré qu’elle créerait 680 nouveaux postes/emplois permanents nets à temps plein au cours des six prochaines années, avec une masse salariale annuelle pouvant atteindre 58 millions de dollars… Sur ce coup, l’escroc rêveur de la Vector, Jerry Wiegert, était emplumé.. Dépassé… La XP-1 avait en ce sens un style d’un autre monde pour refléter son utilisation du programme spatial et de la technologie aérospatiale…. Jerrry Wiegert lui, n’étant qu’au niveau des avions de chasse… Minable… Le style futuriste était toutefois, comme pour la Vector, en partie inspiré des avions, avec une verrière panoramique en verre “stargazer” qui présentait une teinte réglable.
Il existait également des montages-photos d’arcs-boutants qui étaient sensés contenir des panneaux solaires ! De plus, ont les prétendait pivoter pour suivre le soleil et tirer le meilleur parti de ses rayons tout en roulant à 300km/h…. Ensuite, il y avait les portes d’ailes-halcyon de science-fiction s’enroulant autour du cockpit. L’apparence générale de la XP-1 avait de surcroit un soupçon de Bugatti, en particulier sur la lame d’air solaire réglable et auto-éclairée aux néons, qui s’incurve autour de la carrosserie derrière les portes. Hyperion estimait que le poids à vide de la XP-1 était inférieur à 2.275 lb. Pourquoi ce chiffre était-il intéressant à prétendre ? Eh bien, une Supercar à moteur à combustion interne peut peser plus lourd (une Lamborghini Huracán Evo 2020 pesait 3.618 livres, par exemple) mais c’est par rapport aux véhicules électriques que ce chiffre donnait à l’Hyperion XP-1 l’air encore plus léger… Même une Hyundai IONIQ 5 N 2025, qui est plutôt un VUS à hayon/rapide, a un poids à vide total atteignant jusqu’à 4.861 livres, tandis qu’une hypercar Lotus Evija EV pèse 3.700 livres, soit 1.500 livres de plus que la XP-1. Il est important de noter qu’une voiture à hydrogène est très similaire à un VE, bien que l’énergie soit stockée sous forme d’hydrogène plutôt que sous forme de lourdes batteries…
La XP-1 utilisait donc trois réservoirs en fibre de carbone situés derrière l’habitacle, reliés à une pile à combustible sous les sièges. L’hydrogène était ici lié à de l’oxygène pour produire un électron, et l’électricité était acheminée vers des “Supercondensateurs” et vers plusieurs moteurs à l’avant et à l’arrière. La puissance de la XP-1, était alors envoyée par la transmission intégrale pour une traction et une sécurité supplémentaires, avec un poids de 55 % vers l’arrière. En parlant de sécurité, Hyperion a affirmé que les réservoirs de stockage en fibre de carbone pouvaient être jeté du haut d’un building ou visés/tirés avec un fusil de grande puissance sans se rompre… Mis à part l’affirmation de l’utilisation d’une pile à combustible à hydrogène, l’Hyperion XP-1 avait beaucoup en commun avec les autres Hypercars à moteur à combustion interne. C’est-à-dire que la XP-1 utilisait une monocoque en fibre de carbone et en titane pour plus de résistance et de rigidité, en plus que des pièces légères en aluminium. Alors que le style et la transmission de l’Hyperion XP-1 étaient volontairement complexes et très futuristes, d’autres zones telles que le cockpit restaient assez minablement conventionnelles et conviviales !
L’intérieur disposait d’un écran tactile de 100 pouces avec toutes les commandes et données dont le conducteur aurait pu avoir besoin si la voiture existait réellement, ce qui devait permettre de désencombrer l’habitacle pour une facilité d’utilisation (famille nombreuse)… Hyperion a également inclus la commande gestuelle pour faire fonctionner de nombreuses fonctions dans la voiture… Il y avait également une vue panoramique à 180 degrés depuis les sièges conducteur et passager… Hyperion a aussi développé une plate-forme de “planche de surf” tout-en-un, mais qui n’a rien à voir avec le fait de surfer sur les vagues de Californie. Cette plate-forme abritait le module de moteur à pile à combustible haute puissance de la voiture avec soi-disant une technologie révolutionnaire de stockage d’hydrogène de la NASA qui stockait plus d’hydrogène dans moins d’espace. Ce châssis à technologie de véhicule variable (VVT) pouvait soi-disant être utilisé avec plusieurs configurations de moteur, ce qui permettrait d’être utilisé pour une grande variété d’architectures de véhicules… Hyperion a même laissé entendre que cette plate-forme pourrait être utilisée dans tout, des voitures particulières aux véhicules commerciaux !!!
La production du XP1 était initialement prévue pour 2022 et il était prévu de construire 300 véhicules. Le prix de chacune d’entre elle aurait été de 2 millions de dollars lors de son dévoilement pour la première fois… Bien qu’il ait été rapporté que la production n’avait pas même été commencée, donc pas encore décollé, cela ne signifiait pas que vous ne pouviez pas commander l’une de ces machines futuristes. Sur le site Web d’Hyperion, les acheteurs pouvaient en effet commander une XP1 “immédiatement”. Il suffisait de remplir quelques détails et verser irrévocablemenr 500.000$…et un membre de l’équipe Hyperion devait ensuite contacter directement l’acquéreur pour personnaliser son véhicule de technologie spatiale…. Il ne faisait aucun doute, compte tenu du prix, que la gamme d’options et de spécifications différentes aurait du être époustouflante… Les licornes, ces start-ups valorisées à plus d’un milliard de dollars, font rêver les escrocs autant qu’elles suscitent la méfiance des gens et font fuir les plus rationnels. Avec des promesses ambitieuses, certaines de ces entreprises se lancent dans une course effrénée à l’innovation, misant gros sur des idées révolutionnaires.
Cependant, nous devons reconnaître que derrière le rideau de l’éclat et du prestige se cache parfois une réalité moins flatteuse. Bon nombre de ces start-ups capitalisent sur des produits qui ne sont pas rentables, basant leur succès sur une croissance rapide et sur des financements à risque. Par exemple, en 2021, on estimait que plus de 90% des licornes n’étaient pas profitables. Une statistique qui jette un regard critique sur la fiabilité de leur modèle économique. En creusant sous la surface des business-plans de ces start-ups à succès, nous trouvons toujours des failles potentielles. Ces sociétés se focalisent souvent sur une croissance exponentielle sans montrer de clarté sur le chemin allant vers la promesse de rentabilité. Et la question qui se pose est : “Les modèles économiques proposés sont-ils vraiment viables ou relèvent-ils de la poudre aux yeux voire de l’escroquerie ?”… De nombreux analystes soulignent que la viabilité à long terme de ces entreprises reste à démontrer, mais qu’en faits 99% sont vouées à l’échec et s’avèrent des escroqueries “à la mode Trumpy”…. Dans certains cas, l’obsession d’attirer de nouveaux investisseurs conduit à des valorisations démesurées.
Celles-ci ne peuvent véritablement être soutenues que par une démonstration claire de rentabilité future… Voici quelques points de vigilance à considérer : Dépendance excessive aux financements externes : Modèle qui peine à générer des revenus suffisants en interne : Sur-estimation du potentiel de marché (une erreur courante qui fausse les prévisions de croissance) : Risque de bulle technologique (Comme celle de la fin des années 1990 où plusieurs entreprises ont fini par chuter brutalement)… Il existe toutefois quelques très rares “Success stories” indéniables, mais aussi beaucoup d’exemples où les start-ups ont rencontré des fins moins glorieuses. Prenons l’exemple de WeWork, qui après avoir séduit les investisseurs en vantant une nouvelle ère pour l’espace de travail, a vu sa valorisation passer de 47 milliards de dollars à une introduction en bourse catastrophique en négatif… Cet effondrement a mis en lumière le danger des promesses non tenues et des pratiques internes discutables. Cependant, balayer d’un revers toutes les start-ups éliminerait certaines, comme Airbnb, qui ont su prouver leur valeur en réinventant véritablement des secteurs établis détournés dans des escroqueries à répétition…
Voilà, nous arrivons au bout et à bout sans exagérations… Si l’enthousiasme pour l’innovation est nécessaire, il est crucial de tempérer cet engouement avec un regard critique et bien informé sur la réalité économique sous-jacente des jeunes pousses qui prétendent révolutionner le monde. Ainsi, plusieurs évaluations équilibrées fondées sur des analyses rigoureuses et des réflexions bien posées, s’avèrent essentielles pour discerner l’incompris génie des simples arnaques bien ficelées et lumière faite, se détourner de ces mirages ruineux créés par des escrocs ! En exemple, la photo ci-dessus et celle ci-dessous sont des montages par robots IA… L’Hypérion a de plus été abandonnée au Musée Petersen qui s’en sortira le moment venu par une cabriole ânonnée d’un angélique : “On ne savait pas”…